Date de sortie: 25 décembre 2013
Réalisé par Joseph Gordon-Levitt
Avec Joseph Gordon-Levitt, Scarlett Johansson, Julianne Moore
Interdit au moins 12 ans
Genre: Comédie, Drame
Durée: 1h30
Synopsis:
Jon Martello est un beau mec que ses amis ont surnommé Don Jon en raison de son talent à séduire une nouvelle fille chaque week-end. Mais pour lui, même les rencontres les plus excitantes ne valent pas les moments solitaires qu’il passe devant son ordinateur à regarder des films pornographiques. Barbara Sugarman est une jeune femme lumineuse, nourrie aux comédies romantiques hollywoodiennes, bien décidée à trouver son Prince Charmant. Leur rencontre est un choc, une explosion dans la vie de chacun. Bourrés d’illusions et d’idées reçues sur le sexe opposé, Jon et Barbara vont devoir laisser tomber leurs fantasmes s’ils veulent avoir une chance de vivre enfin une vraie relation…
Critique "presse": 5,5/10
Une rom-com audacieuse, un peu hot, mais qui reste finalement assez sage, notamment dans sa deuxième partie, qui tend vers la comédie romantique convenue.
Ma critique: 7/10
Un sujet rarement utilisé, surtout pour une rom-com. La comédie est utilisée pour dénoncer les rapports à l'amour et au sexe aujourd'hui. Si pour Jon et les garçons, tout tourne autour du porno, pour les filles et Barbara, ça tourne plutôt autour des comédies romantiques gnan-gnan. Ces deux personnages sont très intéressants, mais l'introduction de Julianne Moore gâche un peu tout. Là où la comédie et le drame se mélangeaient bien, la deuxième partie tourne vraiment à la comédie romantique gentillette, avec la grosse morale, comme quoi faire l'amour avec des sentiments, c'est quand même bien mieux. Je pense qu'il y avait moyen de mieux conclure ce film qu'avec un fin aussi convenue.
mardi 31 décembre 2013
mercredi 18 décembre 2013
Casse-Tête Chinois
Date de sortie: 4 décembre 2013
Réalisé par Cédric Klapisch
Avec Romain Duris, Audrey Tautou, Cécile de France
Genre: Comédie dramatique, Romance
Durée: 1h54
Synopsis:
Xavier a maintenant 40 ans. On le retrouve avec Wendy, Isabelle et Martine quinze ans après L’Auberge Espagnole et dix ans après Les Poupées russes. La vie de Xavier ne s’est pas forcément rangée et tout semble même devenir de plus en plus compliqué. Désormais père de deux enfants, son virus du voyage l’entraîne cette fois à New York, au beau milieu de Chinatown. Dans un joyeux bordel, Xavier u cherche sa place en tant que fils, en tant que père… en tant qu’homme en fait ! Séparation. Famille recomposée. Homoparentalité. Immigration. Travail clandestin. Mondialisation. La vie de Xavier tient résolument du casse-tête chinois ! Cette vie à l’instar de New York et de l’époque actuelle, à défaut d’être cohérente et calme vient en tout cas nourrir sa plume d’écrivain…
Critique "presse": 7/10
Klapisch retrouve ses personnages fétiches. Xavier a grandi, mais sa vie est toujours un joyeux bordel et on suit ses mésaventures avec toujours autant de bonheur, entre Paris et New-York, ses enfants et ses exs. Mais si le regard reste généreux et bienveillant, de nombreuses facilités scénaristiques viennent plomber le tout et le film perd en fraîcheur.
Ma critique: 5/10
Après "Paris" décevant et "Ma Part Du Gâteau" raté, Klapisch se tourne vers une valeur sûre avec ce troisième épisode des aventures de Xavier, qui fait suite aux très réussis "L'Auberge Espagnole" et "Les Poupées Russes". Malheureusement, on déchante bien vite. La fraicheur des deux premiers volets n'est plus là. Exit déjà tous les persos de l'auberge que l'on retrouvait dans les poupées. Ici, à part Wendy, Isabelle et Martine, plus personne n'est là. Et de ces personnages, Wendy passe au second plan, et Martine, personnage plutôt secondaire, a une place trop centrale à mon goût. L'histoire n'est pas très crédible, Xavier part vivre à New-York, il a du bol, sa meilleure pote y vit justement, il a donc de quoi se loger, et quand il ne trouve pas d'appart', on lui en trouve un. Martine fait des allers-retours Paris-NY comme si c'était la porte à côté. Il y a toujours quelques petites trouvailles scénaristiques intéressantes, mais dans l'ensemble, rien d'extrordinaire, une bonne partie étant même pompée sur "L'Auberge Espagnole". Seule vraie bonne idée, son mariage arrangé. Pour finir, le montage est bancal, parfois bon, parfois non, l'interprétation des comédiens est quelconque et la façon de filmer New-York ne m'a pas emballé. C'est long, ça manque de rythme, même s'il y a des bons côtés: on est heureux de retrouver Xavier et ses problèmes, et la bande-son est bonne. Mais clairement le moins bon des trois épisodes.
Réalisé par Cédric Klapisch
Avec Romain Duris, Audrey Tautou, Cécile de France
Genre: Comédie dramatique, Romance
Durée: 1h54
Synopsis:
Xavier a maintenant 40 ans. On le retrouve avec Wendy, Isabelle et Martine quinze ans après L’Auberge Espagnole et dix ans après Les Poupées russes. La vie de Xavier ne s’est pas forcément rangée et tout semble même devenir de plus en plus compliqué. Désormais père de deux enfants, son virus du voyage l’entraîne cette fois à New York, au beau milieu de Chinatown. Dans un joyeux bordel, Xavier u cherche sa place en tant que fils, en tant que père… en tant qu’homme en fait ! Séparation. Famille recomposée. Homoparentalité. Immigration. Travail clandestin. Mondialisation. La vie de Xavier tient résolument du casse-tête chinois ! Cette vie à l’instar de New York et de l’époque actuelle, à défaut d’être cohérente et calme vient en tout cas nourrir sa plume d’écrivain…
Critique "presse": 7/10
Klapisch retrouve ses personnages fétiches. Xavier a grandi, mais sa vie est toujours un joyeux bordel et on suit ses mésaventures avec toujours autant de bonheur, entre Paris et New-York, ses enfants et ses exs. Mais si le regard reste généreux et bienveillant, de nombreuses facilités scénaristiques viennent plomber le tout et le film perd en fraîcheur.
Ma critique: 5/10
Après "Paris" décevant et "Ma Part Du Gâteau" raté, Klapisch se tourne vers une valeur sûre avec ce troisième épisode des aventures de Xavier, qui fait suite aux très réussis "L'Auberge Espagnole" et "Les Poupées Russes". Malheureusement, on déchante bien vite. La fraicheur des deux premiers volets n'est plus là. Exit déjà tous les persos de l'auberge que l'on retrouvait dans les poupées. Ici, à part Wendy, Isabelle et Martine, plus personne n'est là. Et de ces personnages, Wendy passe au second plan, et Martine, personnage plutôt secondaire, a une place trop centrale à mon goût. L'histoire n'est pas très crédible, Xavier part vivre à New-York, il a du bol, sa meilleure pote y vit justement, il a donc de quoi se loger, et quand il ne trouve pas d'appart', on lui en trouve un. Martine fait des allers-retours Paris-NY comme si c'était la porte à côté. Il y a toujours quelques petites trouvailles scénaristiques intéressantes, mais dans l'ensemble, rien d'extrordinaire, une bonne partie étant même pompée sur "L'Auberge Espagnole". Seule vraie bonne idée, son mariage arrangé. Pour finir, le montage est bancal, parfois bon, parfois non, l'interprétation des comédiens est quelconque et la façon de filmer New-York ne m'a pas emballé. C'est long, ça manque de rythme, même s'il y a des bons côtés: on est heureux de retrouver Xavier et ses problèmes, et la bande-son est bonne. Mais clairement le moins bon des trois épisodes.
La Reine Des Neiges
Date de sortie: 4 décembre 2013
Réalisé par Chris Buck, Jennifer Lee
Avec Kristen Bell, Idina Menzel, Jonathan Groff
Titre original: "Frozen"
Genre: Animation , Aventure
Durée: 1h42
Synopsis:
Anna, une jeune fille aussi audacieuse qu’optimiste, se lance dans un incroyable voyage en compagnie de Kristoff, un montagnard expérimenté, et de son fidèle renne, Sven à la recherche de sa sœur, Elsa, la Reine des Neiges qui a plongé le royaume d’Arendelle dans un hiver éternel… En chemin, ils vont rencontrer de mystérieux trolls et un drôle de bonhomme de neige nommé Olaf, braver les conditions extrêmes des sommets escarpés et glacés, et affronter la magie qui les guette à chaque pas.
Critique "presse": 7/10
Un Disney qui s'inscrit dans la veine classique du studio, entre modernité et tradition. La première partie est même trop traditionnelle, avec beaucoup trop de numéros musicaux. Pour le reste, le spectacle ravira petits et grands.
Ma critique: 6/10
Sans être le meilleur des Disney, c'est déjà mieux que "La Princesse Et La Grenouille" ou "Raiponce". L'histoire se suit facilement, les personnages sont drôles et attachants. Olaf le bonhomme de neige este une bonne trouvaille. Les musiques sont omniprésentes au début (et c'est un peu chiant), mais moins par la suite. Un Disney sympa et mignon.
Réalisé par Chris Buck, Jennifer Lee
Avec Kristen Bell, Idina Menzel, Jonathan Groff
Titre original: "Frozen"
Genre: Animation , Aventure
Durée: 1h42
Synopsis:
Anna, une jeune fille aussi audacieuse qu’optimiste, se lance dans un incroyable voyage en compagnie de Kristoff, un montagnard expérimenté, et de son fidèle renne, Sven à la recherche de sa sœur, Elsa, la Reine des Neiges qui a plongé le royaume d’Arendelle dans un hiver éternel… En chemin, ils vont rencontrer de mystérieux trolls et un drôle de bonhomme de neige nommé Olaf, braver les conditions extrêmes des sommets escarpés et glacés, et affronter la magie qui les guette à chaque pas.
Critique "presse": 7/10
Un Disney qui s'inscrit dans la veine classique du studio, entre modernité et tradition. La première partie est même trop traditionnelle, avec beaucoup trop de numéros musicaux. Pour le reste, le spectacle ravira petits et grands.
Ma critique: 6/10
Sans être le meilleur des Disney, c'est déjà mieux que "La Princesse Et La Grenouille" ou "Raiponce". L'histoire se suit facilement, les personnages sont drôles et attachants. Olaf le bonhomme de neige este une bonne trouvaille. Les musiques sont omniprésentes au début (et c'est un peu chiant), mais moins par la suite. Un Disney sympa et mignon.
Zulu
Date de sortie: 4 décembre 2013
Réalisé par Jérôme Salle
Avec Orlando Bloom, Forest Whitaker, Conrad Kemp
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Policier
Durée: 1h50
Synopsis:
Dans une Afrique du Sud encore hantée par l'apartheid, deux policiers, un noir, un blanc, pourchassent le meurtrier sauvage d'une jeune adolescente. Des Townships de Capetown aux luxueuses villas du bord de mer, cette enquête va bouleverser la vie des deux hommes et les contraindre à affronter leurs démons intérieurs.
Critique "presse": 6/10
Un thriller intense dans une Afrique du Sud post-apartheid, qui en dépit de certaines faiblesses, reste de bonne facture. Forest Whitaker y est impeccable et Orlando Bloom surprenant.
Ma critique: 6/10
Un bon film policier (écrit et réalisé par des français), avec une enquête intéressante à suivre, mais qui n'évite pas les clichés. Deux flics, un noir insomniaque, hanté par son passé et qui ne pense qu'à son travail, et un blanc, alcoolique, sans le sou, divorcé, son ex remariée à un riche, et avec un fils qui le déteste. L'interprétation des acteurs est bonne, et rattrape ces clichés, la mise en scène est rythmée, et le film est un thriller plus que correct.
Réalisé par Jérôme Salle
Avec Orlando Bloom, Forest Whitaker, Conrad Kemp
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Policier
Durée: 1h50
Synopsis:
Dans une Afrique du Sud encore hantée par l'apartheid, deux policiers, un noir, un blanc, pourchassent le meurtrier sauvage d'une jeune adolescente. Des Townships de Capetown aux luxueuses villas du bord de mer, cette enquête va bouleverser la vie des deux hommes et les contraindre à affronter leurs démons intérieurs.
Critique "presse": 6/10
Un thriller intense dans une Afrique du Sud post-apartheid, qui en dépit de certaines faiblesses, reste de bonne facture. Forest Whitaker y est impeccable et Orlando Bloom surprenant.
Ma critique: 6/10
Un bon film policier (écrit et réalisé par des français), avec une enquête intéressante à suivre, mais qui n'évite pas les clichés. Deux flics, un noir insomniaque, hanté par son passé et qui ne pense qu'à son travail, et un blanc, alcoolique, sans le sou, divorcé, son ex remariée à un riche, et avec un fils qui le déteste. L'interprétation des acteurs est bonne, et rattrape ces clichés, la mise en scène est rythmée, et le film est un thriller plus que correct.
The Hunger Games: Catching Fire
Date de sortie: 27 novembre 2013
Réalisé par Francis Lawrence
Avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Liam Hemsworth
Avertissement
Titre original: "The Hunger Games: Catching Fire"
Genre: Action, Science fiction
Durée: 2h26
Synopsis:
Katniss Everdeen est rentrée chez elle saine et sauve après avoir remporté la 74e édition des Hunger Games avec son partenaire Peeta Mellark. Puisqu’ils ont gagné, ils sont obligés de laisser une fois de plus leur famille et leurs amis pour partir faire la Tournée de la victoire dans tous les districts.
Au fil de son voyage, Katniss sent que la révolte gronde, mais le Capitole exerce toujours un contrôle absolu sur les districts tandis que le Président Snow prépare la 75e édition des Hunger Games, les Jeux de l’Expiation – une compétition qui pourrait changer Panem à jamais…
Critique "presse": 7/10
Plus rythmé, mieux filmé, plus complexe, plus sombre, tout simplement plus réussi que le premier épisode en reprenant les mêmes ingrédients: romance adolescente, fable politique, et survival. Ce deuxième volet des "Hunger Games" est un excellent blockbuster qui ne vise pas uniquement un public adolescent.
Ma critique: 7/10
Je ne sais pas trop quoi penser de ce second film. Il met du temps à démarrer puisqu'il faut attendre la deuxième partie du film pour de nouveau entrer dans l'arène. La première partie est plus "politique", avec la révolte naissante dans tous les districts. C'est intéressant, mais ça ne bouge pas assez. Et quand finalement, les Jeux commencent, ça bouge, mais ça va presque trop vite et on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages. Et ce qui m'avait vraiment plus dans le premier épisode, c'était tout le côté avec les sponsors, et la fausse romance mise en place pour manipuler l'opinion et espérer gagner les Jeux. Ici, rien de tout ça, pas vraiment d'alliance, juste les gentils contre les méchants. Intéressant donc, mais sans grosses surprises mise à part la fin, qui donne bien envie de voir la suite. Personnellement, j'ai préféré le premier.
Réalisé par Francis Lawrence
Avec Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Liam Hemsworth
Avertissement
Titre original: "The Hunger Games: Catching Fire"
Genre: Action, Science fiction
Durée: 2h26
Synopsis:
Katniss Everdeen est rentrée chez elle saine et sauve après avoir remporté la 74e édition des Hunger Games avec son partenaire Peeta Mellark. Puisqu’ils ont gagné, ils sont obligés de laisser une fois de plus leur famille et leurs amis pour partir faire la Tournée de la victoire dans tous les districts.
Au fil de son voyage, Katniss sent que la révolte gronde, mais le Capitole exerce toujours un contrôle absolu sur les districts tandis que le Président Snow prépare la 75e édition des Hunger Games, les Jeux de l’Expiation – une compétition qui pourrait changer Panem à jamais…
Critique "presse": 7/10
Plus rythmé, mieux filmé, plus complexe, plus sombre, tout simplement plus réussi que le premier épisode en reprenant les mêmes ingrédients: romance adolescente, fable politique, et survival. Ce deuxième volet des "Hunger Games" est un excellent blockbuster qui ne vise pas uniquement un public adolescent.
Ma critique: 7/10
Je ne sais pas trop quoi penser de ce second film. Il met du temps à démarrer puisqu'il faut attendre la deuxième partie du film pour de nouveau entrer dans l'arène. La première partie est plus "politique", avec la révolte naissante dans tous les districts. C'est intéressant, mais ça ne bouge pas assez. Et quand finalement, les Jeux commencent, ça bouge, mais ça va presque trop vite et on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages. Et ce qui m'avait vraiment plus dans le premier épisode, c'était tout le côté avec les sponsors, et la fausse romance mise en place pour manipuler l'opinion et espérer gagner les Jeux. Ici, rien de tout ça, pas vraiment d'alliance, juste les gentils contre les méchants. Intéressant donc, mais sans grosses surprises mise à part la fin, qui donne bien envie de voir la suite. Personnellement, j'ai préféré le premier.
vendredi 13 décembre 2013
Last Vegas
Date de sortie: 27 novembre 2013
Réalisé par Jon Turteltaub
Avec Michael Douglas, Robert De Niro, Morgan Freeman, Kevin Kline
Genre: Comédie
Durée: 1h45
Synopsis:
Billy, Paddy, Archie et Sam sont les meilleurs amis du monde depuis... plus d'une soixantaine d'années. Quand Billy, le dernier célibataire de la bande, se décide enfin à demander sa petite amie d'à peine trente ans (bien évidemment !) en mariage, nos quatre über-seniors prennent la direction de Las Vegas avec la ferme intention de ne rien céder au poids des années et d'enterrer la vie de ce garçon (Qui a dit "vieux" ?) dans les règles de l'art. À leur arrivée sur le Strip, force est de constater que le divertissement de masses a pris le pas sur le temple du cool. Mais le Cirque du Soleil peut bien avoir délogé le Rat Pack, notre quatuor est plus que jamais résolu à faire revivre ses heures de gloire à celle qu'on appelle encore la ville de tous les vices.
Critique "presse": 4,5/10
Un "Very Bad Trip" version papys avec quelques gags sympathiques. Mais avoir un casting cinq étoiles ne suffit pas à faire un bon film.
Ma critique: 5/10
Un film quelconque. Si certaines situations sont drôles, dans l'ensemble, on sourit plus que l'on rit. Les personnages sont assez caricaturaux, et la morale est américaine comme il faut. Un film sans prétentions, mais aussi sans ambitions.
Réalisé par Jon Turteltaub
Avec Michael Douglas, Robert De Niro, Morgan Freeman, Kevin Kline
Genre: Comédie
Durée: 1h45
Synopsis:
Billy, Paddy, Archie et Sam sont les meilleurs amis du monde depuis... plus d'une soixantaine d'années. Quand Billy, le dernier célibataire de la bande, se décide enfin à demander sa petite amie d'à peine trente ans (bien évidemment !) en mariage, nos quatre über-seniors prennent la direction de Las Vegas avec la ferme intention de ne rien céder au poids des années et d'enterrer la vie de ce garçon (Qui a dit "vieux" ?) dans les règles de l'art. À leur arrivée sur le Strip, force est de constater que le divertissement de masses a pris le pas sur le temple du cool. Mais le Cirque du Soleil peut bien avoir délogé le Rat Pack, notre quatuor est plus que jamais résolu à faire revivre ses heures de gloire à celle qu'on appelle encore la ville de tous les vices.
Critique "presse": 4,5/10
Un "Very Bad Trip" version papys avec quelques gags sympathiques. Mais avoir un casting cinq étoiles ne suffit pas à faire un bon film.
Ma critique: 5/10
Un film quelconque. Si certaines situations sont drôles, dans l'ensemble, on sourit plus que l'on rit. Les personnages sont assez caricaturaux, et la morale est américaine comme il faut. Un film sans prétentions, mais aussi sans ambitions.
mercredi 13 novembre 2013
Quai D'Orsay
Date de sortie: 6 novembre 2013
Réalisé par Bertrand Tavernier
Avec Thierry Lhermitte, Raphaël Personnaz, Niels Arestrup
Genre: Comédie
Durée: 1h53
Synopsis:
Alexandre Taillard de Worms est ministre des Affaires Étrangères du pays des Lumières : la France. Il embauche le jeune Arthur Vlaminck, jeune diplômé de l’ENA, en tant que chargé du “langage” au ministère des Affaires Étrangères. En clair, il doit écrire les discours du ministre ! Mais encore faut-il apprendre à composer avec la susceptibilité et l’entourage du prince, se faire une place entre le directeur de cabinet et les conseillers qui gravitent dans un Quai d’Orsay où le stress, l’ambition et les coups fourrés ne sont pas rares... Alors qu’il entrevoit le destin du monde, il est menacé par l’inertie des technocrates.
Critique "presse": 7/10
Une savoureuse satire politique. Rythmée, énergique, avec un excellent Thierry Lhermitte.
Ma critique: 6/10
Un film qui taille la et les politiques. Si les comédiens sont excellents (Thierry Lhermitte et Niels Arestrup en tête), et que les dialogues valent le détour, j'ai regretté que le film ressemble plus à une succession de sketchs et à un one-man show qu'à un vrai film. Les histoires et personnages secondaires n'ont pas grand intérêt (le personnage d'Anaïs Demoustier et son histoire de sans-papiers sont survolés), certaines scènes s'enchaînent mal et l'humour est toujours un peu le même, alors pendant 1h50, ça commence à faire long. Et le montage est vraiment mauvais. C'est drôle, mais ça aurait pu être mieux.
Réalisé par Bertrand Tavernier
Avec Thierry Lhermitte, Raphaël Personnaz, Niels Arestrup
Genre: Comédie
Durée: 1h53
Synopsis:
Alexandre Taillard de Worms est ministre des Affaires Étrangères du pays des Lumières : la France. Il embauche le jeune Arthur Vlaminck, jeune diplômé de l’ENA, en tant que chargé du “langage” au ministère des Affaires Étrangères. En clair, il doit écrire les discours du ministre ! Mais encore faut-il apprendre à composer avec la susceptibilité et l’entourage du prince, se faire une place entre le directeur de cabinet et les conseillers qui gravitent dans un Quai d’Orsay où le stress, l’ambition et les coups fourrés ne sont pas rares... Alors qu’il entrevoit le destin du monde, il est menacé par l’inertie des technocrates.
Critique "presse": 7/10
Une savoureuse satire politique. Rythmée, énergique, avec un excellent Thierry Lhermitte.
Ma critique: 6/10
Un film qui taille la et les politiques. Si les comédiens sont excellents (Thierry Lhermitte et Niels Arestrup en tête), et que les dialogues valent le détour, j'ai regretté que le film ressemble plus à une succession de sketchs et à un one-man show qu'à un vrai film. Les histoires et personnages secondaires n'ont pas grand intérêt (le personnage d'Anaïs Demoustier et son histoire de sans-papiers sont survolés), certaines scènes s'enchaînent mal et l'humour est toujours un peu le même, alors pendant 1h50, ça commence à faire long. Et le montage est vraiment mauvais. C'est drôle, mais ça aurait pu être mieux.
La Stratégie Ender
Date de sortie: 6 novembre 2013
Réalisé par Gavin Hood
Avec Harrison Ford, Asa Butterfield, Ben Kingsley
Titre original: "Ender's Game"
Genre: Science fiction
Durée: 1h54
Synopsis:
Dans un futur proche, une espèce extraterrestre hostile, les Doryphores, ont attaqué la Terre. Sans l’héroïsme de Mazer Rackham, le commandant de la Flotte Internationale, le combat aurait été perdu. Depuis, le très respecté colonel Graff et les forces militaires terriennes entraînent les meilleurs jeunes esprits pour former des officiers émérites et découvrir dans leurs rangs celui qui pourra contrer la prochaine attaque. Ender Wiggin, un garçon timide mais doté d’une exceptionnelle intelligence tactique, est sélectionné pour rejoindre l’élite. A l’académie, Ender apprend rapidement à maîtriser des manoeuvres militaires de plus en plus difficiles où son sens de la stratégie fait merveille. Graff ne tarde pas à le considérer comme le meilleur élément et le plus grand espoir de l’humanité. Il ne lui manque plus qu’à être formé par Mazer Rackham lui-même, pour pouvoir commander la Flotte lors d’une bataille homérique qui décidera du sort de la Terre.
Critique "presse": 5/10
Un blockbuster pour ados qui vaut plus par ses scènes d'actions que par ses séquences dialoguées. Le propos fort et le retournement de situation final sauvent à peine le film.
Ma critique: 5/10
Dès le début, on nous explique que ce sont maintenant les enfants qui font la guerre, car ils sont habitués à la faire sur des jeux vidéo contrairement aux adultes. Avec un sujet comme celui-là, il était compliqué pour moi de prendre ce film au sérieux, où les enfants sont des commandants, et où le destin du monde est entre leurs mains. J'ai donc mis mon cerveau de côté, et me suis concentré sur le divertissement. Pas de bol, car même comme ça, le film est pas génial. Tous les clichés du genre sont présents: le marginal doté d'une intelligence supérieure et qui se transformera en héros, le petit chef maniaque de l'autorité et forcément bien relou envers notre héros, et à côté de ça bien sûr, la jolie fille qui va l'aider à avancer dans ce monde de brutes. Heureusement, les scènes d'actions sont nombreuses et font passer le temps, jusqu'au rebondissement final, inattendu et bien amené. Les questions amenées par cette fin (ou juste avant fin, car la toute fin est quelconque, voire mauvaise). m'ont finalement fait rebrancher mon cerveau. Un divertissement passable et un film moyen dans l'ensemble.
Réalisé par Gavin Hood
Avec Harrison Ford, Asa Butterfield, Ben Kingsley
Titre original: "Ender's Game"
Genre: Science fiction
Durée: 1h54
Synopsis:
Dans un futur proche, une espèce extraterrestre hostile, les Doryphores, ont attaqué la Terre. Sans l’héroïsme de Mazer Rackham, le commandant de la Flotte Internationale, le combat aurait été perdu. Depuis, le très respecté colonel Graff et les forces militaires terriennes entraînent les meilleurs jeunes esprits pour former des officiers émérites et découvrir dans leurs rangs celui qui pourra contrer la prochaine attaque. Ender Wiggin, un garçon timide mais doté d’une exceptionnelle intelligence tactique, est sélectionné pour rejoindre l’élite. A l’académie, Ender apprend rapidement à maîtriser des manoeuvres militaires de plus en plus difficiles où son sens de la stratégie fait merveille. Graff ne tarde pas à le considérer comme le meilleur élément et le plus grand espoir de l’humanité. Il ne lui manque plus qu’à être formé par Mazer Rackham lui-même, pour pouvoir commander la Flotte lors d’une bataille homérique qui décidera du sort de la Terre.
Critique "presse": 5/10
Un blockbuster pour ados qui vaut plus par ses scènes d'actions que par ses séquences dialoguées. Le propos fort et le retournement de situation final sauvent à peine le film.
Ma critique: 5/10
Dès le début, on nous explique que ce sont maintenant les enfants qui font la guerre, car ils sont habitués à la faire sur des jeux vidéo contrairement aux adultes. Avec un sujet comme celui-là, il était compliqué pour moi de prendre ce film au sérieux, où les enfants sont des commandants, et où le destin du monde est entre leurs mains. J'ai donc mis mon cerveau de côté, et me suis concentré sur le divertissement. Pas de bol, car même comme ça, le film est pas génial. Tous les clichés du genre sont présents: le marginal doté d'une intelligence supérieure et qui se transformera en héros, le petit chef maniaque de l'autorité et forcément bien relou envers notre héros, et à côté de ça bien sûr, la jolie fille qui va l'aider à avancer dans ce monde de brutes. Heureusement, les scènes d'actions sont nombreuses et font passer le temps, jusqu'au rebondissement final, inattendu et bien amené. Les questions amenées par cette fin (ou juste avant fin, car la toute fin est quelconque, voire mauvaise). m'ont finalement fait rebrancher mon cerveau. Un divertissement passable et un film moyen dans l'ensemble.
Prisoners
Date de sortie: 9 octobre 2013
Réalisé par Denis Villeneuve
Avec Hugh Jackman, Jake Gyllenhaal
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Thriller
Durée: 2h33
Synopsis:
Dans la banlieue de Boston, deux fillettes de 6 ans, Anna et Joy, ont disparu. Le détective Loki privilégie la thèse du kidnapping suite au témoignage de Keller, le père d’Anna. Le suspect numéro 1 est rapidement arrêté mais est relâché quelques jours plus tard faute de preuve, entraînant la fureur de Keller. Aveuglé par sa douleur, le père dévasté se lance alors dans une course contre la montre pour retrouver les enfants disparus. De son côté, Loki essaie de trouver des indices pour arrêter le coupable avant que Keller ne commette l’irréparable… Les jours passent et les chances de retrouver les fillettes s’amenuisent…
Critique "presse": 7,5/10
Un thriller diablement efficace, servi par des comédiens tous excellents dans leur rôle respectif. Le scénario est nourri, avec bon nombre de rebondissements qui tiendront en haleine le spectateur jusqu'au dénouement final, malheureusement pas à la hauteur de l'ambition du projet.
Ma critique: 7/10
Un bon thriller, au suspense bien présent, mais qui part un peu dans tous les sens. Le scénario est très riche et nous suivons l'enquête de deux points de vue, celui de Keller, le père et celui de Loki, le flic, chacun d'entre eux avançant à sa façon pour retrouver les deux petites filles. Personnellement, je pense qu'il aurait mieux valu s'attacher uniquement au point de vue du flic (certes déjà vu maintes fois) car le chemin emprunté par Keller va trop loin et n'est pas crédible; Loki est plus intéressant. De plus, pour garder le spectateur en haleine pendant 2h30 (qui se font parfois ressentir), les rebondissements sont nombreux, et si certains sont très bons, d'autres le sont nettement moins et certaines idées nées en cours de route sont ensuite abandonnées. Un bon film, avec une fin un peu bâclée et qui laisse quelques questions en suspens. A voir, mais dans le genre, il y a mieux.
Réalisé par Denis Villeneuve
Avec Hugh Jackman, Jake Gyllenhaal
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Thriller
Durée: 2h33
Synopsis:
Dans la banlieue de Boston, deux fillettes de 6 ans, Anna et Joy, ont disparu. Le détective Loki privilégie la thèse du kidnapping suite au témoignage de Keller, le père d’Anna. Le suspect numéro 1 est rapidement arrêté mais est relâché quelques jours plus tard faute de preuve, entraînant la fureur de Keller. Aveuglé par sa douleur, le père dévasté se lance alors dans une course contre la montre pour retrouver les enfants disparus. De son côté, Loki essaie de trouver des indices pour arrêter le coupable avant que Keller ne commette l’irréparable… Les jours passent et les chances de retrouver les fillettes s’amenuisent…
Critique "presse": 7,5/10
Un thriller diablement efficace, servi par des comédiens tous excellents dans leur rôle respectif. Le scénario est nourri, avec bon nombre de rebondissements qui tiendront en haleine le spectateur jusqu'au dénouement final, malheureusement pas à la hauteur de l'ambition du projet.
Ma critique: 7/10
Un bon thriller, au suspense bien présent, mais qui part un peu dans tous les sens. Le scénario est très riche et nous suivons l'enquête de deux points de vue, celui de Keller, le père et celui de Loki, le flic, chacun d'entre eux avançant à sa façon pour retrouver les deux petites filles. Personnellement, je pense qu'il aurait mieux valu s'attacher uniquement au point de vue du flic (certes déjà vu maintes fois) car le chemin emprunté par Keller va trop loin et n'est pas crédible; Loki est plus intéressant. De plus, pour garder le spectateur en haleine pendant 2h30 (qui se font parfois ressentir), les rebondissements sont nombreux, et si certains sont très bons, d'autres le sont nettement moins et certaines idées nées en cours de route sont ensuite abandonnées. Un bon film, avec une fin un peu bâclée et qui laisse quelques questions en suspens. A voir, mais dans le genre, il y a mieux.
jeudi 7 novembre 2013
Snowpiercer
Date de sortie: 30 octobre 2013
Réalisé par Bong Joon Ho
Avec Chris Evans, Song Kang-Ho, Tilda Swinton
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Drame , Science fiction
Durée: 2h05
Synopsis:
2031. Une nouvelle ère glaciaire. Les derniers survivants ont pris place à bord du Snowpiercer, un train gigantesque condamné à tourner autour de la Terre sans jamais s’arrêter. Dans ce microcosme futuriste de métal fendant la glace, s’est recréée une hiérarchie des classes contre laquelle une poignée d’hommes entraînés par l’un d’eux tente de lutter. Car l’être humain ne changera jamais…
Critique "presse": 8/10
Un film de SF en huis-clos, où se mêlent lutte des classes, mondialisation, violence extrême et humour tranchant. "Snowpiercer, le transperceneige" est l'adaptation réussie d'une BD française, et un des meilleurs films post-apocalytpique de l'année. Un film à l'univers anxiogène, captivant de par son intensité, aussi bien esthétique qu'émotionnelle.
Ma critique: 8/10
Au vu de la bande-annonce et du synopsis, on peut s'attendre à un bête film d'action de série B. Il n'en est rien, et c'est même une des très bonnes surprises de l'année. La mise en scène est soutenue, les rebondissements inattendues, on va de découverte en découverte, et on se prend une véritable claque. Si cette idée du train qui tourne sans s'arrêter autour de la Terre n'est pas très crédible (17 ans sans accident...), ce n'est pas le sujet principal du film. Non, l'histoire, c'est cette humanité qui ne change pas, qui n'évolue pas. La vision est des plus pessimistes (je ne suis pas totalement convaincu que ça se passerait comme ça), mais ça reste une excellente représentation du monde tel qu'il est aujourd'hui. Un film qui fait réfléchir, aux messages forts.
Réalisé par Bong Joon Ho
Avec Chris Evans, Song Kang-Ho, Tilda Swinton
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Drame , Science fiction
Durée: 2h05
Synopsis:
2031. Une nouvelle ère glaciaire. Les derniers survivants ont pris place à bord du Snowpiercer, un train gigantesque condamné à tourner autour de la Terre sans jamais s’arrêter. Dans ce microcosme futuriste de métal fendant la glace, s’est recréée une hiérarchie des classes contre laquelle une poignée d’hommes entraînés par l’un d’eux tente de lutter. Car l’être humain ne changera jamais…
Critique "presse": 8/10
Un film de SF en huis-clos, où se mêlent lutte des classes, mondialisation, violence extrême et humour tranchant. "Snowpiercer, le transperceneige" est l'adaptation réussie d'une BD française, et un des meilleurs films post-apocalytpique de l'année. Un film à l'univers anxiogène, captivant de par son intensité, aussi bien esthétique qu'émotionnelle.
Ma critique: 8/10
Au vu de la bande-annonce et du synopsis, on peut s'attendre à un bête film d'action de série B. Il n'en est rien, et c'est même une des très bonnes surprises de l'année. La mise en scène est soutenue, les rebondissements inattendues, on va de découverte en découverte, et on se prend une véritable claque. Si cette idée du train qui tourne sans s'arrêter autour de la Terre n'est pas très crédible (17 ans sans accident...), ce n'est pas le sujet principal du film. Non, l'histoire, c'est cette humanité qui ne change pas, qui n'évolue pas. La vision est des plus pessimistes (je ne suis pas totalement convaincu que ça se passerait comme ça), mais ça reste une excellente représentation du monde tel qu'il est aujourd'hui. Un film qui fait réfléchir, aux messages forts.
mercredi 6 novembre 2013
Thor: The Dark World
Date de sortie: 30 octobre 2013
Réalisé par Alan Taylor
Avec Chris Hemsworth, Natalie Portman, Tom Hiddleston
Genre: Action , Fantastique
Durée: 1h52
Synopsis:
Thor : Le Monde des ténèbres nous entraîne dans les nouvelles aventures de Thor, le puissant Avenger, qui lutte pour sauver la Terre et les neuf mondes d’un mystérieux ennemi qui convoite l’univers tout entier… Après les films Marvel Thor et Avengers, Thor se bat pour restaurer l’ordre dans le cosmos, mais une ancienne race, sous la conduite du terrible Malekith, un être assoiffé de vengeance, revient pour répandre les ténèbres. Confronté à un ennemi que même Odin et Asgard ne peuvent contrer, Thor doit s’engager dans son aventure la plus dangereuse et la plus personnelle, au cours de laquelle il va devoir s’allier au traître Loki pour sauver non seulement son peuple et ceux qui lui sont chers, mais aussi l’univers lui-même.
Critique "presse": 5,5/10
Ce blockbuster, made in Marvel, n'est ni le meilleur, ni le pire du genre. Il est mieux que le premier opus, et remplit bien son contrat: beaucoup d'action et d'humour. Un bon divertissement, à l'esthétique parfois douteuse.
Ma critique: 7/10
Ce "Thor" est à mettre dans le haut du panier des Marvel, contrairement au premier, un des plus mauvais. On prend plaisir à retrouver Thor et surtout Loki (très très bon méchant) après "Avengers". L'histoire se tient, le rythme est soutenu, l'humour bien présent, les rebondissements bons et nombreux, l'univers d'Asgard rappelle celui de "The Lord Of The Rings". Un très bon Marvel.
Réalisé par Alan Taylor
Avec Chris Hemsworth, Natalie Portman, Tom Hiddleston
Genre: Action , Fantastique
Durée: 1h52
Synopsis:
Thor : Le Monde des ténèbres nous entraîne dans les nouvelles aventures de Thor, le puissant Avenger, qui lutte pour sauver la Terre et les neuf mondes d’un mystérieux ennemi qui convoite l’univers tout entier… Après les films Marvel Thor et Avengers, Thor se bat pour restaurer l’ordre dans le cosmos, mais une ancienne race, sous la conduite du terrible Malekith, un être assoiffé de vengeance, revient pour répandre les ténèbres. Confronté à un ennemi que même Odin et Asgard ne peuvent contrer, Thor doit s’engager dans son aventure la plus dangereuse et la plus personnelle, au cours de laquelle il va devoir s’allier au traître Loki pour sauver non seulement son peuple et ceux qui lui sont chers, mais aussi l’univers lui-même.
Critique "presse": 5,5/10
Ce blockbuster, made in Marvel, n'est ni le meilleur, ni le pire du genre. Il est mieux que le premier opus, et remplit bien son contrat: beaucoup d'action et d'humour. Un bon divertissement, à l'esthétique parfois douteuse.
Ma critique: 7/10
Ce "Thor" est à mettre dans le haut du panier des Marvel, contrairement au premier, un des plus mauvais. On prend plaisir à retrouver Thor et surtout Loki (très très bon méchant) après "Avengers". L'histoire se tient, le rythme est soutenu, l'humour bien présent, les rebondissements bons et nombreux, l'univers d'Asgard rappelle celui de "The Lord Of The Rings". Un très bon Marvel.
Gravity
Date de sortie: 23 octobre 2013
Réalisé par Alfonso Cuarón
Avec Sandra Bullock, George Clooney
Genre: Science fiction
Durée: 1h30
Synopsis:
Pour sa première expédition à bord d'une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingénierie médicale, accompagne l'astronaute chevronné Matt Kowalsky. Mais alors qu'il s'agit apparemment d'une banale sortie dans l'espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans l'univers. Le silence assourdissant autour d'eux leur indique qu'ils ont perdu tout contact avec la Terre - et la moindre chance d'être sauvés. Peu à peu, ils cèdent à la panique, d'autant plus qu'à chaque respiration, ils consomment un peu plus les quelques réserves d'oxygène qu'il leur reste. Mais c'est peut-être en s'enfonçant plus loin encore dans l'immensité terrifiante de l'espace qu'ils trouveront le moyen de rentrer sur Terre...
Critique "presse": 9/10
Un chef-d'oeuvre, le meilleur film qu'il ait été donné de voir sur l'espace. Spectaculaire, visuellement époustouflant, avec une 3D qui se justifie pleinement. L'expérience sensorielle est, elle aussi, à couper le souffle. "Gravity" est un survival dans l'espace qui vous tiendra en haleine du début à la fin. Du jamais vu au cinéma.
Ma critique: 7/10
Visuellement, c'est très impressionnant. Les longs silences (eh oui, pas de sons dans l'espace) rajoutent au suspense bien présent. Après, si en termes d'images, de sons, de plans, y'a rien à redire, au niveau du scénario, ça reste quand même bateau. Les deux survivants doivent retourner sur Terre au plus vite, pressés par le temps. Et bien sûr, si l'un est un astronaute chevronné, l'autre est une bleue qui a perdu sa fille. Une histoire simple, qui tient en haleine tout du long, avec quand même quelques trucs pas très crédibles. Un film qui vaut tout de même largement le détour, pour l'expérience visuelle essentiellement. Mais pour moi, il manque quand même quelque chose. Un très mauvais choix est d'avoir rajouté une bande-son inutile.
Réalisé par Alfonso Cuarón
Avec Sandra Bullock, George Clooney
Genre: Science fiction
Durée: 1h30
Synopsis:
Pour sa première expédition à bord d'une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingénierie médicale, accompagne l'astronaute chevronné Matt Kowalsky. Mais alors qu'il s'agit apparemment d'une banale sortie dans l'espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans l'univers. Le silence assourdissant autour d'eux leur indique qu'ils ont perdu tout contact avec la Terre - et la moindre chance d'être sauvés. Peu à peu, ils cèdent à la panique, d'autant plus qu'à chaque respiration, ils consomment un peu plus les quelques réserves d'oxygène qu'il leur reste. Mais c'est peut-être en s'enfonçant plus loin encore dans l'immensité terrifiante de l'espace qu'ils trouveront le moyen de rentrer sur Terre...
Critique "presse": 9/10
Un chef-d'oeuvre, le meilleur film qu'il ait été donné de voir sur l'espace. Spectaculaire, visuellement époustouflant, avec une 3D qui se justifie pleinement. L'expérience sensorielle est, elle aussi, à couper le souffle. "Gravity" est un survival dans l'espace qui vous tiendra en haleine du début à la fin. Du jamais vu au cinéma.
Ma critique: 7/10
Visuellement, c'est très impressionnant. Les longs silences (eh oui, pas de sons dans l'espace) rajoutent au suspense bien présent. Après, si en termes d'images, de sons, de plans, y'a rien à redire, au niveau du scénario, ça reste quand même bateau. Les deux survivants doivent retourner sur Terre au plus vite, pressés par le temps. Et bien sûr, si l'un est un astronaute chevronné, l'autre est une bleue qui a perdu sa fille. Une histoire simple, qui tient en haleine tout du long, avec quand même quelques trucs pas très crédibles. Un film qui vaut tout de même largement le détour, pour l'expérience visuelle essentiellement. Mais pour moi, il manque quand même quelque chose. Un très mauvais choix est d'avoir rajouté une bande-son inutile.
mardi 22 octobre 2013
L'Extravagant Voyage Du Jeune Et Prodigieux T.S. Spivet
Date de sortie: 16 octobre 2013
Réalisé par Jean-Pierre Jeunet
Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie
Titre original: "The Young and Prodigious T.S. Spivet" Genre: Aventure, Famille
Durée: 1h45
Synopsis:
T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
Critique "presse": 6,5/10
Visuellement magnifique, Jean-Pierre Jeunet nous fait vivre les péripéties d'un petit génie de 10 ans en filmant les grands espaces américains. A la fois poétique et dramatique, le film fait malheureusement face à un traitement parfois bancal, notamment dans sa dernière partie, un peu bâclée.
Ma critique: 8/10
On s'attache facilement à ce petit génie incompris qui part à l'aventure en traversant l'Amérique. L'univers visuel de Jeunet est toujours aussi riche, et les paysages filmés sont magnifiques. Le scénario regorge de bonnes idées et de petites trouvailles. Entre péripéties diverses et personnages secondaires variés, "The Young and Prodigious T.S. Spivet" est unn joli conte avec du rire, des larmes, de la tendresse. A voir.
Réalisé par Jean-Pierre Jeunet
Avec Helena Bonham Carter, Judy Davis, Callum Keith Rennie
Titre original: "The Young and Prodigious T.S. Spivet" Genre: Aventure, Famille
Durée: 1h45
Synopsis:
T.S. Spivet, vit dans un ranch isolé du Montana avec ses parents, sa soeur Gracie et son frère Layton. Petit garçon surdoué et passionné de science, il a inventé la machine à mouvement perpétuel, ce qui lui vaut de recevoir le très prestigieux prix Baird du Musée Smithsonian de Washington. Sans rien dire à sa famille, il part, seul, chercher sa récompense et traverse les Etats-Unis sur un train de marchandises. Mais personne là-bas n’imagine que l’heureux lauréat n’a que dix ans et qu'il porte un bien lourd secret…
Critique "presse": 6,5/10
Visuellement magnifique, Jean-Pierre Jeunet nous fait vivre les péripéties d'un petit génie de 10 ans en filmant les grands espaces américains. A la fois poétique et dramatique, le film fait malheureusement face à un traitement parfois bancal, notamment dans sa dernière partie, un peu bâclée.
Ma critique: 8/10
On s'attache facilement à ce petit génie incompris qui part à l'aventure en traversant l'Amérique. L'univers visuel de Jeunet est toujours aussi riche, et les paysages filmés sont magnifiques. Le scénario regorge de bonnes idées et de petites trouvailles. Entre péripéties diverses et personnages secondaires variés, "The Young and Prodigious T.S. Spivet" est unn joli conte avec du rire, des larmes, de la tendresse. A voir.
9 Mois Ferme
Date de sortie: 16 octobre 2013
Réalisé par Albert Dupontel
Avec Sandrine Kiberlain, Albert Dupontel, Nicolas Marié
Genre: Comédie
Durée: 1h22
Synopsis:
Ariane Felder est enceinte ! C'est d'autant plus surprenant que c'est une jeune juge aux mœurs strictes et une célibataire endurcie. Mais ce qui est encore plus surprenant, c'est que d'après les tests de paternité, le père de l'enfant n'est autre que Bob, un criminel poursuivi pour une atroce agression ! Ariane, qui ne se souvient de rien, tente alors de comprendre ce qui a bien pu se passer et ce qui l'attend...
Critique "presse": 8/10
Une comédie burlesque à l'humour trash et aux situations désopilantes. Une comédie à la mise en scène rythmée, ultra-efficace, avec un duo Dupontel/Kiberlain savoureux.
Ma critique: 7/10
De bonnes tranches de rigolade, que ce soit Sandrine Kiberlain qui refait le cours de sa soirée sur caméras de sécurité, ou Dupontel qui s'imagine des situations incroyables pour justifier la mort du vieux qu'il est accusé d'avoir tué. A côté de ça, plein de petites apparitions, et de clins d'oeil comiques, comme Jean Dujardin qui fait du langage des signes. Nicolas Marié en avocat bègue est aussi très bon. Dommage que la conclusion soit trop rapide, et que quelques bonnes idées ne soient pas suffisamment bien exploitées, mais dans son ensemble, une bonne comédie française.
Réalisé par Albert Dupontel
Avec Sandrine Kiberlain, Albert Dupontel, Nicolas Marié
Genre: Comédie
Durée: 1h22
Synopsis:
Ariane Felder est enceinte ! C'est d'autant plus surprenant que c'est une jeune juge aux mœurs strictes et une célibataire endurcie. Mais ce qui est encore plus surprenant, c'est que d'après les tests de paternité, le père de l'enfant n'est autre que Bob, un criminel poursuivi pour une atroce agression ! Ariane, qui ne se souvient de rien, tente alors de comprendre ce qui a bien pu se passer et ce qui l'attend...
Critique "presse": 8/10
Une comédie burlesque à l'humour trash et aux situations désopilantes. Une comédie à la mise en scène rythmée, ultra-efficace, avec un duo Dupontel/Kiberlain savoureux.
Ma critique: 7/10
De bonnes tranches de rigolade, que ce soit Sandrine Kiberlain qui refait le cours de sa soirée sur caméras de sécurité, ou Dupontel qui s'imagine des situations incroyables pour justifier la mort du vieux qu'il est accusé d'avoir tué. A côté de ça, plein de petites apparitions, et de clins d'oeil comiques, comme Jean Dujardin qui fait du langage des signes. Nicolas Marié en avocat bègue est aussi très bon. Dommage que la conclusion soit trop rapide, et que quelques bonnes idées ne soient pas suffisamment bien exploitées, mais dans son ensemble, une bonne comédie française.
C'est La Fin
Date de sortie: 9 octobre 2013
Réalisé par Seth Rogen, Evan Goldberg
Avec James Franco, Jonah Hill, Seth Rogen
Titre original: "This Is The End"
Genre: Comédie, Fantastique
Durée: 1h47
Synopsis:
Invités à une fête chez James Franco, Seth Rogen, Jonah Hill et leurs amis sont témoins de l'Apocalypse.
Critique "presse": 6/10
Des acteurs dans leur propre rôle qui ne se prennent pas au sérieux. Humour graveleux, auto-parodie, cette bande de potes s'amusent ensemble et s'amusent de leur image. Problème, c'est un peu long, et le film s'adresse surtout aux fans inconditionnels d'Appatow.
Ma critique: 6/10
Une bonne idée de départ, et des acteurs qui s'auto-parodient, je trouve ça très drôle. L'humour est graveleux, ça passe aussi. Dommage qu'il n'y ait pas assez de guests, et ceux présents meurent dans les 20 premières minutes (désolé pour le spoiler), dommage Michael Cera est hilarant. Mais le gros problème, c'est que si on n'a pas une excellente culture des séries et films US, ainsi q'une bonne connaissance de la filmographie des protagonistes, et bien y'a plein de clins d'oeil et références qu'on ne comprend pas, et forcément on rit moins. Personnellement, j'me débrouille, j'ai vu les films d'Appatow et sa série "Freaks & Geeks" (avec James Franco, Seth Rogen et Jason Segel) mais je ne connais pas du tout Danny McBride. Au final, le film est un peu long, on assiste à un délire entre potes, malheureusement sans être trop inclus.
Réalisé par Seth Rogen, Evan Goldberg
Avec James Franco, Jonah Hill, Seth Rogen
Titre original: "This Is The End"
Genre: Comédie, Fantastique
Durée: 1h47
Synopsis:
Invités à une fête chez James Franco, Seth Rogen, Jonah Hill et leurs amis sont témoins de l'Apocalypse.
Critique "presse": 6/10
Des acteurs dans leur propre rôle qui ne se prennent pas au sérieux. Humour graveleux, auto-parodie, cette bande de potes s'amusent ensemble et s'amusent de leur image. Problème, c'est un peu long, et le film s'adresse surtout aux fans inconditionnels d'Appatow.
Ma critique: 6/10
Une bonne idée de départ, et des acteurs qui s'auto-parodient, je trouve ça très drôle. L'humour est graveleux, ça passe aussi. Dommage qu'il n'y ait pas assez de guests, et ceux présents meurent dans les 20 premières minutes (désolé pour le spoiler), dommage Michael Cera est hilarant. Mais le gros problème, c'est que si on n'a pas une excellente culture des séries et films US, ainsi q'une bonne connaissance de la filmographie des protagonistes, et bien y'a plein de clins d'oeil et références qu'on ne comprend pas, et forcément on rit moins. Personnellement, j'me débrouille, j'ai vu les films d'Appatow et sa série "Freaks & Geeks" (avec James Franco, Seth Rogen et Jason Segel) mais je ne connais pas du tout Danny McBride. Au final, le film est un peu long, on assiste à un délire entre potes, malheureusement sans être trop inclus.
Rush
Date de sortie: 25 septembre 2013
Réalisé par Ron Howard
Avec Chris Hemsworth, Daniel Brühl
Genre: Drame
Durée: 2h03
Synopsis:
RUSH retrace le passionnant et haletant combat entre deux des plus grands rivaux que l’histoire de la Formule 1 ait jamais connus, celui de James Hunt et Niki Lauda concourant pour les illustres écuries McLaren et Ferrari. Issu de la haute bourgeoisie, charismatique et beau garçon, tout oppose le play-boy anglais James Hunt à Niki Lauda, son adversaire autrichien, réservé et méthodique. RUSH suit la vie frénétique de ces deux pilotes, sur les circuits et en dehors, et retrace la rivalité depuis leurs tout débuts.
Critique "presse": 8/10
Certainement le meilleur film de Ron Howard et un des films les plus réussi sur la course automobile. "Rush" est un biopic qui retrace la vie sur et en dehors des circuits de deux adversaires que tout oppose. Les scènes de courses sont spectaculaires et les deux comédiens sont excellents. Un film d'une intensité dramatique incroyable, qui ravira les fans et les non-initiés aux sports automobiles.
Ma critique: 8/10
Un surprise comme j'aimerais en voir plus souvent. Je ne serai pas allé voir ce film sans un excellent bouche à oreille, et je ne regrette rien. Pas fan des sports automobiles, j'ai pourtant adoré. Cette histoire entre James Hunt et Niki Lauda est juste géniale. Le scénario ne fait pas dans la surenchère et le film nous tient en haleine du début à la fin. Du suspense, de beaux moments d'émotions, et deux très bons acteurs. Une belle histoire de sport. A voir absolument, c'est un des films de l'année.
Réalisé par Ron Howard
Avec Chris Hemsworth, Daniel Brühl
Genre: Drame
Durée: 2h03
Synopsis:
RUSH retrace le passionnant et haletant combat entre deux des plus grands rivaux que l’histoire de la Formule 1 ait jamais connus, celui de James Hunt et Niki Lauda concourant pour les illustres écuries McLaren et Ferrari. Issu de la haute bourgeoisie, charismatique et beau garçon, tout oppose le play-boy anglais James Hunt à Niki Lauda, son adversaire autrichien, réservé et méthodique. RUSH suit la vie frénétique de ces deux pilotes, sur les circuits et en dehors, et retrace la rivalité depuis leurs tout débuts.
Critique "presse": 8/10
Certainement le meilleur film de Ron Howard et un des films les plus réussi sur la course automobile. "Rush" est un biopic qui retrace la vie sur et en dehors des circuits de deux adversaires que tout oppose. Les scènes de courses sont spectaculaires et les deux comédiens sont excellents. Un film d'une intensité dramatique incroyable, qui ravira les fans et les non-initiés aux sports automobiles.
Ma critique: 8/10
Un surprise comme j'aimerais en voir plus souvent. Je ne serai pas allé voir ce film sans un excellent bouche à oreille, et je ne regrette rien. Pas fan des sports automobiles, j'ai pourtant adoré. Cette histoire entre James Hunt et Niki Lauda est juste géniale. Le scénario ne fait pas dans la surenchère et le film nous tient en haleine du début à la fin. Du suspense, de beaux moments d'émotions, et deux très bons acteurs. Une belle histoire de sport. A voir absolument, c'est un des films de l'année.
Parkland
Date de sortie: 2 octobre 2013
Réalisé par Peter Landesman
Avec Marcia Gay Harden, Billy Bob Thornton, Paul Giamatti
Genre: Historique, Drame
Durée: 1h34
Synopsis:
22 novembre 1963, 12 h 38. C’est un patient peu ordinaire qui arrive en urgence au Parkland Memorial Hospital de Dallas. Il s’agit du président John F. Kennedy, sur qui on vient de tirer alors qu’il traversait Dealey Plaza en limousine décapotée, acclamé par la foule. Tandis que la nouvelle se répand dans le monde, une page méconnue de l’histoire s’écrit dans cet hôpital qui n’était absolument pas préparé à affronter cet événement. Autour du corps, les questions et les émotions s’accumulent. La pression monte. Proches, anonymes, officiels, tous vont être confrontés à une prise de conscience et à des décisions qui changeront leur vie à jamais…
Critique "presse": 6/10
Un film choral qui retrace les faits des trois jours qui ont suivi l'assassinat de JFK, des services secrets aux infirmiers, des proches et des anonymes; avec l'arrestation et la mort de Lee Harvey Oswald. Si dans la première partie du film, le suspense est bien présent, et la pression monte, on vire peu à peu vers le mélo et le film ne prend pas position.
Ma critique: 6/10
Pareil qu'au-dessus: le film est très bon dans sa première partie, ils retracent les événements qui se sont passés à ce moment-là, et on en apprend pas mal. Le problème, c'est qu'il ne fait que retracer les faits et ne répond pas aux questions qu'on pourrait se poser. Comme si L.H. Oswald avait agi seul. Pourtant, il existe bon nombre de théories, mais là rien, pas de parti pris, comme si le réalisateur n'avait pas d'avis ou ne voulait froisser personne. C'est assez décevant. Bon côté quand même: on suit la famille d'Oswald, ce qui est assez intéressant. Pas mal donc, mais aurait pu être mieux.
Réalisé par Peter Landesman
Avec Marcia Gay Harden, Billy Bob Thornton, Paul Giamatti
Genre: Historique, Drame
Durée: 1h34
Synopsis:
22 novembre 1963, 12 h 38. C’est un patient peu ordinaire qui arrive en urgence au Parkland Memorial Hospital de Dallas. Il s’agit du président John F. Kennedy, sur qui on vient de tirer alors qu’il traversait Dealey Plaza en limousine décapotée, acclamé par la foule. Tandis que la nouvelle se répand dans le monde, une page méconnue de l’histoire s’écrit dans cet hôpital qui n’était absolument pas préparé à affronter cet événement. Autour du corps, les questions et les émotions s’accumulent. La pression monte. Proches, anonymes, officiels, tous vont être confrontés à une prise de conscience et à des décisions qui changeront leur vie à jamais…
Critique "presse": 6/10
Un film choral qui retrace les faits des trois jours qui ont suivi l'assassinat de JFK, des services secrets aux infirmiers, des proches et des anonymes; avec l'arrestation et la mort de Lee Harvey Oswald. Si dans la première partie du film, le suspense est bien présent, et la pression monte, on vire peu à peu vers le mélo et le film ne prend pas position.
Ma critique: 6/10
Pareil qu'au-dessus: le film est très bon dans sa première partie, ils retracent les événements qui se sont passés à ce moment-là, et on en apprend pas mal. Le problème, c'est qu'il ne fait que retracer les faits et ne répond pas aux questions qu'on pourrait se poser. Comme si L.H. Oswald avait agi seul. Pourtant, il existe bon nombre de théories, mais là rien, pas de parti pris, comme si le réalisateur n'avait pas d'avis ou ne voulait froisser personne. C'est assez décevant. Bon côté quand même: on suit la famille d'Oswald, ce qui est assez intéressant. Pas mal donc, mais aurait pu être mieux.
vendredi 27 septembre 2013
Blue Jasmine
Date de sortie: 25 septembre 2013
Réalisé par Woody Allen
Avec Alec Baldwin, Cate Blanchett, Sally Hawkins
Genre: Comédie dramatique
Durée: 1h38
Synopsis:
Alors qu’elle voit sa vie voler en éclat et son mariage avec Hal, un homme d’affaire fortuné, battre sérieusement de l’aile, Jasmine quitte son New York raffiné et mondain pour San Francisco et s’installe dans le modeste appartement de sa soeur Ginger afin de remettre de l’ordre dans sa vie.
Critique "presse": 8,5/10
Woody Allen a interrompu sa tournée européenne pour nous livrer cette tragicomédie, bien lui en a pris. Avec "Blue Jasmine", le réalisateur revient au sommet de son art, bien aidé par Cate Blanchett, éblouissante. Elle incarne une Jasmine complexe et torturée, agaçante mais attachante, qui après avoir vécu dans le luxe, revient d'un seul coup à la dure réalité. Les personnages sont certes un peu caricaturaux, mais le portrait de Jasmine est à la fois brillant et sombre. Un très bon Woody Allen.
Ma critique: 6/10
J'ai un avis très partagé sur Woody Allen, certains de ses films sont très bons ("Match Point"), d'autres juste chiants ("Midnight In Paris"), et je ne connais pas trop ses premiers films. Ce qui est sûr, c'est que par rapport à ses derniers, "Blue Jasmine" est un peu mieux, essentiellement grâce à Cate Blanchett, que j'ai adoré détester. Ce portrait d'une femme totalement déconnectée du monde réel qui se prend une vraie claque quand elle revient à la réalité est très bien mis en scène (oui, je me réjouis du malheur des riches). Le problème, c'est qu'une fois la première partie du film passé, quand on a compris quel genre de femme elle est, et pourquoi elle en est arrivée là, et bien ça tourne un peu en rond, ça parle beaucoup (en même temps, du Woody...) et l'idée de départ s'essouffle. Si bien que le film d'1h38 paraît plus long.
Réalisé par Woody Allen
Avec Alec Baldwin, Cate Blanchett, Sally Hawkins
Genre: Comédie dramatique
Durée: 1h38
Synopsis:
Alors qu’elle voit sa vie voler en éclat et son mariage avec Hal, un homme d’affaire fortuné, battre sérieusement de l’aile, Jasmine quitte son New York raffiné et mondain pour San Francisco et s’installe dans le modeste appartement de sa soeur Ginger afin de remettre de l’ordre dans sa vie.
Critique "presse": 8,5/10
Woody Allen a interrompu sa tournée européenne pour nous livrer cette tragicomédie, bien lui en a pris. Avec "Blue Jasmine", le réalisateur revient au sommet de son art, bien aidé par Cate Blanchett, éblouissante. Elle incarne une Jasmine complexe et torturée, agaçante mais attachante, qui après avoir vécu dans le luxe, revient d'un seul coup à la dure réalité. Les personnages sont certes un peu caricaturaux, mais le portrait de Jasmine est à la fois brillant et sombre. Un très bon Woody Allen.
Ma critique: 6/10
J'ai un avis très partagé sur Woody Allen, certains de ses films sont très bons ("Match Point"), d'autres juste chiants ("Midnight In Paris"), et je ne connais pas trop ses premiers films. Ce qui est sûr, c'est que par rapport à ses derniers, "Blue Jasmine" est un peu mieux, essentiellement grâce à Cate Blanchett, que j'ai adoré détester. Ce portrait d'une femme totalement déconnectée du monde réel qui se prend une vraie claque quand elle revient à la réalité est très bien mis en scène (oui, je me réjouis du malheur des riches). Le problème, c'est qu'une fois la première partie du film passé, quand on a compris quel genre de femme elle est, et pourquoi elle en est arrivée là, et bien ça tourne un peu en rond, ça parle beaucoup (en même temps, du Woody...) et l'idée de départ s'essouffle. Si bien que le film d'1h38 paraît plus long.
Players
Date de sortie: 25 septembre 2013
Réalisé par Brad Furman
Avec Justin Timberlake, Ben Affleck, Gemma Arterton
Titre original: "Runner Runner"
Genre: Thriller, Policier
Durée: 1h32
Synopsis:
Richie, étudiant à Princeton, joue au poker en ligne pour payer ses frais de scolarité. Lorsqu'il se retrouve ruiné, persuadé d'avoir été arnaqué, il décide de s'envoler pour le Costa Rica afin de retrouver la trace d'Ivan Block, le créateur du site. Ivan prend Richie sous son aile et l'amène à intégrer son business. Sentant grandir le danger et réalisant les ambitions démesurées de son boss, Richie va tenter de renverser la donne en sa faveur.
Critique "presse": 4/10
Un thriller qui vaut le coup d'oeil pour les acteurs, en particulier la charmante Gemma Arterton. Pour l'originalité par contre, il faudra repasser. A voir pour se divertir, s'il n'y a pas mieux à faire.
Ma critique: 6/10
Un film pas prise de tête, mais sans véritable surprise. L'histoire se déroule comme on l'attendait, les clichés du genre sont au rendez-vous (le héros qui s'amourache de la copine du méchant,... ). On se laisse porter, mais on n'est pas transporté. Les acteurs sont bons, Gemma surtout... C'est rythmé, ça détend, ça fait passer le temps.
Réalisé par Brad Furman
Avec Justin Timberlake, Ben Affleck, Gemma Arterton
Titre original: "Runner Runner"
Genre: Thriller, Policier
Durée: 1h32
Synopsis:
Richie, étudiant à Princeton, joue au poker en ligne pour payer ses frais de scolarité. Lorsqu'il se retrouve ruiné, persuadé d'avoir été arnaqué, il décide de s'envoler pour le Costa Rica afin de retrouver la trace d'Ivan Block, le créateur du site. Ivan prend Richie sous son aile et l'amène à intégrer son business. Sentant grandir le danger et réalisant les ambitions démesurées de son boss, Richie va tenter de renverser la donne en sa faveur.
Critique "presse": 4/10
Un thriller qui vaut le coup d'oeil pour les acteurs, en particulier la charmante Gemma Arterton. Pour l'originalité par contre, il faudra repasser. A voir pour se divertir, s'il n'y a pas mieux à faire.
Ma critique: 6/10
Un film pas prise de tête, mais sans véritable surprise. L'histoire se déroule comme on l'attendait, les clichés du genre sont au rendez-vous (le héros qui s'amourache de la copine du méchant,... ). On se laisse porter, mais on n'est pas transporté. Les acteurs sont bons, Gemma surtout... C'est rythmé, ça détend, ça fait passer le temps.
Riddick
Date de sortie: 18 septembre 2013
Réalisé par David Twohy
Avec Vin Diesel, Katee Sackhoff
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Science fiction, Action
Durée: 1h59
Synopsis:
Riddick a été laissé pour mort sur une planète brûlée qui semble exempte de toute vie. Pourtant, il se retrouve rapidement obligé de lutter pour sa survie contre des prédateurs aliens plus mortels que tous les humains qu’il a affrontés au cours de sa vie. Il trouve un refuge précaire dans une ancienne gare de transit interstellaire désaffectée. La seule façon pour lui de s’en tirer est d’activer une balise d’urgence et d’alerter les mercenaires et autres chasseurs de primes, qui se ruent vers la planète à la recherche de leur proie.
Critique "presse": 5,5/10
"Riddick" est une relecture poussive de "Pitch Black", l'effet de surprise en moins. Un film de série B qui plaira (un peu) aux fans du genre.
Ma critique: 6/10
Le film a un peu de mal à démarrer, le temps de faire le lien entre "Les Chroniques De Riddick" et ce nouvel opus. Mais une fois la machine lancée, on ne s'ennuie pas, même si l'on regrette le manque d'originalité du scénario. Le film est un copié-collé de "Pitch Black", vous remplacez juste les bêbêtes et la nuit par la pluie; pour le reste, c'est un peu pareil en plus musclé. "Pitch Black" était une bonne surprise, "Les Chroniques..." une m... inutile, ce troisième volet redresse la barre, mais n'apporte pas grand chose.
Réalisé par David Twohy
Avec Vin Diesel, Katee Sackhoff
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Science fiction, Action
Durée: 1h59
Synopsis:
Riddick a été laissé pour mort sur une planète brûlée qui semble exempte de toute vie. Pourtant, il se retrouve rapidement obligé de lutter pour sa survie contre des prédateurs aliens plus mortels que tous les humains qu’il a affrontés au cours de sa vie. Il trouve un refuge précaire dans une ancienne gare de transit interstellaire désaffectée. La seule façon pour lui de s’en tirer est d’activer une balise d’urgence et d’alerter les mercenaires et autres chasseurs de primes, qui se ruent vers la planète à la recherche de leur proie.
Critique "presse": 5,5/10
"Riddick" est une relecture poussive de "Pitch Black", l'effet de surprise en moins. Un film de série B qui plaira (un peu) aux fans du genre.
Ma critique: 6/10
Le film a un peu de mal à démarrer, le temps de faire le lien entre "Les Chroniques De Riddick" et ce nouvel opus. Mais une fois la machine lancée, on ne s'ennuie pas, même si l'on regrette le manque d'originalité du scénario. Le film est un copié-collé de "Pitch Black", vous remplacez juste les bêbêtes et la nuit par la pluie; pour le reste, c'est un peu pareil en plus musclé. "Pitch Black" était une bonne surprise, "Les Chroniques..." une m... inutile, ce troisième volet redresse la barre, mais n'apporte pas grand chose.
Les Miller, Une Famille En Herbe
Date de sortie: 18 septembre 2013
Réalisé par Rawson Marshall Thurber
Avec Jennifer Aniston, Jason Sudeikis
Titre original: "We're The Millers"
Genre: Comédie
Durée: 1h50
Synopsis:
David Burke est un dealer à la petite semaine qui se contente de vendre sa marchandise à des chefs cuisiniers et des mamans accompagnant leurs fils au football, mais pas à des ados – car, au fond, il a quand même des principes ! Alors que tout devrait se passer au mieux pour lui, les ennuis s’accumulent… Préférant garder profil bas pour des raisons évidentes, David comprend, à son corps défendant, qu’on peut subir la pire injustice même lorsqu’on est animé des meilleures intentions : tentant de venir en aide à une jeune du quartier, il se fait agresser par trois voyous qui lui volent sa marchandise et son argent. Il se retrouve dans une situation des plus délicates puisqu’il doit désormais rembourser son fournisseur, Brad. Afin d’éponger sa dette – et de rester en vie –, David n’a d’autre choix que de jouer dans la cour des grands en se rendant au Mexique pour ramener une importante cargaison de drogue à Brad. Réussissant à convaincre ses voisins – Rose, une strip-teaseuse cynique, Kenny, qui aimerait bien tester la marchandise et Casey, une ado débrouillarde couverte de tatouages et de piercings – de lui venir en aide, il met au point un plan censé être infaillible : avec ses complices qu’il fait passer pour sa femme et ses deux grands enfants, il met le cap sur le Mexique au volant d’un camping-car flambant neuf le jour de la fête nationale. Ce week-end risque bien d’être explosif…
Critique "presse": 6/10
Une comédie trash, à l'humour politiquement incorrect, comme le font souvent les américains. Si dans l'ensemble, il y a de bonnes idées,quelques gags tombent à plat, et sur la fin, le film à tendance à s'assagir.
Ma critique: 8/10
De très bonnes idées et de très bons gags pour quelques moments hilarants. Le film est rythmé, on ne s'ennuie pas une seconde, l'humour est à tendance trash, comme le font si bien les américains. Les comédiens sont excellents, tout comme les situations et les répliques. Le film faiblit un peu sur la toute fin, mais dans son ensemble, cette comédie est à mettre en haut du panier des comédies US (à côté de "The Hangover" et "Bridesmaids"). Je n'avais pas autant ri devant un film depuis un moment.
Réalisé par Rawson Marshall Thurber
Avec Jennifer Aniston, Jason Sudeikis
Titre original: "We're The Millers"
Genre: Comédie
Durée: 1h50
Synopsis:
David Burke est un dealer à la petite semaine qui se contente de vendre sa marchandise à des chefs cuisiniers et des mamans accompagnant leurs fils au football, mais pas à des ados – car, au fond, il a quand même des principes ! Alors que tout devrait se passer au mieux pour lui, les ennuis s’accumulent… Préférant garder profil bas pour des raisons évidentes, David comprend, à son corps défendant, qu’on peut subir la pire injustice même lorsqu’on est animé des meilleures intentions : tentant de venir en aide à une jeune du quartier, il se fait agresser par trois voyous qui lui volent sa marchandise et son argent. Il se retrouve dans une situation des plus délicates puisqu’il doit désormais rembourser son fournisseur, Brad. Afin d’éponger sa dette – et de rester en vie –, David n’a d’autre choix que de jouer dans la cour des grands en se rendant au Mexique pour ramener une importante cargaison de drogue à Brad. Réussissant à convaincre ses voisins – Rose, une strip-teaseuse cynique, Kenny, qui aimerait bien tester la marchandise et Casey, une ado débrouillarde couverte de tatouages et de piercings – de lui venir en aide, il met au point un plan censé être infaillible : avec ses complices qu’il fait passer pour sa femme et ses deux grands enfants, il met le cap sur le Mexique au volant d’un camping-car flambant neuf le jour de la fête nationale. Ce week-end risque bien d’être explosif…
Critique "presse": 6/10
Une comédie trash, à l'humour politiquement incorrect, comme le font souvent les américains. Si dans l'ensemble, il y a de bonnes idées,quelques gags tombent à plat, et sur la fin, le film à tendance à s'assagir.
Ma critique: 8/10
De très bonnes idées et de très bons gags pour quelques moments hilarants. Le film est rythmé, on ne s'ennuie pas une seconde, l'humour est à tendance trash, comme le font si bien les américains. Les comédiens sont excellents, tout comme les situations et les répliques. Le film faiblit un peu sur la toute fin, mais dans son ensemble, cette comédie est à mettre en haut du panier des comédies US (à côté de "The Hangover" et "Bridesmaids"). Je n'avais pas autant ri devant un film depuis un moment.
No Pain No Gain
Date de sortie: 11 septembre 2013
Réalisé par Michael Bay
Avec Mark Wahlberg, Dwayne Johnson, Ed Harris
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Action, Drame ,Comédie
Durée: 2h09
Synopsis:
À Miami, Daniel Lugo, coach sportif, ferait n’importe quoi pour vivre le « rêve américain » et profiter, comme sa clientèle fortunée, de ce que la vie offre de meilleur : maisons de luxe, voitures de course et filles de rêve… Pour se donner toutes les chances d’y arriver, il dresse un plan simple et (presque) parfait : enlever un de ses plus riches clients et… lui voler sa vie. Il embarque avec lui deux complices, Paul Doyle et Adrian Doorbal, aussi influençables qu’ambitieux. NO PAIN NO GAIN s’inspire de l’histoire incroyable mais vraie de ces trois kidnappeurs amateurs qui, à la recherche d’une vie meilleure, se retrouvent embarqués dans une série d’actes criminels qui dégénèrent rapidement… Rien ne se déroule jamais comme prévu.
Critique "presse": 6/10
Le rêve américain revisité par Michael Bay, c'est kitsch, vulgaire, violent et drôle à la fois. Le style outrancier du réalisateur fonctionne bien ici pour raconter les mésaventures de trois gros bras blindés à la testostérone mais c... comme leurs pieds. Une histoire rocambolesque réjouissante, à l'humour très noir et au second degré assumé. Pas très subtil et inégal, "No Pain No Gain" vaut quand même le détour.
Ma critique: 4/10
Michael Bay change de style, c'est pas mal, mais sans plus, je n'ai pas accroché. Le montage est plutôt mauvais et l'histoire inégale: on suit un personnage, puis un autre, sans que ça se justifie vraiment. De plus, ça ne va pas assez loin dans le second degré. A osciller entre comédie et drame d'action, on ne sait pas trop sur quel pied danser, et le côté humour noir met plus mal à l'aise qu'autre chose. Autre point très négatif, la durée du film: il était possible d'enlever une bonne demi-heure. De bons côtés quand même, une bonne bande-son, des acteurs au top, et voir cette vision du rêve américain, ça reste quand même drôle.
Réalisé par Michael Bay
Avec Mark Wahlberg, Dwayne Johnson, Ed Harris
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Action, Drame ,Comédie
Durée: 2h09
Synopsis:
À Miami, Daniel Lugo, coach sportif, ferait n’importe quoi pour vivre le « rêve américain » et profiter, comme sa clientèle fortunée, de ce que la vie offre de meilleur : maisons de luxe, voitures de course et filles de rêve… Pour se donner toutes les chances d’y arriver, il dresse un plan simple et (presque) parfait : enlever un de ses plus riches clients et… lui voler sa vie. Il embarque avec lui deux complices, Paul Doyle et Adrian Doorbal, aussi influençables qu’ambitieux. NO PAIN NO GAIN s’inspire de l’histoire incroyable mais vraie de ces trois kidnappeurs amateurs qui, à la recherche d’une vie meilleure, se retrouvent embarqués dans une série d’actes criminels qui dégénèrent rapidement… Rien ne se déroule jamais comme prévu.
Critique "presse": 6/10
Le rêve américain revisité par Michael Bay, c'est kitsch, vulgaire, violent et drôle à la fois. Le style outrancier du réalisateur fonctionne bien ici pour raconter les mésaventures de trois gros bras blindés à la testostérone mais c... comme leurs pieds. Une histoire rocambolesque réjouissante, à l'humour très noir et au second degré assumé. Pas très subtil et inégal, "No Pain No Gain" vaut quand même le détour.
Ma critique: 4/10
Michael Bay change de style, c'est pas mal, mais sans plus, je n'ai pas accroché. Le montage est plutôt mauvais et l'histoire inégale: on suit un personnage, puis un autre, sans que ça se justifie vraiment. De plus, ça ne va pas assez loin dans le second degré. A osciller entre comédie et drame d'action, on ne sait pas trop sur quel pied danser, et le côté humour noir met plus mal à l'aise qu'autre chose. Autre point très négatif, la durée du film: il était possible d'enlever une bonne demi-heure. De bons côtés quand même, une bonne bande-son, des acteurs au top, et voir cette vision du rêve américain, ça reste quand même drôle.
lundi 2 septembre 2013
Le Dernier Pub Avant La Fin Du Monde
Date de sortie: 28 août 2013
Réalisé par Edgar Wright
Avec Simon Pegg, Nick Frost, Paddy Considine
Titre original: "The World's End"
Genre: Comédie , Science fiction
Durée: 1h49
Synopsis:
L’histoire débute le 22 juin 1990 dans la petite ville anglaise de Newton Haven : cinq adolescents au comble de l’âge ingrat fêtent la fin des cours en se lançant dans une tournée épique des pubs de la ville. Malgré leur enthousiasme, et avec l’absorption d’un nombre impressionnant de pintes de bière, ils ne parviennent pas à leur but, le dernier pub sur leur liste : The World’s End. Une vingtaine d’années plus tard, nos cinq mousquetaires ont tous quitté leur ville natale et sont devenus des hommes avec femme, enfants et responsabilités, à l’alarmante exception de celui qui fut un temps leur meneur, Gary King, un quarantenaire tirant exagérément sur la corde de son adolescence attardée. L’incorrigible Gary, tristement conscient du décalage qui le sépare aujourd’hui de son meilleur ami d’antan Andy, souhaite coûte que coûte réitérer l’épreuve de leur marathon alcoolisé. Il convainc Andy, Steven, Oliver et Peter de se réunir un vendredi après-midi. Gary est comme un poisson dans l’eau. Le défi : une nuit, cinq potes, douze pubs, avec un minimum d’une pinte chacun par pub...
Critique "presse": 6/10
Une comédie anglaise drôle, qui s'essouffle dès que le côté S-F apparaît. Mais dans l'ensemble, l'équipe de "Shaun Of The Dead" parvient à nous faire passer un agréable moment.
Ma critique: 7/10
Wright, Pegg, Frost ou une équipe que l'on a plaisir à retrouver. Après l'invasion de zombies ("Shaun Of The Dead"), et le bordel mis dans une petite ville tranquille ("Hot Fuzz"), on a ici un cocktail des deux. Une idée originale, avec de très bons gags, un bon rythme. Une parodie des films de genre et un film drôle, pas prise de tête pour un très bon moment, ça change des comédies françaises...
Réalisé par Edgar Wright
Avec Simon Pegg, Nick Frost, Paddy Considine
Titre original: "The World's End"
Genre: Comédie , Science fiction
Durée: 1h49
Synopsis:
L’histoire débute le 22 juin 1990 dans la petite ville anglaise de Newton Haven : cinq adolescents au comble de l’âge ingrat fêtent la fin des cours en se lançant dans une tournée épique des pubs de la ville. Malgré leur enthousiasme, et avec l’absorption d’un nombre impressionnant de pintes de bière, ils ne parviennent pas à leur but, le dernier pub sur leur liste : The World’s End. Une vingtaine d’années plus tard, nos cinq mousquetaires ont tous quitté leur ville natale et sont devenus des hommes avec femme, enfants et responsabilités, à l’alarmante exception de celui qui fut un temps leur meneur, Gary King, un quarantenaire tirant exagérément sur la corde de son adolescence attardée. L’incorrigible Gary, tristement conscient du décalage qui le sépare aujourd’hui de son meilleur ami d’antan Andy, souhaite coûte que coûte réitérer l’épreuve de leur marathon alcoolisé. Il convainc Andy, Steven, Oliver et Peter de se réunir un vendredi après-midi. Gary est comme un poisson dans l’eau. Le défi : une nuit, cinq potes, douze pubs, avec un minimum d’une pinte chacun par pub...
Critique "presse": 6/10
Une comédie anglaise drôle, qui s'essouffle dès que le côté S-F apparaît. Mais dans l'ensemble, l'équipe de "Shaun Of The Dead" parvient à nous faire passer un agréable moment.
Ma critique: 7/10
Wright, Pegg, Frost ou une équipe que l'on a plaisir à retrouver. Après l'invasion de zombies ("Shaun Of The Dead"), et le bordel mis dans une petite ville tranquille ("Hot Fuzz"), on a ici un cocktail des deux. Une idée originale, avec de très bons gags, un bon rythme. Une parodie des films de genre et un film drôle, pas prise de tête pour un très bon moment, ça change des comédies françaises...
Kick-Ass 2
Date de sortie: 21 août 2013
Réalisé par Jeff Wadlow
Avec Aaron Taylor-Johnson, Christopher Mintz-Plasse, Chloë Grace Moretz
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Action, Comédie
Durée: 1h43
Synopsis:
Kick-Ass, Hit Girl et Red Mist sont de retour pour le second volet de l’irrévérencieux pastiche de film de super-héros Kick-Ass 2. L’audace insensée de Kick-Ass a inspiré une pléthore de vengeurs masqués autodidactes, le Colonel Stars & Stripes en tête, auxquels notre héros va s’allier pour patrouiller les rues de la ville et assurer la sécurité générale. Mais quand Red Mist, réincarné en Mother Fucker, décide de s’attaquer à ces super-héros amateurs, seuls les sabres acérés de Hit Girl sauront les sauver de la destruction.
Critique "presse": 4/10
Suite poussive qui n'arrive pas à renouveler la surprise du premier opus. Mise en scène bancale pour un film plus violent, plus drôle (ou plutôt plus lourdingue dans l'humour) que le premier, "Kick-Ass 2" reste un divertissement estival moyen.
Ma critique: 7/10
Là où le premier oscillait entre réel et irréel (Kick-Ass qui se fait poignarder et une ado capable de casser la figure à tout un gang), le deuxième est pareil, mais en dix fois plus. Du coup, on y croit moins (un père et une mère de famille qui se battent contre des gangsters, mouais?). Et là où le film aurait dû plonger petit à petit dans un univers dark (comme le comic), il y a toujours une blague potache pas drôle qui vient gâcher tout ça. Cette variation drame/comédie est nettement moins bien mise en scène que dans le premier opus. Il aurait mieux valu mettre en avant le côté drame et action du film, quitte à ce qu'il soit interdit au moins de 16 ans. Le potentiel du film n'est donc pas totalement exploité, certaines scènes n'apportent rien au film et la façon de filmer est aussi un peu gênante (beaucoup de gros plans), mais dans l'ensemble, on retrouve quand même l'univers du premier, le rythme est bon et ça reste un bon divertissement.
Réalisé par Jeff Wadlow
Avec Aaron Taylor-Johnson, Christopher Mintz-Plasse, Chloë Grace Moretz
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Action, Comédie
Durée: 1h43
Synopsis:
Kick-Ass, Hit Girl et Red Mist sont de retour pour le second volet de l’irrévérencieux pastiche de film de super-héros Kick-Ass 2. L’audace insensée de Kick-Ass a inspiré une pléthore de vengeurs masqués autodidactes, le Colonel Stars & Stripes en tête, auxquels notre héros va s’allier pour patrouiller les rues de la ville et assurer la sécurité générale. Mais quand Red Mist, réincarné en Mother Fucker, décide de s’attaquer à ces super-héros amateurs, seuls les sabres acérés de Hit Girl sauront les sauver de la destruction.
Critique "presse": 4/10
Suite poussive qui n'arrive pas à renouveler la surprise du premier opus. Mise en scène bancale pour un film plus violent, plus drôle (ou plutôt plus lourdingue dans l'humour) que le premier, "Kick-Ass 2" reste un divertissement estival moyen.
Ma critique: 7/10
Là où le premier oscillait entre réel et irréel (Kick-Ass qui se fait poignarder et une ado capable de casser la figure à tout un gang), le deuxième est pareil, mais en dix fois plus. Du coup, on y croit moins (un père et une mère de famille qui se battent contre des gangsters, mouais?). Et là où le film aurait dû plonger petit à petit dans un univers dark (comme le comic), il y a toujours une blague potache pas drôle qui vient gâcher tout ça. Cette variation drame/comédie est nettement moins bien mise en scène que dans le premier opus. Il aurait mieux valu mettre en avant le côté drame et action du film, quitte à ce qu'il soit interdit au moins de 16 ans. Le potentiel du film n'est donc pas totalement exploité, certaines scènes n'apportent rien au film et la façon de filmer est aussi un peu gênante (beaucoup de gros plans), mais dans l'ensemble, on retrouve quand même l'univers du premier, le rythme est bon et ça reste un bon divertissement.
jeudi 22 août 2013
Elysium
Date de sortie: 14 août 2013
Réalisé par Neill Blomkamp
Avec Matt Damon, Jodie Foster, Sharlto Copley
Avertsissement
Genre: Science fiction, Action
Durée: 1h50
Synopsis:
En 2154, il existe deux catégories de personnes : ceux très riches, qui vivent sur la parfaite station spatiale crée par les hommes appelée Elysium, et les autres, ceux qui vivent sur la Terre devenue surpeuplée et ruinée. La population de la Terre tente désespérément d’échapper aux crimes et à la pauvreté qui ne cessent de se propager. Max, un homme ordinaire pour qui rejoindre Elysium est plus que vital, est la seule personne ayant une chance de rétablir l’égalité entre ces deux mondes. Alors que sa vie ne tient plus qu’à un fil, il hésite à prendre part à cette mission des plus dangereuses - s’élever contre la Secrétaire Delacourt et ses forces armées – mais s’il réussit, il pourra sauver non seulement sa vie mais aussi celle de millions de personnes sur Terre.
Critique "presse": 5,5/10
Comme pour "District 9" (l'apartheid chez les extraterrestres), Neil Blomkamp dénonce les maux de notre monde. Mais si "Elysium" se veut un film d'anticipation sur la lutte des classes, le propos est noyé sous un film d'action, entre avalanche d'effets spéciaux, caricature des personnages, clichés dans l'histoire, et le film finit par faire preuve d'un certain manichéisme. L'univers futuriste est réaliste et visuellement réussi, mais au final, "Elysium" manque d'enjeux et le message dénonciateur perd en importance. Un blockbuster moyen, un de plus cette année...
Ma critique: 4/10
"Elysium", au départ, c'est un peu une dénonciation de notre monde: nous, les riches dans notre bulle (sur la station Elysium) sans se soucier des malheurs du Tiers-Monde (la Terre). L'idée était sympa, et si elle avait été bien traitée, le film aurait vraiment pu être dénonciateur et mettre mal à l'aise. Mais il n'en est rien, on a juste droit à un bête film d'action. Personnages caricaturaux, jeux d'acteurs (Jodie Foster en tête) plus que moyens, nombreux clichés, invraisemblances dans le scénario. Le film ne décolle jamais (Matt Damon arrive sur Elysium dans la dernière demi-heure). Bref, pour son deuxième film, l'essai n'est pas transformé.
Réalisé par Neill Blomkamp
Avec Matt Damon, Jodie Foster, Sharlto Copley
Avertsissement
Genre: Science fiction, Action
Durée: 1h50
Synopsis:
En 2154, il existe deux catégories de personnes : ceux très riches, qui vivent sur la parfaite station spatiale crée par les hommes appelée Elysium, et les autres, ceux qui vivent sur la Terre devenue surpeuplée et ruinée. La population de la Terre tente désespérément d’échapper aux crimes et à la pauvreté qui ne cessent de se propager. Max, un homme ordinaire pour qui rejoindre Elysium est plus que vital, est la seule personne ayant une chance de rétablir l’égalité entre ces deux mondes. Alors que sa vie ne tient plus qu’à un fil, il hésite à prendre part à cette mission des plus dangereuses - s’élever contre la Secrétaire Delacourt et ses forces armées – mais s’il réussit, il pourra sauver non seulement sa vie mais aussi celle de millions de personnes sur Terre.
Critique "presse": 5,5/10
Comme pour "District 9" (l'apartheid chez les extraterrestres), Neil Blomkamp dénonce les maux de notre monde. Mais si "Elysium" se veut un film d'anticipation sur la lutte des classes, le propos est noyé sous un film d'action, entre avalanche d'effets spéciaux, caricature des personnages, clichés dans l'histoire, et le film finit par faire preuve d'un certain manichéisme. L'univers futuriste est réaliste et visuellement réussi, mais au final, "Elysium" manque d'enjeux et le message dénonciateur perd en importance. Un blockbuster moyen, un de plus cette année...
Ma critique: 4/10
"Elysium", au départ, c'est un peu une dénonciation de notre monde: nous, les riches dans notre bulle (sur la station Elysium) sans se soucier des malheurs du Tiers-Monde (la Terre). L'idée était sympa, et si elle avait été bien traitée, le film aurait vraiment pu être dénonciateur et mettre mal à l'aise. Mais il n'en est rien, on a juste droit à un bête film d'action. Personnages caricaturaux, jeux d'acteurs (Jodie Foster en tête) plus que moyens, nombreux clichés, invraisemblances dans le scénario. Le film ne décolle jamais (Matt Damon arrive sur Elysium dans la dernière demi-heure). Bref, pour son deuxième film, l'essai n'est pas transformé.
Insaisissables
Date de sortie: 31 juillet 2013
Réalisé par Louis Leterrier
Avec Jesse Eisenberg, Mark Ruffalo, Woody Harrelson
Titre original: "Now You See Me"
Genre: Thriller , Policier
Durée: 1h56
Synopsis:
« Les Quatre Cavaliers », un groupe de brillants magiciens et illusionnistes, viennent de donner deux spectacles de magie époustouflants : le premier en braquant une banque sur un autre continent, le deuxième en transférant la fortune d’un banquier véreux sur les comptes en banque du public. Deux agents spéciaux du FBI et d’Interpol sont déterminés à les arrêter avant qu’ils ne mettent à exécution leur promesse de réaliser des braquages encore plus audacieux. Ils font appel à Thaddeus, spécialiste reconnu pour expliquer les tours de magie les plus sophistiqués. Alors que la pression s’intensifie, et que le monde entier attend le spectaculaire tour final des Cavaliers, la course contre la montre commence.
Critique "presse": 4,5/10
Un divertissement qui vaut surtout le détour pour le casting. Mais si les tours de magie sont impressionnants, la mise en scène l'est nettement moins. Si bien qu'à la fin, que ce soit les cascades ou les révélations, tout frôle le ridicule.
Ma critique: 5/10
Le film commence bien, on s'attache aux magiciens, et on a envie de savoir comment ils font. Le problème, c'est qu'à partir du moment où on apprend comment ils font, on ne s'intéresse plus à eux, mais aux policiers qui les poursuivent et essaient en vain de les arrêter. Le film se suit bien quand même, on a envie de savoir pourquoi ils font ça. Malheureusement, dans la deuxième partie, plus qu' "Insaisissables", c'est Invraisemblable! Plus rien n'est crédible, et j'ai fini par décrocher. Et le pourquoi du comment ils font ça, avec son lot de révélations, est aussi nul qu'inattendu. Alors on a la réponse à "comment ils font leurs tours de magie?", mais à la question "Pourquoi ils font ça, quel est leur but?", on n'en sait rien. Rajouter à ça une histoire d'amour secondaire, plate et inutile, et vous obtenez un film quelconque, divertissant, mais sans plus.
Réalisé par Louis Leterrier
Avec Jesse Eisenberg, Mark Ruffalo, Woody Harrelson
Titre original: "Now You See Me"
Genre: Thriller , Policier
Durée: 1h56
Synopsis:
« Les Quatre Cavaliers », un groupe de brillants magiciens et illusionnistes, viennent de donner deux spectacles de magie époustouflants : le premier en braquant une banque sur un autre continent, le deuxième en transférant la fortune d’un banquier véreux sur les comptes en banque du public. Deux agents spéciaux du FBI et d’Interpol sont déterminés à les arrêter avant qu’ils ne mettent à exécution leur promesse de réaliser des braquages encore plus audacieux. Ils font appel à Thaddeus, spécialiste reconnu pour expliquer les tours de magie les plus sophistiqués. Alors que la pression s’intensifie, et que le monde entier attend le spectaculaire tour final des Cavaliers, la course contre la montre commence.
Critique "presse": 4,5/10
Un divertissement qui vaut surtout le détour pour le casting. Mais si les tours de magie sont impressionnants, la mise en scène l'est nettement moins. Si bien qu'à la fin, que ce soit les cascades ou les révélations, tout frôle le ridicule.
Ma critique: 5/10
Le film commence bien, on s'attache aux magiciens, et on a envie de savoir comment ils font. Le problème, c'est qu'à partir du moment où on apprend comment ils font, on ne s'intéresse plus à eux, mais aux policiers qui les poursuivent et essaient en vain de les arrêter. Le film se suit bien quand même, on a envie de savoir pourquoi ils font ça. Malheureusement, dans la deuxième partie, plus qu' "Insaisissables", c'est Invraisemblable! Plus rien n'est crédible, et j'ai fini par décrocher. Et le pourquoi du comment ils font ça, avec son lot de révélations, est aussi nul qu'inattendu. Alors on a la réponse à "comment ils font leurs tours de magie?", mais à la question "Pourquoi ils font ça, quel est leur but?", on n'en sait rien. Rajouter à ça une histoire d'amour secondaire, plate et inutile, et vous obtenez un film quelconque, divertissant, mais sans plus.
mercredi 7 août 2013
The Lone Ranger
Date de sortie: 7 août 2013
Réalisé par Gore Verbinski
Avec Johnny Depp, Armie Hammer, Tom Wilkinson
Genre: Aventure, Western
Durée: 2h29
Synopsis: Tonto, le guerrier indien, raconte comment John Reid, un ancien défenseur de la loi, est devenu un justicier légendaire. Ces deux héros à part vont devoir apprendre à faire équipe pour affronter le pire de la cupidité et de la corruption. Le tandem fait des étincelles et entraîne le public dans un tourbillon de surprises et d’humour.
Critique "presse": 7/10
Entre western et comédie, un film à grand spectacle qui reprend toutes les idées des westerns en un seul (ruée vers l'or, chemin de fer, cavalerie, texas rangers, indiens...). C'est divertissant, le second degré est assumé, mais la surenchère d'effets pyrotechniques, dans la dernière demi-heure notamment, énerve plus qu'autre chose.
Ma critique: 4/10
Un film inégal, beaucoup trop long. Si la première partie est bonne, que l'histoire prend bien (trop) le temps de se mettre en place et qu'on profite pleinement des superbes paysages de l'Ouest américain, la deuxième partie est une surenchère d'actions, d'effets spéciaux, de scènes trop longues. Et surtout, le gros problème du film, c'est qu'on ne sait pas trop sur quel pied danser: est-ce que c'est un divertissement familial type "Pirates Des Caraïbes" ou un western noir? Je m'explique. D'un côté on a donc Johnny Depp qui fait ses blagues, ses mimiques, on a des courses-poursuites spectaculaires et improbables sur une musique agaçante; et de l'autre côté, ça dénonce les pratiques de l'homme blanc à cette époque (faire le maximum de profits et exterminer les indiens). Du coup, ça fait un peu bizarre d'avoir une scène qui se veut (sans réussir à chaque fois) drôle, et juste après on voit les indiens se faire massacrer. Alors divertissement ou film dénonciateur? Car là, le combo des deux, pour moi, ça ne fonctionne pas, il valait mieux faire un choix. Et pour un film Disney, autant de morts, c'est assez surprenant. Rajoutons à ça des personnages secondaires mal exploités, et cette idée de flash-backs, où Tonto vieux nous raconte l'histoire du "Lone Ranger" est un procédé aussi chiant qu'inutile dans ce cas présent. L'idée était là, mais le traitement doit être revu.
Réalisé par Gore Verbinski
Avec Johnny Depp, Armie Hammer, Tom Wilkinson
Genre: Aventure, Western
Durée: 2h29
Synopsis: Tonto, le guerrier indien, raconte comment John Reid, un ancien défenseur de la loi, est devenu un justicier légendaire. Ces deux héros à part vont devoir apprendre à faire équipe pour affronter le pire de la cupidité et de la corruption. Le tandem fait des étincelles et entraîne le public dans un tourbillon de surprises et d’humour.
Critique "presse": 7/10
Entre western et comédie, un film à grand spectacle qui reprend toutes les idées des westerns en un seul (ruée vers l'or, chemin de fer, cavalerie, texas rangers, indiens...). C'est divertissant, le second degré est assumé, mais la surenchère d'effets pyrotechniques, dans la dernière demi-heure notamment, énerve plus qu'autre chose.
Ma critique: 4/10
Un film inégal, beaucoup trop long. Si la première partie est bonne, que l'histoire prend bien (trop) le temps de se mettre en place et qu'on profite pleinement des superbes paysages de l'Ouest américain, la deuxième partie est une surenchère d'actions, d'effets spéciaux, de scènes trop longues. Et surtout, le gros problème du film, c'est qu'on ne sait pas trop sur quel pied danser: est-ce que c'est un divertissement familial type "Pirates Des Caraïbes" ou un western noir? Je m'explique. D'un côté on a donc Johnny Depp qui fait ses blagues, ses mimiques, on a des courses-poursuites spectaculaires et improbables sur une musique agaçante; et de l'autre côté, ça dénonce les pratiques de l'homme blanc à cette époque (faire le maximum de profits et exterminer les indiens). Du coup, ça fait un peu bizarre d'avoir une scène qui se veut (sans réussir à chaque fois) drôle, et juste après on voit les indiens se faire massacrer. Alors divertissement ou film dénonciateur? Car là, le combo des deux, pour moi, ça ne fonctionne pas, il valait mieux faire un choix. Et pour un film Disney, autant de morts, c'est assez surprenant. Rajoutons à ça des personnages secondaires mal exploités, et cette idée de flash-backs, où Tonto vieux nous raconte l'histoire du "Lone Ranger" est un procédé aussi chiant qu'inutile dans ce cas présent. L'idée était là, mais le traitement doit être revu.
RIPD: Brigade Fantôme
Date de sortie: 31 juillet 2013
Réalisé par Robert Schwentke
Avec Jeff Bridges, Ryan Reynolds, Kevin Bacon
Genre: Action, Comédie
Durée: 1h36
Synopsis:
Le shérif Roy Pulsifer est un vétéran du R.I.P.D. (Rest IN Peace Department), dédié à la traque d’âmes belliqueuses se faisant passer pour des citoyens ordinaires. Sa mission : appréhender les criminels qui tentent d’échapper au Jugement Dernier en se dissimulant parmi les vivants. L’irascible et indiscipliné Roy se voit assigner comme nouveau coéquipier feu Nick Walker, un jeune policier de Boston récemment défunt. Les deux «hommes» vont devoir ravaler leur antipathie respective pour mener à bien leur mission. Quand ils découvrent un complot susceptible de mettre fin à la vie telle que nous l’avons toujours connue, les deux cracks du R.I.P.D. n’ont qu’une option : rétablir l’équilibre cosmique pour que le tunnel qui mène vers l’au-delà ne remplisse pas soudain la fonction inverse et ne précipite pas l’avènement des morts.
Critique "presse": 4/10
Un comédie fantastique sans originalité, qui n'a pas été montrée à la presse, ce qui veut un peut tout dire...
Ma critique: 3/10
Sans être originale, l'histoire se suit sans trop de problèmes. Mais ce qui fait qu'on n'accroche pas, c'est le reste: des blagues qui tombent à plat, Ryan Reynolds fade, Jeff Bridges qui en fait trop. C'est caricatural, pas drôle, avec des effets spéciaux plus que moyen, et c'est à peine divertissant. Pour moi, c'est un film qui aurait mérité directement une sortie DVD. Le genre de nanards qu'on regarde entre potes un samedi soir pour une soirée à thèmes (mais en fin de soirée quand tout le monde est fatigué).
Réalisé par Robert Schwentke
Avec Jeff Bridges, Ryan Reynolds, Kevin Bacon
Genre: Action, Comédie
Durée: 1h36
Synopsis:
Le shérif Roy Pulsifer est un vétéran du R.I.P.D. (Rest IN Peace Department), dédié à la traque d’âmes belliqueuses se faisant passer pour des citoyens ordinaires. Sa mission : appréhender les criminels qui tentent d’échapper au Jugement Dernier en se dissimulant parmi les vivants. L’irascible et indiscipliné Roy se voit assigner comme nouveau coéquipier feu Nick Walker, un jeune policier de Boston récemment défunt. Les deux «hommes» vont devoir ravaler leur antipathie respective pour mener à bien leur mission. Quand ils découvrent un complot susceptible de mettre fin à la vie telle que nous l’avons toujours connue, les deux cracks du R.I.P.D. n’ont qu’une option : rétablir l’équilibre cosmique pour que le tunnel qui mène vers l’au-delà ne remplisse pas soudain la fonction inverse et ne précipite pas l’avènement des morts.
Critique "presse": 4/10
Un comédie fantastique sans originalité, qui n'a pas été montrée à la presse, ce qui veut un peut tout dire...
Ma critique: 3/10
Sans être originale, l'histoire se suit sans trop de problèmes. Mais ce qui fait qu'on n'accroche pas, c'est le reste: des blagues qui tombent à plat, Ryan Reynolds fade, Jeff Bridges qui en fait trop. C'est caricatural, pas drôle, avec des effets spéciaux plus que moyen, et c'est à peine divertissant. Pour moi, c'est un film qui aurait mérité directement une sortie DVD. Le genre de nanards qu'on regarde entre potes un samedi soir pour une soirée à thèmes (mais en fin de soirée quand tout le monde est fatigué).
mercredi 31 juillet 2013
Wolverine: Le Combat De L'Immortel
Date de sortie: 24 juillet 2013
Réalisé par James Mangold Avec Hugh Jackman, Tao Okamoto, Rila Fukushima
Avertissement
Genre: Action , Fantastique
Durée: 2h06
Synopsis:
Wolverine, le personnage le plus emblématique de l’univers des X-Men, est entraîné dans une aventure ultime au cœur du Japon contemporain. Plongé dans un monde qu’il ne connaît pas, il doit faire face au seul ennemi de son envergure, dans une bataille à la vie à la mort. Vulnérable pour la première fois et poussé au bout de ses limites physiques et émotionnelles, Wolverine affrontera non seulement l’acier mortel du samouraï mais aussi les questions liées à sa propre immortalité.
Critique "presse": 5/10
Un blockbuster qui ne mise pas tout sur le spectaculaire, contrairement à certains de ses concurrents de l'été, et qui se penche d'avantage sur l'intimité et la vulnérabilité du super-héros. Malheureusement, le scénario est bancal, et le scènes d'émotions sont poussives. Si certains y verront une série B de samouraïs, d'autres y verront juste un film qui ne remplit pas son cahier des charges.
Ma critique: 4/10
Des scènes d'actions qui peinent à décoller (hormis celle du train), de l'émotion recherchée mais pas trouvée, un manque d'humour, un scénario sans intérêt et sans véritable rapport avec l'univers des X-Men, et des rebondissements un peu nazes. Rajoutons à ça des comédiens japonais qui parlent anglais, ce qui donne droit à un jeu mauvais et un peu ridicule. Bref, un des plus mauvais blockbuster de l'été, qui vaut surtout le détour pour la scène de fin, qui annonce le "X-Men: Days Of Future Past".
Réalisé par James Mangold Avec Hugh Jackman, Tao Okamoto, Rila Fukushima
Avertissement
Genre: Action , Fantastique
Durée: 2h06
Synopsis:
Wolverine, le personnage le plus emblématique de l’univers des X-Men, est entraîné dans une aventure ultime au cœur du Japon contemporain. Plongé dans un monde qu’il ne connaît pas, il doit faire face au seul ennemi de son envergure, dans une bataille à la vie à la mort. Vulnérable pour la première fois et poussé au bout de ses limites physiques et émotionnelles, Wolverine affrontera non seulement l’acier mortel du samouraï mais aussi les questions liées à sa propre immortalité.
Critique "presse": 5/10
Un blockbuster qui ne mise pas tout sur le spectaculaire, contrairement à certains de ses concurrents de l'été, et qui se penche d'avantage sur l'intimité et la vulnérabilité du super-héros. Malheureusement, le scénario est bancal, et le scènes d'émotions sont poussives. Si certains y verront une série B de samouraïs, d'autres y verront juste un film qui ne remplit pas son cahier des charges.
Ma critique: 4/10
Des scènes d'actions qui peinent à décoller (hormis celle du train), de l'émotion recherchée mais pas trouvée, un manque d'humour, un scénario sans intérêt et sans véritable rapport avec l'univers des X-Men, et des rebondissements un peu nazes. Rajoutons à ça des comédiens japonais qui parlent anglais, ce qui donne droit à un jeu mauvais et un peu ridicule. Bref, un des plus mauvais blockbuster de l'été, qui vaut surtout le détour pour la scène de fin, qui annonce le "X-Men: Days Of Future Past".
vendredi 26 juillet 2013
Pacific Rim
Date de sortie: 17 juillet 2013
Réalisé par Guillermo del Toro
Avec Charlie Hunnam, Idris Elba, Rinko Kikuchi
Genre: Action , Aventure
Durée: 2h10
Synopsis:
Surgies des flots, des hordes de créatures monstrueuses venues d’ailleurs, les «Kaiju», ont déclenché une guerre qui a fait des millions de victimes et épuisé les ressources naturelles de l’humanité pendant des années. Pour les combattre, une arme d’un genre nouveau a été mise au point : de gigantesques robots, les «Jaegers», contrôlés simultanément par deux pilotes qui communiquent par télépathie grâce à une passerelle neuronale baptisée le «courant». Mais même les Jaegers semblent impuissants face aux redoutables Kaiju. Alors que la défaite paraît inéluctable, les forces armées qui protègent l’humanité n’ont d’autre choix que d’avoir recours à deux héros hors normes : un ancien pilote au bout du rouleau et une jeune femme en cours d’entraînement qui font équipe pour manoeuvrer un Jaeger d’apparence obsolète. Ensemble, ils incarnent désormais le dernier rempart de l’humanité contre une apocalypse de plus en plus imminente…
Critique "presse": 7/10
Le film raconte la guerre entre les Jaegers et les Kaiju, et toutes les scènes de combat sont impressionnantes. Visuellement magnifique grâce à une bonne 3D et des effets spéciaux extraordinaires, on assiste à une orgie pyrotechnique de premier plan. Mais dès qu'on quitte les scènes de combats, le film retombe comme un soufflet, l'histoire est trop classique, et les personnages n'ont aucune consistance. Un très bon divertissement visuel, rien de plus.
Ma critique: 6/10
Alors pour commencer, le premier quart d'heure pourrait être un film à lui tout seul. Une voix-off nous explique que les monstres sont là depuis un moment, que les humains ont créés les robots pour les anéantir, et que ça marche plus ou moins bien... Et à la fin de ce "premier film", (attention spoiler!), le frère de notre héros meurt, mais on s'en fout un peu, on n'a pas eu le temps de s'y attacher. Et là commence véritablement le film, qui vaut sans conseste le détour pour les effets spéciaux, et toute les scènes de combats vraiment impressionnantes ("Man Of Steel" à côté, c'est pas ouf et on prenait pourtant déjà plein la gu...), mais hormis les combats, on s'emmerde un peu. L'histoire n'est absolument pas original, bourrée de clichés (le militaire sur le retour qui est le dernier espoir de la Terre, sa coéquipière qui ne doit pas se battre mais qui finalement se bat, l'autre militaire un peu con, mais qui finit par se sacrifier, et le général qui mourra s'il remonte à bord d'un Jaeger ..., les deux scientifiques excentriques qui ne s'entendent pas mais font quand même la paire) si bien que ça en est ridicule. Les acteurs n'arrangent rien, le jeu étant réduit à la plus simple expression, et on ne s'accroche pas du tout à eux. Si Del Toro avait divisé cette histoire en deux films comme il aurait pu le faire, on aurait plus pu s'attacher aux persos, mais bon les enjeux du film ne reposent clairement pas là. La règle pour voir le film, laisser son cerveau à l'entrée de la salle, et ouvrir grand ses yeux. Si jamais vous faîtes le contraire, vous risquez d'être déçus.
Réalisé par Guillermo del Toro
Avec Charlie Hunnam, Idris Elba, Rinko Kikuchi
Genre: Action , Aventure
Durée: 2h10
Synopsis:
Surgies des flots, des hordes de créatures monstrueuses venues d’ailleurs, les «Kaiju», ont déclenché une guerre qui a fait des millions de victimes et épuisé les ressources naturelles de l’humanité pendant des années. Pour les combattre, une arme d’un genre nouveau a été mise au point : de gigantesques robots, les «Jaegers», contrôlés simultanément par deux pilotes qui communiquent par télépathie grâce à une passerelle neuronale baptisée le «courant». Mais même les Jaegers semblent impuissants face aux redoutables Kaiju. Alors que la défaite paraît inéluctable, les forces armées qui protègent l’humanité n’ont d’autre choix que d’avoir recours à deux héros hors normes : un ancien pilote au bout du rouleau et une jeune femme en cours d’entraînement qui font équipe pour manoeuvrer un Jaeger d’apparence obsolète. Ensemble, ils incarnent désormais le dernier rempart de l’humanité contre une apocalypse de plus en plus imminente…
Critique "presse": 7/10
Le film raconte la guerre entre les Jaegers et les Kaiju, et toutes les scènes de combat sont impressionnantes. Visuellement magnifique grâce à une bonne 3D et des effets spéciaux extraordinaires, on assiste à une orgie pyrotechnique de premier plan. Mais dès qu'on quitte les scènes de combats, le film retombe comme un soufflet, l'histoire est trop classique, et les personnages n'ont aucune consistance. Un très bon divertissement visuel, rien de plus.
Ma critique: 6/10
Alors pour commencer, le premier quart d'heure pourrait être un film à lui tout seul. Une voix-off nous explique que les monstres sont là depuis un moment, que les humains ont créés les robots pour les anéantir, et que ça marche plus ou moins bien... Et à la fin de ce "premier film", (attention spoiler!), le frère de notre héros meurt, mais on s'en fout un peu, on n'a pas eu le temps de s'y attacher. Et là commence véritablement le film, qui vaut sans conseste le détour pour les effets spéciaux, et toute les scènes de combats vraiment impressionnantes ("Man Of Steel" à côté, c'est pas ouf et on prenait pourtant déjà plein la gu...), mais hormis les combats, on s'emmerde un peu. L'histoire n'est absolument pas original, bourrée de clichés (le militaire sur le retour qui est le dernier espoir de la Terre, sa coéquipière qui ne doit pas se battre mais qui finalement se bat, l'autre militaire un peu con, mais qui finit par se sacrifier, et le général qui mourra s'il remonte à bord d'un Jaeger ..., les deux scientifiques excentriques qui ne s'entendent pas mais font quand même la paire) si bien que ça en est ridicule. Les acteurs n'arrangent rien, le jeu étant réduit à la plus simple expression, et on ne s'accroche pas du tout à eux. Si Del Toro avait divisé cette histoire en deux films comme il aurait pu le faire, on aurait plus pu s'attacher aux persos, mais bon les enjeux du film ne reposent clairement pas là. La règle pour voir le film, laisser son cerveau à l'entrée de la salle, et ouvrir grand ses yeux. Si jamais vous faîtes le contraire, vous risquez d'être déçus.
The East
Date de sortie: 10 juillet 2013
Réalisé par Zal Batmanglij
Avec Brit Marling, Alexander Skarsgård, Ellen Page
Genre: Thriller
Durée: 1h57
Synopsis:
Ancien agent du FBI, Sarah Moss travaille désormais pour une agence de renseignement privée qui protège les intérêts de puissants hommes d’affaires. Elle reçoit pour mission d’infiltrer The East, un mystérieux groupuscule éco-terroriste qui s’attaque aux multinationales coupables de dissimuler leurs agissements criminels.
Déterminée, ultra entraînée, Sarah parvient à s’intégrer au groupe malgré leur méfiance, et doit même participer à leur prochaine action. Mais plus elle vit avec les membres passionnés de The East, en particulier Benji, l’anarchiste, plus elle se sent écartelée entre les deux mondes et s’interroge sur elle-même…
Critique "presse": 6/10
Entre le thriller écologique et le mélo romantique, un film avec un bon sujet de fond et d'actualité, mais qui manque de radicalité et se montre parfois naïf, notamment sur la fin.
Ma critique: 6/10
Un sujet original, bien traité, qui prête à réflexion. Quel meilleur moyen pour ce groupuscule que de se faire entendre en retournant les agissements des multinationales contre elles-mêmes? Tout le côté thriller est bien géré, c'est le reste qui déçoit un peu. Les personnages sont un peu caricaturaux: si les membres du groupuscule sont là, c'est qu'il leur est arrivé quelque chose d'affreux, ça justifie leurs actes (l'un a perdu ses parents, l'autre est malade...) et la romance qui s'installe entre le chef du groupe et l'agent infiltré n'a vraiment rien d'original. La fin m'a laissée sur ma faim: tout ne finit pas bien, mais tout ne finit pas mal, j'ai trouvé ça un peu bâclé, et ça manquait de prise de position. Pas mal dans l'ensemble, mais aurait pu être mieux.
Réalisé par Zal Batmanglij
Avec Brit Marling, Alexander Skarsgård, Ellen Page
Genre: Thriller
Durée: 1h57
Synopsis:
Ancien agent du FBI, Sarah Moss travaille désormais pour une agence de renseignement privée qui protège les intérêts de puissants hommes d’affaires. Elle reçoit pour mission d’infiltrer The East, un mystérieux groupuscule éco-terroriste qui s’attaque aux multinationales coupables de dissimuler leurs agissements criminels.
Déterminée, ultra entraînée, Sarah parvient à s’intégrer au groupe malgré leur méfiance, et doit même participer à leur prochaine action. Mais plus elle vit avec les membres passionnés de The East, en particulier Benji, l’anarchiste, plus elle se sent écartelée entre les deux mondes et s’interroge sur elle-même…
Critique "presse": 6/10
Entre le thriller écologique et le mélo romantique, un film avec un bon sujet de fond et d'actualité, mais qui manque de radicalité et se montre parfois naïf, notamment sur la fin.
Ma critique: 6/10
Un sujet original, bien traité, qui prête à réflexion. Quel meilleur moyen pour ce groupuscule que de se faire entendre en retournant les agissements des multinationales contre elles-mêmes? Tout le côté thriller est bien géré, c'est le reste qui déçoit un peu. Les personnages sont un peu caricaturaux: si les membres du groupuscule sont là, c'est qu'il leur est arrivé quelque chose d'affreux, ça justifie leurs actes (l'un a perdu ses parents, l'autre est malade...) et la romance qui s'installe entre le chef du groupe et l'agent infiltré n'a vraiment rien d'original. La fin m'a laissée sur ma faim: tout ne finit pas bien, mais tout ne finit pas mal, j'ai trouvé ça un peu bâclé, et ça manquait de prise de position. Pas mal dans l'ensemble, mais aurait pu être mieux.
mercredi 17 juillet 2013
Monstres Academy
Date de sortie: 10 juillet 2013
Réalisé par Dan Scanlon
Avec Billy Crystal, John Goodman
Titre original: "Monsters University"
Genre: Animation, Famille
Durée: 1h44
Synopsis:
Même quand il n’était qu’un tout petit monstre, Bob Razowski rêvait déjà de devenir une Terreur. Aujourd’hui, il est enfin en première année à la prestigieuse université Monstres Academy, où sont formées les meilleures Terreurs. Son plan de carrière bien préparé est pourtant menacé par sa rencontre avec James P. Sullivan, dit Sulli, un vrai crack qui a un don naturel pour Terrifier. Aveuglés par leur désir de se prouver l’un à l’autre qu’ils sont imbattables, tous deux finissent par se faire renvoyer de l’université. Pire encore : ils se rendent compte que s’ils veulent que les choses aient une chance de rentrer dans l’ordre, ils vont devoir travailler ensemble, et avec un petit groupe de monstres bizarres et mal assortis…
Critique "presse": 7/10
Hormis l'effet de surprise qui n'opère plus, ce préquel (plutôt qu'une suite) est une réussite. Sans être vraiment original (le film reprend les ficelles d'un film de campus), le film n'en reste pas moins un très bon divertissement familial. Rythmé, très drôle, et visuellement monstrueux, un film dans la lignée des Pixar.
Ma critique: 8/10
J'aime beaucoup les films d'animations (je suis resté un grand enfant) et les teen-movie (je suis resté un grand adolescent), ce film regroupe les deux. Tout était fait pour passer un bon moment, et c'est réussi. Très drôle, bourré de trouvailles, de références et de rebondissements. Rien à redire: un excellent moment. J'ai préféré au premier, qui était plus porté sur les bons sentiments que sur l'humour.
Réalisé par Dan Scanlon
Avec Billy Crystal, John Goodman
Titre original: "Monsters University"
Genre: Animation, Famille
Durée: 1h44
Synopsis:
Même quand il n’était qu’un tout petit monstre, Bob Razowski rêvait déjà de devenir une Terreur. Aujourd’hui, il est enfin en première année à la prestigieuse université Monstres Academy, où sont formées les meilleures Terreurs. Son plan de carrière bien préparé est pourtant menacé par sa rencontre avec James P. Sullivan, dit Sulli, un vrai crack qui a un don naturel pour Terrifier. Aveuglés par leur désir de se prouver l’un à l’autre qu’ils sont imbattables, tous deux finissent par se faire renvoyer de l’université. Pire encore : ils se rendent compte que s’ils veulent que les choses aient une chance de rentrer dans l’ordre, ils vont devoir travailler ensemble, et avec un petit groupe de monstres bizarres et mal assortis…
Critique "presse": 7/10
Hormis l'effet de surprise qui n'opère plus, ce préquel (plutôt qu'une suite) est une réussite. Sans être vraiment original (le film reprend les ficelles d'un film de campus), le film n'en reste pas moins un très bon divertissement familial. Rythmé, très drôle, et visuellement monstrueux, un film dans la lignée des Pixar.
Ma critique: 8/10
J'aime beaucoup les films d'animations (je suis resté un grand enfant) et les teen-movie (je suis resté un grand adolescent), ce film regroupe les deux. Tout était fait pour passer un bon moment, et c'est réussi. Très drôle, bourré de trouvailles, de références et de rebondissements. Rien à redire: un excellent moment. J'ai préféré au premier, qui était plus porté sur les bons sentiments que sur l'humour.
World War Z
Date de sortie: 3 juillet 2013
Réalisé par Marc Forster
Avec Brad Pitt, Mireille Enos
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Science fiction, Action
Durée: 1h56
Synopsis:
Un jour comme les autres, Gerry Lane et sa famille se retrouvent coincés dans un embouteillage monstre sur leur trajet quotidien. Ancien enquêteur des Nations Unies, Lane comprend immédiatement que la situation est inhabituelle. Tandis que les hélicoptères de la police sillonnent le ciel et que les motards quadrillent les rues, la ville bascule dans le chaos... Les gens s’en prennent violemment les uns aux autres et un virus mortel semble se propager. Les êtres les plus pacifiques deviennent de redoutables ennemis. Or, les origines du fléau demeurent inconnues et le nombre de personnes infectées s’accroît tous les jours de manière exponentielle : on parle désormais de pandémie. Lorsque des hordes d’humains contaminés écrasent les armées de la planète et renversent les gouvernements les uns après les autres, Lane n’a d’autre choix que de reprendre du service pour protéger sa famille : il s’engage alors dans une quête effrénée à travers le monde pour identifier l’origine de cette menace et trouver un moyen d’enrayer sa propagation…
Critique "presse": 6/10
Plus que vers l'horreur, "World War Z" est un film de zombies qui fait la part belle à l'action et aux effets spéciaux. Si le film est très bien rythmé et que certaines scènes d'actions sont spectaculaires, on peut regretter son manque de réflexion et son absence de gore (quasiment pas une goutte de sang) pour ce genre de film (ou film de genre, au choix). Un blockbuster divertissant, haletant et très efficace, mais au vu du budget, dommage qu'il ne soit rien de plus. Un film qui ne révolutionnera pas le genre.
Ma critique: 7/10
La définition du blockbuster américain. Maximum de spectacles, minimum de réflexion. Pour une pandémie planétaire, c'est dommage que l'on ne s'intéresse qu'à Brad Pitt, homme ordinaire ou super héros, on ne sait pas trop. Pour un film de zombies, il manque clairement deux choses. Premièrement, du gore: ok, les zombies sont impressionnants, rapides, flippants, mais soit ils n'ont pas de dents, soit les humains n'ont pas de sang. Mais ça encore, ce n'est pas le plus dérangeant. Deux, une réflexion limitée: un film catastrophe pose plein de questions (comportements des gens, instinct de survie...) et normalement, le pire de l'être humain ressort. Ici, on sait juste que les survivants sont sur des bateaux de l'armée, la femme de Brad a failli se faire violer, mais sinon, l'entraide est de rigueur, tout le monde il est beau, il est gentil et il survit... Pas de gore, pas de cérébral, on ne sait donc pas non plus d'où vient le problème (comme dans la plupart des films de zombies, mais là, c'est quand même le sujet principal, on le saura peut-être dans les épisodes 2 ou 3). C'est un film qui fait clairement la part belle au spectaculaire, et là, c'est réussi. Beaucoup d'actions, suspense bien présent, scènes flippantes. J'ai été tenu en haleine pendant tout le film. On ne s'ennuie pas une seule seconde, et j'ai passé un très bon moment accroché à mon siège. Je m'attendais pas à grand-chose, mais c'est pas mal du tout, dommage, ça aurait pu être encore mieux.
Réalisé par Marc Forster
Avec Brad Pitt, Mireille Enos
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Science fiction, Action
Durée: 1h56
Synopsis:
Un jour comme les autres, Gerry Lane et sa famille se retrouvent coincés dans un embouteillage monstre sur leur trajet quotidien. Ancien enquêteur des Nations Unies, Lane comprend immédiatement que la situation est inhabituelle. Tandis que les hélicoptères de la police sillonnent le ciel et que les motards quadrillent les rues, la ville bascule dans le chaos... Les gens s’en prennent violemment les uns aux autres et un virus mortel semble se propager. Les êtres les plus pacifiques deviennent de redoutables ennemis. Or, les origines du fléau demeurent inconnues et le nombre de personnes infectées s’accroît tous les jours de manière exponentielle : on parle désormais de pandémie. Lorsque des hordes d’humains contaminés écrasent les armées de la planète et renversent les gouvernements les uns après les autres, Lane n’a d’autre choix que de reprendre du service pour protéger sa famille : il s’engage alors dans une quête effrénée à travers le monde pour identifier l’origine de cette menace et trouver un moyen d’enrayer sa propagation…
Critique "presse": 6/10
Plus que vers l'horreur, "World War Z" est un film de zombies qui fait la part belle à l'action et aux effets spéciaux. Si le film est très bien rythmé et que certaines scènes d'actions sont spectaculaires, on peut regretter son manque de réflexion et son absence de gore (quasiment pas une goutte de sang) pour ce genre de film (ou film de genre, au choix). Un blockbuster divertissant, haletant et très efficace, mais au vu du budget, dommage qu'il ne soit rien de plus. Un film qui ne révolutionnera pas le genre.
Ma critique: 7/10
La définition du blockbuster américain. Maximum de spectacles, minimum de réflexion. Pour une pandémie planétaire, c'est dommage que l'on ne s'intéresse qu'à Brad Pitt, homme ordinaire ou super héros, on ne sait pas trop. Pour un film de zombies, il manque clairement deux choses. Premièrement, du gore: ok, les zombies sont impressionnants, rapides, flippants, mais soit ils n'ont pas de dents, soit les humains n'ont pas de sang. Mais ça encore, ce n'est pas le plus dérangeant. Deux, une réflexion limitée: un film catastrophe pose plein de questions (comportements des gens, instinct de survie...) et normalement, le pire de l'être humain ressort. Ici, on sait juste que les survivants sont sur des bateaux de l'armée, la femme de Brad a failli se faire violer, mais sinon, l'entraide est de rigueur, tout le monde il est beau, il est gentil et il survit... Pas de gore, pas de cérébral, on ne sait donc pas non plus d'où vient le problème (comme dans la plupart des films de zombies, mais là, c'est quand même le sujet principal, on le saura peut-être dans les épisodes 2 ou 3). C'est un film qui fait clairement la part belle au spectaculaire, et là, c'est réussi. Beaucoup d'actions, suspense bien présent, scènes flippantes. J'ai été tenu en haleine pendant tout le film. On ne s'ennuie pas une seule seconde, et j'ai passé un très bon moment accroché à mon siège. Je m'attendais pas à grand-chose, mais c'est pas mal du tout, dommage, ça aurait pu être encore mieux.
Moi, Moche Et Méchant 2
Date de sortie: 26 juin 2013
Réalisé par Chris Renaud, Pierre Coffin
Avec Steve Carell, Kristen Wiig, Russell Brand
Titre original: "Despicable Me 2"
Genre: Animation, Comédie
Durée: 1h38
Synopsis:
Ayant abandonné la super-criminalité et mis de côté ses activités funestes pour se consacrer à la paternité et élever Margo, Édith et Agnès, Gru, et avec lui, le Professeur Néfario et les Minions, doivent se trouver de nouvelles occupations. Alors qu’il commence à peine à s’adapter à sa nouvelle vie tranquille de père de famille, une organisation ultrasecrète, menant une lutte acharnée contre le Mal à l’échelle planétaire, vient frapper à sa porte. Soudain, c’est à Gru, et à sa nouvelle coéquipière Lucy, que revient la responsabilité de résoudre une série de méfaits spectaculaires. Après tout, qui mieux que l’ex plus méchant méchant de tous les temps, pourrait attraper celui qui rivalise pour lui voler la place qu’il occupait encore récemment...
Critique "presse": 7/10
Une suite qui reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier et qui fait la part belle aux Minions et à leurs gags loufoques. Si visuellement, c'est mieux; la trame, qui parodie les films d'espionnage, perd en originalité, mais des personnages secondaires savoureux amènent une touche supplémentaire d'humour. Un film qui ravira plus les petits que les grands.
Ma critique: 5/10
La plupart des films d'animations sont pleines de références qui plairont à un public adulte venu accompagner les enfants. Malheureusement ici... Si l'histoire ressemble à un film d'espionnage, niveau parodie, c'est plutôt léger. Ce qui fait vraiment rire, ce sont les Minions, stars de ce second volet, qui sont (vraiment) omniprésents. Le problème, c'est que même s'ils ont une part importante dans l'intrigue du film, beaucoup trop de leurs scènes ne sont que des sketchs visant à faire rire, mais n'ayant pas d'intérêt pour l'histoire. Un peu comme pour Scrat dans "L'Âge De Glace" (dans les deux derniers volets, c'est toujours lui le plus drôle, mais ce sont des sketchs qui sont un à-côté de l'histoire). Décevant, même au niveau des persos secondaires, je n'ai pas du tout accroché avec la coéquipière de Gru (pourtant doublée par Kristen Wiig). Il aurait mieux valu se concentrer sur les trois filles de Gru, notamment Agnès, la petite dernière, trop mignonne. On passera aussi sur les raccourcis du scénario. Niveau film d'animation, il y a bien mieux. Celui-ci est clairement pour les enfants.
Réalisé par Chris Renaud, Pierre Coffin
Avec Steve Carell, Kristen Wiig, Russell Brand
Titre original: "Despicable Me 2"
Genre: Animation, Comédie
Durée: 1h38
Synopsis:
Ayant abandonné la super-criminalité et mis de côté ses activités funestes pour se consacrer à la paternité et élever Margo, Édith et Agnès, Gru, et avec lui, le Professeur Néfario et les Minions, doivent se trouver de nouvelles occupations. Alors qu’il commence à peine à s’adapter à sa nouvelle vie tranquille de père de famille, une organisation ultrasecrète, menant une lutte acharnée contre le Mal à l’échelle planétaire, vient frapper à sa porte. Soudain, c’est à Gru, et à sa nouvelle coéquipière Lucy, que revient la responsabilité de résoudre une série de méfaits spectaculaires. Après tout, qui mieux que l’ex plus méchant méchant de tous les temps, pourrait attraper celui qui rivalise pour lui voler la place qu’il occupait encore récemment...
Critique "presse": 7/10
Une suite qui reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier et qui fait la part belle aux Minions et à leurs gags loufoques. Si visuellement, c'est mieux; la trame, qui parodie les films d'espionnage, perd en originalité, mais des personnages secondaires savoureux amènent une touche supplémentaire d'humour. Un film qui ravira plus les petits que les grands.
Ma critique: 5/10
La plupart des films d'animations sont pleines de références qui plairont à un public adulte venu accompagner les enfants. Malheureusement ici... Si l'histoire ressemble à un film d'espionnage, niveau parodie, c'est plutôt léger. Ce qui fait vraiment rire, ce sont les Minions, stars de ce second volet, qui sont (vraiment) omniprésents. Le problème, c'est que même s'ils ont une part importante dans l'intrigue du film, beaucoup trop de leurs scènes ne sont que des sketchs visant à faire rire, mais n'ayant pas d'intérêt pour l'histoire. Un peu comme pour Scrat dans "L'Âge De Glace" (dans les deux derniers volets, c'est toujours lui le plus drôle, mais ce sont des sketchs qui sont un à-côté de l'histoire). Décevant, même au niveau des persos secondaires, je n'ai pas du tout accroché avec la coéquipière de Gru (pourtant doublée par Kristen Wiig). Il aurait mieux valu se concentrer sur les trois filles de Gru, notamment Agnès, la petite dernière, trop mignonne. On passera aussi sur les raccourcis du scénario. Niveau film d'animation, il y a bien mieux. Celui-ci est clairement pour les enfants.
mercredi 3 juillet 2013
Man Of Steel
Date de sortie: 19 juin 2013
Réalisé par Zack Snyder
Avec Henry Cavill, Amy Adams, Michael Shannon
Genre: Action, Fantastique
Durée: 2h20
Synopsis:
Un petit garçon découvre qu'il possède des pouvoirs surnaturels et qu'il n'est pas né sur Terre. Plus tard, il s'engage dans un périple afin de comprendre d'où il vient et pourquoi il a été envoyé sur notre planète. Mais il devra devenir un héros s'il veut sauver le monde de la destruction totale et incarner l'espoir pour toute l'humanité.
Critique "presse": 6,5/10
Des effets spéciaux sublimes pour des scènes d'actions spectaculaires.Une première partie bien menée, malheureusement, ce déluge d'effets spéciaux nous amène à l'overdose et à une surenchère d'action dans la seconde moitié du film. Au final, l'histoire n'a rien de vraiment original, et elle perd en intérêt pour faire place à d'énormes scènes de combats. C'est divertissant, mais ce n'est pas le film de super-héros annoncé non plus. Gros point positif, Henry Cavill fait un très bon Superman.
Ma critique: 6/10
Snyder aux commandes, Nolan à la prod'. L'attente était grande, et plus qu'un énième film de super-héros, je m'attendais à un mythe revisité, avec un scénario original et poussé, un peu à l'image de la trilogie "Dark Knight". Mais il n'en est rien, l'histoire n'est qu'un simple remake des films des années 70-80, des kryptoniens renégats (dont le général Zod) arrivent sur Terre pour détruire Superman. Poussons l'analyse un peu plus loin, la scène d'ouverture sur Krypton est trop longue pour ce qu'elle raconte, et le film ne commence vraiment que lorsque on découvre Clark Kent, déjà adulte. Quelques bonnes idées: comme les flash-backs sur son enfance, et ce qui l'a poussé à chercher qui il est vraiment. Ou encore décider de ne pas révéler son identité par peur de la réaction des humains. Des mauvaises idées aussi: Lois Lane qui découvre que ce surhomme est Clark Kent avant tout le monde, et un total abandon de scénario dans la deuxième partie, qui n'est qu'une succession de combats et d'explosions. Alors, c'est bien fait, c'est spectaculaire, on en prend plein les yeux, mais je m'attendais à bien mieux. Ne pas oublier non plus des incohérences et des raccourcis scénaristiques assez dérangeants. On disait que ce reboot allait surpasser "Superman Returns", il n'en est rien. Divertissant, mais décevant.
Réalisé par Zack Snyder
Avec Henry Cavill, Amy Adams, Michael Shannon
Genre: Action, Fantastique
Durée: 2h20
Synopsis:
Un petit garçon découvre qu'il possède des pouvoirs surnaturels et qu'il n'est pas né sur Terre. Plus tard, il s'engage dans un périple afin de comprendre d'où il vient et pourquoi il a été envoyé sur notre planète. Mais il devra devenir un héros s'il veut sauver le monde de la destruction totale et incarner l'espoir pour toute l'humanité.
Critique "presse": 6,5/10
Des effets spéciaux sublimes pour des scènes d'actions spectaculaires.Une première partie bien menée, malheureusement, ce déluge d'effets spéciaux nous amène à l'overdose et à une surenchère d'action dans la seconde moitié du film. Au final, l'histoire n'a rien de vraiment original, et elle perd en intérêt pour faire place à d'énormes scènes de combats. C'est divertissant, mais ce n'est pas le film de super-héros annoncé non plus. Gros point positif, Henry Cavill fait un très bon Superman.
Ma critique: 6/10
Snyder aux commandes, Nolan à la prod'. L'attente était grande, et plus qu'un énième film de super-héros, je m'attendais à un mythe revisité, avec un scénario original et poussé, un peu à l'image de la trilogie "Dark Knight". Mais il n'en est rien, l'histoire n'est qu'un simple remake des films des années 70-80, des kryptoniens renégats (dont le général Zod) arrivent sur Terre pour détruire Superman. Poussons l'analyse un peu plus loin, la scène d'ouverture sur Krypton est trop longue pour ce qu'elle raconte, et le film ne commence vraiment que lorsque on découvre Clark Kent, déjà adulte. Quelques bonnes idées: comme les flash-backs sur son enfance, et ce qui l'a poussé à chercher qui il est vraiment. Ou encore décider de ne pas révéler son identité par peur de la réaction des humains. Des mauvaises idées aussi: Lois Lane qui découvre que ce surhomme est Clark Kent avant tout le monde, et un total abandon de scénario dans la deuxième partie, qui n'est qu'une succession de combats et d'explosions. Alors, c'est bien fait, c'est spectaculaire, on en prend plein les yeux, mais je m'attendais à bien mieux. Ne pas oublier non plus des incohérences et des raccourcis scénaristiques assez dérangeants. On disait que ce reboot allait surpasser "Superman Returns", il n'en est rien. Divertissant, mais décevant.
mardi 18 juin 2013
Star Trek Into Darkness
Date de sortie: 12 juin 2013
Réalisé par J.J. Abrams
Avec Chris Pine, Zachary Quinto, Benedict Cumberbatch
Genre: Science fiction, Action, Aventure
Durée: 2h10
Synopsis:
Alors qu’il rentre à sa base, l’équipage de l’Enterprise doit faire face à des forces terroristes implacables au sein même de son organisation. L’ennemi a fait exploser la flotte et tout ce qu’elle représentait, plongeant notre monde dans le chaos…
Dans un monde en guerre, le Capitaine Kirk, animé par la vengeance, se lance dans une véritable chasse à l’homme, pour neutraliser celui qui représente à lui seul une arme de destruction massive. Nos héros entrent dans un jeu d’échecs mortel. L’amour sera menacé, des amitiés seront brisées et des sacrifices devront être faits dans la seule famille qu’il reste à Kirk : son équipe.
Critique "presse": 7/10
Un blockbuster qui remplit son cahier des charges, le film faisant la part belle à l'action, omniprésente et aux effets spéciaux, impressionnants. Le tout avec une bonne dose d'humour. Du coup, on a droit à un film formaté par et pour Hollywood, même si Abrams a réussi à y ajouter sa touche en rajoutant des enjeux psychologiques aux personnages. Un film à très grand spectacle, mais qui ne tient pas toutes ses promesses, pas aidé par un scénario bateau (une bête chasse à l'homme).
Ma critique: 7/10
Un des films que j'attendais vraiment cette année. Bien que très bon, j'ai été un peu déçu, essentiellement à cause d'un scénario avec des choix qui ne m'ont pas trop plu (le gentil qui s'allie au méchant, le gentil qui en fait est un gros méchant, sa fifille qui essaie de le raisonner...). Sinon, très bien, rythmé, de l'action, des explosions, de l'humour, des bonnes idées. Bon divertissement, même si j'ai préféré le premier.
Réalisé par J.J. Abrams
Avec Chris Pine, Zachary Quinto, Benedict Cumberbatch
Genre: Science fiction, Action, Aventure
Durée: 2h10
Synopsis:
Alors qu’il rentre à sa base, l’équipage de l’Enterprise doit faire face à des forces terroristes implacables au sein même de son organisation. L’ennemi a fait exploser la flotte et tout ce qu’elle représentait, plongeant notre monde dans le chaos…
Dans un monde en guerre, le Capitaine Kirk, animé par la vengeance, se lance dans une véritable chasse à l’homme, pour neutraliser celui qui représente à lui seul une arme de destruction massive. Nos héros entrent dans un jeu d’échecs mortel. L’amour sera menacé, des amitiés seront brisées et des sacrifices devront être faits dans la seule famille qu’il reste à Kirk : son équipe.
Critique "presse": 7/10
Un blockbuster qui remplit son cahier des charges, le film faisant la part belle à l'action, omniprésente et aux effets spéciaux, impressionnants. Le tout avec une bonne dose d'humour. Du coup, on a droit à un film formaté par et pour Hollywood, même si Abrams a réussi à y ajouter sa touche en rajoutant des enjeux psychologiques aux personnages. Un film à très grand spectacle, mais qui ne tient pas toutes ses promesses, pas aidé par un scénario bateau (une bête chasse à l'homme).
Ma critique: 7/10
Un des films que j'attendais vraiment cette année. Bien que très bon, j'ai été un peu déçu, essentiellement à cause d'un scénario avec des choix qui ne m'ont pas trop plu (le gentil qui s'allie au méchant, le gentil qui en fait est un gros méchant, sa fifille qui essaie de le raisonner...). Sinon, très bien, rythmé, de l'action, des explosions, de l'humour, des bonnes idées. Bon divertissement, même si j'ai préféré le premier.
Very Bad Trip 3
Date de sortie: 29 mai 2013
Réalisé par Todd Phillips
Avec Bradley Cooper, Ed Helms, Zach Galifianakis
Titre original: "The Hangover: Part III"
Genre: Comédie
Durée: 1h40
Synopsis:
Deux ans ont passé. Phil, Stu et Doug mènent des existences tranquilles et heureuses. Ils ont fait disparaître leurs tatouages et se sont rachetés une conduite. Le seul de la Meute à ne pas avoir trouvé son équilibre est Alan. Se cherchant toujours, la brebis galeuse du groupe a arrêté les médocs et donné libre cours à ses impulsions, ce qui, dans son cas, revient à ne reculer devant rien et à ne se fixer aucune limite... Jusqu'à ce qu'il traverse une crise douloureuse et qu'il se mette en quête du soutien dont il a besoin. Et qui mieux que ses trois meilleurs copains pourraient l'aider à s'engager dans la bonne voie ? Cette fois, il n'y a pas de mariage, ni de fête d'enterrement de vie de garçon. Qu'est-ce-qui pourrait donc bien dégénérer ? Mais quand la Meute s'en mêle, il faut être prêt à tout ! Et pour boucler la boucle, la petite bande doit retourner là où tout a commencé : à Las Vegas...
Critique "presse": 4,5/10
Un film qui fait la part belle au personnage d'Alan (joué par l'excellent Zack Galifianakis). L'humour potache et irrespectueux est toujours au rendez-vous mais comme le 2, ce troisième volet est moins drôle que le premier. Et si l'histoire n'est pas ici un copié-collé, elle n'en reste pas moins sans grand intérêt. Il était temps que cette saga se termine.
Ma critique: 4/10
Le système hollywoodien dans toute sa splendeur: le premier était un petit film drôle et sympa, il fait un carton, c'est pas un film à suite et pourtant... on suce l'idée jusqu'à la moelle en espérant faire du pognon. Le deuxième volet était un simple remake, vous remplaciez juste Bangkok par Las Vegas. Le troisième a certes un scénario plus original, mais pas spécialement drôle: ça va de plus en plus loin dans les conneries, c'est juste trop gros. Et puis, le film penche clairement vers les personnages de Galifianakis et Ken Jeong (le chinois qui n'était qu'un second rôle au départ), du coup plus qu'une histoire, on a surtout une succession de sketchs, certains drôles, d'autres lourds. Quelques scènes un peu drôles, d'autres nettement moins pour un résultat dans son ensemble très laborieux. Autant se contenter du premier.
Réalisé par Todd Phillips
Avec Bradley Cooper, Ed Helms, Zach Galifianakis
Titre original: "The Hangover: Part III"
Genre: Comédie
Durée: 1h40
Synopsis:
Deux ans ont passé. Phil, Stu et Doug mènent des existences tranquilles et heureuses. Ils ont fait disparaître leurs tatouages et se sont rachetés une conduite. Le seul de la Meute à ne pas avoir trouvé son équilibre est Alan. Se cherchant toujours, la brebis galeuse du groupe a arrêté les médocs et donné libre cours à ses impulsions, ce qui, dans son cas, revient à ne reculer devant rien et à ne se fixer aucune limite... Jusqu'à ce qu'il traverse une crise douloureuse et qu'il se mette en quête du soutien dont il a besoin. Et qui mieux que ses trois meilleurs copains pourraient l'aider à s'engager dans la bonne voie ? Cette fois, il n'y a pas de mariage, ni de fête d'enterrement de vie de garçon. Qu'est-ce-qui pourrait donc bien dégénérer ? Mais quand la Meute s'en mêle, il faut être prêt à tout ! Et pour boucler la boucle, la petite bande doit retourner là où tout a commencé : à Las Vegas...
Critique "presse": 4,5/10
Un film qui fait la part belle au personnage d'Alan (joué par l'excellent Zack Galifianakis). L'humour potache et irrespectueux est toujours au rendez-vous mais comme le 2, ce troisième volet est moins drôle que le premier. Et si l'histoire n'est pas ici un copié-collé, elle n'en reste pas moins sans grand intérêt. Il était temps que cette saga se termine.
Ma critique: 4/10
Le système hollywoodien dans toute sa splendeur: le premier était un petit film drôle et sympa, il fait un carton, c'est pas un film à suite et pourtant... on suce l'idée jusqu'à la moelle en espérant faire du pognon. Le deuxième volet était un simple remake, vous remplaciez juste Bangkok par Las Vegas. Le troisième a certes un scénario plus original, mais pas spécialement drôle: ça va de plus en plus loin dans les conneries, c'est juste trop gros. Et puis, le film penche clairement vers les personnages de Galifianakis et Ken Jeong (le chinois qui n'était qu'un second rôle au départ), du coup plus qu'une histoire, on a surtout une succession de sketchs, certains drôles, d'autres lourds. Quelques scènes un peu drôles, d'autres nettement moins pour un résultat dans son ensemble très laborieux. Autant se contenter du premier.
Inscription à :
Articles (Atom)