Date de sortie: 28 juillet 2010
Réalisé par James Mangold
Avec Tom Cruise, Cameron Diaz, Peter Sarsgaard
Titre original : Knight and Day
Genre : Comédie , Action
Durée : 01h40
Synopsis :
Lorsque June rencontre Roy, elle croit que le destin lui sourit enfin et qu’elle a trouvé l’homme de ses rêves. Pourtant, très vite, elle le suspecte d’être un espion et le cauchemar commence.
Elle se retrouve traquée avec lui dans une course poursuite à travers la planète qui ne leur laisse aucun répit. Leur vie ne tient qu’à un fil et le danger est partout. Pour avoir une chance de s’en sortir, June et Roy doivent se faire confiance au point de se confier leurs vies. Mais est-ce bien raisonnable ?
Critique "presse":
Un blockbuster d'été, une comédie d'action qui va à 100 à l'heure. "Night And Day" ne se prend jamais au sérieux, avec des scènes d'actions délirantes et ce malgré une overdose d'effets numériques. Le tout livré par le couple glamour Tom Cruise (en agent secret cinglé)-Cameron Diaz. Un divertissement plaisant, sans plus.
Ma critique:
Que c'est mauvais. ça part dans tous les sens, pas un seul instant de répit, et pourtant, l'ennui pointe. C'est totalement invraisemblable, mais on entre pas dans le délire. Tom Cruise qui passe de l'agent secret de "Mission Impossible" à ça et Cameron Diaz en hystérique plutôt moche ou comment deux stars sur le retour tentent un come-back mais se ratent de façon assez lamentable. Dans le même genre, je crois même que "Kiss & Kill" était mieux. A oublier.
vendredi 30 juillet 2010
Inception
Date de sortie: 21 juillet 2010
Réalisé par Christopher Nolan
Avec Leonardo DiCaprio, Marion Cotillard, Ellen Page
Genre : Science fiction , Thriller
Durée : 02h28
Synopsis :
Dom Cobb est un voleur expérimenté – le meilleur qui soit dans l’art périlleux de l’extraction : sa spécialité consiste à s’approprier les secrets les plus précieux d’un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu’il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable. Très recherché pour ses talents dans l’univers trouble de l’espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier qui a perdu tout ce qui lui est cher. Mais une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie d’avant – à condition qu’il puisse accomplir l’impossible : l’inception. Au lieu de subtiliser un rêve, Cobb et son équipe doivent faire l’inverse : implanter une idée dans l’esprit d’un individu. S’ils y parviennent, il pourrait s’agir du crime parfait. Et pourtant, aussi méthodiques et doués soient-ils, rien n’aurait pu préparer Cobb et ses partenaires à un ennemi redoutable qui semble avoir systématiquement un coup d’avance sur eux. Un ennemi dont seul Cobb aurait pu soupçonner l’existence.
Critique "presse":
Un film entre thriller et science-fiction, réalisé d'une main de maître par Christopher Nolan. Visuellement et esthétiquement magnifique, Nolan nous emmène dans une histoire plus qu'originale entre rêve et réalité, le tout avec un casting de tout premier ordre. Impressionnant.
Ma critique:
Je suis allé le voir deux fois en une semaine, pas qu'il soit génial, mais pour bien tout comprendre. Je m'explique. La première fois, je m'attendais au film de l'année, super casting, super BA, Nolan aux commandes, des critiques toutes positives. Cela ne laissait présager que du bon. Finalement, j'ai été un peu déçu, j'en attendais peut-être trop, mais je ne suis jamais totalement rentré dans cet univers créé par Nolan. Le casting est excellent, les effets spéciaux magnifiques (la scène en apesanteur m'a scotché) et visuellement, y'a rien à redire. Le scénario est très (trop) poussé avec de nombreux rebondissements qui tiennent le spectateur en haleine jusqu'à la fin, mais Nolan a tellement de choses à raconter qu'il perd un peu le spectateur, et il faut s'accrocher pour comprendre tout ce qu'il se passe. La deuxième fois m'a permis de répondre à de nombreuses questions et d'éclaircir certaines zones d'ombres mais a aussi soulever d'autres questions.
Le film en lui-même: "Inception" est à séparer en deux parties, la première où on nous explique (vite) ce qu'est l' "inception" et où DiCaprio construit son équipe (au passage, on apprend absolument rien d'eux, de leur motivation mise à part l'argent, de comment ils sont arrivés là et de pourquoi eux et pas un autre), la deuxième partie, on entre dans le rêve (de l'action, des courses-poursuites, du suspenses, tout y est). On ne s'ennuie pas durant les 2h30 du film, mais le gros problème, c'est que Nolan a choisi un sujet hyper-complexe qui ne peut être traité sur ces seules 2h30. Certaines critiques disent qu'on ressort du film la tête à l'envers et c'est vrai, plein de spectateurs en discutaient aussitôt le film fini ("et pourquoi çi? et pourquoi ça? etc..."). Perso, je vois pas l'intérêt de se poser des centaines de questions, on s'y perd. Nolan aurait dû simplifier son sujet où en faire une trilogie dès le départ, pour bien exploiter le sujet et répondre aux questions que tout le monde se pose. Très bon film, mais pas mieux que "The Matrix" (le premier s'entend) dans le même genre, et pas mieux que "The Dark Knight" dans la filmographie de Nolan.
Réalisé par Christopher Nolan
Avec Leonardo DiCaprio, Marion Cotillard, Ellen Page
Genre : Science fiction , Thriller
Durée : 02h28
Synopsis :
Dom Cobb est un voleur expérimenté – le meilleur qui soit dans l’art périlleux de l’extraction : sa spécialité consiste à s’approprier les secrets les plus précieux d’un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu’il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable. Très recherché pour ses talents dans l’univers trouble de l’espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier qui a perdu tout ce qui lui est cher. Mais une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie d’avant – à condition qu’il puisse accomplir l’impossible : l’inception. Au lieu de subtiliser un rêve, Cobb et son équipe doivent faire l’inverse : implanter une idée dans l’esprit d’un individu. S’ils y parviennent, il pourrait s’agir du crime parfait. Et pourtant, aussi méthodiques et doués soient-ils, rien n’aurait pu préparer Cobb et ses partenaires à un ennemi redoutable qui semble avoir systématiquement un coup d’avance sur eux. Un ennemi dont seul Cobb aurait pu soupçonner l’existence.
Critique "presse":
Un film entre thriller et science-fiction, réalisé d'une main de maître par Christopher Nolan. Visuellement et esthétiquement magnifique, Nolan nous emmène dans une histoire plus qu'originale entre rêve et réalité, le tout avec un casting de tout premier ordre. Impressionnant.
Ma critique:
Je suis allé le voir deux fois en une semaine, pas qu'il soit génial, mais pour bien tout comprendre. Je m'explique. La première fois, je m'attendais au film de l'année, super casting, super BA, Nolan aux commandes, des critiques toutes positives. Cela ne laissait présager que du bon. Finalement, j'ai été un peu déçu, j'en attendais peut-être trop, mais je ne suis jamais totalement rentré dans cet univers créé par Nolan. Le casting est excellent, les effets spéciaux magnifiques (la scène en apesanteur m'a scotché) et visuellement, y'a rien à redire. Le scénario est très (trop) poussé avec de nombreux rebondissements qui tiennent le spectateur en haleine jusqu'à la fin, mais Nolan a tellement de choses à raconter qu'il perd un peu le spectateur, et il faut s'accrocher pour comprendre tout ce qu'il se passe. La deuxième fois m'a permis de répondre à de nombreuses questions et d'éclaircir certaines zones d'ombres mais a aussi soulever d'autres questions.
Le film en lui-même: "Inception" est à séparer en deux parties, la première où on nous explique (vite) ce qu'est l' "inception" et où DiCaprio construit son équipe (au passage, on apprend absolument rien d'eux, de leur motivation mise à part l'argent, de comment ils sont arrivés là et de pourquoi eux et pas un autre), la deuxième partie, on entre dans le rêve (de l'action, des courses-poursuites, du suspenses, tout y est). On ne s'ennuie pas durant les 2h30 du film, mais le gros problème, c'est que Nolan a choisi un sujet hyper-complexe qui ne peut être traité sur ces seules 2h30. Certaines critiques disent qu'on ressort du film la tête à l'envers et c'est vrai, plein de spectateurs en discutaient aussitôt le film fini ("et pourquoi çi? et pourquoi ça? etc..."). Perso, je vois pas l'intérêt de se poser des centaines de questions, on s'y perd. Nolan aurait dû simplifier son sujet où en faire une trilogie dès le départ, pour bien exploiter le sujet et répondre aux questions que tout le monde se pose. Très bon film, mais pas mieux que "The Matrix" (le premier s'entend) dans le même genre, et pas mieux que "The Dark Knight" dans la filmographie de Nolan.
Le Premier Qui L'A Dit
Date de sortie: 21 juillet 2010
Réalisé par Ferzan Ozpetek
Avec Riccardo Scamarcio, Nicole Grimaudo, Alessandro Preziosi
Titre original : Mine Vaganti
Genre : Drame , Comédie
Durée : 01h50
Synopsis :
Grande réunion chez les Cantone, illustre famille de Lecce dans les Pouilles, propriétaire d'une célèbre fabrique de pâtes.
Tommaso, le benjamin, veut profiter du dîner pour révéler à tous son homosexualité.
Mais alors qu'il s'apprête à prendre la parole, Antonio, son frère aîné, promis à la tête de l'usine, le précède pour faire… la même révélation.
Scandale général, malaise du père qui chasse le fils indigne.
Tous les espoirs se portent alors sur Tommaso pour reprendre l'affaire familiale et perpétuer le nom des Cantone.
Tommaso a d'autres plans, mais comment peut-il à présent dire la vérité à sa famille ?
Critique "presse":
Une comédie estivale pleine de bonnes intentions , mais qui tourne assez vite au mauvais vaudeville. Si le réalisateur montre bien les difficultés qu'il existe à révéler son homosexualité dans certaines familles, il ne parvient jamais à trouver le bon rythme et la plupart des situations, telle que l'arrivée des amis homos de Tommaso, sont prévisibles.
Ma critique:
Une comédie légère et très drôle, entre un père qui pleure l'homosexualité de son premier fils et qui laisse reposer tous ses espoirs sur la "normalité" du second, une mère qui ne comprend pas comment cela a pu arriver, et un Tommaso coincé entre sa famille, l'entreprise familiale qu'il doit diriger avec la fille d'une famille voisine (Nicole Grimaudo, actrice juste sublime) et l'arrivée de ses amis homos, qui vont devoir cacher leurs penchants. Les situations et les personnages sont caricaturaux, mais juste comme il faut pour être drôle. Alors oui, le film est un peu long, et certaines scènes sont inutiles, mais dans l'ensemble, c'est réussi et j'ai eu 2, 3 fous rires.
Réalisé par Ferzan Ozpetek
Avec Riccardo Scamarcio, Nicole Grimaudo, Alessandro Preziosi
Titre original : Mine Vaganti
Genre : Drame , Comédie
Durée : 01h50
Synopsis :
Grande réunion chez les Cantone, illustre famille de Lecce dans les Pouilles, propriétaire d'une célèbre fabrique de pâtes.
Tommaso, le benjamin, veut profiter du dîner pour révéler à tous son homosexualité.
Mais alors qu'il s'apprête à prendre la parole, Antonio, son frère aîné, promis à la tête de l'usine, le précède pour faire… la même révélation.
Scandale général, malaise du père qui chasse le fils indigne.
Tous les espoirs se portent alors sur Tommaso pour reprendre l'affaire familiale et perpétuer le nom des Cantone.
Tommaso a d'autres plans, mais comment peut-il à présent dire la vérité à sa famille ?
Critique "presse":
Une comédie estivale pleine de bonnes intentions , mais qui tourne assez vite au mauvais vaudeville. Si le réalisateur montre bien les difficultés qu'il existe à révéler son homosexualité dans certaines familles, il ne parvient jamais à trouver le bon rythme et la plupart des situations, telle que l'arrivée des amis homos de Tommaso, sont prévisibles.
Ma critique:
Une comédie légère et très drôle, entre un père qui pleure l'homosexualité de son premier fils et qui laisse reposer tous ses espoirs sur la "normalité" du second, une mère qui ne comprend pas comment cela a pu arriver, et un Tommaso coincé entre sa famille, l'entreprise familiale qu'il doit diriger avec la fille d'une famille voisine (Nicole Grimaudo, actrice juste sublime) et l'arrivée de ses amis homos, qui vont devoir cacher leurs penchants. Les situations et les personnages sont caricaturaux, mais juste comme il faut pour être drôle. Alors oui, le film est un peu long, et certaines scènes sont inutiles, mais dans l'ensemble, c'est réussi et j'ai eu 2, 3 fous rires.
Tamara Drewe
Date de sortie: 14 juillet 2010
Réalisé par Stephen Frears
Avec Gemma Arterton, Roger Allam, Bill Camp
Genre : Comédie
Durée : 01h49
Synopsis :
Avec son nez refait, ses jambes interminables, son job dans la presse people, ses aspirations à la célébrité et sa facilité à briser les coeurs, Tamara Drewe est l'Amazone londonienne du XXIe siècle.
Son retour au village où vécut sa mère est un choc pour la petite communauté qui y prospère en paix.
Hommes et femmes, bobos et ruraux, auteur de best-sellers, universitaire frustré, rock star au rancart ou fils du pays, tous sont attirés par Tamara dont la beauté pyromane et les divagations amoureuses éveillent d'obscures passions et vont provoquer un enchaînement de circonstances aussi absurdes que poignantes.
Critique "presse":
Tamara Drewe revient dans son village natal et fait tourner les têtes, de son ancien petit ami à la rock-star en passant par les écrivains pourtant venus chercher le calme pour trouver l'inspiration. Stephen Frears livre une adaptation réussie de la bande dessinée de Posy Simmonds, avec des dialogues percutants et son lot de quiproquos et d'intrigues amoureuses. Une comédie à l'humour so british, légère et rafraîchissante. Assurément la comédie de l'été.
Ma critique:
Le début du film est bon, l'intrigue est bien mise en place, on rencontre la plupart des protagonistes avant l'arrivée de Tamara Drewe en short en jean sous le regard ébahi de tout le monde, ce qui promet une comédie rafraîchissante. Puis j'ai vite déchanté, trois des personnages sont mis de côté, Tamara Drewe ne fait pas tourner les têtes tant que ça et passe même au second plan des différentes intrigues. Un seul personnage permet (selon moi) à cette comédie d'exister, c'est Jody, l'adolescente folle amoureuse de la rock-star Ben Sergeant, boyfriend de Tamara, qui va tout tenter pour rencontrer son idole. Pour le reste, c'est agréable à suivre, mais sans plus.
Réalisé par Stephen Frears
Avec Gemma Arterton, Roger Allam, Bill Camp
Genre : Comédie
Durée : 01h49
Synopsis :
Avec son nez refait, ses jambes interminables, son job dans la presse people, ses aspirations à la célébrité et sa facilité à briser les coeurs, Tamara Drewe est l'Amazone londonienne du XXIe siècle.
Son retour au village où vécut sa mère est un choc pour la petite communauté qui y prospère en paix.
Hommes et femmes, bobos et ruraux, auteur de best-sellers, universitaire frustré, rock star au rancart ou fils du pays, tous sont attirés par Tamara dont la beauté pyromane et les divagations amoureuses éveillent d'obscures passions et vont provoquer un enchaînement de circonstances aussi absurdes que poignantes.
Critique "presse":
Tamara Drewe revient dans son village natal et fait tourner les têtes, de son ancien petit ami à la rock-star en passant par les écrivains pourtant venus chercher le calme pour trouver l'inspiration. Stephen Frears livre une adaptation réussie de la bande dessinée de Posy Simmonds, avec des dialogues percutants et son lot de quiproquos et d'intrigues amoureuses. Une comédie à l'humour so british, légère et rafraîchissante. Assurément la comédie de l'été.
Ma critique:
Le début du film est bon, l'intrigue est bien mise en place, on rencontre la plupart des protagonistes avant l'arrivée de Tamara Drewe en short en jean sous le regard ébahi de tout le monde, ce qui promet une comédie rafraîchissante. Puis j'ai vite déchanté, trois des personnages sont mis de côté, Tamara Drewe ne fait pas tourner les têtes tant que ça et passe même au second plan des différentes intrigues. Un seul personnage permet (selon moi) à cette comédie d'exister, c'est Jody, l'adolescente folle amoureuse de la rock-star Ben Sergeant, boyfriend de Tamara, qui va tout tenter pour rencontrer son idole. Pour le reste, c'est agréable à suivre, mais sans plus.
jeudi 22 juillet 2010
Toy Story 3
Date de sortie: 14 juillet 2010
Réalisé par Lee Unkrich
Avec Tom Hanks, Tim Allen, Michael Keaton
Film pour enfants
Genre : Animation , Aventure , Comédie
Durée : 01h43
Synopsis :
Andy s'apprête à partir pour l'université. Délaissés, Woody, Buzz et leur bande de jouets se retrouvent... à la crèche ! Les bambins déchaînés et leurs petits doigts capables de tout arracher sont une vraie menace pour nos amis ! Il devient urgent d'échafauder un plan pour leur échapper au plus vite. Quelques nouveaux venus vont se joindre à la Grande évasion, dont l'éternel séducteur et célibataire Ken, compagnon de Barbie, un hérisson comédien nommé Larosse, et un ours rose parfumé à la fraise appelé Lotso.
Critique "presse":
Andy a grandi, ses jouets se retrouvent confrontés à l'abandon et vont finalement faire le bonheur des enfants d'une crèche, pour leur plus grand malheur. Woody et ses acolytes se doivent alors d'organiser leur propre évasion. Voilà en gros l'histoire pleine de rebondissements de "Toy Story 3 ", qui ravira petits et grands. Ce troisième volet est à la hauteur des deux précédents. Un véritable bijou technologique où s'entremêlent rire, mélancolie, nostalgie. Une réussite.
Ma critique:
Visuellement, c'est toujours aussi beau, voire mieux. Mais le vrai plus, c'est l'histoire! Un scénario simplement génial, du pitch principal aux nombreux rebondissements en passant par les nouveaux personnages et les références aux films de genre. La scène d'ouverture donne le ton, s'ensuive rire, nostalgie, suspense et même une ptite larmichette sur la fin. En emmenant vos enfants voir le film, vous prenez le risque de ce qu'ils ne se séparent plus jamais de leurs jouets. Là où "Shrek" aurait dû s'arrêter après le deuxième épisode, j'espère qu'un quatrième épisode de la saga "Toy Story" verra un jour le jour...J'suis retombé en enfance, merci les jouets :-) !
Réalisé par Lee Unkrich
Avec Tom Hanks, Tim Allen, Michael Keaton
Film pour enfants
Genre : Animation , Aventure , Comédie
Durée : 01h43
Synopsis :
Andy s'apprête à partir pour l'université. Délaissés, Woody, Buzz et leur bande de jouets se retrouvent... à la crèche ! Les bambins déchaînés et leurs petits doigts capables de tout arracher sont une vraie menace pour nos amis ! Il devient urgent d'échafauder un plan pour leur échapper au plus vite. Quelques nouveaux venus vont se joindre à la Grande évasion, dont l'éternel séducteur et célibataire Ken, compagnon de Barbie, un hérisson comédien nommé Larosse, et un ours rose parfumé à la fraise appelé Lotso.
Critique "presse":
Andy a grandi, ses jouets se retrouvent confrontés à l'abandon et vont finalement faire le bonheur des enfants d'une crèche, pour leur plus grand malheur. Woody et ses acolytes se doivent alors d'organiser leur propre évasion. Voilà en gros l'histoire pleine de rebondissements de "Toy Story 3 ", qui ravira petits et grands. Ce troisième volet est à la hauteur des deux précédents. Un véritable bijou technologique où s'entremêlent rire, mélancolie, nostalgie. Une réussite.
Ma critique:
Visuellement, c'est toujours aussi beau, voire mieux. Mais le vrai plus, c'est l'histoire! Un scénario simplement génial, du pitch principal aux nombreux rebondissements en passant par les nouveaux personnages et les références aux films de genre. La scène d'ouverture donne le ton, s'ensuive rire, nostalgie, suspense et même une ptite larmichette sur la fin. En emmenant vos enfants voir le film, vous prenez le risque de ce qu'ils ne se séparent plus jamais de leurs jouets. Là où "Shrek" aurait dû s'arrêter après le deuxième épisode, j'espère qu'un quatrième épisode de la saga "Toy Story" verra un jour le jour...J'suis retombé en enfance, merci les jouets :-) !
mercredi 21 juillet 2010
Predators
Date de sortie : 14 juillet 2010
Réalisé par Nimrod Antal
Avec Adrien Brody, Alice Braga, Topher Grace
Genre : Action , Science fiction
Durée : 01h47
Synopsis :
Royce, un mercenaire, se retrouve obligé de mener un groupe de combattants d’élite sur une planète étrangère. Ils vont vite comprendre qu’ils ont été rassemblés pour servir de gibier. A une exception près, tous sont des tueurs implacables – des mercenaires, des yakuzas, des condamnés, des membres d’escadrons de la mort ; des « prédateurs » humains qui sont à présent systématiquement traqués et éliminés par une nouvelle génération de Predators extraterrestres. Voici l’affrontement sans pitié de tueurs absolus…
Critique "presse":
Un bon gros film d'action plus qu'un film d'horreur, mais ce "Predator" n'apporte rien de nouveau à la franchise. Des explosions, des monstres, mais un scénario réduit à sa plus simple expression. Si on se laisse malgré tout porter par l'ensemble lors de la première demi-heure, la suite perd en intérêt. Bien loin de l'original.
Ma critique:
On peut résumer le film en une phrase : des gros méchants prédateurs traquent des gros méchants humains, qui va s'en sortir? J'ai pas pu jouer le surpris, je m'attendais à ça, et si le début promet finalement un bon film de genre, ça vire au n'importe quoi dès que Lawrence Fishburne apparaît. Un film pour les amateurs du genre, avec quand même Adrien Brody et Topher Grace au casting (ils ont soit perdus un pari ou ils sont criblés de dettes). Bref, ça fait passer le temps, ça nous force pas à réfléchir, mais on sent clairement que le but est de faire du pognon en jouant sur le succès du premier.
Réalisé par Nimrod Antal
Avec Adrien Brody, Alice Braga, Topher Grace
Genre : Action , Science fiction
Durée : 01h47
Synopsis :
Royce, un mercenaire, se retrouve obligé de mener un groupe de combattants d’élite sur une planète étrangère. Ils vont vite comprendre qu’ils ont été rassemblés pour servir de gibier. A une exception près, tous sont des tueurs implacables – des mercenaires, des yakuzas, des condamnés, des membres d’escadrons de la mort ; des « prédateurs » humains qui sont à présent systématiquement traqués et éliminés par une nouvelle génération de Predators extraterrestres. Voici l’affrontement sans pitié de tueurs absolus…
Critique "presse":
Un bon gros film d'action plus qu'un film d'horreur, mais ce "Predator" n'apporte rien de nouveau à la franchise. Des explosions, des monstres, mais un scénario réduit à sa plus simple expression. Si on se laisse malgré tout porter par l'ensemble lors de la première demi-heure, la suite perd en intérêt. Bien loin de l'original.
Ma critique:
On peut résumer le film en une phrase : des gros méchants prédateurs traquent des gros méchants humains, qui va s'en sortir? J'ai pas pu jouer le surpris, je m'attendais à ça, et si le début promet finalement un bon film de genre, ça vire au n'importe quoi dès que Lawrence Fishburne apparaît. Un film pour les amateurs du genre, avec quand même Adrien Brody et Topher Grace au casting (ils ont soit perdus un pari ou ils sont criblés de dettes). Bref, ça fait passer le temps, ça nous force pas à réfléchir, mais on sent clairement que le but est de faire du pognon en jouant sur le succès du premier.
Petits Meurtres A L'Anglaise
Date de sortie: 7 juillet 2010
Réalisé par Jonathan Lynn
Avec Bill Nighy, Rupert Grint, Emily Blunt
Titre original : Wild Target
Genre : Action , Comédie
Durée : 01h38
Synopsis :
Victor Maynard , un assassin vieux et solitaire, vit pour satisfaire sa formidable mère Louisa. Sa routine professionnelle est interrompue quand il se trouve attiré par l'une de ses prochaines victimes, Rose. Il épargne sa vie et obtient inopinément un jeune apprenti dans le processus, Tony.
Critique "presse":
Une comédie "so british" servie par un excellent trio de comédiens, Bill Nighy (qui reprend le rôle de Jean Rochefort) en tête. Ce remake de "Cible Emouvante", s'il est plus sage, reste une adaptation très fidèle de l'original. Si les gags et les situations comiques sont inégales, on suit avec plaisir les péripéties de ce trio face à un Rupert Everett parfait dans le rôle du méchant de l'histoire.
Ma critique:
Un scénario original, un rien barré, sans prises de tête. Un film drôle où la complicité des acteurs fait plaisir à voir. Bill Nighy est toujours aussi drôle en tueur à gages qui se posent des questions sur sa sexualité, Emily Blunt est agaçante au possible à force de n'en faire qu'à sa tête, et Rupert Grint a une voie toute trouvée pour l'après "Harry Potter". Quelques situations décevantes, notamment la fin qui est traitée trop rapidement, mais un très bon divertissement dans son ensemble.
Réalisé par Jonathan Lynn
Avec Bill Nighy, Rupert Grint, Emily Blunt
Titre original : Wild Target
Genre : Action , Comédie
Durée : 01h38
Synopsis :
Victor Maynard , un assassin vieux et solitaire, vit pour satisfaire sa formidable mère Louisa. Sa routine professionnelle est interrompue quand il se trouve attiré par l'une de ses prochaines victimes, Rose. Il épargne sa vie et obtient inopinément un jeune apprenti dans le processus, Tony.
Critique "presse":
Une comédie "so british" servie par un excellent trio de comédiens, Bill Nighy (qui reprend le rôle de Jean Rochefort) en tête. Ce remake de "Cible Emouvante", s'il est plus sage, reste une adaptation très fidèle de l'original. Si les gags et les situations comiques sont inégales, on suit avec plaisir les péripéties de ce trio face à un Rupert Everett parfait dans le rôle du méchant de l'histoire.
Ma critique:
Un scénario original, un rien barré, sans prises de tête. Un film drôle où la complicité des acteurs fait plaisir à voir. Bill Nighy est toujours aussi drôle en tueur à gages qui se posent des questions sur sa sexualité, Emily Blunt est agaçante au possible à force de n'en faire qu'à sa tête, et Rupert Grint a une voie toute trouvée pour l'après "Harry Potter". Quelques situations décevantes, notamment la fin qui est traitée trop rapidement, mais un très bon divertissement dans son ensemble.
Millénium 2 - La Fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette
Date de sortie: 30 juin 2010
Réalisé par Daniel Alfredson
Avec Michael Nyqvist, Noomi Rapace, Lena Endre
Titre original : Flickan som lekte med elden
Genre : Policier
Durée : 02h09
Synopsis :
Traquée, prise au piège d'une manipulation manifestement très planifiée... Lisbeth va devoir affronter son passé. Elle pourra compter sur l'amitié infaillible de Mikael Blomkvist, qui fera tout pour prouver qu'elle n'est pas la tueuse en série que les médias et la police dépeignent.
Critique "presse":
Une adaptation très fidèle du second roman de Stieg Larsson qui bénéficie d'une excellente Noomi Rapace pour l'interprétation de l'héroïne gothique Lisbeth Salander. La mise en scène est sobre, mais reste efficace et tient le spectateur en haleine jusqu'à la fin du film.
Ma critique:
Dans le premier opus, Lisbet et Mikael faisaient équipe pour résoudre une enquête. Ici, ils agissent chacun de leur côté pour ne se retrouver qu'à la fin. Si le scénario est original et réserve toujours son lot de suspense, j'aurais préféré voir ce duo réunit plus tôt dans le film. Un bon polar, bien maîtrisé, mais ma préférence va au premier.
Réalisé par Daniel Alfredson
Avec Michael Nyqvist, Noomi Rapace, Lena Endre
Titre original : Flickan som lekte med elden
Genre : Policier
Durée : 02h09
Synopsis :
Traquée, prise au piège d'une manipulation manifestement très planifiée... Lisbeth va devoir affronter son passé. Elle pourra compter sur l'amitié infaillible de Mikael Blomkvist, qui fera tout pour prouver qu'elle n'est pas la tueuse en série que les médias et la police dépeignent.
Critique "presse":
Une adaptation très fidèle du second roman de Stieg Larsson qui bénéficie d'une excellente Noomi Rapace pour l'interprétation de l'héroïne gothique Lisbeth Salander. La mise en scène est sobre, mais reste efficace et tient le spectateur en haleine jusqu'à la fin du film.
Ma critique:
Dans le premier opus, Lisbet et Mikael faisaient équipe pour résoudre une enquête. Ici, ils agissent chacun de leur côté pour ne se retrouver qu'à la fin. Si le scénario est original et réserve toujours son lot de suspense, j'aurais préféré voir ce duo réunit plus tôt dans le film. Un bon polar, bien maîtrisé, mais ma préférence va au premier.
mercredi 14 juillet 2010
Twilight: Eclipse
Date de sortie: 7 juillet 2010
Réalisé par David Slade
Avec Kristen Stewart, Robert Pattinson, Taylor Lautner
Titre original : Eclipse
Genre : Fantastique , Romance
Durée : 02h04
Synopsis :
Des morts suspectes dans les environs de Seattle laissent présager une nouvelle menace pour Bella. Victoria cherche toujours à assouvir sa vengeance contre elle et rassemble une armée. Malgré leur haine ancestrale, les Cullen et les Quileutes vont devoir faire une trêve et s'associer pour avoir une chance de la sauver.
Mais Bella est obligée de choisir entre son amour pour Edward et son amitié pour Jacob tout en sachant que sa décision risque de relancer la guerre entre les deux clans. Alors que l'armée de Victoria approche, Bella est confrontée à la plus importante décision de sa vie.
Critique "presse":
Ce chapitre 3 respecte bien l'esprit du roman, entre les hormones d'une Bella convaincante, d'un Edward qui prône les valeurs du puritanisme (pas de sexe avant le mariage) et d'un Jacob ami-amant un peu hésitant. Mais comme dans le roman, ça tourne en rond avant la bataille finale, très réussie grâce à de bons effets spéciaux. On était en droit d'espérer mieux de la part de David Slade (réalisateur de "30 Jours De Nuit"), notamment sur le côté angoissant, on ne peut être que déçu. Un film qui vise, comme ses prédécesseurs, un public essentiellement adolescent.
Ma critique:
Voulant comprendre le phénomène "Twilight", je me suis décidé à lire les bouquins 3 et 4. Comme les films, les livres sont clairement pour les ados, mais le chapitre 3 s'est lu assez facilement, et oui, je dois l'avouer, j'ai apprécié, et ce malgré les vampires qui n'ont toujours pas de dents et qui brillent au soleil (ce qui est toujours aussi scandaleux!). Sans m'attendre au film de l'année, je m'attendais quand même à passer un bon moment. Mais si le film suit bien les événements du livre, trop de choses sont oubliées et l'intrigue n'avance pas beaucoup. Edward voulait se marier à la fin du 2, il veut toujours à la fin du 3. Bref, ça tourne en rond, avec Bella qui n'arrive pas à se décider (d'où "Hésitation"...), et on finit par s'ennuyer un peu avant la dernière demi-heure, entre un Jacob qui prend enfin le dessus sur un Edward un peu moins pitoyable au niveau du jeu d'acteur, et une bataille finale bien menée malgré des effets spéciaux absolument pourris (des loups en passant par les fonds verts). Point positif, ils se sont un peu rattrapés au niveau du maquillage. Mais avec un budget aussi conséquent et autant d'attentes, on état en droit d'espérer mieux, mais le succès étant assuré avant même la sortie du film, pourquoi se fouler?
Réalisé par David Slade
Avec Kristen Stewart, Robert Pattinson, Taylor Lautner
Titre original : Eclipse
Genre : Fantastique , Romance
Durée : 02h04
Synopsis :
Des morts suspectes dans les environs de Seattle laissent présager une nouvelle menace pour Bella. Victoria cherche toujours à assouvir sa vengeance contre elle et rassemble une armée. Malgré leur haine ancestrale, les Cullen et les Quileutes vont devoir faire une trêve et s'associer pour avoir une chance de la sauver.
Mais Bella est obligée de choisir entre son amour pour Edward et son amitié pour Jacob tout en sachant que sa décision risque de relancer la guerre entre les deux clans. Alors que l'armée de Victoria approche, Bella est confrontée à la plus importante décision de sa vie.
Critique "presse":
Ce chapitre 3 respecte bien l'esprit du roman, entre les hormones d'une Bella convaincante, d'un Edward qui prône les valeurs du puritanisme (pas de sexe avant le mariage) et d'un Jacob ami-amant un peu hésitant. Mais comme dans le roman, ça tourne en rond avant la bataille finale, très réussie grâce à de bons effets spéciaux. On était en droit d'espérer mieux de la part de David Slade (réalisateur de "30 Jours De Nuit"), notamment sur le côté angoissant, on ne peut être que déçu. Un film qui vise, comme ses prédécesseurs, un public essentiellement adolescent.
Ma critique:
Voulant comprendre le phénomène "Twilight", je me suis décidé à lire les bouquins 3 et 4. Comme les films, les livres sont clairement pour les ados, mais le chapitre 3 s'est lu assez facilement, et oui, je dois l'avouer, j'ai apprécié, et ce malgré les vampires qui n'ont toujours pas de dents et qui brillent au soleil (ce qui est toujours aussi scandaleux!). Sans m'attendre au film de l'année, je m'attendais quand même à passer un bon moment. Mais si le film suit bien les événements du livre, trop de choses sont oubliées et l'intrigue n'avance pas beaucoup. Edward voulait se marier à la fin du 2, il veut toujours à la fin du 3. Bref, ça tourne en rond, avec Bella qui n'arrive pas à se décider (d'où "Hésitation"...), et on finit par s'ennuyer un peu avant la dernière demi-heure, entre un Jacob qui prend enfin le dessus sur un Edward un peu moins pitoyable au niveau du jeu d'acteur, et une bataille finale bien menée malgré des effets spéciaux absolument pourris (des loups en passant par les fonds verts). Point positif, ils se sont un peu rattrapés au niveau du maquillage. Mais avec un budget aussi conséquent et autant d'attentes, on état en droit d'espérer mieux, mais le succès étant assuré avant même la sortie du film, pourquoi se fouler?
Shrek 4
Date de sortie: 30 juin 2010
Réalisé par Mike Mitchell
Avec Mike Myers, Eddie Murphy, Cameron Diaz
Titre original : Shrek Forever After
Film pour enfants à partir de 6 ans
Genre : Animation , Comédie , Fantastique
Durée : 01h33
Synopsis :
Après avoir vaincu un méchant dragon, sauvé une belle princesse et le royaume de ses parents, que peut encore faire un ogre malodorant et mal léché ? Domestiqué, assagi, Shrek a perdu jusqu'à l'envie de rugir et regrette le bon vieux temps où il semait la terreur dans le royaume. Aujourd'hui, tel une idole déchue, il se contente de signer des autographes à tour de bras. Trop triste...
C'est alors que l'habile et sournois Tracassin lui propose un contrat. Shrek se retrouve soudain transporté dans un monde parallèle totalement déjanté où les ogres sont pourchassés, où Tracassin est roi, où Fiona et son bien-aimé ne se sont jamais rencontrés...
Shrek va-t-il réussir à déjouer le sortilège, à repasser de l'autre côté du miroir, à sauver ses amis, à retrouver son monde et reconquérir l'amour de sa vie ?
Critique "presse":
Pour cet opus qui clôture les aventures délirantes et déjantées de l'ogre vert, les créateurs ont repris tous les ingrédients qui ont fait le succès de la saga. Plus trop de surprises donc, on est même assez loin de la réussite du premier, mais on retrouve avec plaisir Shrek et sa bande, pour un bon divertissement pour enfants, auquel la 3D n'apporte pas grand-chose.
Ma critique:
"Shrek 4, Il Etait Une Fin" et il était temps. Rien de nouveau dans ce nouvel épisode, les scénaristes n'ont plus trop d'idées et ça se sent. Même si on retrouve quelques nouveaux personnages issus de contes, comme les sorcières, ce Shrek perd de son charme et on sourit plus que l'on rit. On est bien loin des deux premiers volets. L'ensemble aurait pu être plus que correct si la 3D avait été au niveau de ce genre de production, mais elle n'apporte absolument rien au film, et ne fait que confirmer que ce n'est qu'un simple gadget pour le moment. Déçu.
Réalisé par Mike Mitchell
Avec Mike Myers, Eddie Murphy, Cameron Diaz
Titre original : Shrek Forever After
Film pour enfants à partir de 6 ans
Genre : Animation , Comédie , Fantastique
Durée : 01h33
Synopsis :
Après avoir vaincu un méchant dragon, sauvé une belle princesse et le royaume de ses parents, que peut encore faire un ogre malodorant et mal léché ? Domestiqué, assagi, Shrek a perdu jusqu'à l'envie de rugir et regrette le bon vieux temps où il semait la terreur dans le royaume. Aujourd'hui, tel une idole déchue, il se contente de signer des autographes à tour de bras. Trop triste...
C'est alors que l'habile et sournois Tracassin lui propose un contrat. Shrek se retrouve soudain transporté dans un monde parallèle totalement déjanté où les ogres sont pourchassés, où Tracassin est roi, où Fiona et son bien-aimé ne se sont jamais rencontrés...
Shrek va-t-il réussir à déjouer le sortilège, à repasser de l'autre côté du miroir, à sauver ses amis, à retrouver son monde et reconquérir l'amour de sa vie ?
Critique "presse":
Pour cet opus qui clôture les aventures délirantes et déjantées de l'ogre vert, les créateurs ont repris tous les ingrédients qui ont fait le succès de la saga. Plus trop de surprises donc, on est même assez loin de la réussite du premier, mais on retrouve avec plaisir Shrek et sa bande, pour un bon divertissement pour enfants, auquel la 3D n'apporte pas grand-chose.
Ma critique:
"Shrek 4, Il Etait Une Fin" et il était temps. Rien de nouveau dans ce nouvel épisode, les scénaristes n'ont plus trop d'idées et ça se sent. Même si on retrouve quelques nouveaux personnages issus de contes, comme les sorcières, ce Shrek perd de son charme et on sourit plus que l'on rit. On est bien loin des deux premiers volets. L'ensemble aurait pu être plus que correct si la 3D avait été au niveau de ce genre de production, mais elle n'apporte absolument rien au film, et ne fait que confirmer que ce n'est qu'un simple gadget pour le moment. Déçu.
mercredi 7 juillet 2010
La Disparition D'Alice Creed
Date de sortie: 1 juillet 2010
Réalisé par J Blakeson
Avec Gemma Arterton, Eddie Marsan, Martin Compston
Titre original : The Disappearance of Alice Creed
Genre : Thriller
Durée : 01h40
Synopsis :
Dans un quartier huppé, deux hommes enlèvent une jeune femme : Alice Creed. Qui sont-ils ? Que veulent-ils ? Pourquoi elle ?
Critique "presse":
Premier film d'un jeune scénariste britannique, réalisé avec un minimum de budget. Résultat: un huit-clos efficace où la tension est prenante du début à la fin, grâce à une mise en scène rythmée et à des rebondissements plus ou moins bien venus.
Ma critique:
Fan de huit-clos, ce film m'a bien plus. Très peu de lieux, trois comédiens à l'écran tout le long du film et une mise en scène efficace. Je regrette juste des rebondissements un peu grotesques : si l'un des kidnappeurs est en fait le petit ami d'Alice Creed sorti de prison (idée bien trouvée), il joue un double jeu en ayant aussi une relation avec l'autre kidnappeur (là, pour le coup, ça a fait sourire tout le monde dans la salle). Et si la tension est bien présente jusqu'à la fin, j'ai été un peu déçu par le dénouement, trop commun à mon goût. Mais faire un bon film comme ça avec si peu de budget (et Gemma Arterton ;-), chapeau l'artiste!
Réalisé par J Blakeson
Avec Gemma Arterton, Eddie Marsan, Martin Compston
Titre original : The Disappearance of Alice Creed
Genre : Thriller
Durée : 01h40
Synopsis :
Dans un quartier huppé, deux hommes enlèvent une jeune femme : Alice Creed. Qui sont-ils ? Que veulent-ils ? Pourquoi elle ?
Critique "presse":
Premier film d'un jeune scénariste britannique, réalisé avec un minimum de budget. Résultat: un huit-clos efficace où la tension est prenante du début à la fin, grâce à une mise en scène rythmée et à des rebondissements plus ou moins bien venus.
Ma critique:
Fan de huit-clos, ce film m'a bien plus. Très peu de lieux, trois comédiens à l'écran tout le long du film et une mise en scène efficace. Je regrette juste des rebondissements un peu grotesques : si l'un des kidnappeurs est en fait le petit ami d'Alice Creed sorti de prison (idée bien trouvée), il joue un double jeu en ayant aussi une relation avec l'autre kidnappeur (là, pour le coup, ça a fait sourire tout le monde dans la salle). Et si la tension est bien présente jusqu'à la fin, j'ai été un peu déçu par le dénouement, trop commun à mon goût. Mais faire un bon film comme ça avec si peu de budget (et Gemma Arterton ;-), chapeau l'artiste!
Dog Pound
Date de sortie: 23 juin 2010
Réalisé par Kim Chapiron
Avec Adam Butcher, Shane Kippel, Mateo Morales
Interdit aux moins de 12 ans
Genre : Drame , Thriller
Durée : 01h31
Synopsis :
Davis, 16 ans, trafic de stupéfiants.
Angel, 15 ans, vol de voiture avec violence.
Butch, 17 ans, agression sur un officier de probation.
Une même sentence : la prison pour délinquants juvéniles d'Enola Vale.
Arrivés au centre de détention, ils devront choisir leur camp, victime ou bourreau.
Critique "presse":
Un film sur l'univers carcéral avec tous les ingrédients habituels: trafics, conflits avec les gardiens, clans pour survivre. Un film sans grosses surprises, mais très bien scénarisé et très bien filmé par le français Kim Chapiron, qui arrive à retranscrire l'atmosphère oppressante des lieux. Mais la grande force du film réside surtout dans le choix des jeunes comédiens, tous excellents, Adam Butcher en tête.
Ma critique:
Si le film n'apporte rien de nouveau sur l'univers des prisons (oui y'a des trafics, oui, y'a des bastons), il ne tombe pas dans la caricature et livre le portrait de trois jeunes totalement différents qui vont être confrontés à la même réalité. Si Butch est un vrai dur (et qu'il fait franchement peur), Davis se fait marcher sur les pieds par ses petits camarades. Au fur et à mesure du film, la tension s'installe jusqu'à l'explosion finale. Un film qui ne laisse pas indifférent.
Réalisé par Kim Chapiron
Avec Adam Butcher, Shane Kippel, Mateo Morales
Interdit aux moins de 12 ans
Genre : Drame , Thriller
Durée : 01h31
Synopsis :
Davis, 16 ans, trafic de stupéfiants.
Angel, 15 ans, vol de voiture avec violence.
Butch, 17 ans, agression sur un officier de probation.
Une même sentence : la prison pour délinquants juvéniles d'Enola Vale.
Arrivés au centre de détention, ils devront choisir leur camp, victime ou bourreau.
Critique "presse":
Un film sur l'univers carcéral avec tous les ingrédients habituels: trafics, conflits avec les gardiens, clans pour survivre. Un film sans grosses surprises, mais très bien scénarisé et très bien filmé par le français Kim Chapiron, qui arrive à retranscrire l'atmosphère oppressante des lieux. Mais la grande force du film réside surtout dans le choix des jeunes comédiens, tous excellents, Adam Butcher en tête.
Ma critique:
Si le film n'apporte rien de nouveau sur l'univers des prisons (oui y'a des trafics, oui, y'a des bastons), il ne tombe pas dans la caricature et livre le portrait de trois jeunes totalement différents qui vont être confrontés à la même réalité. Si Butch est un vrai dur (et qu'il fait franchement peur), Davis se fait marcher sur les pieds par ses petits camarades. Au fur et à mesure du film, la tension s'installe jusqu'à l'explosion finale. Un film qui ne laisse pas indifférent.
Kiss & Kill
Date de sortie: 23 juin 2010
Réalisé par Robert Luketic
Avec Katherine Heigl, Ashton Kutcher, Tom Selleck
Titre original : Killers
Genre : Comédie , Thriller
Durée : 01h40
Synopsis :
Alors que Jen Kornfeldt, en vacances sur la Côte d’Azur, se remet à peine d’une rupture, elle fait la connaissance de l’homme de ses rêves, le beau Spencer Aimes. Trois ans après cette rencontre, Spencer et Jen sont de jeunes mariés heureux à la vie paisible. Mais tout bascule le jour où un mystérieux tueur cherche à éliminer Spencer. Jen découvre alors que son mari est agent secret, un détail qu’il n’avait jamais pris la peine de mentionner. Les attaques contre le couple se multiplient, et ils comprennent que la tête de Spencer est mise à prix… Devenue femme d’un espion, Jen va tenter de découvrir quels autres secrets son mari a bien pu lui cacher. Mais elle devra surtout apprendre à esquiver les balles, gérer sa belle-famille et préserver les apparences d’un couple parfait...
Critique "presse":
Une comédie légère, tant sur le fond que sur la forme. Les aventures et les gags sont sans surprises, dûs essentiellement à une faible réalisation de Luketic, et le couple Ashton Kutcher - Katherine Heigl ne relève en rien la pauvreté du film.
Ma critique:
Le pitch ressemble à celui de "Mr&Mrs Smith", mais en moins bien scénarisé (une Katherine Heigl gourde qui devient une pseudo agent secret à son tour, ok, c'est qu'un film, mais quand même!), moins bien filmé, et Ashton Kutcher n'est pas Brad Pitt. Alors déjà que ce film était loin d'être extraordinaire, je vous laisse imaginer "Kiss And Kill". C'est un film comme les américains ont font des tonnes. La différence avec les films français, c'est que même si c'est mauvais, au moins, on s'ennuie pas. A voir si y'a rien d'autre au ciné.
Réalisé par Robert Luketic
Avec Katherine Heigl, Ashton Kutcher, Tom Selleck
Titre original : Killers
Genre : Comédie , Thriller
Durée : 01h40
Synopsis :
Alors que Jen Kornfeldt, en vacances sur la Côte d’Azur, se remet à peine d’une rupture, elle fait la connaissance de l’homme de ses rêves, le beau Spencer Aimes. Trois ans après cette rencontre, Spencer et Jen sont de jeunes mariés heureux à la vie paisible. Mais tout bascule le jour où un mystérieux tueur cherche à éliminer Spencer. Jen découvre alors que son mari est agent secret, un détail qu’il n’avait jamais pris la peine de mentionner. Les attaques contre le couple se multiplient, et ils comprennent que la tête de Spencer est mise à prix… Devenue femme d’un espion, Jen va tenter de découvrir quels autres secrets son mari a bien pu lui cacher. Mais elle devra surtout apprendre à esquiver les balles, gérer sa belle-famille et préserver les apparences d’un couple parfait...
Critique "presse":
Une comédie légère, tant sur le fond que sur la forme. Les aventures et les gags sont sans surprises, dûs essentiellement à une faible réalisation de Luketic, et le couple Ashton Kutcher - Katherine Heigl ne relève en rien la pauvreté du film.
Ma critique:
Le pitch ressemble à celui de "Mr&Mrs Smith", mais en moins bien scénarisé (une Katherine Heigl gourde qui devient une pseudo agent secret à son tour, ok, c'est qu'un film, mais quand même!), moins bien filmé, et Ashton Kutcher n'est pas Brad Pitt. Alors déjà que ce film était loin d'être extraordinaire, je vous laisse imaginer "Kiss And Kill". C'est un film comme les américains ont font des tonnes. La différence avec les films français, c'est que même si c'est mauvais, au moins, on s'ennuie pas. A voir si y'a rien d'autre au ciné.
vendredi 2 juillet 2010
L'Agence Tous Risques
Date de sortie: 16 juin 2010
Réalisé par Joe Carnahan
Avec Liam Neeson, Bradley Cooper, Jessica Biel
Titre original : The A-Team
Genre : Action , Comédie
Durée : 01h54
Synopsis :
Aucune équipe ne ressemble à celle de L’Agence Tous Risques. Quatre hommes, hyper qualifiés et autrefois membres respectés d’une unité d’élite de l’armée, sont chargés d’une mission classée top-secret destinée à les piéger, et qui les conduit en prison pour un crime qu’ils n’ont pas commis. Mais la somme de leurs talents leur permet une évasion sans accroc. Devenus des rebelles, ils décident de blanchir leurs noms et de retrouver les vrais coupables.
Critique "presse":
La série des années 80 revisitée et remise au goût du jour. "The A-Team" perd de son charme, mais gagne en explosivité (et explosions). Les quatre protagonistes n'ont rien à envier à leurs aînés. Cette adaptation est un bon blockbuster, avec son lot d'humour et de scènes d'actions plus impressionnantes les unes que les autres. ça détend et c'est déjà pas mal.
Ma critique:
Un bon moment de détente. On rit pas mal, on ne s'ennuie pas du début à la fin. Contrat et nouvelle mission remplie pour cette nouvelle A-Team, qui prend un gros coup de jeunes, grâce à une bonne équipe (les acteurs sont tous très bons dans leur rôles respectifs, Looping et Futé notamment) et à l'avancée des effets spéciaux. C'est d'ailleurs dommage car ça perd un peu du charme d'origine, et du coup, trop d'effets spéciaux tuent les effets spéciaux, et on délaisse parfois trop le scénario (plus que correct au passage). Une bonne adaptation.
Réalisé par Joe Carnahan
Avec Liam Neeson, Bradley Cooper, Jessica Biel
Titre original : The A-Team
Genre : Action , Comédie
Durée : 01h54
Synopsis :
Aucune équipe ne ressemble à celle de L’Agence Tous Risques. Quatre hommes, hyper qualifiés et autrefois membres respectés d’une unité d’élite de l’armée, sont chargés d’une mission classée top-secret destinée à les piéger, et qui les conduit en prison pour un crime qu’ils n’ont pas commis. Mais la somme de leurs talents leur permet une évasion sans accroc. Devenus des rebelles, ils décident de blanchir leurs noms et de retrouver les vrais coupables.
Critique "presse":
La série des années 80 revisitée et remise au goût du jour. "The A-Team" perd de son charme, mais gagne en explosivité (et explosions). Les quatre protagonistes n'ont rien à envier à leurs aînés. Cette adaptation est un bon blockbuster, avec son lot d'humour et de scènes d'actions plus impressionnantes les unes que les autres. ça détend et c'est déjà pas mal.
Ma critique:
Un bon moment de détente. On rit pas mal, on ne s'ennuie pas du début à la fin. Contrat et nouvelle mission remplie pour cette nouvelle A-Team, qui prend un gros coup de jeunes, grâce à une bonne équipe (les acteurs sont tous très bons dans leur rôles respectifs, Looping et Futé notamment) et à l'avancée des effets spéciaux. C'est d'ailleurs dommage car ça perd un peu du charme d'origine, et du coup, trop d'effets spéciaux tuent les effets spéciaux, et on délaisse parfois trop le scénario (plus que correct au passage). Une bonne adaptation.
Fatal
Date de sortie: 16 juin 2010
Réalisé par Michaël Youn
Avec Michaël Youn, Stéphane Rousseau, Isabelle Funaro
Genre: Comédie , Musical
Durée: 01h35
Synopsis :
Fatal est une énorme star. Des millions de fans, des dizaines de tubes, 4 Music Awards de la Musique du meilleur artiste de l'année, une ligne de vêtements, un magazine et prochainement l'ouverture de son propre parc d'attraction : Fataland. Il est le N°1 incontesté. En apparence tout va bien... mais en réalité, Fatal ne sait plus où il va, parce qu'il ne sait plus d'où il vient : depuis ses débuts, il fait croire qu'il a grandi dans le ghetto... alors qu'en fait, il est né dans un petit village de Savoie, en plein coeur des Alpes. Mais on ne peut pas être un "gangsta" quand on est un fils de bergers de Savoie, alors Fatal a préféré cacher ses origines et oublier son passé...
Critique "presse":
Au vu du CV de Michaël Youn, on était en droit de penser être confronté à une nouvelle comédie qui ne vole pas plus haut que la ceinture. Mal nous en a pris. Fatal est un film parodique, une comédie grinçante réussie sur le milieu du show-bizz et ses excès. Tout est loin d'être parfait, on retrouve quelques lourdeurs et faiblesses de scénario, surtout dans la deuxième partie du film, ainsi que quelques gags qui tombent à plat. Mais pour un premier film, c'est une bonne surprise.
Ma critique:
Je connais Michaël Youn grâce (ou à cause) du "Morning Live" et "La Beuz'", du coup, j'étais pas très motivé pour aller voir ce film. Puis, j'ai bénéficié d'un bouche à oreille pas trop mal, et les clips de Fatal me faisaient assez rire. Je me suis donc laissé tenter sans en attendre grand chose. Résultat: une agréable surprise. Son film ne ressemble pas à ses précédents (ou ce que j'en ai entendu), mais à ses clips. C'est une parodie du rappeur, entre les fringues bling-bling, le langage ouech-ouech et le style de vie. En face de lui, Chris Prolls (Stéphane Rousseau excellent), le nouveau phénomène électro amoureux de la nature. Alors ça vole parfois bas, ça tombe parfois à plat, c'est parfois vulgaire, mais c'est souvent très drôle. Dommage que la deuxième partie (Fatal revient dans sa Savoie natale) ne soit pas au niveau de la première, mais la fin rattrape bien le tout. Michaël Youn réalise une comédie dans l'air du temps, en se foutant de la gueule du star-system et de tous ses excès (argent facile, rumeurs, paparazzis, faux talents). Jubilatoire.
Réalisé par Michaël Youn
Avec Michaël Youn, Stéphane Rousseau, Isabelle Funaro
Genre: Comédie , Musical
Durée: 01h35
Synopsis :
Fatal est une énorme star. Des millions de fans, des dizaines de tubes, 4 Music Awards de la Musique du meilleur artiste de l'année, une ligne de vêtements, un magazine et prochainement l'ouverture de son propre parc d'attraction : Fataland. Il est le N°1 incontesté. En apparence tout va bien... mais en réalité, Fatal ne sait plus où il va, parce qu'il ne sait plus d'où il vient : depuis ses débuts, il fait croire qu'il a grandi dans le ghetto... alors qu'en fait, il est né dans un petit village de Savoie, en plein coeur des Alpes. Mais on ne peut pas être un "gangsta" quand on est un fils de bergers de Savoie, alors Fatal a préféré cacher ses origines et oublier son passé...
Critique "presse":
Au vu du CV de Michaël Youn, on était en droit de penser être confronté à une nouvelle comédie qui ne vole pas plus haut que la ceinture. Mal nous en a pris. Fatal est un film parodique, une comédie grinçante réussie sur le milieu du show-bizz et ses excès. Tout est loin d'être parfait, on retrouve quelques lourdeurs et faiblesses de scénario, surtout dans la deuxième partie du film, ainsi que quelques gags qui tombent à plat. Mais pour un premier film, c'est une bonne surprise.
Ma critique:
Je connais Michaël Youn grâce (ou à cause) du "Morning Live" et "La Beuz'", du coup, j'étais pas très motivé pour aller voir ce film. Puis, j'ai bénéficié d'un bouche à oreille pas trop mal, et les clips de Fatal me faisaient assez rire. Je me suis donc laissé tenter sans en attendre grand chose. Résultat: une agréable surprise. Son film ne ressemble pas à ses précédents (ou ce que j'en ai entendu), mais à ses clips. C'est une parodie du rappeur, entre les fringues bling-bling, le langage ouech-ouech et le style de vie. En face de lui, Chris Prolls (Stéphane Rousseau excellent), le nouveau phénomène électro amoureux de la nature. Alors ça vole parfois bas, ça tombe parfois à plat, c'est parfois vulgaire, mais c'est souvent très drôle. Dommage que la deuxième partie (Fatal revient dans sa Savoie natale) ne soit pas au niveau de la première, mais la fin rattrape bien le tout. Michaël Youn réalise une comédie dans l'air du temps, en se foutant de la gueule du star-system et de tous ses excès (argent facile, rumeurs, paparazzis, faux talents). Jubilatoire.
Eyes Of War
Date de sortie: 16 juin 2010
Réalisé par Danis Tanovic
Avec Colin Farrell, Christopher Lee, Paz Vega
Titre original : Triage
Genre : Guerre
Durée : 01h36
Synopsis :
Photographes de guerre chevronnés, Mark et David sont en mission au Kurdistan. Tandis que le premier décide de rester sur place quelques jours encore en quête du cliché susceptible de le rendre célèbre, le second ne supporte plus la violence et le désespoir quotidiens. Surtout, il veut rentrer pour retrouver sa femme Diane, qui attend un enfant.
Grièvement blessé, Mark échoue dans un hôpital de campagne, avant d'être rapatrié à Dublin, où il apprend que David, lui, a disparu…
Critique "presse":
Un sujet loin d'être nouveau, les conséquences et les traumas vécus par quelqu'un à son retour de la guerre. Ici, Colin Farrell, excellent en photographe de guerre et qui est allé jusqu'à perdre 20 kilos pour le film. Si la première partie du film ne laisse pas insensible et pose de bonnes questions, notamment concernant la conscience morale des photographes de guerre, la seconde partie traîne en longueur et n'apporte rien de nouveau au sujet.
Ma critique:
Dans la première demi-heure, le réalisateur nous emmène sur le terrain et on suit deux reporters confrontés aux horreurs de la guerre. Images dures, où l'on voit les photographes se rapprocher au plus près des combats ou des gens qui sont en train de mourir pour trouver leur scoop. Puis Colin Farrell, blessé, revient à Dublin, changé forcément. Mais toute cette partie est très mal réalisée et beaucoup trop longue. Jusqu'au dernier quart d'heure, où des révélations sont faites. Très inégale au niveau du rythme, Tanovic aurait du se concentrer sur la vie des reporters de guerre sur le terrain, et ne pas s'intéresser à leurs traumas. Une déception.
Réalisé par Danis Tanovic
Avec Colin Farrell, Christopher Lee, Paz Vega
Titre original : Triage
Genre : Guerre
Durée : 01h36
Synopsis :
Photographes de guerre chevronnés, Mark et David sont en mission au Kurdistan. Tandis que le premier décide de rester sur place quelques jours encore en quête du cliché susceptible de le rendre célèbre, le second ne supporte plus la violence et le désespoir quotidiens. Surtout, il veut rentrer pour retrouver sa femme Diane, qui attend un enfant.
Grièvement blessé, Mark échoue dans un hôpital de campagne, avant d'être rapatrié à Dublin, où il apprend que David, lui, a disparu…
Critique "presse":
Un sujet loin d'être nouveau, les conséquences et les traumas vécus par quelqu'un à son retour de la guerre. Ici, Colin Farrell, excellent en photographe de guerre et qui est allé jusqu'à perdre 20 kilos pour le film. Si la première partie du film ne laisse pas insensible et pose de bonnes questions, notamment concernant la conscience morale des photographes de guerre, la seconde partie traîne en longueur et n'apporte rien de nouveau au sujet.
Ma critique:
Dans la première demi-heure, le réalisateur nous emmène sur le terrain et on suit deux reporters confrontés aux horreurs de la guerre. Images dures, où l'on voit les photographes se rapprocher au plus près des combats ou des gens qui sont en train de mourir pour trouver leur scoop. Puis Colin Farrell, blessé, revient à Dublin, changé forcément. Mais toute cette partie est très mal réalisée et beaucoup trop longue. Jusqu'au dernier quart d'heure, où des révélations sont faites. Très inégale au niveau du rythme, Tanovic aurait du se concentrer sur la vie des reporters de guerre sur le terrain, et ne pas s'intéresser à leurs traumas. Une déception.
Summer Wars
Date de sortie: 9 juin 2010
Réalisé par Mamoru Hosoda
Avec Ryunosuke Kamiki, Patrick Mölleken, Nanami Sakuraba
Genre: animation
Durée: 01h54
Synopsis :
Bienvenue dans le monde de OZ : la plateforme communautaire d'internet. En se connectant depuis un ordinateur, une télévision ou un téléphone, des millions d'avatars alimentent le plus grand réseau social en ligne pour une nouvelle vie, hors des limites de la réalité.
Kenji, un lycéen timide et surdoué en mathématiques, effectue un job d'été au service de la maintenance d'OZ. A sa grande surprise, la jolie Natsuki, la fille de ses rêves, lui propose de l'accompagner à Nagano, sa ville natale. Il se retrouve alors embarqué pour la fête traditionnelle du clan Jinnouchi. Il comprend bientôt que Natsuki ne l'a invité que pour jouer le rôle du " futur fiancé " et faire bonne figure vis-à-vis de sa vénérable grand mère. Au même moment, un virus attaque OZ, déclenchant catastrophe sur catastrophe au niveau planétaire.
Avec l'aide de Kenji, tout le clan Jinnouchi se lance alors dans une véritable croisade familiale pour sauver le monde virtuel et ses habitants...
Critique "presse":
Une intelligence artificielle sévit sur le plus grand réseau social d'Internet, Oz, créant ainsi un chaos gigantesque au niveau planétaire. Un manga catastrophe superbement réalisé par Mamoru Hosoda, qui alterne avec brio les scènes de la vie réelle et du monde virtuel. Peut-être pouvons-nous reprocher une morale traitée d'une manière un peu grotesque où les valeurs comme famille et tradition peuvent déplacer des montagnes face à la société moderne actuelle, mais pour le reste, on suit avec envie les aventures virtuelles (ou non) du jeune Kenji.
Ma critique:
Parfois totalement emporté par l'histoire (du rire, une ptite larme, du bon suspense), j'étais au bord de l'endormissement à d'autres moments. Un film très inégal, qui bénéficie d'une bonne réalisation, mais qui doit faire face à des rebondissements scénaristiques parfois très cucul. La traduction n'aide certainement pas, et doit être réduite à sa plus simple expression. Un sujet d'actualité (les réseaux sociaux, les problèmes de confidentialité liés à la vie privée) un peu long, mais qui pourrait se suivre sans problèmes avec 20 minutes en moins. J'ai aussi été déçu au niveau des dessins, mais n'étant pas un pro des mangas, je ne m'attarderai pas sur le sujet.
Réalisé par Mamoru Hosoda
Avec Ryunosuke Kamiki, Patrick Mölleken, Nanami Sakuraba
Genre: animation
Durée: 01h54
Synopsis :
Bienvenue dans le monde de OZ : la plateforme communautaire d'internet. En se connectant depuis un ordinateur, une télévision ou un téléphone, des millions d'avatars alimentent le plus grand réseau social en ligne pour une nouvelle vie, hors des limites de la réalité.
Kenji, un lycéen timide et surdoué en mathématiques, effectue un job d'été au service de la maintenance d'OZ. A sa grande surprise, la jolie Natsuki, la fille de ses rêves, lui propose de l'accompagner à Nagano, sa ville natale. Il se retrouve alors embarqué pour la fête traditionnelle du clan Jinnouchi. Il comprend bientôt que Natsuki ne l'a invité que pour jouer le rôle du " futur fiancé " et faire bonne figure vis-à-vis de sa vénérable grand mère. Au même moment, un virus attaque OZ, déclenchant catastrophe sur catastrophe au niveau planétaire.
Avec l'aide de Kenji, tout le clan Jinnouchi se lance alors dans une véritable croisade familiale pour sauver le monde virtuel et ses habitants...
Critique "presse":
Une intelligence artificielle sévit sur le plus grand réseau social d'Internet, Oz, créant ainsi un chaos gigantesque au niveau planétaire. Un manga catastrophe superbement réalisé par Mamoru Hosoda, qui alterne avec brio les scènes de la vie réelle et du monde virtuel. Peut-être pouvons-nous reprocher une morale traitée d'une manière un peu grotesque où les valeurs comme famille et tradition peuvent déplacer des montagnes face à la société moderne actuelle, mais pour le reste, on suit avec envie les aventures virtuelles (ou non) du jeune Kenji.
Ma critique:
Parfois totalement emporté par l'histoire (du rire, une ptite larme, du bon suspense), j'étais au bord de l'endormissement à d'autres moments. Un film très inégal, qui bénéficie d'une bonne réalisation, mais qui doit faire face à des rebondissements scénaristiques parfois très cucul. La traduction n'aide certainement pas, et doit être réduite à sa plus simple expression. Un sujet d'actualité (les réseaux sociaux, les problèmes de confidentialité liés à la vie privée) un peu long, mais qui pourrait se suivre sans problèmes avec 20 minutes en moins. J'ai aussi été déçu au niveau des dessins, mais n'étant pas un pro des mangas, je ne m'attarderai pas sur le sujet.
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