Date de sortie: 22 décembre 2010
Réalisé par Jean-Pierre Améris
Avec Isabelle Carré, Benoît Poelvoorde
Genre : Comédie , Romance
Durée : 01h20
Synopsis :
Jean-René, patron d’une fabrique de chocolat, et Angélique, chocolatière de talent, sont deux grands émotifs.
C’est leur passion commune pour le chocolat qui les rapproche. Ils tombent amoureux l’un de l’autre sans oser se l’avouer. Hélas, leur timidité maladive tend à les éloigner.
Mais ils surmonteront leur manque de confiance en eux, au risque de dévoiler leurs sentiments.
Critique "presse":
Elle est chocolatière de talent, mais engagée comme commerciale. Pour vaincre ses angoisses, elle va aux "émotifs anonymes". Lui est un patron qui cherche à cacher sa timidité à ses employés. Il est aidé par un psy qui lui donne régulièrement des exercices. Suite à ses exercices, il se rapproche d'elle, et une romance commence. Une comédie sucrée, légère, portée par deux grands timides.
Ma critique:
Un bon sujet pour une comédie mignonnette. Le début du film et la mise en place des persos est très réussie, la suite s'essouffle un peu, mais le tout se regarde très bien. Une comédie qui vaut surtout le détour pour le jeu des deux acteurs principaux, tous les deux excellents.
vendredi 24 décembre 2010
We Are Four Lions
Date de sortie: 8 décembre 2010
Réalisé par Chris Morris
Avec Riz Ahmed, Arsher Ali, Nigel Lindsay
Titre original : Four Lions
Genre : Comédie , Drame
Durée : 01h41
Synopsis :
Animé par des envies de grandeur, Omar est déterminé à devenir un soldat du djihad en Angleterre. Avec ses amis, il décide de monter le coup décisif qui fera parler d’eux et de leur cause. Problème : il leur manque le mode d’emploi.
Critique "presse":
Un film dérangeant, tourné comme un docu-fiction. Provocateur et grinçant, on trouve cette comédie de Chris Morris totalement hilarante ou complètement affligeante. A vous de voir.
Ma critique:
"We Are 4 Lions" s'attaque à un sujet sensible, le terrorisme. On suit le quotidien de quatre musulmans qui veulent tuer le maximum de gens. Ces apprentis poseurs de bombes sont avant tout des idiots et de gros gaffeurs, plusieurs situations sont donc très drôles. Mais à d'autres moments, on se sent assez mal à l'aise quand on se rappelle le sujet du film.
Réalisé par Chris Morris
Avec Riz Ahmed, Arsher Ali, Nigel Lindsay
Titre original : Four Lions
Genre : Comédie , Drame
Durée : 01h41
Synopsis :
Animé par des envies de grandeur, Omar est déterminé à devenir un soldat du djihad en Angleterre. Avec ses amis, il décide de monter le coup décisif qui fera parler d’eux et de leur cause. Problème : il leur manque le mode d’emploi.
Critique "presse":
Un film dérangeant, tourné comme un docu-fiction. Provocateur et grinçant, on trouve cette comédie de Chris Morris totalement hilarante ou complètement affligeante. A vous de voir.
Ma critique:
"We Are 4 Lions" s'attaque à un sujet sensible, le terrorisme. On suit le quotidien de quatre musulmans qui veulent tuer le maximum de gens. Ces apprentis poseurs de bombes sont avant tout des idiots et de gros gaffeurs, plusieurs situations sont donc très drôles. Mais à d'autres moments, on se sent assez mal à l'aise quand on se rappelle le sujet du film.
Raiponce
Date de sortie: 1 décembre 2010
Réalisé par Byron Howard, Nathan Greno
Avec Mandy Moore, Zachary Levi, Donna Murphy
Titre original : Tangled
Film pour enfants à partir de 6 ans
Genre : Animation , Famille
Durée : 01h41
Synopsis :
Lorsque Flynn Rider, le bandit le plus recherché du royaume, se réfugie dans une mystérieuse tour, il se retrouve pris en otage par Raiponce, une belle et téméraire jeune fille à l’impressionnante chevelure de 20 mètres de long, gardée prisonnière par Mère Gothel. L’étonnante geôlière de Flynn cherche un moyen de sortir de cette tour où elle est enfermée depuis des années. Elle passe alors un accord avec le séduisant brigand… C’est le début d’une aventure délirante bourrée d’action, d’humour et d'émotion...
Critique "presse":
De l'aventure, de la romance, de l'humour, avec "Raiponce", Disney commence à retrouver ce qui a fait son succès pendant de nombreuses années. Le tout en étant plus moderne, la princesse n'attend pas son prince charmant, et souhaite avant tout son indépendance. Alors bien sûr, on échappe pas au déjà-vu, mais ce Disney ravira tous les enfants.
Ma critique:
"Raiponce" est mieux que les autres derniers Disney. Une meilleure histoire, plus d'humour, des persos attachants (Maximus, le cheval, en tête). On peut regretter des chansons très banales. Tout le monde peut vous chanter "Aladdin", "Le Roi Lion" et quelques autres...mais là, on oublie très vite. Du coup, on ne retrouve pas totalement la magie de Disney. Un bon moment tout de même. La 3D reste toujours un gadget.
Réalisé par Byron Howard, Nathan Greno
Avec Mandy Moore, Zachary Levi, Donna Murphy
Titre original : Tangled
Film pour enfants à partir de 6 ans
Genre : Animation , Famille
Durée : 01h41
Synopsis :
Lorsque Flynn Rider, le bandit le plus recherché du royaume, se réfugie dans une mystérieuse tour, il se retrouve pris en otage par Raiponce, une belle et téméraire jeune fille à l’impressionnante chevelure de 20 mètres de long, gardée prisonnière par Mère Gothel. L’étonnante geôlière de Flynn cherche un moyen de sortir de cette tour où elle est enfermée depuis des années. Elle passe alors un accord avec le séduisant brigand… C’est le début d’une aventure délirante bourrée d’action, d’humour et d'émotion...
Critique "presse":
De l'aventure, de la romance, de l'humour, avec "Raiponce", Disney commence à retrouver ce qui a fait son succès pendant de nombreuses années. Le tout en étant plus moderne, la princesse n'attend pas son prince charmant, et souhaite avant tout son indépendance. Alors bien sûr, on échappe pas au déjà-vu, mais ce Disney ravira tous les enfants.
Ma critique:
"Raiponce" est mieux que les autres derniers Disney. Une meilleure histoire, plus d'humour, des persos attachants (Maximus, le cheval, en tête). On peut regretter des chansons très banales. Tout le monde peut vous chanter "Aladdin", "Le Roi Lion" et quelques autres...mais là, on oublie très vite. Du coup, on ne retrouve pas totalement la magie de Disney. Un bon moment tout de même. La 3D reste toujours un gadget.
lundi 13 décembre 2010
Bébé, Mode D'Emploi
Date de sortie: 8 décembre 2010
Réalisé par Greg Berlanti
Avec Katherine Heigl, Josh Duhamel, Josh Lucas
Titre original : Life As We Know It
Genre : Comédie , Romance
Durée : 01h54
Synopsis :
Holly Berenson est un traiteur de plus en plus en vue et Eric Messer, un directeur de chaîne sportive plein d’avenir. Après un premier rencart désastreux, ils n’ont plus en commun que leur antipathie réciproque et l’amour qu’ils portent à leur filleule Sophie. Mais lorsque soudain, ils deviennent pour Sophie tout ce qui lui reste au monde, Holly et Messer sont bien obligés de mettre leurs différences de côté. Jonglant avec leurs ambitions de carrière et des agendas sociaux qui se court-circuitent, ils vont devoir trouver un terrain d’entente pour vivre sous le même toit.
Critique "presse":
Une comédie romantique comme on en voit tant. Ni pire, ni mieux, qui vous arrachera quelques sourires, mais sans surprises.
Ma critique:
Dans "En Cloque, Mode D'Emploi", Katherine Heigl est une célibattante, avec une bonne carrière professionnelle, elle tombe enceinte et doit partager sa vie avec le père, un loser. Dans "L'Abominable Vérité", elle est une célibattante, avec une bonne carrière professionnelle, et doit partager l'affiche avec un coureur de jupons. "Bébé, Mode D'Emploi", c'est un mixte des deux, elle est toujours une célibattante, avec une bonne carrière professionnelle, et doit vivre sous le même toit qu'un coureur et élever le bébé de ses défunts amis. C'est à se demander si elle sait jouer autre chose. Ce qui est sûr, c'est que les films sont de pire en pire. Un bon début, puis le reste est long et très convenu. Les filles ont Josh Duhamel à se mettre sous la dent, mais on attend toujours de voir Katherine Heigl en fille sexy plutôt que coincée.
Réalisé par Greg Berlanti
Avec Katherine Heigl, Josh Duhamel, Josh Lucas
Titre original : Life As We Know It
Genre : Comédie , Romance
Durée : 01h54
Synopsis :
Holly Berenson est un traiteur de plus en plus en vue et Eric Messer, un directeur de chaîne sportive plein d’avenir. Après un premier rencart désastreux, ils n’ont plus en commun que leur antipathie réciproque et l’amour qu’ils portent à leur filleule Sophie. Mais lorsque soudain, ils deviennent pour Sophie tout ce qui lui reste au monde, Holly et Messer sont bien obligés de mettre leurs différences de côté. Jonglant avec leurs ambitions de carrière et des agendas sociaux qui se court-circuitent, ils vont devoir trouver un terrain d’entente pour vivre sous le même toit.
Critique "presse":
Une comédie romantique comme on en voit tant. Ni pire, ni mieux, qui vous arrachera quelques sourires, mais sans surprises.
Ma critique:
Dans "En Cloque, Mode D'Emploi", Katherine Heigl est une célibattante, avec une bonne carrière professionnelle, elle tombe enceinte et doit partager sa vie avec le père, un loser. Dans "L'Abominable Vérité", elle est une célibattante, avec une bonne carrière professionnelle, et doit partager l'affiche avec un coureur de jupons. "Bébé, Mode D'Emploi", c'est un mixte des deux, elle est toujours une célibattante, avec une bonne carrière professionnelle, et doit vivre sous le même toit qu'un coureur et élever le bébé de ses défunts amis. C'est à se demander si elle sait jouer autre chose. Ce qui est sûr, c'est que les films sont de pire en pire. Un bon début, puis le reste est long et très convenu. Les filles ont Josh Duhamel à se mettre sous la dent, mais on attend toujours de voir Katherine Heigl en fille sexy plutôt que coincée.
A Bout Portant
Date de sortie: 1 décembre 2010
Réalisé par Fred Cavayé
Avec Gilles Lellouche, Roschdy Zem, Gérard Lanvin
Avertissement
Genre : Policier
Durée : 01h25
Synopsis :
Tout va pour le mieux pour Samuel et Nadia : lui est bientôt infirmier et elle, attend son premier enfant. Mais tout bascule lorsque Nadia se fait kidnapper sous l'oeil impuissant de Samuel. A son réveil, son portable retentit : il a trois heures pour sortir de l'hôpital dans lequel il travaille un homme sous surveillance policière. Le destin de Samuel est désormais lié à celui de Sartet, une figure du banditisme activement recherchée par tous les services de police. S'il veut revoir sa femme vivante, Samuel doit faire vite...
Critique "presse":
Un thriller d'action efficace, avec de nombreux rebondissements. Fred Cavayé, après le très bon "Pour Elle" confirme avec "A Bout Portant". Du rythme du début à la fin, avec une course-poursuite à couper le souffle, et des acteurs au meilleur de leur forme. On passera sur les nombreuses invraisemblances scénaristiques, et on retiendra le suspense qui tient le spectateur en haleine jusqu'au dénouement.
Ma critique:
"Pour Elle" (3 jours pour sauver sa femme) était surfait, "A Bout Portant" (3 heures pour sauver sa femme) pareil (dans le prochain, le héros n'aura qu'une demi-heure pour sauver sa femme, mais ce ne sera qu'un court-métrage). Fred Cavayé à de l'avance sur les autres réalisateurs français, il sait filmer l'action, et on ne s'ennuie pas pendant ses films: bref, on tend plus vers le film américain que français. Tant mieux...ou pas, car Cavayé (prononcé Kavayeah :-) utilise les mêmes clichés idiots: Mr Tout-le-monde qui devient un héros avec le gros bandit qui l'aide, les flics ripoux comme jamais, et une happy-end absolument pas crédible. Bref, si au niveau de la réalisation, y'a pas grand-chose à redire, on passe un bon moment, et on est heureux de voir que Gilles Lellouche peut jouer autre chose qu'un beauf', au niveau du scénario, y'a tout à revoir tellement il y a d'invraisemblances.
Réalisé par Fred Cavayé
Avec Gilles Lellouche, Roschdy Zem, Gérard Lanvin
Avertissement
Genre : Policier
Durée : 01h25
Synopsis :
Tout va pour le mieux pour Samuel et Nadia : lui est bientôt infirmier et elle, attend son premier enfant. Mais tout bascule lorsque Nadia se fait kidnapper sous l'oeil impuissant de Samuel. A son réveil, son portable retentit : il a trois heures pour sortir de l'hôpital dans lequel il travaille un homme sous surveillance policière. Le destin de Samuel est désormais lié à celui de Sartet, une figure du banditisme activement recherchée par tous les services de police. S'il veut revoir sa femme vivante, Samuel doit faire vite...
Critique "presse":
Un thriller d'action efficace, avec de nombreux rebondissements. Fred Cavayé, après le très bon "Pour Elle" confirme avec "A Bout Portant". Du rythme du début à la fin, avec une course-poursuite à couper le souffle, et des acteurs au meilleur de leur forme. On passera sur les nombreuses invraisemblances scénaristiques, et on retiendra le suspense qui tient le spectateur en haleine jusqu'au dénouement.
Ma critique:
"Pour Elle" (3 jours pour sauver sa femme) était surfait, "A Bout Portant" (3 heures pour sauver sa femme) pareil (dans le prochain, le héros n'aura qu'une demi-heure pour sauver sa femme, mais ce ne sera qu'un court-métrage). Fred Cavayé à de l'avance sur les autres réalisateurs français, il sait filmer l'action, et on ne s'ennuie pas pendant ses films: bref, on tend plus vers le film américain que français. Tant mieux...ou pas, car Cavayé (prononcé Kavayeah :-) utilise les mêmes clichés idiots: Mr Tout-le-monde qui devient un héros avec le gros bandit qui l'aide, les flics ripoux comme jamais, et une happy-end absolument pas crédible. Bref, si au niveau de la réalisation, y'a pas grand-chose à redire, on passe un bon moment, et on est heureux de voir que Gilles Lellouche peut jouer autre chose qu'un beauf', au niveau du scénario, y'a tout à revoir tellement il y a d'invraisemblances.
jeudi 9 décembre 2010
Monsters
Date de sortie: 1 décembre 2010
Réalisé par Gareth Edwards
Avec Whitney Able, Scoot McNairy
Genre : Science fiction , Epouvante-horreur , Drame
Durée : 01h33
Synopsis :
Une sonde de la NASA s’écrase dans la jungle mexicaine, libérant sur terre des particules d’une forme de vie extra-terrestre. Six ans plus tard, le Mexique et le Costa-Rica sont devenus des zones de guerre désertées par les populations locales, mises en quarantaine et peuplées de créatures monstrueuses. Un photographe est chargé d’escorter une jeune femme à travers cette zone dévastée. Seuls sur la route, ils vont tenter de rejoindre la frontière américaine...
Critique "presse":
Un film de SF à (très) petit budget qui renouvèle le genre. Plutôt que de faire dans la surenchère et l'action, Gareth Edwards joue sur la relation amoureuse naissante d'un photographe et d'une jeune femme qui doivent traverser une zone infestée de monstres, que l'on ne voit pratiquement jamais. Si la romance est des plus banales, l'ambiance créée par Edwards vaut le détour, surtout au vu des moyens.
Ma critique:
Si un film comme celui-ci avait été produit par une grosse boîte, avec réal et acteurs de renoms, on aurait eu droit à un blockbuster plus que moyen et ceux qui s'attendent à ça peuvent passer leur chemin. "Monsters" est un film plus intimiste et Edwards s'attache plus à nous décrire le road-trip du couple à travers une région infestée de monstres plutôt que de nous en mettre plein la vue. Faire un film comme ça avec ses moyens-là, respect. Le suspense est présent, les acteurs très crédibles, les effets spéciaux plus que corrects, on peut juste reprocher quelques faiblesses scénaristiques (ms pourquoi ne prend-elle pas l'avion pour rentrer chez elle???)et la tête des bêbêtes qui ne sont que des gros poulpes.
Réalisé par Gareth Edwards
Avec Whitney Able, Scoot McNairy
Genre : Science fiction , Epouvante-horreur , Drame
Durée : 01h33
Synopsis :
Une sonde de la NASA s’écrase dans la jungle mexicaine, libérant sur terre des particules d’une forme de vie extra-terrestre. Six ans plus tard, le Mexique et le Costa-Rica sont devenus des zones de guerre désertées par les populations locales, mises en quarantaine et peuplées de créatures monstrueuses. Un photographe est chargé d’escorter une jeune femme à travers cette zone dévastée. Seuls sur la route, ils vont tenter de rejoindre la frontière américaine...
Critique "presse":
Un film de SF à (très) petit budget qui renouvèle le genre. Plutôt que de faire dans la surenchère et l'action, Gareth Edwards joue sur la relation amoureuse naissante d'un photographe et d'une jeune femme qui doivent traverser une zone infestée de monstres, que l'on ne voit pratiquement jamais. Si la romance est des plus banales, l'ambiance créée par Edwards vaut le détour, surtout au vu des moyens.
Ma critique:
Si un film comme celui-ci avait été produit par une grosse boîte, avec réal et acteurs de renoms, on aurait eu droit à un blockbuster plus que moyen et ceux qui s'attendent à ça peuvent passer leur chemin. "Monsters" est un film plus intimiste et Edwards s'attache plus à nous décrire le road-trip du couple à travers une région infestée de monstres plutôt que de nous en mettre plein la vue. Faire un film comme ça avec ses moyens-là, respect. Le suspense est présent, les acteurs très crédibles, les effets spéciaux plus que corrects, on peut juste reprocher quelques faiblesses scénaristiques (ms pourquoi ne prend-elle pas l'avion pour rentrer chez elle???)et la tête des bêbêtes qui ne sont que des gros poulpes.
Scott Pilgrim
Date de sortie: 1 décembre 2010
Réalisé par Edgar Wright
Avec Michael Cera, Mary Elizabeth Winstead, Jason Schwartzman
Titre original : Scott Pilgrim vs. the World
Genre : Aventure , Comédie , Fantastique
Durée : 01h52
Synopsis :
Scott Pilgrim n’a jamais eu de problème à trouver une petite amie, mais s’en débarrasser s’avère plus compliqué. Entre celle qui lui a brisé le cœur – et qui est de retour en ville – et l’adolescente qui lui sert de distraction au moment où Ramona entre dans sa vie - en rollers - l’amour n’a jamais été chose facile. Il va cependant vite réaliser que le nouvel objet de son affection traîne les plus singulières casseroles jamais rencontrées : une infâme ligue d’ex qui contrôlent sa vie amoureuse et sont prêts à tout pour éliminer son nouveau prétendant. À mesure que Scott se rapproche de Ramona, il est confronté à une palette grandissante d’individus patibulaires qui peuplent le passé de sa dulcinée : du mesquin skateur à la rock star végétarienne en passant par une affreuse paire de jumeaux. Et s’il espère séduire l’amour de sa vie, il doit triompher de chacun d’eux avant que la partie soit bel et bien « over ».
Critique "presse":
On connaissait à Wright un certain talent pour la comédie ("Shaun Of The Dead", "Hot Fuzz"), avec "Scott Pilgrim", Wright confirme tout le bien que l'on pensait de lui. Une comédie audacieuse, avec un sujet de base simple (un garçon amoureux d'une fille) mais traité de façon totalement délirante (combattre les ex de l'aimée façon jeu vidéo). Un excellent divertissement avec de nombreuses références à la culture pop des 90's, mais qui se montre un peu lassant à force de répéter les mêmes idées (se battre contre les ex)
Ma critique:
Une bonne comédie, due essentiellement à un traitement original et à un montage super efficace. Tous les acteurs sont bons (même si je m'attendais à mieux de la Ramona Flowers), les situations comiques nombreuses, les ex tous différents les uns des autres et certaines répliques pourraient devenir cultes. Le problème, la durée du film: Scott Pilgrim a trop d'ex à combattre, et du coup, les situations se répètent (trop d'ex tuent l'ex). Mais pour le reste, un bon moment qui plaira surtout aux fans de jeux vidéos et aux jeunes en général. Pour les autres, le monde de Scott Pilgrim ne leur évoquera pas grand chose.
Réalisé par Edgar Wright
Avec Michael Cera, Mary Elizabeth Winstead, Jason Schwartzman
Titre original : Scott Pilgrim vs. the World
Genre : Aventure , Comédie , Fantastique
Durée : 01h52
Synopsis :
Scott Pilgrim n’a jamais eu de problème à trouver une petite amie, mais s’en débarrasser s’avère plus compliqué. Entre celle qui lui a brisé le cœur – et qui est de retour en ville – et l’adolescente qui lui sert de distraction au moment où Ramona entre dans sa vie - en rollers - l’amour n’a jamais été chose facile. Il va cependant vite réaliser que le nouvel objet de son affection traîne les plus singulières casseroles jamais rencontrées : une infâme ligue d’ex qui contrôlent sa vie amoureuse et sont prêts à tout pour éliminer son nouveau prétendant. À mesure que Scott se rapproche de Ramona, il est confronté à une palette grandissante d’individus patibulaires qui peuplent le passé de sa dulcinée : du mesquin skateur à la rock star végétarienne en passant par une affreuse paire de jumeaux. Et s’il espère séduire l’amour de sa vie, il doit triompher de chacun d’eux avant que la partie soit bel et bien « over ».
Critique "presse":
On connaissait à Wright un certain talent pour la comédie ("Shaun Of The Dead", "Hot Fuzz"), avec "Scott Pilgrim", Wright confirme tout le bien que l'on pensait de lui. Une comédie audacieuse, avec un sujet de base simple (un garçon amoureux d'une fille) mais traité de façon totalement délirante (combattre les ex de l'aimée façon jeu vidéo). Un excellent divertissement avec de nombreuses références à la culture pop des 90's, mais qui se montre un peu lassant à force de répéter les mêmes idées (se battre contre les ex)
Ma critique:
Une bonne comédie, due essentiellement à un traitement original et à un montage super efficace. Tous les acteurs sont bons (même si je m'attendais à mieux de la Ramona Flowers), les situations comiques nombreuses, les ex tous différents les uns des autres et certaines répliques pourraient devenir cultes. Le problème, la durée du film: Scott Pilgrim a trop d'ex à combattre, et du coup, les situations se répètent (trop d'ex tuent l'ex). Mais pour le reste, un bon moment qui plaira surtout aux fans de jeux vidéos et aux jeunes en général. Pour les autres, le monde de Scott Pilgrim ne leur évoquera pas grand chose.
lundi 6 décembre 2010
Harry Potter Et Les Reliques De La Mort - Partie 1
Date de sortie: 24 novembre 2010
Réalisé par David Yates
Avec Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Emma Watson
Titre original : Harry Potter and the Deathly Hallows - Part 1
Genre : Fantastique , Aventure
Durée : 02h25
Synopsis :
Le pouvoir de Voldemort s'étend. Celui-ci contrôle maintenant le Ministère de la Magie et Poudlard. Harry, Ron et Hermione décident de terminer le travail commencé par Dumbledore, et de retrouver les derniers Horcruxes pour vaincre le Seigneur des Ténèbres. Mais il reste bien peu d'espoir aux trois sorciers, qui doivent réussir à tout prix.
Critique "presse":
Une adaptation fidèle du roman de J.K. Rowling. David Yates entre directement dans le vif du sujet, et suit bien la chronologie des événements. Il nous livre un film plus sombre que les précédents, qui s'adresse davantage aux adolescents qu'aux enfants.
Ma critique:
J'ai bien aimé ce volet d'Harry Potter mais sans plus. J'étais moins fan du dernier bouquin, car on ne retrouve pas Poudlard, et on quitte un peu le monde magique créé par J.K. Rowling. Et malheureusement, le film adapte très bien le livre, du coup, je suis resté sur ma faim. Les acteurs sont tous bons, hormis Harry Potter qui ne dégage pas grand chose. Les effets spéciaux sont réussis, mais la musique du film est plate, on ne ressent absolument rien. Je me suis pas ennuyé, mais j'ai pas été transporté.
Réalisé par David Yates
Avec Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Emma Watson
Titre original : Harry Potter and the Deathly Hallows - Part 1
Genre : Fantastique , Aventure
Durée : 02h25
Synopsis :
Le pouvoir de Voldemort s'étend. Celui-ci contrôle maintenant le Ministère de la Magie et Poudlard. Harry, Ron et Hermione décident de terminer le travail commencé par Dumbledore, et de retrouver les derniers Horcruxes pour vaincre le Seigneur des Ténèbres. Mais il reste bien peu d'espoir aux trois sorciers, qui doivent réussir à tout prix.
Critique "presse":
Une adaptation fidèle du roman de J.K. Rowling. David Yates entre directement dans le vif du sujet, et suit bien la chronologie des événements. Il nous livre un film plus sombre que les précédents, qui s'adresse davantage aux adolescents qu'aux enfants.
Ma critique:
J'ai bien aimé ce volet d'Harry Potter mais sans plus. J'étais moins fan du dernier bouquin, car on ne retrouve pas Poudlard, et on quitte un peu le monde magique créé par J.K. Rowling. Et malheureusement, le film adapte très bien le livre, du coup, je suis resté sur ma faim. Les acteurs sont tous bons, hormis Harry Potter qui ne dégage pas grand chose. Les effets spéciaux sont réussis, mais la musique du film est plate, on ne ressent absolument rien. Je me suis pas ennuyé, mais j'ai pas été transporté.
Mords-Moi Sans Hésitation
Date de sortie: 24 novembre 2010
Réalisé par Jason Friedberg, Aaron Seltzer
Avec Jenn Proske, Matt Lanter, Ken Jeong
Titre original : Vampires Suck
Avertissement
Genre : Comédie , Epouvante-horreur
Durée : 01h24
Synopsis :
MORDS-MOI : SANS HÉSITATION est une parodie mordante et saignante de tous les films pour ados que l’on a pu voir sur les écrans ces dernières années, un hilarant jeu de massacre qui n’épargne ni les amours adolescentes ni les angoisses des jeunes...
Critique "presse":
Quelques répliques amusantes, quelques gags bien potaches mais pour la plupart très lourds et déjà vu dix fois, cette parodie de "Twilight" est à oublier sans hésitation.
Ma critique:
Faire une parodie de "Twilight" avant la sortie du dernier volet, c'est un peu con. Tout comme le film où l'humour ne vole pas très haut. Si une ou deux situations m'ont fait beaucoup rire, dans l'ensemble, c'est plutôt décevant. On s'approche plus des derniers opus de "Scary Movie" qui étaient plutôt laborieux là où le premier était pas trop mal. Dommage, car avec "Twilight", y'avait moyen de faire quelque chose de vraiment drôle :-)
Réalisé par Jason Friedberg, Aaron Seltzer
Avec Jenn Proske, Matt Lanter, Ken Jeong
Titre original : Vampires Suck
Avertissement
Genre : Comédie , Epouvante-horreur
Durée : 01h24
Synopsis :
MORDS-MOI : SANS HÉSITATION est une parodie mordante et saignante de tous les films pour ados que l’on a pu voir sur les écrans ces dernières années, un hilarant jeu de massacre qui n’épargne ni les amours adolescentes ni les angoisses des jeunes...
Critique "presse":
Quelques répliques amusantes, quelques gags bien potaches mais pour la plupart très lourds et déjà vu dix fois, cette parodie de "Twilight" est à oublier sans hésitation.
Ma critique:
Faire une parodie de "Twilight" avant la sortie du dernier volet, c'est un peu con. Tout comme le film où l'humour ne vole pas très haut. Si une ou deux situations m'ont fait beaucoup rire, dans l'ensemble, c'est plutôt décevant. On s'approche plus des derniers opus de "Scary Movie" qui étaient plutôt laborieux là où le premier était pas trop mal. Dommage, car avec "Twilight", y'avait moyen de faire quelque chose de vraiment drôle :-)
lundi 29 novembre 2010
La Famille Jones
Date de sortie: 17 novembre 2010
Réalisé par Derrick Borte
Avec Demi Moore, David Duchovny, Amber Heard
Titre original : The Joneses
Genre : Comédie , Drame
Durée : 01h36
Synopsis :
Lorsque les Jones emménagent dans la banlieue chic d’une petite ville américaine, ils apparaissent tout de suite comme une famille idéale. Non seulement ce sont des gens charmants, mais ils ont en plus une magnifique maison et sont mieux équipés que toutes les autres familles du quartier. Le problème c’est que la famille Jones n’existe pas : ce sont les employés d’une société de marketing dont le but est de donner envie aux gens de posséder ce qu’ils ont…
Critique "presse":
Une comédie satirique qui s'attaque à la société de consommation, le tout sur fond de crise économique. Si le sujet traité est original et bien choisi, le film tourne malheureusement assez rapidement à la comédie sentimentale. Pas assez corrosif, trop moralisateur.
Ma critique:
Une famille modèle qui possède le top du top s'installe dans un quartier riche. Forcément, les voisins sont intrigués et curieux. ça tombe bien, la famille Jones est là pour les pousser à avoir la même chose. Une idée très originale et moderne (société de consommation), basée sur le "marketing furtif". L'histoire commence bien, les sous-intrigues sont intéressantes (la fille modèle qui veut se taper son père, le riche voisin prêt à tout acheter à sa femme pour pouvoir recoucher avec, le père qui est la seule à avoir une conscience et qui se demande si c'est bien ou pas de manipuler les gens), "La Famille Jones" aurait pu être une comédie dérangeante. Mais très (trop) vite, le réalisateur prend le parti de dénoncer cette société, tout tourne mal et ça devient vite moralisateur. Une super idée gâchée par les bons sentiments américains. Avec une fin différente, on obtenait un très bon film.
Réalisé par Derrick Borte
Avec Demi Moore, David Duchovny, Amber Heard
Titre original : The Joneses
Genre : Comédie , Drame
Durée : 01h36
Synopsis :
Lorsque les Jones emménagent dans la banlieue chic d’une petite ville américaine, ils apparaissent tout de suite comme une famille idéale. Non seulement ce sont des gens charmants, mais ils ont en plus une magnifique maison et sont mieux équipés que toutes les autres familles du quartier. Le problème c’est que la famille Jones n’existe pas : ce sont les employés d’une société de marketing dont le but est de donner envie aux gens de posséder ce qu’ils ont…
Critique "presse":
Une comédie satirique qui s'attaque à la société de consommation, le tout sur fond de crise économique. Si le sujet traité est original et bien choisi, le film tourne malheureusement assez rapidement à la comédie sentimentale. Pas assez corrosif, trop moralisateur.
Ma critique:
Une famille modèle qui possède le top du top s'installe dans un quartier riche. Forcément, les voisins sont intrigués et curieux. ça tombe bien, la famille Jones est là pour les pousser à avoir la même chose. Une idée très originale et moderne (société de consommation), basée sur le "marketing furtif". L'histoire commence bien, les sous-intrigues sont intéressantes (la fille modèle qui veut se taper son père, le riche voisin prêt à tout acheter à sa femme pour pouvoir recoucher avec, le père qui est la seule à avoir une conscience et qui se demande si c'est bien ou pas de manipuler les gens), "La Famille Jones" aurait pu être une comédie dérangeante. Mais très (trop) vite, le réalisateur prend le parti de dénoncer cette société, tout tourne mal et ça devient vite moralisateur. Une super idée gâchée par les bons sentiments américains. Avec une fin différente, on obtenait un très bon film.
dimanche 28 novembre 2010
Welcome To The Rileys
Date de sortie: 10 novembre 2010
Réalisé par Jake Scott
Avec Kristen Stewart, James Gandolfini, Melissa Leo
Genre : Drame
Durée : 01h50
Synopsis :
Au cours d’un déplacement professionnel, Doug Riley rencontre Mallory, stripteaseuse dans un club de la Nouvelle-Orléans. L’affection paternelle qu'il ressent pour elle bouleverse le mariage de Doug et Loïs, huit ans après la mort tragique de leur fille unique.
Critique "presse":
Un film indépendant américain comme on en voit souvent. Un scénario sans surprises, avec ses silences, ses moments drôles et ses personnages torturés. La force du film réside dans la rencontre entre les deux personnages principaux, admirablement dirigés par Jake Scott.
Ma critique:
Après Ridley et Tony, je voudrais Jake Scott. Encore un qui dû réussir grâce à son talent et pas ses relations...Je suis médisant. Très bon film de ce Jake que je ne connaissais pas, qui ne ressemble en rien aux films d'actions du reste de la famille. Ici, on est en plein film indépendant. Le rythme est plutôt lent (parfois un peu long), mais la rencontre entre James Gandolfini et Kristen Stewart (méconnaissable et bien mieux qu'en accro aux vampires) est magnifique. Doug Riley a perdu sa fille; suite à ce drame, sa femme ne sort plus de chez elle. Au cours d'un déplacement, il rencontre une jeune strip-teaseuse paumée. Il cherche alors à l'aider à tout prix et à la protéger. Une belle rencontre pour un beau film.
Réalisé par Jake Scott
Avec Kristen Stewart, James Gandolfini, Melissa Leo
Genre : Drame
Durée : 01h50
Synopsis :
Au cours d’un déplacement professionnel, Doug Riley rencontre Mallory, stripteaseuse dans un club de la Nouvelle-Orléans. L’affection paternelle qu'il ressent pour elle bouleverse le mariage de Doug et Loïs, huit ans après la mort tragique de leur fille unique.
Critique "presse":
Un film indépendant américain comme on en voit souvent. Un scénario sans surprises, avec ses silences, ses moments drôles et ses personnages torturés. La force du film réside dans la rencontre entre les deux personnages principaux, admirablement dirigés par Jake Scott.
Ma critique:
Après Ridley et Tony, je voudrais Jake Scott. Encore un qui dû réussir grâce à son talent et pas ses relations...Je suis médisant. Très bon film de ce Jake que je ne connaissais pas, qui ne ressemble en rien aux films d'actions du reste de la famille. Ici, on est en plein film indépendant. Le rythme est plutôt lent (parfois un peu long), mais la rencontre entre James Gandolfini et Kristen Stewart (méconnaissable et bien mieux qu'en accro aux vampires) est magnifique. Doug Riley a perdu sa fille; suite à ce drame, sa femme ne sort plus de chez elle. Au cours d'un déplacement, il rencontre une jeune strip-teaseuse paumée. Il cherche alors à l'aider à tout prix et à la protéger. Une belle rencontre pour un beau film.
mardi 23 novembre 2010
Potiche
Date de sortie: 10 novembre 2010
Réalisé par François Ozon
Avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Fabrice Luchini
Genre : Comédie
Durée : 01h43
Synopsis :
En 1977, dans une province de la bourgeoisie française, Suzanne Pujol est l’épouse popote et soumise d’un riche industriel Robert Pujol. Il dirige son usine de parapluies d’une main de fer et s’avère aussi désagréable et despote avec ses ouvriers qu’avec ses enfants et sa femme, qu’il prend pour une potiche. À la suite d’une grève et d’une séquestration de son mari, Suzanne se retrouve à la direction de l’usine et se révèle à la surprise générale une femme de tête et d’action. Mais lorsque Robert rentre d’une cure de repos en pleine forme, tout se complique…
Critique "presse":
François Ozon nous plonge dans le quitsch des années 70, en adaptant une pièce de théâtre. Il se joue des conventions de l'époque en y ajoutant les thèmes politiques d'aujourd'hui. Robert Pujol est le capitaliste par excellence, et il ne voit son épouse que comme femme au foyer. Jusqu'au jour où la popote se transforme en patronne au grand coeur, et s'oppose à son mari. Une comédie vaudeville, féministe, avec des dialogues savoureux servis par une pléiade de comédiens de talent, Catherine Deneuve en tête, qui se révèle excellente en potiche coincée aux moeurs finalement légères. La comédie française de l'année.
Ma critique:
Une bonne comédie qui vaut surtout grâce à ses dialogues, qu'on sent adapté d'une pièce de théâtre. Certains sont un peu faciles, Ozon s'inspirant fortement de la politique actuelle, mais le tout se suit très bien. Bons acteurs, Luchini en tête. Une comédie qui fait plus sourire que rire, mais c'est déjà un succès pour une comédie française.
Réalisé par François Ozon
Avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Fabrice Luchini
Genre : Comédie
Durée : 01h43
Synopsis :
En 1977, dans une province de la bourgeoisie française, Suzanne Pujol est l’épouse popote et soumise d’un riche industriel Robert Pujol. Il dirige son usine de parapluies d’une main de fer et s’avère aussi désagréable et despote avec ses ouvriers qu’avec ses enfants et sa femme, qu’il prend pour une potiche. À la suite d’une grève et d’une séquestration de son mari, Suzanne se retrouve à la direction de l’usine et se révèle à la surprise générale une femme de tête et d’action. Mais lorsque Robert rentre d’une cure de repos en pleine forme, tout se complique…
Critique "presse":
François Ozon nous plonge dans le quitsch des années 70, en adaptant une pièce de théâtre. Il se joue des conventions de l'époque en y ajoutant les thèmes politiques d'aujourd'hui. Robert Pujol est le capitaliste par excellence, et il ne voit son épouse que comme femme au foyer. Jusqu'au jour où la popote se transforme en patronne au grand coeur, et s'oppose à son mari. Une comédie vaudeville, féministe, avec des dialogues savoureux servis par une pléiade de comédiens de talent, Catherine Deneuve en tête, qui se révèle excellente en potiche coincée aux moeurs finalement légères. La comédie française de l'année.
Ma critique:
Une bonne comédie qui vaut surtout grâce à ses dialogues, qu'on sent adapté d'une pièce de théâtre. Certains sont un peu faciles, Ozon s'inspirant fortement de la politique actuelle, mais le tout se suit très bien. Bons acteurs, Luchini en tête. Une comédie qui fait plus sourire que rire, mais c'est déjà un succès pour une comédie française.
Unstoppable
Date de sortie: 10 novembre 2010
Réalisé par Tony Scott
Avec Denzel Washington, Chris Pine, Rosario Dawson
Genre : Action
Durée : 01h35
Synopsis :
Un ingénieur et un chauffeur vivent une véritable course contre la montre. Les deux hommes tentent de stopper un train qui transporte des produits toxiques avant que celui-ci ne déraille et répande une flaque toxique qui décimera la ville complète.
Critique "presse":
Un scénario des plus simplistes, à savoir un train sans conducteur lancé à toute vitesse, avec à son bord des produits toxiques, doit être stoppé. Mais un film catastrophe des plus honorables où se mêle action et suspense du début à la fin. Tony Scott fait ce qu'il sait faire de mieux, malheureusement avec son art de l'esbroufe quotidien.
Ma critique:
Au vu de la BA, j'avais pas envie d'aller voir ce film. Un scénario aussi crétin, on peut vraiment faire des films sur n'importe quoi. Puis, il paraît que c'est issu de faits réels, ça reste un film d'action, donc je peux ne pas m'ennuyer. Agréable surprise donc, l'histoire se met bien en place, il y a de l'action tout le long, le tout entrecoupé de scènes où la compagnie ferrovière cherche à se couvrir au maximum. C'est bien fait, si l'on fait abstraction du côté romancé qui plaît tant aux américains: deux messieurs tout le monde (un petit jeune que sa femme ne veut plus voir et le veuf père de deux grandes filles) deviennent des héros. Et bien sûr, on connaît la fin dès le générique de début. Et puis, j'ai pris le train aux Etats-Unis, et croyez-moi, un train va pas aussi vite là-bas. Pas besoin d'hélicoptère ou de locomotive pour le rattraper, le courser tranquillement en marchant suffit.
Réalisé par Tony Scott
Avec Denzel Washington, Chris Pine, Rosario Dawson
Genre : Action
Durée : 01h35
Synopsis :
Un ingénieur et un chauffeur vivent une véritable course contre la montre. Les deux hommes tentent de stopper un train qui transporte des produits toxiques avant que celui-ci ne déraille et répande une flaque toxique qui décimera la ville complète.
Critique "presse":
Un scénario des plus simplistes, à savoir un train sans conducteur lancé à toute vitesse, avec à son bord des produits toxiques, doit être stoppé. Mais un film catastrophe des plus honorables où se mêle action et suspense du début à la fin. Tony Scott fait ce qu'il sait faire de mieux, malheureusement avec son art de l'esbroufe quotidien.
Ma critique:
Au vu de la BA, j'avais pas envie d'aller voir ce film. Un scénario aussi crétin, on peut vraiment faire des films sur n'importe quoi. Puis, il paraît que c'est issu de faits réels, ça reste un film d'action, donc je peux ne pas m'ennuyer. Agréable surprise donc, l'histoire se met bien en place, il y a de l'action tout le long, le tout entrecoupé de scènes où la compagnie ferrovière cherche à se couvrir au maximum. C'est bien fait, si l'on fait abstraction du côté romancé qui plaît tant aux américains: deux messieurs tout le monde (un petit jeune que sa femme ne veut plus voir et le veuf père de deux grandes filles) deviennent des héros. Et bien sûr, on connaît la fin dès le générique de début. Et puis, j'ai pris le train aux Etats-Unis, et croyez-moi, un train va pas aussi vite là-bas. Pas besoin d'hélicoptère ou de locomotive pour le rattraper, le courser tranquillement en marchant suffit.
lundi 22 novembre 2010
Date Limite
Date de sortie: 10 novembre 2010
Réalisé par Todd Phillips
Avec Robert Downey Jr., Zach Galifianakis, Michelle Monaghan, plus
Titre original: Due Date
Genre : Comédie
Durée : 01h35
Synopsis :
Cinq jours séparent Peter Highman du jour où il sera père pour la première fois, au terme de la grossesse de sa femme. Tandis qu’il se dépêche de prendre un vol d’Atlanta pour être à ses côtés pour la naissance, ses meilleures intentions s’en vont à vau-l’eau. Une rencontre fortuite avec Ethan Tremblay, un acteur en quête de reconnaissance, force Peter à faire de l’autostop dans une virée qui va le mener à travers le pays, détruisant au passage plusieurs voitures, de nombreuses amitiés et sa dernière résistance.
Critique "presse":
Un road-trip déjanté porté par un duo d'acteurs improbables. La balourd gentil et maladroit Zack Galifianakis face au speed et sarcastique Robert Downey Jr. Ces deux-là vont devoir faire route ensemble d'Atlanta à Los Angeles. Rencontres improbables et nombreux rebondissements les attendent sur la route. Pas de grosses surprises, on retrouve toutes les idées de ce genre de film, mais ça reste très drôle, surtout grâce aux acteurs.
Ma critique:
Si Todd Phillips avait fait "Due Date" avant "The Hangover", on en aurait nettement moins parlé. Ici, on retrouve Zack Galifianakis toujours en gros maladroit, rôle dans lequel il excelle. Face à lui, Robert Downey Jr, toujours en stress. Si l'association des deux fait sourire et que certains gags font vraiment rire, on s'ennuie un peu à certains moments, et le road-trip nous semble long. Une comédie en dents de scie.
Réalisé par Todd Phillips
Avec Robert Downey Jr., Zach Galifianakis, Michelle Monaghan, plus
Titre original: Due Date
Genre : Comédie
Durée : 01h35
Synopsis :
Cinq jours séparent Peter Highman du jour où il sera père pour la première fois, au terme de la grossesse de sa femme. Tandis qu’il se dépêche de prendre un vol d’Atlanta pour être à ses côtés pour la naissance, ses meilleures intentions s’en vont à vau-l’eau. Une rencontre fortuite avec Ethan Tremblay, un acteur en quête de reconnaissance, force Peter à faire de l’autostop dans une virée qui va le mener à travers le pays, détruisant au passage plusieurs voitures, de nombreuses amitiés et sa dernière résistance.
Critique "presse":
Un road-trip déjanté porté par un duo d'acteurs improbables. La balourd gentil et maladroit Zack Galifianakis face au speed et sarcastique Robert Downey Jr. Ces deux-là vont devoir faire route ensemble d'Atlanta à Los Angeles. Rencontres improbables et nombreux rebondissements les attendent sur la route. Pas de grosses surprises, on retrouve toutes les idées de ce genre de film, mais ça reste très drôle, surtout grâce aux acteurs.
Ma critique:
Si Todd Phillips avait fait "Due Date" avant "The Hangover", on en aurait nettement moins parlé. Ici, on retrouve Zack Galifianakis toujours en gros maladroit, rôle dans lequel il excelle. Face à lui, Robert Downey Jr, toujours en stress. Si l'association des deux fait sourire et que certains gags font vraiment rire, on s'ennuie un peu à certains moments, et le road-trip nous semble long. Une comédie en dents de scie.
L'Homme Qui Voulait Vivre Sa Vie
Date de sortie: 3 novembre 2010
Réalisé par Eric Lartigau
Avec Romain Duris
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h55
Synopsis :
Paul Exben a tout pour être heureux : une belle situation professionnelle, une femme et deux enfants magnifiques. Sauf que cette vie n'est pas celle dont il rêvait. Un coup de folie va faire basculer son existence, l'amenant à endosser une nouvelle identité qui va lui permettre de vivre sa vie.
Critique "presse":
Paul Exben a une belle situation, une belle maison, une femme qu'il aime et deux enfants. Mais ce n'est pas la vie qu'il souhaitait. Suite à un événement qui bouleverse sa vie, il quitte la France et décide de vivre de sa passion, la photographie. Un thriller haletant porté par un Romain Duris intense, hanté par son passé. Eric Lartigau livre une bonne adaptation du roman de Douglas Kennedy grâce à une mise en scène sobre et efficace. Les seconds rôles sont eux aussi excellents.
Ma critique:
Une première partie très bien réalisée. On suit le train-train quotidien de Paul Exben, avocat d'affaires, avec belle voiture, belle maison, femme et enfants. Mais Paul n'aime pas cette vie, sa passion, c'est la photo. Puis Paul découvre que sa femme le trompe avec un voisin photographe (comme de par hasard). Au moment de confronter ce dernier, il le tue accidentellement. Paul décide alors de faire disparaître le corps, et de prendre l'identité du photographe, abandonnant derrière lui sa vie pour vivre de sa passion. Cette première moitié du film est rondement menée, le suspense est bien présent.
Puis Paul arrive au Monténégro pour vivre sa nouvelle vie, comme un inconnu. Il devient photographe, a du talent, rencontre un journaliste qui lui propose un travail. Les photos de Paul sont publiées et on lui propose même d'être exposé dans une galerie. Pour un mec qui veut se faire oublier, c'est raté. Paul décide donc de fuir à nouveau. Cette seconde partie est longue, absolument pas crédible et le suspense n'est plus présent, et la fin est encore pire. C'est dommage, le début était intéressant, mais pas suffisant pour faire un bon film.
Réalisé par Eric Lartigau
Avec Romain Duris
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h55
Synopsis :
Paul Exben a tout pour être heureux : une belle situation professionnelle, une femme et deux enfants magnifiques. Sauf que cette vie n'est pas celle dont il rêvait. Un coup de folie va faire basculer son existence, l'amenant à endosser une nouvelle identité qui va lui permettre de vivre sa vie.
Critique "presse":
Paul Exben a une belle situation, une belle maison, une femme qu'il aime et deux enfants. Mais ce n'est pas la vie qu'il souhaitait. Suite à un événement qui bouleverse sa vie, il quitte la France et décide de vivre de sa passion, la photographie. Un thriller haletant porté par un Romain Duris intense, hanté par son passé. Eric Lartigau livre une bonne adaptation du roman de Douglas Kennedy grâce à une mise en scène sobre et efficace. Les seconds rôles sont eux aussi excellents.
Ma critique:
Une première partie très bien réalisée. On suit le train-train quotidien de Paul Exben, avocat d'affaires, avec belle voiture, belle maison, femme et enfants. Mais Paul n'aime pas cette vie, sa passion, c'est la photo. Puis Paul découvre que sa femme le trompe avec un voisin photographe (comme de par hasard). Au moment de confronter ce dernier, il le tue accidentellement. Paul décide alors de faire disparaître le corps, et de prendre l'identité du photographe, abandonnant derrière lui sa vie pour vivre de sa passion. Cette première moitié du film est rondement menée, le suspense est bien présent.
Puis Paul arrive au Monténégro pour vivre sa nouvelle vie, comme un inconnu. Il devient photographe, a du talent, rencontre un journaliste qui lui propose un travail. Les photos de Paul sont publiées et on lui propose même d'être exposé dans une galerie. Pour un mec qui veut se faire oublier, c'est raté. Paul décide donc de fuir à nouveau. Cette seconde partie est longue, absolument pas crédible et le suspense n'est plus présent, et la fin est encore pire. C'est dommage, le début était intéressant, mais pas suffisant pour faire un bon film.
vendredi 19 novembre 2010
Buried
Date de sortie: 3 novembre 2010
Réalisé par Rodrigo Cortés
Avec Ryan Reynolds
Genre : Thriller
Durée : 01h35
Synopsis :
Ouvrez les yeux. Vous êtes dans un espace clos, sous 1 tonne de terre irakienne avec 90 minutes d’oxygène et pour seule connexion vers l’extérieur un téléphone portable à moitié rechargé. Tel est le destin de Paul, entrepreneur Américain pris en otage et enfermé dans une boîte. Le temps file et chaque seconde qui passe le rapproche d’une morte certaine…
Critique "presse":
Angoissant, haletant, "Buried" est un exercice de style, un film où le suspense vous prend dès les premières images. Le réalisateur essaie de faire tenir ce suspense jusqu'à la fin avec des idées plus ou moins bien trouvées. Un film anti-américain qui vaut surtout pour l'excellente prestation de Ryan Reynolds. Claustros s'abstenir.
Ma critique:
Un véritable huit-clos, c'est bien simple, on ne sort jamais du cercueil, on ne voit pas un seul instant la lumière du jour. Ryan Reynolds est seul au monde et ne communique que grâce à un téléphone portable. L'administration américaine en prend clairement pour son grade, tout comme l'armée, prête à laisser mourir un inconnu et qui cherche avant tout à se couvrir. On progresse tout au long du film avec l'enterré, en cherchant avec lui quelle sera l'issue. Un film qui nous montre jusqu'où l'être humain est prêt à aller quand il est confronté à la mort, mais un film qui à les défauts de ses qualités: on ne sort pas du cercueil, du coup, l'action n'est pas tout le temps présente. Et pour garder le spectateur en haleine, le réalisateur utilise quelques raccourcis scénaristiques.
Réalisé par Rodrigo Cortés
Avec Ryan Reynolds
Genre : Thriller
Durée : 01h35
Synopsis :
Ouvrez les yeux. Vous êtes dans un espace clos, sous 1 tonne de terre irakienne avec 90 minutes d’oxygène et pour seule connexion vers l’extérieur un téléphone portable à moitié rechargé. Tel est le destin de Paul, entrepreneur Américain pris en otage et enfermé dans une boîte. Le temps file et chaque seconde qui passe le rapproche d’une morte certaine…
Critique "presse":
Angoissant, haletant, "Buried" est un exercice de style, un film où le suspense vous prend dès les premières images. Le réalisateur essaie de faire tenir ce suspense jusqu'à la fin avec des idées plus ou moins bien trouvées. Un film anti-américain qui vaut surtout pour l'excellente prestation de Ryan Reynolds. Claustros s'abstenir.
Ma critique:
Un véritable huit-clos, c'est bien simple, on ne sort jamais du cercueil, on ne voit pas un seul instant la lumière du jour. Ryan Reynolds est seul au monde et ne communique que grâce à un téléphone portable. L'administration américaine en prend clairement pour son grade, tout comme l'armée, prête à laisser mourir un inconnu et qui cherche avant tout à se couvrir. On progresse tout au long du film avec l'enterré, en cherchant avec lui quelle sera l'issue. Un film qui nous montre jusqu'où l'être humain est prêt à aller quand il est confronté à la mort, mais un film qui à les défauts de ses qualités: on ne sort pas du cercueil, du coup, l'action n'est pas tout le temps présente. Et pour garder le spectateur en haleine, le réalisateur utilise quelques raccourcis scénaristiques.
lundi 15 novembre 2010
Fair Game
Date de sortie: 3 novembre 2010
Réalisé par Doug Liman
Avec Naomi Watts, Sean Penn
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h46
Synopsis :
Valerie Plame, agent de la CIA au département chargé de la non-prolifération des armes, dirige secrètement une enquête sur l’existence potentielle d’armes de destruction massive en Iraq.
Son mari, le diplomate Joe Wilson, se voit confier la mission d’apporter les preuves d’une supposée vente d’uranium enrichi en provenance du Niger. Mais lorsque l’administration Bush ignore ses conclusions pour justifier le déclenchement de la guerre, Joe Wilson réagit via un éditorial dans le New York Times déclenchant ainsi la polémique. Peu après, la véritable identité de Valerie Plame est révélée par un célèbre journaliste de Washington.
Avec sa couverture réduite à néant et ses contacts à l’étranger en danger de mort, Valerie voit s’effondrer sa carrière et sa vie privée.
Après des années au service du gouvernement américain, elle va devoir maintenant se battre pour sauver sa réputation, sa carrière et sa famille.
Critique "presse":
Doug Liman signe un thriller politique efficace, qui se penche sur la guerre en Irak et ses raisons. La mise en scène manque pourtant de rythme, et le réalisateur perd parfois le fil en s'accrochant trop à la vie privée du couple bafoué. Le film reste néanmoins convaincant, grâce aux interprétations de Naomi Watts et d'un Sean Penn méconnaissable.
Ma critique:
Y'a-t'il ou non des armes de destructions massives en Irak? Si le sujet a déjà été traité plusieurs fois, Doug Liman s'inspire d'une histoire vraie, et préfère ici le thriller politique au film de guerre. Il dénonce les agissements et les manipulations du gouvernement Bush, à travers la politique et les médias. Sur la première partie du film, on suit Valérie Plame agent du FBI, et son mari Joe Wilson, diplomate, à la recherche de preuves sur le terrain. En deuxième partie, on suit leur combat contre le gouvernement, qui cherche à les discréditer. Un bon thriller , qui force à réfléchir sur les agissements des politiques et qui nous montre que les informations relayées par les médias sont à prendre avec du recul. Le tout servi par un duo de comédiens convaincants.
Réalisé par Doug Liman
Avec Naomi Watts, Sean Penn
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h46
Synopsis :
Valerie Plame, agent de la CIA au département chargé de la non-prolifération des armes, dirige secrètement une enquête sur l’existence potentielle d’armes de destruction massive en Iraq.
Son mari, le diplomate Joe Wilson, se voit confier la mission d’apporter les preuves d’une supposée vente d’uranium enrichi en provenance du Niger. Mais lorsque l’administration Bush ignore ses conclusions pour justifier le déclenchement de la guerre, Joe Wilson réagit via un éditorial dans le New York Times déclenchant ainsi la polémique. Peu après, la véritable identité de Valerie Plame est révélée par un célèbre journaliste de Washington.
Avec sa couverture réduite à néant et ses contacts à l’étranger en danger de mort, Valerie voit s’effondrer sa carrière et sa vie privée.
Après des années au service du gouvernement américain, elle va devoir maintenant se battre pour sauver sa réputation, sa carrière et sa famille.
Critique "presse":
Doug Liman signe un thriller politique efficace, qui se penche sur la guerre en Irak et ses raisons. La mise en scène manque pourtant de rythme, et le réalisateur perd parfois le fil en s'accrochant trop à la vie privée du couple bafoué. Le film reste néanmoins convaincant, grâce aux interprétations de Naomi Watts et d'un Sean Penn méconnaissable.
Ma critique:
Y'a-t'il ou non des armes de destructions massives en Irak? Si le sujet a déjà été traité plusieurs fois, Doug Liman s'inspire d'une histoire vraie, et préfère ici le thriller politique au film de guerre. Il dénonce les agissements et les manipulations du gouvernement Bush, à travers la politique et les médias. Sur la première partie du film, on suit Valérie Plame agent du FBI, et son mari Joe Wilson, diplomate, à la recherche de preuves sur le terrain. En deuxième partie, on suit leur combat contre le gouvernement, qui cherche à les discréditer. Un bon thriller , qui force à réfléchir sur les agissements des politiques et qui nous montre que les informations relayées par les médias sont à prendre avec du recul. Le tout servi par un duo de comédiens convaincants.
Vous Allez Rencontrer Un Bel Et Sombre Inconnu
Date de sortie: 6 octobre 2010
Réalisé par Woody Allen
Avec Naomi Watts, Antonio Banderas, Josh Brolin
Titre original : You Will Meet a Tall Dark Stranger
Genre : Comédie , Drame
Durée : 01h38
Synopsis :
Tout commence une nuit, lorsqu’Alfie se réveille, paniqué à l'idée qu'il ne lui reste plus que quelques précieuses années à vivre. Cédant à l'appel du démon de midi, il met abruptement fin à quarante années de mariage en abandonnant sa femme Helena. Après une tentative de suicide et une analyse vite arrêtée, celle-ci trouve un réconfort inattendu auprès d'une voyante, Cristal, qui lui prédit une histoire d'amour avec un "grand inconnu tout de noir vêtu"…
Critique "presse":
Woody Allen signe une comédie noire, au goût de vaudeville, servie par un casting brillant. Il passe d'un personnage à un autre avec brio, à coup de répliques et situations qui font mouche. Mais si ce nouveau Woody est à ranger du côté des bons films du réalisateur, il ne fait preuve d'aucune surprise.
Ma critique:
Une bonne comédie malgré un scénario simple. Une femme âgée qui se laisse avoir par une voyante de pacotille, un écrivain en mal d'inspiration, un vieux riche qui épouse une poule de luxe, une secrétaire qui tombe sous le charme de son patron. Pas d'énormes surprises pour ce film, mais Woody Allen ne tombe pas dans la caricature et l'on passe un bon moment.
Réalisé par Woody Allen
Avec Naomi Watts, Antonio Banderas, Josh Brolin
Titre original : You Will Meet a Tall Dark Stranger
Genre : Comédie , Drame
Durée : 01h38
Synopsis :
Tout commence une nuit, lorsqu’Alfie se réveille, paniqué à l'idée qu'il ne lui reste plus que quelques précieuses années à vivre. Cédant à l'appel du démon de midi, il met abruptement fin à quarante années de mariage en abandonnant sa femme Helena. Après une tentative de suicide et une analyse vite arrêtée, celle-ci trouve un réconfort inattendu auprès d'une voyante, Cristal, qui lui prédit une histoire d'amour avec un "grand inconnu tout de noir vêtu"…
Critique "presse":
Woody Allen signe une comédie noire, au goût de vaudeville, servie par un casting brillant. Il passe d'un personnage à un autre avec brio, à coup de répliques et situations qui font mouche. Mais si ce nouveau Woody est à ranger du côté des bons films du réalisateur, il ne fait preuve d'aucune surprise.
Ma critique:
Une bonne comédie malgré un scénario simple. Une femme âgée qui se laisse avoir par une voyante de pacotille, un écrivain en mal d'inspiration, un vieux riche qui épouse une poule de luxe, une secrétaire qui tombe sous le charme de son patron. Pas d'énormes surprises pour ce film, mais Woody Allen ne tombe pas dans la caricature et l'on passe un bon moment.
jeudi 4 novembre 2010
Les Petits Mouchoirs
Date de sortie: 20 octobre 2010
Réalisé par Guillaume Canet
Avec François Cluzet, Marion Cotillard, Benoît Magimel
Genre : Comédie dramatique
Durée : 02h34
Synopsis :
A la suite d'un événement bouleversant, une bande de copains décide, malgré tout, de partir en vacances au bord de la mer comme chaque année. Leur amitié, leurs certitudes, leur culpabilité, leurs amours en seront ébranlées. Ils vont enfin devoir lever les "petits mouchoirs" qu'ils ont posés sur leurs secrets et leurs mensonges.
Critique "presse":
Une bande de potes doit partir, comme chaque année, en vacances chez le plus friqué d'entre eux. L'un d'eux est victime d'un accident. A partir de là, les autres se posent la question: faut-il partir quand même ou rester? Finalement, ils partent, chacun avec leurs secrets et leurs problèmes, qui finiront par éclater au grand jour. Canet, malgré un sujet connu (la bande de potes), arrive, avec une bonne partie de la fine fleur du cinéma français, à nous emmener dans un tourbillon d'émotions. Tout au long du film, on passe du rire aux larmes. La mise en scène ne se centre pas sur un seul protagoniste et passe avec aisance d'un personnage à un autre, mais le problème, c'est que les persos sont un peu (trop) caricaturaux et que tout au long des 2h30 de film (et oui, quand même!), ils n'évoluent pas des masses. Un film "générationnel" qui tourne au mélodrame, et qui a du mal à se finir.
A noter que faire la critique "presse" de ce film est assez difficile, entre les journalistes qui lèchent les pieds de Canet et ceux qui font preuve d'une extrême jalousie et se contente de descendre le film avec méchanceté plutôt que de délivrer une critique objective.
Ma critique:
Un film sur des trentenaires parisiens et leurs problèmes...J'ai comme une impression de déjà-vu. La différence, c'est que Canet s'en sort mieux que les autres. Son film est long, mais il prend au moins le temps de développer chacun de ses personnages. Mention à Cluzet, excellent (et drôle) dans son rôle de restaurateur stressé qui veut tout contrôler. Pour une fois, dans un film français, la bande-son est digne de ce nom, on ne se contente pas de trois, quatre pauvres notes de piano. Mais pour moi, le gros plus de ce film, c'est la vision que Canet a des relations entre amis. Tout n'est pas tout beau, tout rose. Chacun pense d'abord à ses petits problèmes personnels et fait passer son bonheur avant celui des autres. Une vision et une définition, selon moi, assez vraie de l'amitié.
Voilà pour les points positifs. Pour le négatif, déjà, le film est long (une bonne demi-heure de moins, c'était possible). Ensuite, ça joue trop sur l'émotion: là, faut rire, là, faut pleurer. Et pour finir, pour un film entre potes, j'ai quand même une question? Comment font-ils pour être amis? Comment deux couples posés avec enfants (Cluzet-Bonneton et Magimel-Arbillot) peuvent être amis avec un beauf' (joué par Lellouche, qui change donc de registre...ou pas) coureur de jupons, comédien raté (car oui, dans le film, il n'a pas papa pour le pistonner) et avec la cool Cotillard qui couche avec tout le monde et fume des joints à longueur de temps? Comment peut-on être amis avec un stressé de la vie qui renie son meilleur pote dès qu'il y a un problème? Comment peut-on être ami avec un mec qui passe son temps à se plaindre et à déprimer car sa femme l'a quittée? Franchement, un mec comme ça, tu l'aides au début, mais au fur et à mesure, tu t'éloignes. Et là, je résume. Bref, comment des gens qui n'ont rien en commun peuvent être amis?
Pour conclure, un film qui a les défauts de ses qualités. Pas le meilleur de Canet, même si comme beaucoup, j'ai versé ma petite larme à la fin.
Réalisé par Guillaume Canet
Avec François Cluzet, Marion Cotillard, Benoît Magimel
Genre : Comédie dramatique
Durée : 02h34
Synopsis :
A la suite d'un événement bouleversant, une bande de copains décide, malgré tout, de partir en vacances au bord de la mer comme chaque année. Leur amitié, leurs certitudes, leur culpabilité, leurs amours en seront ébranlées. Ils vont enfin devoir lever les "petits mouchoirs" qu'ils ont posés sur leurs secrets et leurs mensonges.
Critique "presse":
Une bande de potes doit partir, comme chaque année, en vacances chez le plus friqué d'entre eux. L'un d'eux est victime d'un accident. A partir de là, les autres se posent la question: faut-il partir quand même ou rester? Finalement, ils partent, chacun avec leurs secrets et leurs problèmes, qui finiront par éclater au grand jour. Canet, malgré un sujet connu (la bande de potes), arrive, avec une bonne partie de la fine fleur du cinéma français, à nous emmener dans un tourbillon d'émotions. Tout au long du film, on passe du rire aux larmes. La mise en scène ne se centre pas sur un seul protagoniste et passe avec aisance d'un personnage à un autre, mais le problème, c'est que les persos sont un peu (trop) caricaturaux et que tout au long des 2h30 de film (et oui, quand même!), ils n'évoluent pas des masses. Un film "générationnel" qui tourne au mélodrame, et qui a du mal à se finir.
A noter que faire la critique "presse" de ce film est assez difficile, entre les journalistes qui lèchent les pieds de Canet et ceux qui font preuve d'une extrême jalousie et se contente de descendre le film avec méchanceté plutôt que de délivrer une critique objective.
Ma critique:
Un film sur des trentenaires parisiens et leurs problèmes...J'ai comme une impression de déjà-vu. La différence, c'est que Canet s'en sort mieux que les autres. Son film est long, mais il prend au moins le temps de développer chacun de ses personnages. Mention à Cluzet, excellent (et drôle) dans son rôle de restaurateur stressé qui veut tout contrôler. Pour une fois, dans un film français, la bande-son est digne de ce nom, on ne se contente pas de trois, quatre pauvres notes de piano. Mais pour moi, le gros plus de ce film, c'est la vision que Canet a des relations entre amis. Tout n'est pas tout beau, tout rose. Chacun pense d'abord à ses petits problèmes personnels et fait passer son bonheur avant celui des autres. Une vision et une définition, selon moi, assez vraie de l'amitié.
Voilà pour les points positifs. Pour le négatif, déjà, le film est long (une bonne demi-heure de moins, c'était possible). Ensuite, ça joue trop sur l'émotion: là, faut rire, là, faut pleurer. Et pour finir, pour un film entre potes, j'ai quand même une question? Comment font-ils pour être amis? Comment deux couples posés avec enfants (Cluzet-Bonneton et Magimel-Arbillot) peuvent être amis avec un beauf' (joué par Lellouche, qui change donc de registre...ou pas) coureur de jupons, comédien raté (car oui, dans le film, il n'a pas papa pour le pistonner) et avec la cool Cotillard qui couche avec tout le monde et fume des joints à longueur de temps? Comment peut-on être amis avec un stressé de la vie qui renie son meilleur pote dès qu'il y a un problème? Comment peut-on être ami avec un mec qui passe son temps à se plaindre et à déprimer car sa femme l'a quittée? Franchement, un mec comme ça, tu l'aides au début, mais au fur et à mesure, tu t'éloignes. Et là, je résume. Bref, comment des gens qui n'ont rien en commun peuvent être amis?
Pour conclure, un film qui a les défauts de ses qualités. Pas le meilleur de Canet, même si comme beaucoup, j'ai versé ma petite larme à la fin.
The American
Date de sortie: 27 octobre 2010
Réalisé par Anton Corbijn
Avec George Clooney, Thekla Reuten, Bruce Altman
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h43
Synopsis :
Jack est un tueur à gages habile et expérimenté. Toujours en alerte, il n’a aucune attache. Quand une mission tourne mal et lui coûte la vie de la femme qu’il aime, il se fait la promesse que son prochain contrat sera le dernier.
Cette ultime mission le conduit dans un pittoresque village italien niché dans de hautes collines. Mais pour Jack, chaque lieu peut se révéler un piège et chaque personne une menace. Toutefois, il prend goût aux confidences échangées autour d’un armagnac avec le prêtre du village, et se laisse entraîner dans une liaison avec une belle Italienne. Mais en baissant la garde, Jack prend peut-être des risques.
Une menace semble se rapprocher, et la mystérieuse femme qui l’a engagé n’est peut-être pas ce qu’elle prétend...
Critique "presse":
"The American" est un thriller esthétique, un polar dépouillé qui se déroule sur les hauteurs des Abruzzes, avec de nombreuses références à Antonioni et Melville. George Clooney nous montre une autre facette du tueur à gages. On est loin du film d'action traditionnel, ce qui fait du film sa force, mais aussi sa faiblesse.
Ma critique:
George Clooney en tueur à gages passe plus de temps à se cacher et à se poser des questions sur son métier et son avenir qu'à tuer à tout va. Une idée originale, mais on est en droit d'attendre plus d'actions. Je parle pas d'explosions et de courses poursuites toutes les dix minutes, mais boire des cafés, discuter de la vie avec un prêtre et flirter avec une prostituée, ça fait peu pour un film et l'histoire ne raconte pas grand chose, le tout sur un rythme assez lent. Point positif, les images sont belles et ça m'a donné envie de visiter l'Italie.
Réalisé par Anton Corbijn
Avec George Clooney, Thekla Reuten, Bruce Altman
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h43
Synopsis :
Jack est un tueur à gages habile et expérimenté. Toujours en alerte, il n’a aucune attache. Quand une mission tourne mal et lui coûte la vie de la femme qu’il aime, il se fait la promesse que son prochain contrat sera le dernier.
Cette ultime mission le conduit dans un pittoresque village italien niché dans de hautes collines. Mais pour Jack, chaque lieu peut se révéler un piège et chaque personne une menace. Toutefois, il prend goût aux confidences échangées autour d’un armagnac avec le prêtre du village, et se laisse entraîner dans une liaison avec une belle Italienne. Mais en baissant la garde, Jack prend peut-être des risques.
Une menace semble se rapprocher, et la mystérieuse femme qui l’a engagé n’est peut-être pas ce qu’elle prétend...
Critique "presse":
"The American" est un thriller esthétique, un polar dépouillé qui se déroule sur les hauteurs des Abruzzes, avec de nombreuses références à Antonioni et Melville. George Clooney nous montre une autre facette du tueur à gages. On est loin du film d'action traditionnel, ce qui fait du film sa force, mais aussi sa faiblesse.
Ma critique:
George Clooney en tueur à gages passe plus de temps à se cacher et à se poser des questions sur son métier et son avenir qu'à tuer à tout va. Une idée originale, mais on est en droit d'attendre plus d'actions. Je parle pas d'explosions et de courses poursuites toutes les dix minutes, mais boire des cafés, discuter de la vie avec un prêtre et flirter avec une prostituée, ça fait peu pour un film et l'histoire ne raconte pas grand chose, le tout sur un rythme assez lent. Point positif, les images sont belles et ça m'a donné envie de visiter l'Italie.
mercredi 3 novembre 2010
Moi, Moche Et Méchant
Date de sortie: 6 octobre 2010
Réalisé par Pierre Coffin, Chris Renaud
Avec Steve Carell, Jason Segel, Russell Brand
Titre original : Despicable Me
Genre : Animation
Durée : 01h35
Synopsis :
Dans un charmant quartier résidentiel délimité par des clôtures de bois blanc et orné de rosiers fleurissants se dresse une bâtisse noire entourée d’une pelouse en friche. Cette façade sinistre cache un secret : Gru, un méchant vilain, entouré d’une myriade de sous-fifres et armé jusqu’aux dents, qui, à l’insu du voisinage, complote le plus gros casse de tous les temps : voler la lune (Oui, la lune !)...
Gru affectionne toutes sortes de sales joujoux. Il possède une multitude de véhicules de combat aérien et terrestre et un arsenal de rayons immobilisants et rétrécissants avec lesquels il anéantit tous ceux qui osent lui barrer la route... jusqu’au jour où il tombe nez à nez avec trois petites orphelines qui voient en lui quelqu’un de tout à fait différent : un papa.
Le plus grand vilain de tous les temps se retrouve confronté à sa plus dure épreuve : trois fillettes prénommées Margo, Edith et Agnes.
Critique "presse":
Un film d'animation original, où le rôle principal est tenu par le méchant. Succès surprise aux Etats-Unis, "Moi, Moche Et Méchant..." n'a pas une intrigue très poussée mais bénéficie de bonnes idées, avec les minions, aussi nombreux que drôles, un autre super vilain super frimeur, et les trois petites filles, qui en font voir de toutes les couleurs à Gru. Un film attendrissant, qui plaira aux petits comme aux grands, mais qui ne vaut pas un bon Pixar.
Ma critique:
Un bon moment d'humour avec de bons gags. Gru est un spuer vilain, qui veut être le plus grand méchant de tous les temps. Pour ça, il est même prêt à se servir de trois petites orphelines, qui ne recherchent qu'un père. Le film commence bien, beaucoup d'humour noir et Gru est un vrai méchant, mais très (trop) vite, il se laisse berner et attendrir par trois gamines. Passage obligé vu que c'est avant tout un film pour enfants, mais ç'eut pu être mieux, car l'on se doute dès le départ que Gru, moche et méchant, finira en gentil papa.
Réalisé par Pierre Coffin, Chris Renaud
Avec Steve Carell, Jason Segel, Russell Brand
Titre original : Despicable Me
Genre : Animation
Durée : 01h35
Synopsis :
Dans un charmant quartier résidentiel délimité par des clôtures de bois blanc et orné de rosiers fleurissants se dresse une bâtisse noire entourée d’une pelouse en friche. Cette façade sinistre cache un secret : Gru, un méchant vilain, entouré d’une myriade de sous-fifres et armé jusqu’aux dents, qui, à l’insu du voisinage, complote le plus gros casse de tous les temps : voler la lune (Oui, la lune !)...
Gru affectionne toutes sortes de sales joujoux. Il possède une multitude de véhicules de combat aérien et terrestre et un arsenal de rayons immobilisants et rétrécissants avec lesquels il anéantit tous ceux qui osent lui barrer la route... jusqu’au jour où il tombe nez à nez avec trois petites orphelines qui voient en lui quelqu’un de tout à fait différent : un papa.
Le plus grand vilain de tous les temps se retrouve confronté à sa plus dure épreuve : trois fillettes prénommées Margo, Edith et Agnes.
Critique "presse":
Un film d'animation original, où le rôle principal est tenu par le méchant. Succès surprise aux Etats-Unis, "Moi, Moche Et Méchant..." n'a pas une intrigue très poussée mais bénéficie de bonnes idées, avec les minions, aussi nombreux que drôles, un autre super vilain super frimeur, et les trois petites filles, qui en font voir de toutes les couleurs à Gru. Un film attendrissant, qui plaira aux petits comme aux grands, mais qui ne vaut pas un bon Pixar.
Ma critique:
Un bon moment d'humour avec de bons gags. Gru est un spuer vilain, qui veut être le plus grand méchant de tous les temps. Pour ça, il est même prêt à se servir de trois petites orphelines, qui ne recherchent qu'un père. Le film commence bien, beaucoup d'humour noir et Gru est un vrai méchant, mais très (trop) vite, il se laisse berner et attendrir par trois gamines. Passage obligé vu que c'est avant tout un film pour enfants, mais ç'eut pu être mieux, car l'on se doute dès le départ que Gru, moche et méchant, finira en gentil papa.
mercredi 20 octobre 2010
The Social Network
Date de sortie: 13 octobre 2010
Réalisé par David Fincher
Avec Jesse Eisenberg, Justin Timberlake, Andrew Garfield
Genre: Drame
Durée: 2h01
Synopsis :
Une soirée bien arrosée d'octobre 2003, Mark Zuckerberg, un étudiant qui vient de se faire plaquer par sa petite amie, pirate le système informatique de l'Université de Harvard pour créer un site, une base de données de toutes les filles du campus. Il affiche côte à côte deux photos et demande à l'utilisateur de voter pour la plus canon. Il baptise le site Facemash. Le succès est instantané : l'information se diffuse à la vitesse de l'éclair et le site devient viral, détruisant tout le système de Harvard et générant une controverse sur le campus à cause de sa misogynie. Mark est accusé d'avoir violé intentionnellement la sécurité, les droits de reproduction et le respect de la vie privée. C'est pourtant à ce moment qu'est né ce qui deviendra Facebook. Peu après, Mark crée thefacebook.com, qui se répand comme une trainée de poudre d'un écran à l'autre d'abord à Harvard, puis s'ouvre aux principales universités des États-Unis, de l'Ivy League à Silicon Valley, avant de gagner le monde entier...
Cette invention révolutionnaire engendre des conflits passionnés. Quels ont été les faits exacts, qui peut réellement revendiquer la paternité du réseau social planétaire ? Ce qui s'est imposé comme l'une des idées phares du XXIe siècle va faire exploser l'amitié de ses pionniers et déclencher des affrontements aux enjeux colossaux...
Critique "presse":
"The Social Network" bénéficie non seulement d'un travail d'écriture brillant, mais aussi d'une réalisation où se mêlent jeux de pouvoir, d'argent et trahisons, ce qui en fait l'un des films les plus passionnant de cette année 2010. David Fincher et Aaron Sorkin n'ont pas seulement fait un biopic sur Facebook et son créateur, mais ils ont montré les dérives de la société actuelle, qui vit à travers son écran d'ordinateur et perd toutes les notions de la réalité.
Ma critique:
Bon scénario, bonne mise en scène, bons acteurs, pour un très bon film. Ici, l'histoire est centrée sur la création de Facebook par Mark Zuckerberg, décrit comme un surdoué aigri sans vie sociale, prêt à trahir son seul véritable ami. On y voit comment Facebook est devenu le succès d'aujourd'hui et les procès auxquels Zuckerberg doit faire face. On peut seulement regretter que ce film est vu le jour trop tôt, car il ne parle pas des problèmes rencontrés aujourd'hui, comme l'atteinte à la vie privée. Autre problème, "The Social Network" n'est pas un véritable biopic, il faut donc réussir à faire la part des choses entre la fiction et la réalité. Un film à voir.
Réalisé par David Fincher
Avec Jesse Eisenberg, Justin Timberlake, Andrew Garfield
Genre: Drame
Durée: 2h01
Synopsis :
Une soirée bien arrosée d'octobre 2003, Mark Zuckerberg, un étudiant qui vient de se faire plaquer par sa petite amie, pirate le système informatique de l'Université de Harvard pour créer un site, une base de données de toutes les filles du campus. Il affiche côte à côte deux photos et demande à l'utilisateur de voter pour la plus canon. Il baptise le site Facemash. Le succès est instantané : l'information se diffuse à la vitesse de l'éclair et le site devient viral, détruisant tout le système de Harvard et générant une controverse sur le campus à cause de sa misogynie. Mark est accusé d'avoir violé intentionnellement la sécurité, les droits de reproduction et le respect de la vie privée. C'est pourtant à ce moment qu'est né ce qui deviendra Facebook. Peu après, Mark crée thefacebook.com, qui se répand comme une trainée de poudre d'un écran à l'autre d'abord à Harvard, puis s'ouvre aux principales universités des États-Unis, de l'Ivy League à Silicon Valley, avant de gagner le monde entier...
Cette invention révolutionnaire engendre des conflits passionnés. Quels ont été les faits exacts, qui peut réellement revendiquer la paternité du réseau social planétaire ? Ce qui s'est imposé comme l'une des idées phares du XXIe siècle va faire exploser l'amitié de ses pionniers et déclencher des affrontements aux enjeux colossaux...
Critique "presse":
"The Social Network" bénéficie non seulement d'un travail d'écriture brillant, mais aussi d'une réalisation où se mêlent jeux de pouvoir, d'argent et trahisons, ce qui en fait l'un des films les plus passionnant de cette année 2010. David Fincher et Aaron Sorkin n'ont pas seulement fait un biopic sur Facebook et son créateur, mais ils ont montré les dérives de la société actuelle, qui vit à travers son écran d'ordinateur et perd toutes les notions de la réalité.
Ma critique:
Bon scénario, bonne mise en scène, bons acteurs, pour un très bon film. Ici, l'histoire est centrée sur la création de Facebook par Mark Zuckerberg, décrit comme un surdoué aigri sans vie sociale, prêt à trahir son seul véritable ami. On y voit comment Facebook est devenu le succès d'aujourd'hui et les procès auxquels Zuckerberg doit faire face. On peut seulement regretter que ce film est vu le jour trop tôt, car il ne parle pas des problèmes rencontrés aujourd'hui, comme l'atteinte à la vie privée. Autre problème, "The Social Network" n'est pas un véritable biopic, il faut donc réussir à faire la part des choses entre la fiction et la réalité. Un film à voir.
jeudi 14 octobre 2010
Kaboom
Date de sortie: 6 octobre 2010
Réalisé par Gregg Araki
Avec Thomas Dekker, Juno Temple, Roxane Mesquida
Interdit aux moins de 12 ans
Genre : Comédie
Durée : 01h26
Synopsis :
Smith mène une vie tranquille sur le campus - il traîne avec sa meilleure amie, l’insolente Stella, couche avec la belle London, tout en désirant Thor, son sublime colocataire, un surfeur un peu simplet - jusqu’à une nuit terrifiante où tout va basculer. Sous l’effet de space cookies ingérés à une fête, Smith est persuadé d’avoir assisté à l’horrible meurtre de la Fille Rousse énigmatique qui hante ses rêves. En cherchant la vérité, il s’enfonce dans un mystère de plus en plus profond qui changera non seulement sa vie à jamais, mais aussi le sort de l’humanité.
Critique "presse":
Un film totalement délirant et hallucinant qui oscille entre la teen-movie et le film d'horreur avec ses bad trips et du sexe à tout va, le tout avec une mise en scène punchy. Le héros est un ado en quête d'identité sexuelle qui va vivre une aventure onirique à la "Twin Peaks". Le film part dans tous les sens, simplement jouissif.
Ma critique:
Le film commence comme une teen-movie avec sexe, drogue et alcool pour tourner à l'horreur avec enlèvement et meurtre. Mise en scène rythmée, bande-son sympa et répliques cinglantes jusqu'au dénouement: les 20 dernières minutes nous révèle le pourquoi du comment ou plutôt le n'importe quoi du n'importe comment avec une histoire de secte et d'élu aux pouvoirs surnaturels. Le réalisateur est parti dans son délire, à nous de l'y suivre. Soit on accroche, soit on n'accroche pas. Moi, j'ai pas accroché.
Réalisé par Gregg Araki
Avec Thomas Dekker, Juno Temple, Roxane Mesquida
Interdit aux moins de 12 ans
Genre : Comédie
Durée : 01h26
Synopsis :
Smith mène une vie tranquille sur le campus - il traîne avec sa meilleure amie, l’insolente Stella, couche avec la belle London, tout en désirant Thor, son sublime colocataire, un surfeur un peu simplet - jusqu’à une nuit terrifiante où tout va basculer. Sous l’effet de space cookies ingérés à une fête, Smith est persuadé d’avoir assisté à l’horrible meurtre de la Fille Rousse énigmatique qui hante ses rêves. En cherchant la vérité, il s’enfonce dans un mystère de plus en plus profond qui changera non seulement sa vie à jamais, mais aussi le sort de l’humanité.
Critique "presse":
Un film totalement délirant et hallucinant qui oscille entre la teen-movie et le film d'horreur avec ses bad trips et du sexe à tout va, le tout avec une mise en scène punchy. Le héros est un ado en quête d'identité sexuelle qui va vivre une aventure onirique à la "Twin Peaks". Le film part dans tous les sens, simplement jouissif.
Ma critique:
Le film commence comme une teen-movie avec sexe, drogue et alcool pour tourner à l'horreur avec enlèvement et meurtre. Mise en scène rythmée, bande-son sympa et répliques cinglantes jusqu'au dénouement: les 20 dernières minutes nous révèle le pourquoi du comment ou plutôt le n'importe quoi du n'importe comment avec une histoire de secte et d'élu aux pouvoirs surnaturels. Le réalisateur est parti dans son délire, à nous de l'y suivre. Soit on accroche, soit on n'accroche pas. Moi, j'ai pas accroché.
Wall Street: Money Never Sleep
Date de sortie: 29 septembre 2010
Réalisé par Oliver Stone
Avec Michael Douglas, Shia LaBeouf, Josh Brolin
Titre original : Wall Street: Money Never Sleeps
Genre : Drame
Durée : 02h16
Synopsis :
Wall Street, New York : en plein krach boursier de 2008, un jeune trader, Jacob Moore, est prêt à tout pour venger son mentor, que d'obscures tractations financières ont poussé au suicide. Il demande de l'aide à Gordon Gekko, le meilleur - et le pire - des gourous de la finance, qui vient de sortir de 20 ans de prison pour délit d'initié. Jacob va apprendre à ses dépens que Gekko reste un maître de la manipulation, et que l'argent ne dort jamais.
Critique "presse":
Oliver Stone met au centre de son film le krach boursier de 2008 et le scandale des subprimes. Si les rôles sont taillés, comme les costumes, sur mesure et que les répliques font mouche, on ne retrouve pas le cynisme du premier volet. Wall Street 2 penche aussi plus vers le mélodrame familial que vers le thriller financier attendu.
Ma critique:
Si le scénario est assez simpliste (une histoire de vengeance), c'est certainement pour que tout le monde puisse suivre. Car dès que le film commence à parler des rouages de la Bourse, je me suis senti totalement perdu. Du coup, n'y connaissant rien, on suit l'intrigue sans tout comprendre, et ce même si Stone a dû simplifié au maximum. Mais pas besoin d'être un pro de la finance pour savoir que cette suite n'arrive pas à la cheville du premier volet (comme souvent) et que les couleurs et les bronzages font plus penser à un film sur Barbie qu'à un film sur les vautours du milieu financier.
Réalisé par Oliver Stone
Avec Michael Douglas, Shia LaBeouf, Josh Brolin
Titre original : Wall Street: Money Never Sleeps
Genre : Drame
Durée : 02h16
Synopsis :
Wall Street, New York : en plein krach boursier de 2008, un jeune trader, Jacob Moore, est prêt à tout pour venger son mentor, que d'obscures tractations financières ont poussé au suicide. Il demande de l'aide à Gordon Gekko, le meilleur - et le pire - des gourous de la finance, qui vient de sortir de 20 ans de prison pour délit d'initié. Jacob va apprendre à ses dépens que Gekko reste un maître de la manipulation, et que l'argent ne dort jamais.
Critique "presse":
Oliver Stone met au centre de son film le krach boursier de 2008 et le scandale des subprimes. Si les rôles sont taillés, comme les costumes, sur mesure et que les répliques font mouche, on ne retrouve pas le cynisme du premier volet. Wall Street 2 penche aussi plus vers le mélodrame familial que vers le thriller financier attendu.
Ma critique:
Si le scénario est assez simpliste (une histoire de vengeance), c'est certainement pour que tout le monde puisse suivre. Car dès que le film commence à parler des rouages de la Bourse, je me suis senti totalement perdu. Du coup, n'y connaissant rien, on suit l'intrigue sans tout comprendre, et ce même si Stone a dû simplifié au maximum. Mais pas besoin d'être un pro de la finance pour savoir que cette suite n'arrive pas à la cheville du premier volet (comme souvent) et que les couleurs et les bronzages font plus penser à un film sur Barbie qu'à un film sur les vautours du milieu financier.
The Town
Date de sortie : 15 septembre 2010
Réalisé par Ben Affleck
Avec Ben Affleck, Rebecca Hall, Jon Hamm
Genre : Thriller , Drame
Durée : 02h03
Synopsis :
Doug MacRay est un criminel impénitent, le leader de facto d’une impitoyable bande de braqueurs de banque qui s’enorgueillit de voler à leur gré sans se faire prendre. Sans attaches particulières, Doug ne craint jamais la perte d’un être cher. Mais tout va changer le jour où, lors du dernier casse de la bande, ils prennent en otage la directrice de la banque, Claire Keesey.
Bien qu’ils l’aient relâchée indemne, Claire est nerveuse car elle sait que les voleurs connaissent son nom… et savent où elle habite. Mais elle baisse la garde le jour où elle rencontre un homme discret et plutôt charmant du nom de Doug….ne réalisant pas qu’il est celui qui, quelques jours plus tôt, l’avait terrorisée. L’attraction instantanée entre eux va se transformer graduellement en une romance passionnée qui menacera de les entraîner tous deux sur un chemin dangereux et potentiellement mortel.
Critique "presse":
Ben Affleck confirme avec ce second film qu'il est un bon réalisateur en devenir. Il s'intéresse ici à une bande de braqueurs d'un quartier malfamé de la banlieue de Boston et aux problèmes rencontrés par ceux qui veulent s'en sortir. Il y ajoute une histoire d'amour entre le coupable et sa victime. Les acteurs sont bien dirigés, les scènes d'actions bien menées et très rythmées. Au final, un film de braquage plutôt classique mais très efficace.
Ma critique:
Dès le début, on entre dans le vif du sujet, et tout au long du film, le rythme ne faiblit pas entre la romance naissante entre le braqueur et la directrice de la banque, les scènes de braquages très efficaces et l'enquête menée par le FBI. Quelques regrets cependant, on échappe pas aux nombreux clichés du genre ("ce braquage est le dernier, puis on arrête", on sait comment ça va finir... On rajoute à ça le gros méchant qui fait chanter le braqueur, la femme bafouée qui va le trahir, le partenaire incontrôlable qui fait des conneries...), du coup, aucune surprise dans ce film. La fin est elle aussi à revoir. Moins bien que "Gone, Baby Gone".
Réalisé par Ben Affleck
Avec Ben Affleck, Rebecca Hall, Jon Hamm
Genre : Thriller , Drame
Durée : 02h03
Synopsis :
Doug MacRay est un criminel impénitent, le leader de facto d’une impitoyable bande de braqueurs de banque qui s’enorgueillit de voler à leur gré sans se faire prendre. Sans attaches particulières, Doug ne craint jamais la perte d’un être cher. Mais tout va changer le jour où, lors du dernier casse de la bande, ils prennent en otage la directrice de la banque, Claire Keesey.
Bien qu’ils l’aient relâchée indemne, Claire est nerveuse car elle sait que les voleurs connaissent son nom… et savent où elle habite. Mais elle baisse la garde le jour où elle rencontre un homme discret et plutôt charmant du nom de Doug….ne réalisant pas qu’il est celui qui, quelques jours plus tôt, l’avait terrorisée. L’attraction instantanée entre eux va se transformer graduellement en une romance passionnée qui menacera de les entraîner tous deux sur un chemin dangereux et potentiellement mortel.
Critique "presse":
Ben Affleck confirme avec ce second film qu'il est un bon réalisateur en devenir. Il s'intéresse ici à une bande de braqueurs d'un quartier malfamé de la banlieue de Boston et aux problèmes rencontrés par ceux qui veulent s'en sortir. Il y ajoute une histoire d'amour entre le coupable et sa victime. Les acteurs sont bien dirigés, les scènes d'actions bien menées et très rythmées. Au final, un film de braquage plutôt classique mais très efficace.
Ma critique:
Dès le début, on entre dans le vif du sujet, et tout au long du film, le rythme ne faiblit pas entre la romance naissante entre le braqueur et la directrice de la banque, les scènes de braquages très efficaces et l'enquête menée par le FBI. Quelques regrets cependant, on échappe pas aux nombreux clichés du genre ("ce braquage est le dernier, puis on arrête", on sait comment ça va finir... On rajoute à ça le gros méchant qui fait chanter le braqueur, la femme bafouée qui va le trahir, le partenaire incontrôlable qui fait des conneries...), du coup, aucune surprise dans ce film. La fin est elle aussi à revoir. Moins bien que "Gone, Baby Gone".
vendredi 17 septembre 2010
Twelve
Date de sortie: 8 septembre 2010
Réalisé par Joel Schumacher
Avec Chace Crawford, Curtis '50 Cent' Jackson, Rory Culkin
Genre : Drame
Durée : 01h35
Synopsis :
Des adolescents riches et désabusés, des fêtes sans joie, des parents absents, un peu de dope pour le grand frisson et parmi eux, White Mike, jeune dealer qui vient de quitter son école privée de l'Upper East Side à New York.
White Mike ne fume pas, ne boit pas, ne va pas dans les fêtes, sauf pour vendre sa nouvelle drogue, le Twelve.
Notre histoire commence quand Charlie, le cousin de White Mike, est assassiné... et se terminera lors d'un anniversaire, dans la violence et la perdition.
Critique "presse":
Même si le sujet n'est pas nouveau (les problèmes de jeunes riches new-yorkais), Joel Schumacher avait de quoi faire un bon petit film. Finalement, une histoire qui ne raconte pas grand chose, avec une surenchère de la voix-off.
Ma critique:
Les jeunes de l'Upper East Side et leurs problèmes (absence des parents, grosses fêtes, abondance de frics...), ça fait déjà penser à "Gossip Girl" (j'suis un fan) et pour ceux qui n'y pensaient pas encore, on y rajoute Chace Crawford, un des héros de la série. Sauf que là, c'est un bad-boy qui vend de la drogue, et c'est pas bien! Tous les persos sont caricaturaux, dealer black, bombasse superficielle accro au texto, loser de base qui veut être populaire. Il y avait de quoi faire quelque chose de bien, mais finalement, il ne se passe rien.
Réalisé par Joel Schumacher
Avec Chace Crawford, Curtis '50 Cent' Jackson, Rory Culkin
Genre : Drame
Durée : 01h35
Synopsis :
Des adolescents riches et désabusés, des fêtes sans joie, des parents absents, un peu de dope pour le grand frisson et parmi eux, White Mike, jeune dealer qui vient de quitter son école privée de l'Upper East Side à New York.
White Mike ne fume pas, ne boit pas, ne va pas dans les fêtes, sauf pour vendre sa nouvelle drogue, le Twelve.
Notre histoire commence quand Charlie, le cousin de White Mike, est assassiné... et se terminera lors d'un anniversaire, dans la violence et la perdition.
Critique "presse":
Même si le sujet n'est pas nouveau (les problèmes de jeunes riches new-yorkais), Joel Schumacher avait de quoi faire un bon petit film. Finalement, une histoire qui ne raconte pas grand chose, avec une surenchère de la voix-off.
Ma critique:
Les jeunes de l'Upper East Side et leurs problèmes (absence des parents, grosses fêtes, abondance de frics...), ça fait déjà penser à "Gossip Girl" (j'suis un fan) et pour ceux qui n'y pensaient pas encore, on y rajoute Chace Crawford, un des héros de la série. Sauf que là, c'est un bad-boy qui vend de la drogue, et c'est pas bien! Tous les persos sont caricaturaux, dealer black, bombasse superficielle accro au texto, loser de base qui veut être populaire. Il y avait de quoi faire quelque chose de bien, mais finalement, il ne se passe rien.
Piranha 3D
Date de sortie: 1 septembre 2010
Réalisé par Alexandre Aja
Avec Elisabeth Shue, Adam Scott, Jerry O'Connell
Interdit aux moins de 12 ans
Genre : Epouvante-horreur
Durée : 01h29
Synopsis :
Alors que la ville de Lake Victoria s'apprête à recevoir des milliers d'étudiants pour le week-end de Pâques, un tremblement de terre secoue la ville et ouvre, sous le lac, une faille d'où des milliers de piranhas s'échappent. Inconscients du danger qui les guette, tous les étudiants font la fête sur le lac tandis que Julie, la shérif, découvre un premier corps dévoré... La journée va être d'autant plus longue pour elle que Jake, son fils, a délaissé la garde de ses jeunes frères et sœurs pour servir de guide à bord du bateau des sexy Wild Wild Girls !
Critique "presse":
Des filles en bikinis, du gore à outrance, un humour potache: une pure série B! Après "La Colline A Des Yeux", Alexandre Aja fait un autre remake et le réussit tout autant.
Ma critique:
Le scénario est des plus simples: des piranhas préhistoriques vont bouffer de l'ado dévergonde au moment du Spring Break. A partir de là, c'est fiesta! Musiques, alcools, concours de t-shirt mouillés, et bouffe à volonté (uniquement pour les piranhas). C'est gore, c'est drôle, c'est fun, c'est sex. Un film à voir entre potes. Géniaaaal! De plus, les acteurs(trices) sont tous très bon(ne)s, mais encore une fois, la 3D sert pas à grand chose.
Réalisé par Alexandre Aja
Avec Elisabeth Shue, Adam Scott, Jerry O'Connell
Interdit aux moins de 12 ans
Genre : Epouvante-horreur
Durée : 01h29
Synopsis :
Alors que la ville de Lake Victoria s'apprête à recevoir des milliers d'étudiants pour le week-end de Pâques, un tremblement de terre secoue la ville et ouvre, sous le lac, une faille d'où des milliers de piranhas s'échappent. Inconscients du danger qui les guette, tous les étudiants font la fête sur le lac tandis que Julie, la shérif, découvre un premier corps dévoré... La journée va être d'autant plus longue pour elle que Jake, son fils, a délaissé la garde de ses jeunes frères et sœurs pour servir de guide à bord du bateau des sexy Wild Wild Girls !
Critique "presse":
Des filles en bikinis, du gore à outrance, un humour potache: une pure série B! Après "La Colline A Des Yeux", Alexandre Aja fait un autre remake et le réussit tout autant.
Ma critique:
Le scénario est des plus simples: des piranhas préhistoriques vont bouffer de l'ado dévergonde au moment du Spring Break. A partir de là, c'est fiesta! Musiques, alcools, concours de t-shirt mouillés, et bouffe à volonté (uniquement pour les piranhas). C'est gore, c'est drôle, c'est fun, c'est sex. Un film à voir entre potes. Géniaaaal! De plus, les acteurs(trices) sont tous très bon(ne)s, mais encore une fois, la 3D sert pas à grand chose.
Be Bad
Date de sortie: 1 septembre 2010
Réalisé par Miguel Arteta
Avec Michael Cera, Portia Doubleday
Titre original : Youth in Revolt
Genre : Comédie
Durée : 01h31
Synopsis :
Les aventures sentimentalo-rocambolesques de Nick Twisp, un adolescent amoureux lancé sur les traces de la fille de ses rêves, qui s'invente un double pour la séduire...
Critique "presse":
Une énième comédie romantique pour ados avec comme thème principal le dépucelage. Le sujet est tout de même bien traité avec le double maléfique de Michael Cera, encore excellent.
Ma critique:
Michael Cera en ado un peu coincé rencontre en vacances une fille folle de la France. Il en tombe fou amoureux et pour la séduire, il s'invente un double français à l'opposé de son caractère: dangereux, insolent, charmeur. Si l'ensemble du film n'apporte rien à la teen-movie, quelques bonnes idées relève le niveau et il est marrant de voir comment les américains voient les français.
Réalisé par Miguel Arteta
Avec Michael Cera, Portia Doubleday
Titre original : Youth in Revolt
Genre : Comédie
Durée : 01h31
Synopsis :
Les aventures sentimentalo-rocambolesques de Nick Twisp, un adolescent amoureux lancé sur les traces de la fille de ses rêves, qui s'invente un double pour la séduire...
Critique "presse":
Une énième comédie romantique pour ados avec comme thème principal le dépucelage. Le sujet est tout de même bien traité avec le double maléfique de Michael Cera, encore excellent.
Ma critique:
Michael Cera en ado un peu coincé rencontre en vacances une fille folle de la France. Il en tombe fou amoureux et pour la séduire, il s'invente un double français à l'opposé de son caractère: dangereux, insolent, charmeur. Si l'ensemble du film n'apporte rien à la teen-movie, quelques bonnes idées relève le niveau et il est marrant de voir comment les américains voient les français.
vendredi 10 septembre 2010
American Trip
Date de sortie: 1 septembre 2010
Réalisé par Nicholas Stoller
Avec Jonah Hill, Russell Brand, Sean Combs
Titre original : Get Him to the Greek
Genre : Comédie
Durée : 01h49
Synopsis:
Aaron Greenberg est du genre à prendre les choses en main et à résoudre les problèmes. Cet ambitieux stagiaire de 23 ans s’est habilement immiscé dans le job de ses rêves juste à temps pour se voir confier la mission qui pourrait bien déterminer tout son avenir professionnel : il doit se rendre à Londres et ramener Aldous Snow, un des dieux du rock, au Greek Theatre de Los Angeles, à temps pour le concert de lancement d’une tournée au budget astronomique. Une seule mise en garde : s’il le quitte du regard, c’est à ses risques et périls.
Critique "presse":
Un scénario déjanté avec une dénonciation du show-bizness jouissive. Le duo d'acteurs rend le tout encore plus drôle. Malheureusement, c'est assez inégal, souvent vulgaire et les gags sont généralement en dessous de la ceinture.
Ma critique:
Le show-biz dans toute sa splendeur: un producteur qui veut se faire un max de pognon charge un stagiaire qui doit faire ses preuves de ramener une rock-star incontrôlable de Londres à LA. Si le stagiaire doit rendre la vie du rockeur plus facile, la star ne fait rien pour faciliter celle du stagiaire. Il doit ainsi répondre à tous les caprices du chanteur qui n'en fait bien sûr qu'à sa tête. Le film montre ici tous les excès du star-system et tous ses défauts. Si Aldous Snow est adulé par ses fans et toujours bien entouré, ses moindres faits et gestes sont épiés par la presse, et personne n'est vraiment proche de lui. Si le film fonctionne très bien sur les scènes drôles, les moments plus intimes sur la vie de star sont plus chiants. Une bonne dose d'humour bien gras dans son ensemble mais qui a du mal à finir.
Réalisé par Nicholas Stoller
Avec Jonah Hill, Russell Brand, Sean Combs
Titre original : Get Him to the Greek
Genre : Comédie
Durée : 01h49
Synopsis:
Aaron Greenberg est du genre à prendre les choses en main et à résoudre les problèmes. Cet ambitieux stagiaire de 23 ans s’est habilement immiscé dans le job de ses rêves juste à temps pour se voir confier la mission qui pourrait bien déterminer tout son avenir professionnel : il doit se rendre à Londres et ramener Aldous Snow, un des dieux du rock, au Greek Theatre de Los Angeles, à temps pour le concert de lancement d’une tournée au budget astronomique. Une seule mise en garde : s’il le quitte du regard, c’est à ses risques et périls.
Critique "presse":
Un scénario déjanté avec une dénonciation du show-bizness jouissive. Le duo d'acteurs rend le tout encore plus drôle. Malheureusement, c'est assez inégal, souvent vulgaire et les gags sont généralement en dessous de la ceinture.
Ma critique:
Le show-biz dans toute sa splendeur: un producteur qui veut se faire un max de pognon charge un stagiaire qui doit faire ses preuves de ramener une rock-star incontrôlable de Londres à LA. Si le stagiaire doit rendre la vie du rockeur plus facile, la star ne fait rien pour faciliter celle du stagiaire. Il doit ainsi répondre à tous les caprices du chanteur qui n'en fait bien sûr qu'à sa tête. Le film montre ici tous les excès du star-system et tous ses défauts. Si Aldous Snow est adulé par ses fans et toujours bien entouré, ses moindres faits et gestes sont épiés par la presse, et personne n'est vraiment proche de lui. Si le film fonctionne très bien sur les scènes drôles, les moments plus intimes sur la vie de star sont plus chiants. Une bonne dose d'humour bien gras dans son ensemble mais qui a du mal à finir.
Vampires
Date de sortie: 1 septembre 2010
Réalisé par Vincent Lannoo
Avec Carlo Ferrante, Vera Van Dooren, Fleur-Lise Heuet
Genre : Comédie , Fantastique
Durée : 01h32
Synopsis :
Une chaîne de télévision est contactée par une communauté de vampires belges pour un reportage. Après quelques essais manqués (qui coûtent la vie aux reporters envoyés sur place), une équipe parvient à pénétrer le quotidien de la famille de Georges Saint-Germain, sa femme Bertha, Samson son fils incapable et sa fille Grace en pleine crise d’adolescence. Une famille normale quoi.
Critique "presse":
Tourné de la même façon que "C'est Arrivé Près De Chez Vous", on y retrouve le même humour noir qui ravira les amateurs du genre. Un film qui peut mettre mal à l'aise, mais tout l'intérêt est là. Dommage que la seconde partie du film traîne un peu en longueur.
Ma critique:
On est très loin de "Twilight", mais c'est pas plus mal. Si certaines scènes et répliques sont vraiment excellentes, d'autres scènes sont un peu longues et totalement inutiles. Le film a été tourné comme un documentaire, c'est une qualité, comme un défaut, car il n'y a pas véritablement d'intrigue. Heureusement, les personnages sont tous très différents les uns des autres et le film se laisse bien suivre.
Réalisé par Vincent Lannoo
Avec Carlo Ferrante, Vera Van Dooren, Fleur-Lise Heuet
Genre : Comédie , Fantastique
Durée : 01h32
Synopsis :
Une chaîne de télévision est contactée par une communauté de vampires belges pour un reportage. Après quelques essais manqués (qui coûtent la vie aux reporters envoyés sur place), une équipe parvient à pénétrer le quotidien de la famille de Georges Saint-Germain, sa femme Bertha, Samson son fils incapable et sa fille Grace en pleine crise d’adolescence. Une famille normale quoi.
Critique "presse":
Tourné de la même façon que "C'est Arrivé Près De Chez Vous", on y retrouve le même humour noir qui ravira les amateurs du genre. Un film qui peut mettre mal à l'aise, mais tout l'intérêt est là. Dommage que la seconde partie du film traîne un peu en longueur.
Ma critique:
On est très loin de "Twilight", mais c'est pas plus mal. Si certaines scènes et répliques sont vraiment excellentes, d'autres scènes sont un peu longues et totalement inutiles. Le film a été tourné comme un documentaire, c'est une qualité, comme un défaut, car il n'y a pas véritablement d'intrigue. Heureusement, les personnages sont tous très différents les uns des autres et le film se laisse bien suivre.
Salt
Date de sortie: 25 août 2010
Réalisé par Phillip Noyce
Avec Angelina Jolie, Liev Schreiber, Chiwetel Ejiofor
Avertissement
Genre : Espionnage , Thriller
Durée : 01h41
Synopsis :
Evelyn Salt est sans aucun doute l’un des meilleurs agents que la CIA ait jamais comptés dans ses rangs. Pourtant, lorsque la jeune femme est accusée d’être une espionne au service de la Russie, elle doit fuir. Evelyn Salt va faire appel à sa remarquable expertise pour échapper à ceux qui la traquent, y compris dans son propre camp. En cherchant à percer le secret de ceux qui la visent, Salt va brouiller toutes les pistes. Est-elle vraiment ce qu’elle prétend ? Désormais, une seule question se pose : qui est Salt ?
Critique "presse":
Un thriller des plus classiques, avec des rebondissements invraisemblables. Le réalisateur nous fait une surenchère d'actions, de poursuites et de cascades, le tout interprété par l'atout numéro un du film: Angelina Jolie.
Ma critique:
Une histoire déjà vu 100 fois, avec une intrigue principale absolument pas crédible. Salt serait un agent double, voire un agent triple. Elle tombe amoureuse d'un type qu'elle était sensée utiliser et bien sûr, elle est trahie de toute part. Le complot n'est pas locale, ou même national, mais international avec le grand retour au premier plan de la Guerre Froide. Les scènes d'actions sont trop longues et exécutées par l'anorexique Angelina Jolie. Ça veut ressembler à du Jason Bourne, mais on en est loin.
Réalisé par Phillip Noyce
Avec Angelina Jolie, Liev Schreiber, Chiwetel Ejiofor
Avertissement
Genre : Espionnage , Thriller
Durée : 01h41
Synopsis :
Evelyn Salt est sans aucun doute l’un des meilleurs agents que la CIA ait jamais comptés dans ses rangs. Pourtant, lorsque la jeune femme est accusée d’être une espionne au service de la Russie, elle doit fuir. Evelyn Salt va faire appel à sa remarquable expertise pour échapper à ceux qui la traquent, y compris dans son propre camp. En cherchant à percer le secret de ceux qui la visent, Salt va brouiller toutes les pistes. Est-elle vraiment ce qu’elle prétend ? Désormais, une seule question se pose : qui est Salt ?
Critique "presse":
Un thriller des plus classiques, avec des rebondissements invraisemblables. Le réalisateur nous fait une surenchère d'actions, de poursuites et de cascades, le tout interprété par l'atout numéro un du film: Angelina Jolie.
Ma critique:
Une histoire déjà vu 100 fois, avec une intrigue principale absolument pas crédible. Salt serait un agent double, voire un agent triple. Elle tombe amoureuse d'un type qu'elle était sensée utiliser et bien sûr, elle est trahie de toute part. Le complot n'est pas locale, ou même national, mais international avec le grand retour au premier plan de la Guerre Froide. Les scènes d'actions sont trop longues et exécutées par l'anorexique Angelina Jolie. Ça veut ressembler à du Jason Bourne, mais on en est loin.
dimanche 29 août 2010
Le Bruit Des Glaçons
Date de sortie: 25 août 2010
Réalisé par Bertrand Blier
Avec Jean Dujardin, Albert Dupontel, Anne Alvaro
Genre : Comédie dramatique
Durée : 01h27
Synopsis :
C'est l'histoire d'un homme qui reçoit la visite de son cancer. " Bonjour, lui dit le cancer, je suis votre cancer. Je me suis dit que ça serait peut-être pas mal de faire un petit peu connaissance... "
Critique "presse":
Le retour fracassant d'un cinéaste sulfureux, Bertrand Blier. Si le cinéaste ne renoue pas avec son glorieux passé, il nous livre tout de même un film brillamment interprété par le duo Dujardin (en écrivain alcoolique)-Dupontel (en cancer teigneux) ainsi que par d'excellents seconds rôles. Le Bruit Des Glaçons est une comédie noire, entre réalité et absurdité, avec son humour mordant et ses répliques qui font mouche.
Ma critique:
L'idée de départ a le mérite d'être très originale. Il y avait certainement donc moyen de faire beaucoup mieux. Je connaissais pas le cinéma de Blier, j'ai pas envie de le découvrir. Le Bruit Des Glaçons est un film lent, long, extrêmement long pour 1h25. La bande-annonce laissait présager une comédie rythmée, avec de bonnes répliques, mais dès le début du film, on déchante. Une musique horrible accompagne l'arrivée de Dupontel. La rencontre avec Dujardin laisse espérer une meilleure suite des événements et quelques répliques font sourire. C'est d'ailleurs le seul côté positif du film, les deux acteurs, spécialement Dupontel, très crédible en cancer. Pour le reste, on s'ennuie, car il ne se passe presque rien, on tombe dans des dialogues à rallonge et on nous présente des seconds rôles sans grande utilité pour l'avancée du film (que ce soit la femme de Dujardin, son fils ou sa poufiasse soi-disant russe). Rajouter à ça une fin totalement ratée, et vous obtenez un nouveau mauvais film français. La seule différence avec les autres, c'est que celui-là, je croyais vraiment qu'il allait relever le niveau.
Réalisé par Bertrand Blier
Avec Jean Dujardin, Albert Dupontel, Anne Alvaro
Genre : Comédie dramatique
Durée : 01h27
Synopsis :
C'est l'histoire d'un homme qui reçoit la visite de son cancer. " Bonjour, lui dit le cancer, je suis votre cancer. Je me suis dit que ça serait peut-être pas mal de faire un petit peu connaissance... "
Critique "presse":
Le retour fracassant d'un cinéaste sulfureux, Bertrand Blier. Si le cinéaste ne renoue pas avec son glorieux passé, il nous livre tout de même un film brillamment interprété par le duo Dujardin (en écrivain alcoolique)-Dupontel (en cancer teigneux) ainsi que par d'excellents seconds rôles. Le Bruit Des Glaçons est une comédie noire, entre réalité et absurdité, avec son humour mordant et ses répliques qui font mouche.
Ma critique:
L'idée de départ a le mérite d'être très originale. Il y avait certainement donc moyen de faire beaucoup mieux. Je connaissais pas le cinéma de Blier, j'ai pas envie de le découvrir. Le Bruit Des Glaçons est un film lent, long, extrêmement long pour 1h25. La bande-annonce laissait présager une comédie rythmée, avec de bonnes répliques, mais dès le début du film, on déchante. Une musique horrible accompagne l'arrivée de Dupontel. La rencontre avec Dujardin laisse espérer une meilleure suite des événements et quelques répliques font sourire. C'est d'ailleurs le seul côté positif du film, les deux acteurs, spécialement Dupontel, très crédible en cancer. Pour le reste, on s'ennuie, car il ne se passe presque rien, on tombe dans des dialogues à rallonge et on nous présente des seconds rôles sans grande utilité pour l'avancée du film (que ce soit la femme de Dujardin, son fils ou sa poufiasse soi-disant russe). Rajouter à ça une fin totalement ratée, et vous obtenez un nouveau mauvais film français. La seule différence avec les autres, c'est que celui-là, je croyais vraiment qu'il allait relever le niveau.
Step Up 3D
Date de sortie: 18 août 2010
Réalisé par Jon Chu
Avec Adam G. Sevani, Sharni Vinson, Alyson Stoner
Titre original : Step Up 3-D
Genre : Musical
Durée : 01h47
Synopsis :
Fraîchement arrivé à la prestigieuse Université de New York, Moose fait équipe avec une bande de loyaux street dancers et, parmi eux, Luke et Natalie. Ensemble ils vont se mesurer aux meilleurs break dancers du monde au cours d’un affrontement dont l’issue changera leur destin.
Critique "presse":
Un scénario mièvre, mais l'essentiel n'est pas là. Les numéros de danse sont plus impressionnants les uns que les autres, et la 3D sert enfin à quelque chose. Un bon divertissement pour les fans du genre, pour les autres, un film sans intérêts.
Ma critique:
On va passer sur l'histoire des plus gnan-gnan, des mecs venus pour la plupart de la rue qui réalisent leur rêve, c'est du vu et revu. Pour le reste, une super bande-son, des numéros de danse impressionnants et très variés. Et la 3D, si elle est toujours un gadget, peut se justifier ici, et est bien utilisée. Très bon divertissement.
Réalisé par Jon Chu
Avec Adam G. Sevani, Sharni Vinson, Alyson Stoner
Titre original : Step Up 3-D
Genre : Musical
Durée : 01h47
Synopsis :
Fraîchement arrivé à la prestigieuse Université de New York, Moose fait équipe avec une bande de loyaux street dancers et, parmi eux, Luke et Natalie. Ensemble ils vont se mesurer aux meilleurs break dancers du monde au cours d’un affrontement dont l’issue changera leur destin.
Critique "presse":
Un scénario mièvre, mais l'essentiel n'est pas là. Les numéros de danse sont plus impressionnants les uns que les autres, et la 3D sert enfin à quelque chose. Un bon divertissement pour les fans du genre, pour les autres, un film sans intérêts.
Ma critique:
On va passer sur l'histoire des plus gnan-gnan, des mecs venus pour la plupart de la rue qui réalisent leur rêve, c'est du vu et revu. Pour le reste, une super bande-son, des numéros de danse impressionnants et très variés. Et la 3D, si elle est toujours un gadget, peut se justifier ici, et est bien utilisée. Très bon divertissement.
The Expendables
Date de sortie : 18 août 2010
Réalisé par Sylvester Stallone
Avec Sylvester Stallone, Jason Statham, Jet Li
Titre original : The Expendables
Interdit aux moins de 12 ans
Genre : Action
Durée : 01h45
Synopsis :
Ce ne sont ni des mercenaires, ni des agents secrets. Ils choisissent eux-mêmes leurs missions et n'obéissent à aucun gouvernement. Ils ne le font ni pour l'argent, ni pour la gloire, mais parce qu'ils aident les cas désespérés.
Depuis dix ans, Izzy Hands, de la CIA, est sur les traces du chef de ces hommes, Barney Ross. Parce qu'ils ne sont aux ordres de personne, il devient urgent de les empêcher d'agir. Eliminer un général sud-américain n'est pas le genre de job que Barney Ross accepte, mais lorsqu'il découvre les atrocités commises sur des enfants, il ne peut refuser. Avec son équipe d'experts, Ross débarque sur l'île paradisiaque où sévit le tyran. Lorsque l'embuscade se referme sur eux, il comprend que dans son équipe, il y a un traître.
Après avoir échappé de justesse à la mort, ils reviennent aux Etats-Unis, où chaque membre de l'équipe est attendu. Il faudra que chacun atteigne les sommets de son art pour en sortir et démasquer celui qui a trahi...
Critique "presse":
Les gros bras d'aujourd'hui et d'hier presque tous réunis pour un film d'action bourrin avec bastons, explosions et gros guns. Niveau histoire, ça ressemble de près aux films des années 80, entre le peuple opprimé, le dictateur et le traître. Malheureusement, pas assez de second degré. Un divertissement quelconque qui vaut surtout pour son casting.
Ma critique:
Je m'attendais à un film de brutes, c'est un film de brutes. Pas besoin de réfléchir, un scénar' qui tient sur une feuille A4, des effets spéciaux pas à la hauteur, quelques répliques drôles, mais décevant dans son ensemble. Stallone aurait dû plus jouer sur le côté comique des situations, quit à en faire une parodie.
Réalisé par Sylvester Stallone
Avec Sylvester Stallone, Jason Statham, Jet Li
Titre original : The Expendables
Interdit aux moins de 12 ans
Genre : Action
Durée : 01h45
Synopsis :
Ce ne sont ni des mercenaires, ni des agents secrets. Ils choisissent eux-mêmes leurs missions et n'obéissent à aucun gouvernement. Ils ne le font ni pour l'argent, ni pour la gloire, mais parce qu'ils aident les cas désespérés.
Depuis dix ans, Izzy Hands, de la CIA, est sur les traces du chef de ces hommes, Barney Ross. Parce qu'ils ne sont aux ordres de personne, il devient urgent de les empêcher d'agir. Eliminer un général sud-américain n'est pas le genre de job que Barney Ross accepte, mais lorsqu'il découvre les atrocités commises sur des enfants, il ne peut refuser. Avec son équipe d'experts, Ross débarque sur l'île paradisiaque où sévit le tyran. Lorsque l'embuscade se referme sur eux, il comprend que dans son équipe, il y a un traître.
Après avoir échappé de justesse à la mort, ils reviennent aux Etats-Unis, où chaque membre de l'équipe est attendu. Il faudra que chacun atteigne les sommets de son art pour en sortir et démasquer celui qui a trahi...
Critique "presse":
Les gros bras d'aujourd'hui et d'hier presque tous réunis pour un film d'action bourrin avec bastons, explosions et gros guns. Niveau histoire, ça ressemble de près aux films des années 80, entre le peuple opprimé, le dictateur et le traître. Malheureusement, pas assez de second degré. Un divertissement quelconque qui vaut surtout pour son casting.
Ma critique:
Je m'attendais à un film de brutes, c'est un film de brutes. Pas besoin de réfléchir, un scénar' qui tient sur une feuille A4, des effets spéciaux pas à la hauteur, quelques répliques drôles, mais décevant dans son ensemble. Stallone aurait dû plus jouer sur le côté comique des situations, quit à en faire une parodie.
jeudi 12 août 2010
L'Apprenti Sorcier
Date de sortie: 11 août 2010
Réalisé par Jon Turteltaub
Avec Nicolas Cage, Jay Baruchel, Teresa Palmer
Titre original : The Sorcerer's Apprentice
Genre : Fantastique , Drame
Durée : 01h45
Synopsis :
Balthazar Blake est un grand sorcier vivant de nos jours à Manhattan. Il tente de défendre la ville contre son ennemi juré, Maxim Horvath. Balthazar ne pouvant y arriver seul, il engage alors - un peu malgré lui - Dave Stutler, un garçon apparemment ordinaire qui a pourtant un vrai potentiel, pour devenir son apprenti. Le sorcier donne à son apprenti réticent un cours express sur l’art et la science de la magie, et ensemble, ces deux associés improbables vont tenter de stopper les forces des ténèbres. Il faudra à Dave tout son courage, et même davantage, pour survivre à sa formation, sauver la ville et embrasser la fille qu’il aime…
Critique "presse:
Un blockbuster pour les enfants. Le film n'apporte rien de bien nouveau au genre, ni suspense, ni surprise, mais il a le mérite de divertir du début à la fin. Un film qui remplit bien son rôle, avec son lot de scènes d'actions et d'humour, et ce malgré des effets spéciaux décevants.
Ma critique:
N'attendant pas grand-chose du film, j'ai été agréablement surpris. Si le blockbuster d'été n'est pas révolutionné ici, on passe un bon moment. Le scénario tient la route sans être extraordinaire, Jay Baruchel et Nicolas Cage sont tous les deux bons, il y a ce qu'il faut d'action, d'humour et de romance. Les effets spéciaux ne sont pas si décevants et la bande-son est assez réussie. Un film qui remplit parfaitement son rôle de divertissement.
Réalisé par Jon Turteltaub
Avec Nicolas Cage, Jay Baruchel, Teresa Palmer
Titre original : The Sorcerer's Apprentice
Genre : Fantastique , Drame
Durée : 01h45
Synopsis :
Balthazar Blake est un grand sorcier vivant de nos jours à Manhattan. Il tente de défendre la ville contre son ennemi juré, Maxim Horvath. Balthazar ne pouvant y arriver seul, il engage alors - un peu malgré lui - Dave Stutler, un garçon apparemment ordinaire qui a pourtant un vrai potentiel, pour devenir son apprenti. Le sorcier donne à son apprenti réticent un cours express sur l’art et la science de la magie, et ensemble, ces deux associés improbables vont tenter de stopper les forces des ténèbres. Il faudra à Dave tout son courage, et même davantage, pour survivre à sa formation, sauver la ville et embrasser la fille qu’il aime…
Critique "presse:
Un blockbuster pour les enfants. Le film n'apporte rien de bien nouveau au genre, ni suspense, ni surprise, mais il a le mérite de divertir du début à la fin. Un film qui remplit bien son rôle, avec son lot de scènes d'actions et d'humour, et ce malgré des effets spéciaux décevants.
Ma critique:
N'attendant pas grand-chose du film, j'ai été agréablement surpris. Si le blockbuster d'été n'est pas révolutionné ici, on passe un bon moment. Le scénario tient la route sans être extraordinaire, Jay Baruchel et Nicolas Cage sont tous les deux bons, il y a ce qu'il faut d'action, d'humour et de romance. Les effets spéciaux ne sont pas si décevants et la bande-son est assez réussie. Un film qui remplit parfaitement son rôle de divertissement.
Le Dernier Maître De L'Air
Date de sortie: 28 juillet 2010
Réalisé par M. Night Shyamalan
Avec Noah Ringer, Dev Patel, Nicola Peltz
Titre original : The Last Airbender
Genre : Aventure
Durée : 01h43
Synopsis :
Air, Eau, Terre, Feu : l'équilibre du monde bascule par une guerre sauvage engagée depuis un siècle déjà par la Nation du Feu contre les trois autres nations. Mettant au défi son courage et son aptitude au combat, Aang découvre qu’il est le nouvel Avatar, seul être capable de maîtriser les quatre éléments. Il s’allie à Katara, un Maître de l’Eau, et à son frère aîné Sokka, afin de stopper la Nation du Feu avant qu'il ne soit trop tard...
Critique "presse":
M. Night Shyamalan s'essaie à un nouveau genre, le film pour enfants. C'est raté. Un scénario et des dialogues niais, des acteurs loin d'être irréprochables. Les effets spéciaux sauvent un peu le tout, mais juste un peu. Une mauvaise adaptation.
Ma critique:
De M. Night Shyamalan, j'ai aimé "Le Sixième Sens" et ...c'est tout. Comme pas mal de gens en fait. Son précédent film était un peu passé inaperçu (car mauvais j'imagine, mais j'ai pas vu, je ne jugerai donc pas "La Jeune Fille De L'Eau"), mais avec cette adaptation, Shyamalan ne relève pas le niveau, bien au contraire. Si la bande-annonce ne promettait pas le film de l'année, on était quand même en droit de s'attendre à un bon divertissement, il n'en est rien. Déjà, à savoir (et ce que j'ignorais), c'est clairement pour les mômes. Genre "Le Monde De Narnia" avec des bestioles velues, de la magie et des rôles principaux tenus par des ptits jeunes. Passé cette surprise, on doit faire face à un scénario pourri avec des dialogues super niais (on ne peut donc pas trop en vouloir aux acteurs d'être mauvais), une mise en scène naze (on passe d'une scène à une autre sans aucun liant), les persos font des gestes super kitschs pour faire fonctionner leur pouvoir, ce qui rend les combats ridicules, les effets spéciaux ne relevant pas le niveau. La 3D est encore plus inutile que d'habitude (à part les sous-titres, y'a quoi en 3D?) Et pour finir en beauté, l'avatar ne maitrise pas encore les 4 éléments, ce qui indique qu'il y aura peut-être une suite! O joie! Le seul point positif? Pas dit que des prods refassent confiance à Shyamalan avant un moment :-)
Réalisé par M. Night Shyamalan
Avec Noah Ringer, Dev Patel, Nicola Peltz
Titre original : The Last Airbender
Genre : Aventure
Durée : 01h43
Synopsis :
Air, Eau, Terre, Feu : l'équilibre du monde bascule par une guerre sauvage engagée depuis un siècle déjà par la Nation du Feu contre les trois autres nations. Mettant au défi son courage et son aptitude au combat, Aang découvre qu’il est le nouvel Avatar, seul être capable de maîtriser les quatre éléments. Il s’allie à Katara, un Maître de l’Eau, et à son frère aîné Sokka, afin de stopper la Nation du Feu avant qu'il ne soit trop tard...
Critique "presse":
M. Night Shyamalan s'essaie à un nouveau genre, le film pour enfants. C'est raté. Un scénario et des dialogues niais, des acteurs loin d'être irréprochables. Les effets spéciaux sauvent un peu le tout, mais juste un peu. Une mauvaise adaptation.
Ma critique:
De M. Night Shyamalan, j'ai aimé "Le Sixième Sens" et ...c'est tout. Comme pas mal de gens en fait. Son précédent film était un peu passé inaperçu (car mauvais j'imagine, mais j'ai pas vu, je ne jugerai donc pas "La Jeune Fille De L'Eau"), mais avec cette adaptation, Shyamalan ne relève pas le niveau, bien au contraire. Si la bande-annonce ne promettait pas le film de l'année, on était quand même en droit de s'attendre à un bon divertissement, il n'en est rien. Déjà, à savoir (et ce que j'ignorais), c'est clairement pour les mômes. Genre "Le Monde De Narnia" avec des bestioles velues, de la magie et des rôles principaux tenus par des ptits jeunes. Passé cette surprise, on doit faire face à un scénario pourri avec des dialogues super niais (on ne peut donc pas trop en vouloir aux acteurs d'être mauvais), une mise en scène naze (on passe d'une scène à une autre sans aucun liant), les persos font des gestes super kitschs pour faire fonctionner leur pouvoir, ce qui rend les combats ridicules, les effets spéciaux ne relevant pas le niveau. La 3D est encore plus inutile que d'habitude (à part les sous-titres, y'a quoi en 3D?) Et pour finir en beauté, l'avatar ne maitrise pas encore les 4 éléments, ce qui indique qu'il y aura peut-être une suite! O joie! Le seul point positif? Pas dit que des prods refassent confiance à Shyamalan avant un moment :-)
Millénium 3: La Reine Dans Le Palais Des Courants D'Air
Date de sortie: 28 juillet 2010
Réalisé par Daniel Alfredson
Avec Michael Nyqvist, Noomi Rapace, Lena Endre
Titre original : Luftslottet som sprängdes
Genre : Policier
Durée : 02h27
Synopsis :
Après avoir échappé de peu à la mort, Lisbeth Salander se retrouve immobilisée à l'hôpital, dans l'incapacité d'agir... De nombreux chefs d'accusation pèsent toujours sur elle et la font placer en isolement par la police, dans une chambre jouxtant celle de son père, qui la hait et qui n'est guère en meilleur état qu'elle... A l'extérieur, Mikael Blomkvist continue de mener l'enquête sans pouvoir avoir le moindre contact avec Lisbeth. Il ne tarde pas à mettre à jour certaines activités souterraines menées par les services secrets. Ce qui pourrait déstabiliser les hautes sphères de l'État mais surtout blanchir Lisbeth une bonne fois pour toutes.
Critique "presse":
Ce troisième volet des aventures de Mikael Blomkvist et Lisbeth Salander est dans la lignée du précédent. Quelques séquences un peu longues, une mise en scène qui manque de rythme, malgré ça, le suspense est bien présent. Une bonne adaptation dans l'ensemble.
Ma critique:
Cet épisode est la suite direct du précédent. On retrouve donc une Lisbeth clouée à son lit d'hôpital, qu'elle ne quittera que pour la prison, en attendant son procès. De son côté, Mikael essaie toujours de prouver son innocence, et se rend compte que les hautes instances de l'Etat seraient au coeur d'un scandale et cherchent à faire taire Lisbeth. Cet épisode est plutôt un thriller politique, avec comme point d'orgue, le procès de Lisbeth, très bien ficelé. Très bon suspense, et toujours des bons acteurs. Pas mieux que le 1, mais mieux que le 2.
Réalisé par Daniel Alfredson
Avec Michael Nyqvist, Noomi Rapace, Lena Endre
Titre original : Luftslottet som sprängdes
Genre : Policier
Durée : 02h27
Synopsis :
Après avoir échappé de peu à la mort, Lisbeth Salander se retrouve immobilisée à l'hôpital, dans l'incapacité d'agir... De nombreux chefs d'accusation pèsent toujours sur elle et la font placer en isolement par la police, dans une chambre jouxtant celle de son père, qui la hait et qui n'est guère en meilleur état qu'elle... A l'extérieur, Mikael Blomkvist continue de mener l'enquête sans pouvoir avoir le moindre contact avec Lisbeth. Il ne tarde pas à mettre à jour certaines activités souterraines menées par les services secrets. Ce qui pourrait déstabiliser les hautes sphères de l'État mais surtout blanchir Lisbeth une bonne fois pour toutes.
Critique "presse":
Ce troisième volet des aventures de Mikael Blomkvist et Lisbeth Salander est dans la lignée du précédent. Quelques séquences un peu longues, une mise en scène qui manque de rythme, malgré ça, le suspense est bien présent. Une bonne adaptation dans l'ensemble.
Ma critique:
Cet épisode est la suite direct du précédent. On retrouve donc une Lisbeth clouée à son lit d'hôpital, qu'elle ne quittera que pour la prison, en attendant son procès. De son côté, Mikael essaie toujours de prouver son innocence, et se rend compte que les hautes instances de l'Etat seraient au coeur d'un scandale et cherchent à faire taire Lisbeth. Cet épisode est plutôt un thriller politique, avec comme point d'orgue, le procès de Lisbeth, très bien ficelé. Très bon suspense, et toujours des bons acteurs. Pas mieux que le 1, mais mieux que le 2.
vendredi 30 juillet 2010
Night And Day
Date de sortie: 28 juillet 2010
Réalisé par James Mangold
Avec Tom Cruise, Cameron Diaz, Peter Sarsgaard
Titre original : Knight and Day
Genre : Comédie , Action
Durée : 01h40
Synopsis :
Lorsque June rencontre Roy, elle croit que le destin lui sourit enfin et qu’elle a trouvé l’homme de ses rêves. Pourtant, très vite, elle le suspecte d’être un espion et le cauchemar commence.
Elle se retrouve traquée avec lui dans une course poursuite à travers la planète qui ne leur laisse aucun répit. Leur vie ne tient qu’à un fil et le danger est partout. Pour avoir une chance de s’en sortir, June et Roy doivent se faire confiance au point de se confier leurs vies. Mais est-ce bien raisonnable ?
Critique "presse":
Un blockbuster d'été, une comédie d'action qui va à 100 à l'heure. "Night And Day" ne se prend jamais au sérieux, avec des scènes d'actions délirantes et ce malgré une overdose d'effets numériques. Le tout livré par le couple glamour Tom Cruise (en agent secret cinglé)-Cameron Diaz. Un divertissement plaisant, sans plus.
Ma critique:
Que c'est mauvais. ça part dans tous les sens, pas un seul instant de répit, et pourtant, l'ennui pointe. C'est totalement invraisemblable, mais on entre pas dans le délire. Tom Cruise qui passe de l'agent secret de "Mission Impossible" à ça et Cameron Diaz en hystérique plutôt moche ou comment deux stars sur le retour tentent un come-back mais se ratent de façon assez lamentable. Dans le même genre, je crois même que "Kiss & Kill" était mieux. A oublier.
Réalisé par James Mangold
Avec Tom Cruise, Cameron Diaz, Peter Sarsgaard
Titre original : Knight and Day
Genre : Comédie , Action
Durée : 01h40
Synopsis :
Lorsque June rencontre Roy, elle croit que le destin lui sourit enfin et qu’elle a trouvé l’homme de ses rêves. Pourtant, très vite, elle le suspecte d’être un espion et le cauchemar commence.
Elle se retrouve traquée avec lui dans une course poursuite à travers la planète qui ne leur laisse aucun répit. Leur vie ne tient qu’à un fil et le danger est partout. Pour avoir une chance de s’en sortir, June et Roy doivent se faire confiance au point de se confier leurs vies. Mais est-ce bien raisonnable ?
Critique "presse":
Un blockbuster d'été, une comédie d'action qui va à 100 à l'heure. "Night And Day" ne se prend jamais au sérieux, avec des scènes d'actions délirantes et ce malgré une overdose d'effets numériques. Le tout livré par le couple glamour Tom Cruise (en agent secret cinglé)-Cameron Diaz. Un divertissement plaisant, sans plus.
Ma critique:
Que c'est mauvais. ça part dans tous les sens, pas un seul instant de répit, et pourtant, l'ennui pointe. C'est totalement invraisemblable, mais on entre pas dans le délire. Tom Cruise qui passe de l'agent secret de "Mission Impossible" à ça et Cameron Diaz en hystérique plutôt moche ou comment deux stars sur le retour tentent un come-back mais se ratent de façon assez lamentable. Dans le même genre, je crois même que "Kiss & Kill" était mieux. A oublier.
Inception
Date de sortie: 21 juillet 2010
Réalisé par Christopher Nolan
Avec Leonardo DiCaprio, Marion Cotillard, Ellen Page
Genre : Science fiction , Thriller
Durée : 02h28
Synopsis :
Dom Cobb est un voleur expérimenté – le meilleur qui soit dans l’art périlleux de l’extraction : sa spécialité consiste à s’approprier les secrets les plus précieux d’un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu’il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable. Très recherché pour ses talents dans l’univers trouble de l’espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier qui a perdu tout ce qui lui est cher. Mais une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie d’avant – à condition qu’il puisse accomplir l’impossible : l’inception. Au lieu de subtiliser un rêve, Cobb et son équipe doivent faire l’inverse : implanter une idée dans l’esprit d’un individu. S’ils y parviennent, il pourrait s’agir du crime parfait. Et pourtant, aussi méthodiques et doués soient-ils, rien n’aurait pu préparer Cobb et ses partenaires à un ennemi redoutable qui semble avoir systématiquement un coup d’avance sur eux. Un ennemi dont seul Cobb aurait pu soupçonner l’existence.
Critique "presse":
Un film entre thriller et science-fiction, réalisé d'une main de maître par Christopher Nolan. Visuellement et esthétiquement magnifique, Nolan nous emmène dans une histoire plus qu'originale entre rêve et réalité, le tout avec un casting de tout premier ordre. Impressionnant.
Ma critique:
Je suis allé le voir deux fois en une semaine, pas qu'il soit génial, mais pour bien tout comprendre. Je m'explique. La première fois, je m'attendais au film de l'année, super casting, super BA, Nolan aux commandes, des critiques toutes positives. Cela ne laissait présager que du bon. Finalement, j'ai été un peu déçu, j'en attendais peut-être trop, mais je ne suis jamais totalement rentré dans cet univers créé par Nolan. Le casting est excellent, les effets spéciaux magnifiques (la scène en apesanteur m'a scotché) et visuellement, y'a rien à redire. Le scénario est très (trop) poussé avec de nombreux rebondissements qui tiennent le spectateur en haleine jusqu'à la fin, mais Nolan a tellement de choses à raconter qu'il perd un peu le spectateur, et il faut s'accrocher pour comprendre tout ce qu'il se passe. La deuxième fois m'a permis de répondre à de nombreuses questions et d'éclaircir certaines zones d'ombres mais a aussi soulever d'autres questions.
Le film en lui-même: "Inception" est à séparer en deux parties, la première où on nous explique (vite) ce qu'est l' "inception" et où DiCaprio construit son équipe (au passage, on apprend absolument rien d'eux, de leur motivation mise à part l'argent, de comment ils sont arrivés là et de pourquoi eux et pas un autre), la deuxième partie, on entre dans le rêve (de l'action, des courses-poursuites, du suspenses, tout y est). On ne s'ennuie pas durant les 2h30 du film, mais le gros problème, c'est que Nolan a choisi un sujet hyper-complexe qui ne peut être traité sur ces seules 2h30. Certaines critiques disent qu'on ressort du film la tête à l'envers et c'est vrai, plein de spectateurs en discutaient aussitôt le film fini ("et pourquoi çi? et pourquoi ça? etc..."). Perso, je vois pas l'intérêt de se poser des centaines de questions, on s'y perd. Nolan aurait dû simplifier son sujet où en faire une trilogie dès le départ, pour bien exploiter le sujet et répondre aux questions que tout le monde se pose. Très bon film, mais pas mieux que "The Matrix" (le premier s'entend) dans le même genre, et pas mieux que "The Dark Knight" dans la filmographie de Nolan.
Réalisé par Christopher Nolan
Avec Leonardo DiCaprio, Marion Cotillard, Ellen Page
Genre : Science fiction , Thriller
Durée : 02h28
Synopsis :
Dom Cobb est un voleur expérimenté – le meilleur qui soit dans l’art périlleux de l’extraction : sa spécialité consiste à s’approprier les secrets les plus précieux d’un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu’il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable. Très recherché pour ses talents dans l’univers trouble de l’espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier qui a perdu tout ce qui lui est cher. Mais une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie d’avant – à condition qu’il puisse accomplir l’impossible : l’inception. Au lieu de subtiliser un rêve, Cobb et son équipe doivent faire l’inverse : implanter une idée dans l’esprit d’un individu. S’ils y parviennent, il pourrait s’agir du crime parfait. Et pourtant, aussi méthodiques et doués soient-ils, rien n’aurait pu préparer Cobb et ses partenaires à un ennemi redoutable qui semble avoir systématiquement un coup d’avance sur eux. Un ennemi dont seul Cobb aurait pu soupçonner l’existence.
Critique "presse":
Un film entre thriller et science-fiction, réalisé d'une main de maître par Christopher Nolan. Visuellement et esthétiquement magnifique, Nolan nous emmène dans une histoire plus qu'originale entre rêve et réalité, le tout avec un casting de tout premier ordre. Impressionnant.
Ma critique:
Je suis allé le voir deux fois en une semaine, pas qu'il soit génial, mais pour bien tout comprendre. Je m'explique. La première fois, je m'attendais au film de l'année, super casting, super BA, Nolan aux commandes, des critiques toutes positives. Cela ne laissait présager que du bon. Finalement, j'ai été un peu déçu, j'en attendais peut-être trop, mais je ne suis jamais totalement rentré dans cet univers créé par Nolan. Le casting est excellent, les effets spéciaux magnifiques (la scène en apesanteur m'a scotché) et visuellement, y'a rien à redire. Le scénario est très (trop) poussé avec de nombreux rebondissements qui tiennent le spectateur en haleine jusqu'à la fin, mais Nolan a tellement de choses à raconter qu'il perd un peu le spectateur, et il faut s'accrocher pour comprendre tout ce qu'il se passe. La deuxième fois m'a permis de répondre à de nombreuses questions et d'éclaircir certaines zones d'ombres mais a aussi soulever d'autres questions.
Le film en lui-même: "Inception" est à séparer en deux parties, la première où on nous explique (vite) ce qu'est l' "inception" et où DiCaprio construit son équipe (au passage, on apprend absolument rien d'eux, de leur motivation mise à part l'argent, de comment ils sont arrivés là et de pourquoi eux et pas un autre), la deuxième partie, on entre dans le rêve (de l'action, des courses-poursuites, du suspenses, tout y est). On ne s'ennuie pas durant les 2h30 du film, mais le gros problème, c'est que Nolan a choisi un sujet hyper-complexe qui ne peut être traité sur ces seules 2h30. Certaines critiques disent qu'on ressort du film la tête à l'envers et c'est vrai, plein de spectateurs en discutaient aussitôt le film fini ("et pourquoi çi? et pourquoi ça? etc..."). Perso, je vois pas l'intérêt de se poser des centaines de questions, on s'y perd. Nolan aurait dû simplifier son sujet où en faire une trilogie dès le départ, pour bien exploiter le sujet et répondre aux questions que tout le monde se pose. Très bon film, mais pas mieux que "The Matrix" (le premier s'entend) dans le même genre, et pas mieux que "The Dark Knight" dans la filmographie de Nolan.
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