jeudi 29 mars 2018

Pacific Rim Uprising

Date de sortie: 21 mars 2018

De Steven S. DeKnight
Avec John Boyega, Scott Eastwood, Cailee Spaeny

Genre: Aventure, Science fiction
Durée: 1h51

Synopsis:
Le conflit planétaire qui oppose les Kaiju, créatures extraterrestres, aux Jaegers, robots géants pilotés par des humains, n’était que la première vague d’une attaque massive contre l’Humanité. Jake Pentecost, un jeune pilote de Jaeger prometteur dont le célèbre père a sacrifié sa vie pour sauver l’Humanité des monstrueux Kaiju a depuis abandonné son entraînement et s’est retrouvé pris dans l’engrenage du milieu criminel. Mais lorsqu’une menace, encore plus irrésistible que la précédente, se répand dans les villes et met le monde à feu et à sang, Jake obtient une dernière chance de perpétuer la légende de son père aux côtés de sa sœur, Mako Mori – qui guide une courageuse génération de pilotes ayant grandi dans l’ombre de la guerre. Alors qu’ils sont en quête de justice pour leurs camarades tombés au combat, leur unique espoir est de s’allier dans un soulèvement général contre la menace des Kaiju.


Critique "presse": 5/10
Moins ambitieux que le premier opus, ce "Pacific Rim Uprising" brille plus par ses prouesses techniques ébouriffantes que par son scénario, affligeant. Un pop-corn movie divertissant, mais creux.
 
Ma critique: 3/10
Pour le premier "Pacific Rim", il ne fallait déjà pas trop réfléchir pour passer un bon moment, et comme pour chaque suite, il faut que ce soit plus impressionnant, ce qui veut généralement dire que c'est aussi plus con. Et là, ils ont placé la barre hyper haute.
Déjà, l'histoire est exactement la même: un pilote, hanté par un lourd passé et qui s'est détourné des Jaegers va revenir pour sauver le monde, rajoutez à ça un autre pilote avec qui il va se prendre le chou, une jeune fille qui ne doit pas piloter, mais finalement si, et les deux scientifiques tête à claques et vous avez donc les mêmes ingrédients du premier scénario, pourtant pas brillant d'originalité.
Mais là où c'est pire, c'est d'avoir collé à tout ça deux autres ingrédients cher aux blockbusters d'aujourd'hui: une dose d'humour ridicule et des ados pré-pubères sans aucun charisme, mais déjà super balèzes, comme héros à qui revient la charge de sauver le monde. Rajoutez à ça de grosses facilités scénaristiques, des rebondissements pitoyables, les monstres qui n'arrivent que dans le dernier tiers du film, et une reprise du thème principal (qui était bien cool) complètement massacrée et vous obtenez un truc bien indigeste.

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