Date de sortie: 17 novembre 2010
Réalisé par Derrick Borte
Avec Demi Moore, David Duchovny, Amber Heard
Titre original : The Joneses
Genre : Comédie , Drame
Durée : 01h36
Synopsis :
Lorsque les Jones emménagent dans la banlieue chic d’une petite ville américaine, ils apparaissent tout de suite comme une famille idéale. Non seulement ce sont des gens charmants, mais ils ont en plus une magnifique maison et sont mieux équipés que toutes les autres familles du quartier. Le problème c’est que la famille Jones n’existe pas : ce sont les employés d’une société de marketing dont le but est de donner envie aux gens de posséder ce qu’ils ont…
Critique "presse":
Une comédie satirique qui s'attaque à la société de consommation, le tout sur fond de crise économique. Si le sujet traité est original et bien choisi, le film tourne malheureusement assez rapidement à la comédie sentimentale. Pas assez corrosif, trop moralisateur.
Ma critique:
Une famille modèle qui possède le top du top s'installe dans un quartier riche. Forcément, les voisins sont intrigués et curieux. ça tombe bien, la famille Jones est là pour les pousser à avoir la même chose. Une idée très originale et moderne (société de consommation), basée sur le "marketing furtif". L'histoire commence bien, les sous-intrigues sont intéressantes (la fille modèle qui veut se taper son père, le riche voisin prêt à tout acheter à sa femme pour pouvoir recoucher avec, le père qui est la seule à avoir une conscience et qui se demande si c'est bien ou pas de manipuler les gens), "La Famille Jones" aurait pu être une comédie dérangeante. Mais très (trop) vite, le réalisateur prend le parti de dénoncer cette société, tout tourne mal et ça devient vite moralisateur. Une super idée gâchée par les bons sentiments américains. Avec une fin différente, on obtenait un très bon film.
lundi 29 novembre 2010
dimanche 28 novembre 2010
Welcome To The Rileys
Date de sortie: 10 novembre 2010
Réalisé par Jake Scott
Avec Kristen Stewart, James Gandolfini, Melissa Leo
Genre : Drame
Durée : 01h50
Synopsis :
Au cours d’un déplacement professionnel, Doug Riley rencontre Mallory, stripteaseuse dans un club de la Nouvelle-Orléans. L’affection paternelle qu'il ressent pour elle bouleverse le mariage de Doug et Loïs, huit ans après la mort tragique de leur fille unique.
Critique "presse":
Un film indépendant américain comme on en voit souvent. Un scénario sans surprises, avec ses silences, ses moments drôles et ses personnages torturés. La force du film réside dans la rencontre entre les deux personnages principaux, admirablement dirigés par Jake Scott.
Ma critique:
Après Ridley et Tony, je voudrais Jake Scott. Encore un qui dû réussir grâce à son talent et pas ses relations...Je suis médisant. Très bon film de ce Jake que je ne connaissais pas, qui ne ressemble en rien aux films d'actions du reste de la famille. Ici, on est en plein film indépendant. Le rythme est plutôt lent (parfois un peu long), mais la rencontre entre James Gandolfini et Kristen Stewart (méconnaissable et bien mieux qu'en accro aux vampires) est magnifique. Doug Riley a perdu sa fille; suite à ce drame, sa femme ne sort plus de chez elle. Au cours d'un déplacement, il rencontre une jeune strip-teaseuse paumée. Il cherche alors à l'aider à tout prix et à la protéger. Une belle rencontre pour un beau film.
Réalisé par Jake Scott
Avec Kristen Stewart, James Gandolfini, Melissa Leo
Genre : Drame
Durée : 01h50
Synopsis :
Au cours d’un déplacement professionnel, Doug Riley rencontre Mallory, stripteaseuse dans un club de la Nouvelle-Orléans. L’affection paternelle qu'il ressent pour elle bouleverse le mariage de Doug et Loïs, huit ans après la mort tragique de leur fille unique.
Critique "presse":
Un film indépendant américain comme on en voit souvent. Un scénario sans surprises, avec ses silences, ses moments drôles et ses personnages torturés. La force du film réside dans la rencontre entre les deux personnages principaux, admirablement dirigés par Jake Scott.
Ma critique:
Après Ridley et Tony, je voudrais Jake Scott. Encore un qui dû réussir grâce à son talent et pas ses relations...Je suis médisant. Très bon film de ce Jake que je ne connaissais pas, qui ne ressemble en rien aux films d'actions du reste de la famille. Ici, on est en plein film indépendant. Le rythme est plutôt lent (parfois un peu long), mais la rencontre entre James Gandolfini et Kristen Stewart (méconnaissable et bien mieux qu'en accro aux vampires) est magnifique. Doug Riley a perdu sa fille; suite à ce drame, sa femme ne sort plus de chez elle. Au cours d'un déplacement, il rencontre une jeune strip-teaseuse paumée. Il cherche alors à l'aider à tout prix et à la protéger. Une belle rencontre pour un beau film.
mardi 23 novembre 2010
Potiche
Date de sortie: 10 novembre 2010
Réalisé par François Ozon
Avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Fabrice Luchini
Genre : Comédie
Durée : 01h43
Synopsis :
En 1977, dans une province de la bourgeoisie française, Suzanne Pujol est l’épouse popote et soumise d’un riche industriel Robert Pujol. Il dirige son usine de parapluies d’une main de fer et s’avère aussi désagréable et despote avec ses ouvriers qu’avec ses enfants et sa femme, qu’il prend pour une potiche. À la suite d’une grève et d’une séquestration de son mari, Suzanne se retrouve à la direction de l’usine et se révèle à la surprise générale une femme de tête et d’action. Mais lorsque Robert rentre d’une cure de repos en pleine forme, tout se complique…
Critique "presse":
François Ozon nous plonge dans le quitsch des années 70, en adaptant une pièce de théâtre. Il se joue des conventions de l'époque en y ajoutant les thèmes politiques d'aujourd'hui. Robert Pujol est le capitaliste par excellence, et il ne voit son épouse que comme femme au foyer. Jusqu'au jour où la popote se transforme en patronne au grand coeur, et s'oppose à son mari. Une comédie vaudeville, féministe, avec des dialogues savoureux servis par une pléiade de comédiens de talent, Catherine Deneuve en tête, qui se révèle excellente en potiche coincée aux moeurs finalement légères. La comédie française de l'année.
Ma critique:
Une bonne comédie qui vaut surtout grâce à ses dialogues, qu'on sent adapté d'une pièce de théâtre. Certains sont un peu faciles, Ozon s'inspirant fortement de la politique actuelle, mais le tout se suit très bien. Bons acteurs, Luchini en tête. Une comédie qui fait plus sourire que rire, mais c'est déjà un succès pour une comédie française.
Réalisé par François Ozon
Avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Fabrice Luchini
Genre : Comédie
Durée : 01h43
Synopsis :
En 1977, dans une province de la bourgeoisie française, Suzanne Pujol est l’épouse popote et soumise d’un riche industriel Robert Pujol. Il dirige son usine de parapluies d’une main de fer et s’avère aussi désagréable et despote avec ses ouvriers qu’avec ses enfants et sa femme, qu’il prend pour une potiche. À la suite d’une grève et d’une séquestration de son mari, Suzanne se retrouve à la direction de l’usine et se révèle à la surprise générale une femme de tête et d’action. Mais lorsque Robert rentre d’une cure de repos en pleine forme, tout se complique…
Critique "presse":
François Ozon nous plonge dans le quitsch des années 70, en adaptant une pièce de théâtre. Il se joue des conventions de l'époque en y ajoutant les thèmes politiques d'aujourd'hui. Robert Pujol est le capitaliste par excellence, et il ne voit son épouse que comme femme au foyer. Jusqu'au jour où la popote se transforme en patronne au grand coeur, et s'oppose à son mari. Une comédie vaudeville, féministe, avec des dialogues savoureux servis par une pléiade de comédiens de talent, Catherine Deneuve en tête, qui se révèle excellente en potiche coincée aux moeurs finalement légères. La comédie française de l'année.
Ma critique:
Une bonne comédie qui vaut surtout grâce à ses dialogues, qu'on sent adapté d'une pièce de théâtre. Certains sont un peu faciles, Ozon s'inspirant fortement de la politique actuelle, mais le tout se suit très bien. Bons acteurs, Luchini en tête. Une comédie qui fait plus sourire que rire, mais c'est déjà un succès pour une comédie française.
Unstoppable
Date de sortie: 10 novembre 2010
Réalisé par Tony Scott
Avec Denzel Washington, Chris Pine, Rosario Dawson
Genre : Action
Durée : 01h35
Synopsis :
Un ingénieur et un chauffeur vivent une véritable course contre la montre. Les deux hommes tentent de stopper un train qui transporte des produits toxiques avant que celui-ci ne déraille et répande une flaque toxique qui décimera la ville complète.
Critique "presse":
Un scénario des plus simplistes, à savoir un train sans conducteur lancé à toute vitesse, avec à son bord des produits toxiques, doit être stoppé. Mais un film catastrophe des plus honorables où se mêle action et suspense du début à la fin. Tony Scott fait ce qu'il sait faire de mieux, malheureusement avec son art de l'esbroufe quotidien.
Ma critique:
Au vu de la BA, j'avais pas envie d'aller voir ce film. Un scénario aussi crétin, on peut vraiment faire des films sur n'importe quoi. Puis, il paraît que c'est issu de faits réels, ça reste un film d'action, donc je peux ne pas m'ennuyer. Agréable surprise donc, l'histoire se met bien en place, il y a de l'action tout le long, le tout entrecoupé de scènes où la compagnie ferrovière cherche à se couvrir au maximum. C'est bien fait, si l'on fait abstraction du côté romancé qui plaît tant aux américains: deux messieurs tout le monde (un petit jeune que sa femme ne veut plus voir et le veuf père de deux grandes filles) deviennent des héros. Et bien sûr, on connaît la fin dès le générique de début. Et puis, j'ai pris le train aux Etats-Unis, et croyez-moi, un train va pas aussi vite là-bas. Pas besoin d'hélicoptère ou de locomotive pour le rattraper, le courser tranquillement en marchant suffit.
Réalisé par Tony Scott
Avec Denzel Washington, Chris Pine, Rosario Dawson
Genre : Action
Durée : 01h35
Synopsis :
Un ingénieur et un chauffeur vivent une véritable course contre la montre. Les deux hommes tentent de stopper un train qui transporte des produits toxiques avant que celui-ci ne déraille et répande une flaque toxique qui décimera la ville complète.
Critique "presse":
Un scénario des plus simplistes, à savoir un train sans conducteur lancé à toute vitesse, avec à son bord des produits toxiques, doit être stoppé. Mais un film catastrophe des plus honorables où se mêle action et suspense du début à la fin. Tony Scott fait ce qu'il sait faire de mieux, malheureusement avec son art de l'esbroufe quotidien.
Ma critique:
Au vu de la BA, j'avais pas envie d'aller voir ce film. Un scénario aussi crétin, on peut vraiment faire des films sur n'importe quoi. Puis, il paraît que c'est issu de faits réels, ça reste un film d'action, donc je peux ne pas m'ennuyer. Agréable surprise donc, l'histoire se met bien en place, il y a de l'action tout le long, le tout entrecoupé de scènes où la compagnie ferrovière cherche à se couvrir au maximum. C'est bien fait, si l'on fait abstraction du côté romancé qui plaît tant aux américains: deux messieurs tout le monde (un petit jeune que sa femme ne veut plus voir et le veuf père de deux grandes filles) deviennent des héros. Et bien sûr, on connaît la fin dès le générique de début. Et puis, j'ai pris le train aux Etats-Unis, et croyez-moi, un train va pas aussi vite là-bas. Pas besoin d'hélicoptère ou de locomotive pour le rattraper, le courser tranquillement en marchant suffit.
lundi 22 novembre 2010
Date Limite
Date de sortie: 10 novembre 2010
Réalisé par Todd Phillips
Avec Robert Downey Jr., Zach Galifianakis, Michelle Monaghan, plus
Titre original: Due Date
Genre : Comédie
Durée : 01h35
Synopsis :
Cinq jours séparent Peter Highman du jour où il sera père pour la première fois, au terme de la grossesse de sa femme. Tandis qu’il se dépêche de prendre un vol d’Atlanta pour être à ses côtés pour la naissance, ses meilleures intentions s’en vont à vau-l’eau. Une rencontre fortuite avec Ethan Tremblay, un acteur en quête de reconnaissance, force Peter à faire de l’autostop dans une virée qui va le mener à travers le pays, détruisant au passage plusieurs voitures, de nombreuses amitiés et sa dernière résistance.
Critique "presse":
Un road-trip déjanté porté par un duo d'acteurs improbables. La balourd gentil et maladroit Zack Galifianakis face au speed et sarcastique Robert Downey Jr. Ces deux-là vont devoir faire route ensemble d'Atlanta à Los Angeles. Rencontres improbables et nombreux rebondissements les attendent sur la route. Pas de grosses surprises, on retrouve toutes les idées de ce genre de film, mais ça reste très drôle, surtout grâce aux acteurs.
Ma critique:
Si Todd Phillips avait fait "Due Date" avant "The Hangover", on en aurait nettement moins parlé. Ici, on retrouve Zack Galifianakis toujours en gros maladroit, rôle dans lequel il excelle. Face à lui, Robert Downey Jr, toujours en stress. Si l'association des deux fait sourire et que certains gags font vraiment rire, on s'ennuie un peu à certains moments, et le road-trip nous semble long. Une comédie en dents de scie.
Réalisé par Todd Phillips
Avec Robert Downey Jr., Zach Galifianakis, Michelle Monaghan, plus
Titre original: Due Date
Genre : Comédie
Durée : 01h35
Synopsis :
Cinq jours séparent Peter Highman du jour où il sera père pour la première fois, au terme de la grossesse de sa femme. Tandis qu’il se dépêche de prendre un vol d’Atlanta pour être à ses côtés pour la naissance, ses meilleures intentions s’en vont à vau-l’eau. Une rencontre fortuite avec Ethan Tremblay, un acteur en quête de reconnaissance, force Peter à faire de l’autostop dans une virée qui va le mener à travers le pays, détruisant au passage plusieurs voitures, de nombreuses amitiés et sa dernière résistance.
Critique "presse":
Un road-trip déjanté porté par un duo d'acteurs improbables. La balourd gentil et maladroit Zack Galifianakis face au speed et sarcastique Robert Downey Jr. Ces deux-là vont devoir faire route ensemble d'Atlanta à Los Angeles. Rencontres improbables et nombreux rebondissements les attendent sur la route. Pas de grosses surprises, on retrouve toutes les idées de ce genre de film, mais ça reste très drôle, surtout grâce aux acteurs.
Ma critique:
Si Todd Phillips avait fait "Due Date" avant "The Hangover", on en aurait nettement moins parlé. Ici, on retrouve Zack Galifianakis toujours en gros maladroit, rôle dans lequel il excelle. Face à lui, Robert Downey Jr, toujours en stress. Si l'association des deux fait sourire et que certains gags font vraiment rire, on s'ennuie un peu à certains moments, et le road-trip nous semble long. Une comédie en dents de scie.
L'Homme Qui Voulait Vivre Sa Vie
Date de sortie: 3 novembre 2010
Réalisé par Eric Lartigau
Avec Romain Duris
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h55
Synopsis :
Paul Exben a tout pour être heureux : une belle situation professionnelle, une femme et deux enfants magnifiques. Sauf que cette vie n'est pas celle dont il rêvait. Un coup de folie va faire basculer son existence, l'amenant à endosser une nouvelle identité qui va lui permettre de vivre sa vie.
Critique "presse":
Paul Exben a une belle situation, une belle maison, une femme qu'il aime et deux enfants. Mais ce n'est pas la vie qu'il souhaitait. Suite à un événement qui bouleverse sa vie, il quitte la France et décide de vivre de sa passion, la photographie. Un thriller haletant porté par un Romain Duris intense, hanté par son passé. Eric Lartigau livre une bonne adaptation du roman de Douglas Kennedy grâce à une mise en scène sobre et efficace. Les seconds rôles sont eux aussi excellents.
Ma critique:
Une première partie très bien réalisée. On suit le train-train quotidien de Paul Exben, avocat d'affaires, avec belle voiture, belle maison, femme et enfants. Mais Paul n'aime pas cette vie, sa passion, c'est la photo. Puis Paul découvre que sa femme le trompe avec un voisin photographe (comme de par hasard). Au moment de confronter ce dernier, il le tue accidentellement. Paul décide alors de faire disparaître le corps, et de prendre l'identité du photographe, abandonnant derrière lui sa vie pour vivre de sa passion. Cette première moitié du film est rondement menée, le suspense est bien présent.
Puis Paul arrive au Monténégro pour vivre sa nouvelle vie, comme un inconnu. Il devient photographe, a du talent, rencontre un journaliste qui lui propose un travail. Les photos de Paul sont publiées et on lui propose même d'être exposé dans une galerie. Pour un mec qui veut se faire oublier, c'est raté. Paul décide donc de fuir à nouveau. Cette seconde partie est longue, absolument pas crédible et le suspense n'est plus présent, et la fin est encore pire. C'est dommage, le début était intéressant, mais pas suffisant pour faire un bon film.
Réalisé par Eric Lartigau
Avec Romain Duris
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h55
Synopsis :
Paul Exben a tout pour être heureux : une belle situation professionnelle, une femme et deux enfants magnifiques. Sauf que cette vie n'est pas celle dont il rêvait. Un coup de folie va faire basculer son existence, l'amenant à endosser une nouvelle identité qui va lui permettre de vivre sa vie.
Critique "presse":
Paul Exben a une belle situation, une belle maison, une femme qu'il aime et deux enfants. Mais ce n'est pas la vie qu'il souhaitait. Suite à un événement qui bouleverse sa vie, il quitte la France et décide de vivre de sa passion, la photographie. Un thriller haletant porté par un Romain Duris intense, hanté par son passé. Eric Lartigau livre une bonne adaptation du roman de Douglas Kennedy grâce à une mise en scène sobre et efficace. Les seconds rôles sont eux aussi excellents.
Ma critique:
Une première partie très bien réalisée. On suit le train-train quotidien de Paul Exben, avocat d'affaires, avec belle voiture, belle maison, femme et enfants. Mais Paul n'aime pas cette vie, sa passion, c'est la photo. Puis Paul découvre que sa femme le trompe avec un voisin photographe (comme de par hasard). Au moment de confronter ce dernier, il le tue accidentellement. Paul décide alors de faire disparaître le corps, et de prendre l'identité du photographe, abandonnant derrière lui sa vie pour vivre de sa passion. Cette première moitié du film est rondement menée, le suspense est bien présent.
Puis Paul arrive au Monténégro pour vivre sa nouvelle vie, comme un inconnu. Il devient photographe, a du talent, rencontre un journaliste qui lui propose un travail. Les photos de Paul sont publiées et on lui propose même d'être exposé dans une galerie. Pour un mec qui veut se faire oublier, c'est raté. Paul décide donc de fuir à nouveau. Cette seconde partie est longue, absolument pas crédible et le suspense n'est plus présent, et la fin est encore pire. C'est dommage, le début était intéressant, mais pas suffisant pour faire un bon film.
vendredi 19 novembre 2010
Buried
Date de sortie: 3 novembre 2010
Réalisé par Rodrigo Cortés
Avec Ryan Reynolds
Genre : Thriller
Durée : 01h35
Synopsis :
Ouvrez les yeux. Vous êtes dans un espace clos, sous 1 tonne de terre irakienne avec 90 minutes d’oxygène et pour seule connexion vers l’extérieur un téléphone portable à moitié rechargé. Tel est le destin de Paul, entrepreneur Américain pris en otage et enfermé dans une boîte. Le temps file et chaque seconde qui passe le rapproche d’une morte certaine…
Critique "presse":
Angoissant, haletant, "Buried" est un exercice de style, un film où le suspense vous prend dès les premières images. Le réalisateur essaie de faire tenir ce suspense jusqu'à la fin avec des idées plus ou moins bien trouvées. Un film anti-américain qui vaut surtout pour l'excellente prestation de Ryan Reynolds. Claustros s'abstenir.
Ma critique:
Un véritable huit-clos, c'est bien simple, on ne sort jamais du cercueil, on ne voit pas un seul instant la lumière du jour. Ryan Reynolds est seul au monde et ne communique que grâce à un téléphone portable. L'administration américaine en prend clairement pour son grade, tout comme l'armée, prête à laisser mourir un inconnu et qui cherche avant tout à se couvrir. On progresse tout au long du film avec l'enterré, en cherchant avec lui quelle sera l'issue. Un film qui nous montre jusqu'où l'être humain est prêt à aller quand il est confronté à la mort, mais un film qui à les défauts de ses qualités: on ne sort pas du cercueil, du coup, l'action n'est pas tout le temps présente. Et pour garder le spectateur en haleine, le réalisateur utilise quelques raccourcis scénaristiques.
Réalisé par Rodrigo Cortés
Avec Ryan Reynolds
Genre : Thriller
Durée : 01h35
Synopsis :
Ouvrez les yeux. Vous êtes dans un espace clos, sous 1 tonne de terre irakienne avec 90 minutes d’oxygène et pour seule connexion vers l’extérieur un téléphone portable à moitié rechargé. Tel est le destin de Paul, entrepreneur Américain pris en otage et enfermé dans une boîte. Le temps file et chaque seconde qui passe le rapproche d’une morte certaine…
Critique "presse":
Angoissant, haletant, "Buried" est un exercice de style, un film où le suspense vous prend dès les premières images. Le réalisateur essaie de faire tenir ce suspense jusqu'à la fin avec des idées plus ou moins bien trouvées. Un film anti-américain qui vaut surtout pour l'excellente prestation de Ryan Reynolds. Claustros s'abstenir.
Ma critique:
Un véritable huit-clos, c'est bien simple, on ne sort jamais du cercueil, on ne voit pas un seul instant la lumière du jour. Ryan Reynolds est seul au monde et ne communique que grâce à un téléphone portable. L'administration américaine en prend clairement pour son grade, tout comme l'armée, prête à laisser mourir un inconnu et qui cherche avant tout à se couvrir. On progresse tout au long du film avec l'enterré, en cherchant avec lui quelle sera l'issue. Un film qui nous montre jusqu'où l'être humain est prêt à aller quand il est confronté à la mort, mais un film qui à les défauts de ses qualités: on ne sort pas du cercueil, du coup, l'action n'est pas tout le temps présente. Et pour garder le spectateur en haleine, le réalisateur utilise quelques raccourcis scénaristiques.
lundi 15 novembre 2010
Fair Game
Date de sortie: 3 novembre 2010
Réalisé par Doug Liman
Avec Naomi Watts, Sean Penn
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h46
Synopsis :
Valerie Plame, agent de la CIA au département chargé de la non-prolifération des armes, dirige secrètement une enquête sur l’existence potentielle d’armes de destruction massive en Iraq.
Son mari, le diplomate Joe Wilson, se voit confier la mission d’apporter les preuves d’une supposée vente d’uranium enrichi en provenance du Niger. Mais lorsque l’administration Bush ignore ses conclusions pour justifier le déclenchement de la guerre, Joe Wilson réagit via un éditorial dans le New York Times déclenchant ainsi la polémique. Peu après, la véritable identité de Valerie Plame est révélée par un célèbre journaliste de Washington.
Avec sa couverture réduite à néant et ses contacts à l’étranger en danger de mort, Valerie voit s’effondrer sa carrière et sa vie privée.
Après des années au service du gouvernement américain, elle va devoir maintenant se battre pour sauver sa réputation, sa carrière et sa famille.
Critique "presse":
Doug Liman signe un thriller politique efficace, qui se penche sur la guerre en Irak et ses raisons. La mise en scène manque pourtant de rythme, et le réalisateur perd parfois le fil en s'accrochant trop à la vie privée du couple bafoué. Le film reste néanmoins convaincant, grâce aux interprétations de Naomi Watts et d'un Sean Penn méconnaissable.
Ma critique:
Y'a-t'il ou non des armes de destructions massives en Irak? Si le sujet a déjà été traité plusieurs fois, Doug Liman s'inspire d'une histoire vraie, et préfère ici le thriller politique au film de guerre. Il dénonce les agissements et les manipulations du gouvernement Bush, à travers la politique et les médias. Sur la première partie du film, on suit Valérie Plame agent du FBI, et son mari Joe Wilson, diplomate, à la recherche de preuves sur le terrain. En deuxième partie, on suit leur combat contre le gouvernement, qui cherche à les discréditer. Un bon thriller , qui force à réfléchir sur les agissements des politiques et qui nous montre que les informations relayées par les médias sont à prendre avec du recul. Le tout servi par un duo de comédiens convaincants.
Réalisé par Doug Liman
Avec Naomi Watts, Sean Penn
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h46
Synopsis :
Valerie Plame, agent de la CIA au département chargé de la non-prolifération des armes, dirige secrètement une enquête sur l’existence potentielle d’armes de destruction massive en Iraq.
Son mari, le diplomate Joe Wilson, se voit confier la mission d’apporter les preuves d’une supposée vente d’uranium enrichi en provenance du Niger. Mais lorsque l’administration Bush ignore ses conclusions pour justifier le déclenchement de la guerre, Joe Wilson réagit via un éditorial dans le New York Times déclenchant ainsi la polémique. Peu après, la véritable identité de Valerie Plame est révélée par un célèbre journaliste de Washington.
Avec sa couverture réduite à néant et ses contacts à l’étranger en danger de mort, Valerie voit s’effondrer sa carrière et sa vie privée.
Après des années au service du gouvernement américain, elle va devoir maintenant se battre pour sauver sa réputation, sa carrière et sa famille.
Critique "presse":
Doug Liman signe un thriller politique efficace, qui se penche sur la guerre en Irak et ses raisons. La mise en scène manque pourtant de rythme, et le réalisateur perd parfois le fil en s'accrochant trop à la vie privée du couple bafoué. Le film reste néanmoins convaincant, grâce aux interprétations de Naomi Watts et d'un Sean Penn méconnaissable.
Ma critique:
Y'a-t'il ou non des armes de destructions massives en Irak? Si le sujet a déjà été traité plusieurs fois, Doug Liman s'inspire d'une histoire vraie, et préfère ici le thriller politique au film de guerre. Il dénonce les agissements et les manipulations du gouvernement Bush, à travers la politique et les médias. Sur la première partie du film, on suit Valérie Plame agent du FBI, et son mari Joe Wilson, diplomate, à la recherche de preuves sur le terrain. En deuxième partie, on suit leur combat contre le gouvernement, qui cherche à les discréditer. Un bon thriller , qui force à réfléchir sur les agissements des politiques et qui nous montre que les informations relayées par les médias sont à prendre avec du recul. Le tout servi par un duo de comédiens convaincants.
Vous Allez Rencontrer Un Bel Et Sombre Inconnu
Date de sortie: 6 octobre 2010
Réalisé par Woody Allen
Avec Naomi Watts, Antonio Banderas, Josh Brolin
Titre original : You Will Meet a Tall Dark Stranger
Genre : Comédie , Drame
Durée : 01h38
Synopsis :
Tout commence une nuit, lorsqu’Alfie se réveille, paniqué à l'idée qu'il ne lui reste plus que quelques précieuses années à vivre. Cédant à l'appel du démon de midi, il met abruptement fin à quarante années de mariage en abandonnant sa femme Helena. Après une tentative de suicide et une analyse vite arrêtée, celle-ci trouve un réconfort inattendu auprès d'une voyante, Cristal, qui lui prédit une histoire d'amour avec un "grand inconnu tout de noir vêtu"…
Critique "presse":
Woody Allen signe une comédie noire, au goût de vaudeville, servie par un casting brillant. Il passe d'un personnage à un autre avec brio, à coup de répliques et situations qui font mouche. Mais si ce nouveau Woody est à ranger du côté des bons films du réalisateur, il ne fait preuve d'aucune surprise.
Ma critique:
Une bonne comédie malgré un scénario simple. Une femme âgée qui se laisse avoir par une voyante de pacotille, un écrivain en mal d'inspiration, un vieux riche qui épouse une poule de luxe, une secrétaire qui tombe sous le charme de son patron. Pas d'énormes surprises pour ce film, mais Woody Allen ne tombe pas dans la caricature et l'on passe un bon moment.
Réalisé par Woody Allen
Avec Naomi Watts, Antonio Banderas, Josh Brolin
Titre original : You Will Meet a Tall Dark Stranger
Genre : Comédie , Drame
Durée : 01h38
Synopsis :
Tout commence une nuit, lorsqu’Alfie se réveille, paniqué à l'idée qu'il ne lui reste plus que quelques précieuses années à vivre. Cédant à l'appel du démon de midi, il met abruptement fin à quarante années de mariage en abandonnant sa femme Helena. Après une tentative de suicide et une analyse vite arrêtée, celle-ci trouve un réconfort inattendu auprès d'une voyante, Cristal, qui lui prédit une histoire d'amour avec un "grand inconnu tout de noir vêtu"…
Critique "presse":
Woody Allen signe une comédie noire, au goût de vaudeville, servie par un casting brillant. Il passe d'un personnage à un autre avec brio, à coup de répliques et situations qui font mouche. Mais si ce nouveau Woody est à ranger du côté des bons films du réalisateur, il ne fait preuve d'aucune surprise.
Ma critique:
Une bonne comédie malgré un scénario simple. Une femme âgée qui se laisse avoir par une voyante de pacotille, un écrivain en mal d'inspiration, un vieux riche qui épouse une poule de luxe, une secrétaire qui tombe sous le charme de son patron. Pas d'énormes surprises pour ce film, mais Woody Allen ne tombe pas dans la caricature et l'on passe un bon moment.
jeudi 4 novembre 2010
Les Petits Mouchoirs
Date de sortie: 20 octobre 2010
Réalisé par Guillaume Canet
Avec François Cluzet, Marion Cotillard, Benoît Magimel
Genre : Comédie dramatique
Durée : 02h34
Synopsis :
A la suite d'un événement bouleversant, une bande de copains décide, malgré tout, de partir en vacances au bord de la mer comme chaque année. Leur amitié, leurs certitudes, leur culpabilité, leurs amours en seront ébranlées. Ils vont enfin devoir lever les "petits mouchoirs" qu'ils ont posés sur leurs secrets et leurs mensonges.
Critique "presse":
Une bande de potes doit partir, comme chaque année, en vacances chez le plus friqué d'entre eux. L'un d'eux est victime d'un accident. A partir de là, les autres se posent la question: faut-il partir quand même ou rester? Finalement, ils partent, chacun avec leurs secrets et leurs problèmes, qui finiront par éclater au grand jour. Canet, malgré un sujet connu (la bande de potes), arrive, avec une bonne partie de la fine fleur du cinéma français, à nous emmener dans un tourbillon d'émotions. Tout au long du film, on passe du rire aux larmes. La mise en scène ne se centre pas sur un seul protagoniste et passe avec aisance d'un personnage à un autre, mais le problème, c'est que les persos sont un peu (trop) caricaturaux et que tout au long des 2h30 de film (et oui, quand même!), ils n'évoluent pas des masses. Un film "générationnel" qui tourne au mélodrame, et qui a du mal à se finir.
A noter que faire la critique "presse" de ce film est assez difficile, entre les journalistes qui lèchent les pieds de Canet et ceux qui font preuve d'une extrême jalousie et se contente de descendre le film avec méchanceté plutôt que de délivrer une critique objective.
Ma critique:
Un film sur des trentenaires parisiens et leurs problèmes...J'ai comme une impression de déjà-vu. La différence, c'est que Canet s'en sort mieux que les autres. Son film est long, mais il prend au moins le temps de développer chacun de ses personnages. Mention à Cluzet, excellent (et drôle) dans son rôle de restaurateur stressé qui veut tout contrôler. Pour une fois, dans un film français, la bande-son est digne de ce nom, on ne se contente pas de trois, quatre pauvres notes de piano. Mais pour moi, le gros plus de ce film, c'est la vision que Canet a des relations entre amis. Tout n'est pas tout beau, tout rose. Chacun pense d'abord à ses petits problèmes personnels et fait passer son bonheur avant celui des autres. Une vision et une définition, selon moi, assez vraie de l'amitié.
Voilà pour les points positifs. Pour le négatif, déjà, le film est long (une bonne demi-heure de moins, c'était possible). Ensuite, ça joue trop sur l'émotion: là, faut rire, là, faut pleurer. Et pour finir, pour un film entre potes, j'ai quand même une question? Comment font-ils pour être amis? Comment deux couples posés avec enfants (Cluzet-Bonneton et Magimel-Arbillot) peuvent être amis avec un beauf' (joué par Lellouche, qui change donc de registre...ou pas) coureur de jupons, comédien raté (car oui, dans le film, il n'a pas papa pour le pistonner) et avec la cool Cotillard qui couche avec tout le monde et fume des joints à longueur de temps? Comment peut-on être amis avec un stressé de la vie qui renie son meilleur pote dès qu'il y a un problème? Comment peut-on être ami avec un mec qui passe son temps à se plaindre et à déprimer car sa femme l'a quittée? Franchement, un mec comme ça, tu l'aides au début, mais au fur et à mesure, tu t'éloignes. Et là, je résume. Bref, comment des gens qui n'ont rien en commun peuvent être amis?
Pour conclure, un film qui a les défauts de ses qualités. Pas le meilleur de Canet, même si comme beaucoup, j'ai versé ma petite larme à la fin.
Réalisé par Guillaume Canet
Avec François Cluzet, Marion Cotillard, Benoît Magimel
Genre : Comédie dramatique
Durée : 02h34
Synopsis :
A la suite d'un événement bouleversant, une bande de copains décide, malgré tout, de partir en vacances au bord de la mer comme chaque année. Leur amitié, leurs certitudes, leur culpabilité, leurs amours en seront ébranlées. Ils vont enfin devoir lever les "petits mouchoirs" qu'ils ont posés sur leurs secrets et leurs mensonges.
Critique "presse":
Une bande de potes doit partir, comme chaque année, en vacances chez le plus friqué d'entre eux. L'un d'eux est victime d'un accident. A partir de là, les autres se posent la question: faut-il partir quand même ou rester? Finalement, ils partent, chacun avec leurs secrets et leurs problèmes, qui finiront par éclater au grand jour. Canet, malgré un sujet connu (la bande de potes), arrive, avec une bonne partie de la fine fleur du cinéma français, à nous emmener dans un tourbillon d'émotions. Tout au long du film, on passe du rire aux larmes. La mise en scène ne se centre pas sur un seul protagoniste et passe avec aisance d'un personnage à un autre, mais le problème, c'est que les persos sont un peu (trop) caricaturaux et que tout au long des 2h30 de film (et oui, quand même!), ils n'évoluent pas des masses. Un film "générationnel" qui tourne au mélodrame, et qui a du mal à se finir.
A noter que faire la critique "presse" de ce film est assez difficile, entre les journalistes qui lèchent les pieds de Canet et ceux qui font preuve d'une extrême jalousie et se contente de descendre le film avec méchanceté plutôt que de délivrer une critique objective.
Ma critique:
Un film sur des trentenaires parisiens et leurs problèmes...J'ai comme une impression de déjà-vu. La différence, c'est que Canet s'en sort mieux que les autres. Son film est long, mais il prend au moins le temps de développer chacun de ses personnages. Mention à Cluzet, excellent (et drôle) dans son rôle de restaurateur stressé qui veut tout contrôler. Pour une fois, dans un film français, la bande-son est digne de ce nom, on ne se contente pas de trois, quatre pauvres notes de piano. Mais pour moi, le gros plus de ce film, c'est la vision que Canet a des relations entre amis. Tout n'est pas tout beau, tout rose. Chacun pense d'abord à ses petits problèmes personnels et fait passer son bonheur avant celui des autres. Une vision et une définition, selon moi, assez vraie de l'amitié.
Voilà pour les points positifs. Pour le négatif, déjà, le film est long (une bonne demi-heure de moins, c'était possible). Ensuite, ça joue trop sur l'émotion: là, faut rire, là, faut pleurer. Et pour finir, pour un film entre potes, j'ai quand même une question? Comment font-ils pour être amis? Comment deux couples posés avec enfants (Cluzet-Bonneton et Magimel-Arbillot) peuvent être amis avec un beauf' (joué par Lellouche, qui change donc de registre...ou pas) coureur de jupons, comédien raté (car oui, dans le film, il n'a pas papa pour le pistonner) et avec la cool Cotillard qui couche avec tout le monde et fume des joints à longueur de temps? Comment peut-on être amis avec un stressé de la vie qui renie son meilleur pote dès qu'il y a un problème? Comment peut-on être ami avec un mec qui passe son temps à se plaindre et à déprimer car sa femme l'a quittée? Franchement, un mec comme ça, tu l'aides au début, mais au fur et à mesure, tu t'éloignes. Et là, je résume. Bref, comment des gens qui n'ont rien en commun peuvent être amis?
Pour conclure, un film qui a les défauts de ses qualités. Pas le meilleur de Canet, même si comme beaucoup, j'ai versé ma petite larme à la fin.
The American
Date de sortie: 27 octobre 2010
Réalisé par Anton Corbijn
Avec George Clooney, Thekla Reuten, Bruce Altman
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h43
Synopsis :
Jack est un tueur à gages habile et expérimenté. Toujours en alerte, il n’a aucune attache. Quand une mission tourne mal et lui coûte la vie de la femme qu’il aime, il se fait la promesse que son prochain contrat sera le dernier.
Cette ultime mission le conduit dans un pittoresque village italien niché dans de hautes collines. Mais pour Jack, chaque lieu peut se révéler un piège et chaque personne une menace. Toutefois, il prend goût aux confidences échangées autour d’un armagnac avec le prêtre du village, et se laisse entraîner dans une liaison avec une belle Italienne. Mais en baissant la garde, Jack prend peut-être des risques.
Une menace semble se rapprocher, et la mystérieuse femme qui l’a engagé n’est peut-être pas ce qu’elle prétend...
Critique "presse":
"The American" est un thriller esthétique, un polar dépouillé qui se déroule sur les hauteurs des Abruzzes, avec de nombreuses références à Antonioni et Melville. George Clooney nous montre une autre facette du tueur à gages. On est loin du film d'action traditionnel, ce qui fait du film sa force, mais aussi sa faiblesse.
Ma critique:
George Clooney en tueur à gages passe plus de temps à se cacher et à se poser des questions sur son métier et son avenir qu'à tuer à tout va. Une idée originale, mais on est en droit d'attendre plus d'actions. Je parle pas d'explosions et de courses poursuites toutes les dix minutes, mais boire des cafés, discuter de la vie avec un prêtre et flirter avec une prostituée, ça fait peu pour un film et l'histoire ne raconte pas grand chose, le tout sur un rythme assez lent. Point positif, les images sont belles et ça m'a donné envie de visiter l'Italie.
Réalisé par Anton Corbijn
Avec George Clooney, Thekla Reuten, Bruce Altman
Genre : Thriller , Drame
Durée : 01h43
Synopsis :
Jack est un tueur à gages habile et expérimenté. Toujours en alerte, il n’a aucune attache. Quand une mission tourne mal et lui coûte la vie de la femme qu’il aime, il se fait la promesse que son prochain contrat sera le dernier.
Cette ultime mission le conduit dans un pittoresque village italien niché dans de hautes collines. Mais pour Jack, chaque lieu peut se révéler un piège et chaque personne une menace. Toutefois, il prend goût aux confidences échangées autour d’un armagnac avec le prêtre du village, et se laisse entraîner dans une liaison avec une belle Italienne. Mais en baissant la garde, Jack prend peut-être des risques.
Une menace semble se rapprocher, et la mystérieuse femme qui l’a engagé n’est peut-être pas ce qu’elle prétend...
Critique "presse":
"The American" est un thriller esthétique, un polar dépouillé qui se déroule sur les hauteurs des Abruzzes, avec de nombreuses références à Antonioni et Melville. George Clooney nous montre une autre facette du tueur à gages. On est loin du film d'action traditionnel, ce qui fait du film sa force, mais aussi sa faiblesse.
Ma critique:
George Clooney en tueur à gages passe plus de temps à se cacher et à se poser des questions sur son métier et son avenir qu'à tuer à tout va. Une idée originale, mais on est en droit d'attendre plus d'actions. Je parle pas d'explosions et de courses poursuites toutes les dix minutes, mais boire des cafés, discuter de la vie avec un prêtre et flirter avec une prostituée, ça fait peu pour un film et l'histoire ne raconte pas grand chose, le tout sur un rythme assez lent. Point positif, les images sont belles et ça m'a donné envie de visiter l'Italie.
mercredi 3 novembre 2010
Moi, Moche Et Méchant
Date de sortie: 6 octobre 2010
Réalisé par Pierre Coffin, Chris Renaud
Avec Steve Carell, Jason Segel, Russell Brand
Titre original : Despicable Me
Genre : Animation
Durée : 01h35
Synopsis :
Dans un charmant quartier résidentiel délimité par des clôtures de bois blanc et orné de rosiers fleurissants se dresse une bâtisse noire entourée d’une pelouse en friche. Cette façade sinistre cache un secret : Gru, un méchant vilain, entouré d’une myriade de sous-fifres et armé jusqu’aux dents, qui, à l’insu du voisinage, complote le plus gros casse de tous les temps : voler la lune (Oui, la lune !)...
Gru affectionne toutes sortes de sales joujoux. Il possède une multitude de véhicules de combat aérien et terrestre et un arsenal de rayons immobilisants et rétrécissants avec lesquels il anéantit tous ceux qui osent lui barrer la route... jusqu’au jour où il tombe nez à nez avec trois petites orphelines qui voient en lui quelqu’un de tout à fait différent : un papa.
Le plus grand vilain de tous les temps se retrouve confronté à sa plus dure épreuve : trois fillettes prénommées Margo, Edith et Agnes.
Critique "presse":
Un film d'animation original, où le rôle principal est tenu par le méchant. Succès surprise aux Etats-Unis, "Moi, Moche Et Méchant..." n'a pas une intrigue très poussée mais bénéficie de bonnes idées, avec les minions, aussi nombreux que drôles, un autre super vilain super frimeur, et les trois petites filles, qui en font voir de toutes les couleurs à Gru. Un film attendrissant, qui plaira aux petits comme aux grands, mais qui ne vaut pas un bon Pixar.
Ma critique:
Un bon moment d'humour avec de bons gags. Gru est un spuer vilain, qui veut être le plus grand méchant de tous les temps. Pour ça, il est même prêt à se servir de trois petites orphelines, qui ne recherchent qu'un père. Le film commence bien, beaucoup d'humour noir et Gru est un vrai méchant, mais très (trop) vite, il se laisse berner et attendrir par trois gamines. Passage obligé vu que c'est avant tout un film pour enfants, mais ç'eut pu être mieux, car l'on se doute dès le départ que Gru, moche et méchant, finira en gentil papa.
Réalisé par Pierre Coffin, Chris Renaud
Avec Steve Carell, Jason Segel, Russell Brand
Titre original : Despicable Me
Genre : Animation
Durée : 01h35
Synopsis :
Dans un charmant quartier résidentiel délimité par des clôtures de bois blanc et orné de rosiers fleurissants se dresse une bâtisse noire entourée d’une pelouse en friche. Cette façade sinistre cache un secret : Gru, un méchant vilain, entouré d’une myriade de sous-fifres et armé jusqu’aux dents, qui, à l’insu du voisinage, complote le plus gros casse de tous les temps : voler la lune (Oui, la lune !)...
Gru affectionne toutes sortes de sales joujoux. Il possède une multitude de véhicules de combat aérien et terrestre et un arsenal de rayons immobilisants et rétrécissants avec lesquels il anéantit tous ceux qui osent lui barrer la route... jusqu’au jour où il tombe nez à nez avec trois petites orphelines qui voient en lui quelqu’un de tout à fait différent : un papa.
Le plus grand vilain de tous les temps se retrouve confronté à sa plus dure épreuve : trois fillettes prénommées Margo, Edith et Agnes.
Critique "presse":
Un film d'animation original, où le rôle principal est tenu par le méchant. Succès surprise aux Etats-Unis, "Moi, Moche Et Méchant..." n'a pas une intrigue très poussée mais bénéficie de bonnes idées, avec les minions, aussi nombreux que drôles, un autre super vilain super frimeur, et les trois petites filles, qui en font voir de toutes les couleurs à Gru. Un film attendrissant, qui plaira aux petits comme aux grands, mais qui ne vaut pas un bon Pixar.
Ma critique:
Un bon moment d'humour avec de bons gags. Gru est un spuer vilain, qui veut être le plus grand méchant de tous les temps. Pour ça, il est même prêt à se servir de trois petites orphelines, qui ne recherchent qu'un père. Le film commence bien, beaucoup d'humour noir et Gru est un vrai méchant, mais très (trop) vite, il se laisse berner et attendrir par trois gamines. Passage obligé vu que c'est avant tout un film pour enfants, mais ç'eut pu être mieux, car l'on se doute dès le départ que Gru, moche et méchant, finira en gentil papa.
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