Date de sortie: 17 avril 2013
Réalisé par Gus Van Sant
Avec Matt Damon, Rosemarie DeWitt, Frances McDormand, John Krasinski
Genre: Drame
Durée: 1h46
Synopsis:
Steve Butler, représentant d’un grand groupe énergétique, se rend avec Sue Thomason dans une petite ville de campagne. Les deux collègues sont convaincus qu’à cause de la crise économique qui sévit, les habitants ne pourront pas refuser leur lucrative proposition de forer leurs terres pour exploiter les ressources énergétiques qu’elles renferment. Ce qui s’annonçait comme un jeu d’enfant va pourtant se compliquer lorsqu’un enseignant respecté critique le projet, soutenu par un activiste écologiste qui affronte Steve aussi bien sur le plan professionnel que personnel…
Critique "presse": 6,5/10
A une bonne mise en scène et des acteurs justes et touchants s'opposent une scénario sans surprises. Le sujet était intéressant, le traitement est nettement plus classique: les grands groupes milliardaires face aux pauvres de l'Amérique rurale. Les enjeux économiques, moraux et écologiques sont bien présents, mais à ça, il faut y rajouter une amourette sans grand intérêt et une déferlante de bons sentiments qui font de ce film très prometteur un simple bon divertissement.
Ma critique: 7/10
Un film classique, mais intéressant. Quelques clichés et une fin attendue, mais de bons rebondissements. Steve Butler est aux services de grands groupes industriels et chargé de faire accepter aux populations locales l'exploitation de leurs terres. Bien sûr, alors qu'il est le meilleur, il va tomber sur une ville où tout ne va pas être aussi facile, il va rencontrer une fille et finir par prendre conscience que son job, c'est mal. Mais malgré tout ça, la réalisation est sobre, et les acteurs sont excellents. Et on finit par se laisser porter par cette histoire, jusqu'au rebondissement inattendu qui fait définitivement pencher la balance du bon côté. Dommage que tout de suite après, on retombe dans le bon sentiment américain, alors qu'il y avait moyen de faire mieux...
mardi 30 avril 2013
lundi 29 avril 2013
Iron Man 3
Date de sortie: 24 avril 2013
Réalisé par Shane Black
Avec Robert Downey Jr., Gwyneth Paltrow, Don Cheadle
Genre: Action, Science fiction
Durée: 2h11
Synopsis:
Tony Stark, l’industriel flamboyant qui est aussi Iron Man, est confronté cette fois à un ennemi qui va attaquer sur tous les fronts. Lorsque son univers personnel est détruit, Stark se lance dans une quête acharnée pour retrouver les coupables. Plus que jamais, son courage va être mis à l’épreuve, à chaque instant. Dos au mur, il ne peut plus compter que sur ses inventions, son ingéniosité, et son instinct pour protéger ses proches. Alors qu’il se jette dans la bataille, Stark va enfin découvrir la réponse à la question qui le hante secrètement depuis si longtemps : est-ce l’homme qui fait le costume ou bien le costume qui fait l’homme ?
Critique "presse": 7/10
Un blockbuster de très bonne facture. De l'humour, de l'action, un Robert Downey Jr toujours irrésistible, un scénario intelligent, quoique farfelu.
Ma critique: 7/10
Un "Iron-Man" dans la foulée de ses prédécesseurs, et qui doit toujours beaucoup à son acteur principal, au top. Changement de réalisateur, mais les ingrédients qui ont fait le succès de la série sont toujours présents. De l'action, mais surtout de l'humour, beaucoup d'humour (parfois trop). Le gros plus, on s'intéresse à de nouvelles facettes de Tony Stark, on connaissait le milliardaire génial, flambeur, narcissique; place à la part d'ombre, ses peurs, ses angoisses, surtout loin de son costume. Les moins, un rebondissement principal très surprenant, mais aussi très décevant, et l'explication de pourquoi les méchants sont méchants qui aurait pu être mieux. La dernière demi-heure est décevante, surenchère d'effets-spéciaux, et de costumes (en toc) et une happy-end pas obligatoire. Un bon divertissement, mais pas le meilleur des 3.
Réalisé par Shane Black
Avec Robert Downey Jr., Gwyneth Paltrow, Don Cheadle
Genre: Action, Science fiction
Durée: 2h11
Synopsis:
Tony Stark, l’industriel flamboyant qui est aussi Iron Man, est confronté cette fois à un ennemi qui va attaquer sur tous les fronts. Lorsque son univers personnel est détruit, Stark se lance dans une quête acharnée pour retrouver les coupables. Plus que jamais, son courage va être mis à l’épreuve, à chaque instant. Dos au mur, il ne peut plus compter que sur ses inventions, son ingéniosité, et son instinct pour protéger ses proches. Alors qu’il se jette dans la bataille, Stark va enfin découvrir la réponse à la question qui le hante secrètement depuis si longtemps : est-ce l’homme qui fait le costume ou bien le costume qui fait l’homme ?
Critique "presse": 7/10
Un blockbuster de très bonne facture. De l'humour, de l'action, un Robert Downey Jr toujours irrésistible, un scénario intelligent, quoique farfelu.
Ma critique: 7/10
Un "Iron-Man" dans la foulée de ses prédécesseurs, et qui doit toujours beaucoup à son acteur principal, au top. Changement de réalisateur, mais les ingrédients qui ont fait le succès de la série sont toujours présents. De l'action, mais surtout de l'humour, beaucoup d'humour (parfois trop). Le gros plus, on s'intéresse à de nouvelles facettes de Tony Stark, on connaissait le milliardaire génial, flambeur, narcissique; place à la part d'ombre, ses peurs, ses angoisses, surtout loin de son costume. Les moins, un rebondissement principal très surprenant, mais aussi très décevant, et l'explication de pourquoi les méchants sont méchants qui aurait pu être mieux. La dernière demi-heure est décevante, surenchère d'effets-spéciaux, et de costumes (en toc) et une happy-end pas obligatoire. Un bon divertissement, mais pas le meilleur des 3.
The Grandmaster
Date de sortie: 17 avril 2013
Réalisé par Wong Kar-Wai
Avec Tony Leung Chiu Wai, Zhang Ziyi, Chang Chen
Titre original: "Yut doi jung si"
Genre: Biopic, Arts Martiaux
Durée: 2h03
Synopsis:
Chine, 1936. Ip Man, maître légendaire de Wing Chun (un des divers styles de kung-fu) et futur mentor de Bruce Lee, mène une vie prospère à Foshan où il partage son temps entre sa famille et les arts-martiaux. C’est à ce moment que le Grand maître Baosen, à la tête de l’Ordre des Arts Martiaux Chinois, cherche son successeur. Pour sa cérémonie d’adieux, il se rend à Foshan, avec sa fille Gong Er, elle-même maître du style Ba Gua et la seule à connaître la figure mortelle des 64 mains. Lors de cette cérémonie, Ip Man affronte les grand maîtres du Sud et fait alors la connaissance de Gong Er en qui il trouve son égal. Très vite l’admiration laisse place au désir et dévoile une histoire d’amour impossible. Peu de temps après, le Grand maître Baosen est assassiné par l’un de ses disciples, puis, entre 1937 et 1945, l’occupation japonaise plonge le pays dans le chaos. Divisions et complots naissent alors au sein des différentes écoles d’arts martiaux, poussant Ip Man et Gong Er à prendre des décisions qui changeront leur vie à jamais…
Critique "presse": 7/10
Une fresque épique et romantique sur l'âge d'or du kung-fu et Ip-Man, maître légendaire. Wong Kar-Waï, fasciné par cet art martial, nous livre un film visuellement exceptionnel, qui nous parle d'honneur et de transmission. L'esthétique est très poussé, chaque séquence, chaque plan est travaillé, les scènes de combats y sont ultra-stylisées, on touche au sublime. Le problème, c'est que les personnages finissent par passer au second plan et l'histoire est difficile à suivre. A vouloir faire un film trop beau, Wong Kar-Waï ne livre pas le film ultime d'arts-martiaux qu'on était en droit d'attendre.
Ma critique: 4/10
Visuellement, rien à y redire, c'est très beau. La mise en scène est léchée, les acteurs sont bons, tout comme la bande-son. Mais niveau montage et scénario, ça laisse à désirer. Trop de personnages, certains n'apportent rien à l'histoire et leurs portraits ne sont qu'effleurés; des va-et-vient dans le temps qui font qu'on s'y perd. Dans le film, il est question d'honneur, de vengeance, de transmission d'un savoir, d'un art, d'amour, ça fait un peu trop et le film finit par partir dans tous les sens. Alors oui, c'est beau, mais c'est lent, ça ne raconte finalement pas grand chose pour une histoire qui s'étend sur plusieurs années, et on finit par s'ennuyer un peu.
Réalisé par Wong Kar-Wai
Avec Tony Leung Chiu Wai, Zhang Ziyi, Chang Chen
Titre original: "Yut doi jung si"
Genre: Biopic, Arts Martiaux
Durée: 2h03
Synopsis:
Chine, 1936. Ip Man, maître légendaire de Wing Chun (un des divers styles de kung-fu) et futur mentor de Bruce Lee, mène une vie prospère à Foshan où il partage son temps entre sa famille et les arts-martiaux. C’est à ce moment que le Grand maître Baosen, à la tête de l’Ordre des Arts Martiaux Chinois, cherche son successeur. Pour sa cérémonie d’adieux, il se rend à Foshan, avec sa fille Gong Er, elle-même maître du style Ba Gua et la seule à connaître la figure mortelle des 64 mains. Lors de cette cérémonie, Ip Man affronte les grand maîtres du Sud et fait alors la connaissance de Gong Er en qui il trouve son égal. Très vite l’admiration laisse place au désir et dévoile une histoire d’amour impossible. Peu de temps après, le Grand maître Baosen est assassiné par l’un de ses disciples, puis, entre 1937 et 1945, l’occupation japonaise plonge le pays dans le chaos. Divisions et complots naissent alors au sein des différentes écoles d’arts martiaux, poussant Ip Man et Gong Er à prendre des décisions qui changeront leur vie à jamais…
Critique "presse": 7/10
Une fresque épique et romantique sur l'âge d'or du kung-fu et Ip-Man, maître légendaire. Wong Kar-Waï, fasciné par cet art martial, nous livre un film visuellement exceptionnel, qui nous parle d'honneur et de transmission. L'esthétique est très poussé, chaque séquence, chaque plan est travaillé, les scènes de combats y sont ultra-stylisées, on touche au sublime. Le problème, c'est que les personnages finissent par passer au second plan et l'histoire est difficile à suivre. A vouloir faire un film trop beau, Wong Kar-Waï ne livre pas le film ultime d'arts-martiaux qu'on était en droit d'attendre.
Ma critique: 4/10
Visuellement, rien à y redire, c'est très beau. La mise en scène est léchée, les acteurs sont bons, tout comme la bande-son. Mais niveau montage et scénario, ça laisse à désirer. Trop de personnages, certains n'apportent rien à l'histoire et leurs portraits ne sont qu'effleurés; des va-et-vient dans le temps qui font qu'on s'y perd. Dans le film, il est question d'honneur, de vengeance, de transmission d'un savoir, d'un art, d'amour, ça fait un peu trop et le film finit par partir dans tous les sens. Alors oui, c'est beau, mais c'est lent, ça ne raconte finalement pas grand chose pour une histoire qui s'étend sur plusieurs années, et on finit par s'ennuyer un peu.
Les Âmes Vagabondes
Date de sortie: 17 avril 2013
Réalisé par Andrew Niccol
Avec Saoirse Ronan, Jake Abel, Max Irons
Titre original: "The Host"
Genre: Science fiction, Romance
Durée: 2h04
Synopsis:
La Terre est envahie. L’humanité est en danger. Nos corps restent les mêmes, mais nos esprits sont contrôlés. Melanie Stryder vient d’être capturée. Elle refuse cependant de laisser place à l’être qui tente de la posséder. Quelque part, caché dans le désert, se trouve un homme qu’elle ne peut pas oublier. L’amour pourra-t-il la sauver ?
Critique "presse": 4,5/10
Le film est intéressant pour son côté science-fiction, il l'est nettement moins dès qu'il s'intéresse aux problèmes amoureux gnan-gnan de son héroïne. Malheureusement pour le spectateur, l'essentiel du film repose dessus. Un film pour "jeunes" ados.
Ma critique: 0/10
Une horreur! Je me demande encore comment j'ai pu rester jusqu'au bout du film! La Terre est donc envahie, et on n'a pas vraiment le temps de connaître Mélanie, car au bout de dix minutes de film, un parasite brillant (après les vampires) prend possession de son corps. Mais notre héroïne est très forte, et résiste à ce méchant E.T (du nom de Vagabonde) qui cherche dans ses souvenirs pour trouver la rébellion humaine (on y trouve surtout une pseudo-amourette avec un survivant). Finalement Vagabonde se rend compte que les humains ne sont pas comme les autres espèces envahies, ils sont plus forts (ben tiens), et Vagabonde décide d'aider Mélanie à retrouver son amour, elles s'enfuient toutes les deux. A savoir que Mélanie parle à Vagabonde en voix-off tout le long du film, et qu'au bout de deux minutes, j'en pouvais déjà plus (très mauvais choix de mise en scène). Finalement, elle(s) retrouve son amoureux, ainsi que son oncle qui est, bien sûr, le leader de la rébellion, et qui a aménagé un super bunker dans une montagne (il a réussi à installer des panneaux solaires à l'intérieur pour cultiver du blé, il est balèze). Y'a aussi beaucoup d'autres humains (la rébellion quoi), et ils aiment pas Vagabonde, mais comme elle est finalement pas méchante, elle parvient à retourner les humains les uns après les autres et ils finissent par l'aimer. L'un d'entre eux finit même pas tomber amoureux, ce qui ne plaît pas à Mélanie, car c'est quand même son corps. Heureusement, le mec est correct, ça doit faire des lustres qu'il a pas tiré sa crampe, mais il se contente de petits bisous (ne pas oublier que c'est du Stephenie Meyer). Pendant ce temps-là, Diane Kruger, très méchante E.T., veut absolument retrouver le rébellion, mais elle n'y arrive pas. Faut dire qu'elle n'est pas très douée, elle a qu'à suivre les seuls camions qui sont dans le désert, on peut pas les rater, mais... elle les rate. Et comment cette super histoire se finit? Vagabonde explique aux humains comment extraire les parasites (mais sans les tuer, c'est quand même sa famille) pour que les humains soient de nouveaux maîtres de leur corps. Je pourrais continuer, mais j'en peux plus. Sachez juste que la fin est encore pire. Voilà pour l'histoire (désolé pour les spoilers, en même temps, on sait comment ça se termine dès le début), passons à la critique... La Terre est envahie, mais c'est un monde de bisounours, rien n'est crédible, c'est cucul, cousu de fil blanc, aucune surprise (ou alors des mauvaises et des nulles). Histoire pourrie, comédiens plats, mise en scène quelconque, manque de rythme, on s'ennuie!!! A côté, "Twilight", c'est un bon film!
Réalisé par Andrew Niccol
Avec Saoirse Ronan, Jake Abel, Max Irons
Titre original: "The Host"
Genre: Science fiction, Romance
Durée: 2h04
Synopsis:
La Terre est envahie. L’humanité est en danger. Nos corps restent les mêmes, mais nos esprits sont contrôlés. Melanie Stryder vient d’être capturée. Elle refuse cependant de laisser place à l’être qui tente de la posséder. Quelque part, caché dans le désert, se trouve un homme qu’elle ne peut pas oublier. L’amour pourra-t-il la sauver ?
Critique "presse": 4,5/10
Le film est intéressant pour son côté science-fiction, il l'est nettement moins dès qu'il s'intéresse aux problèmes amoureux gnan-gnan de son héroïne. Malheureusement pour le spectateur, l'essentiel du film repose dessus. Un film pour "jeunes" ados.
Ma critique: 0/10
Une horreur! Je me demande encore comment j'ai pu rester jusqu'au bout du film! La Terre est donc envahie, et on n'a pas vraiment le temps de connaître Mélanie, car au bout de dix minutes de film, un parasite brillant (après les vampires) prend possession de son corps. Mais notre héroïne est très forte, et résiste à ce méchant E.T (du nom de Vagabonde) qui cherche dans ses souvenirs pour trouver la rébellion humaine (on y trouve surtout une pseudo-amourette avec un survivant). Finalement Vagabonde se rend compte que les humains ne sont pas comme les autres espèces envahies, ils sont plus forts (ben tiens), et Vagabonde décide d'aider Mélanie à retrouver son amour, elles s'enfuient toutes les deux. A savoir que Mélanie parle à Vagabonde en voix-off tout le long du film, et qu'au bout de deux minutes, j'en pouvais déjà plus (très mauvais choix de mise en scène). Finalement, elle(s) retrouve son amoureux, ainsi que son oncle qui est, bien sûr, le leader de la rébellion, et qui a aménagé un super bunker dans une montagne (il a réussi à installer des panneaux solaires à l'intérieur pour cultiver du blé, il est balèze). Y'a aussi beaucoup d'autres humains (la rébellion quoi), et ils aiment pas Vagabonde, mais comme elle est finalement pas méchante, elle parvient à retourner les humains les uns après les autres et ils finissent par l'aimer. L'un d'entre eux finit même pas tomber amoureux, ce qui ne plaît pas à Mélanie, car c'est quand même son corps. Heureusement, le mec est correct, ça doit faire des lustres qu'il a pas tiré sa crampe, mais il se contente de petits bisous (ne pas oublier que c'est du Stephenie Meyer). Pendant ce temps-là, Diane Kruger, très méchante E.T., veut absolument retrouver le rébellion, mais elle n'y arrive pas. Faut dire qu'elle n'est pas très douée, elle a qu'à suivre les seuls camions qui sont dans le désert, on peut pas les rater, mais... elle les rate. Et comment cette super histoire se finit? Vagabonde explique aux humains comment extraire les parasites (mais sans les tuer, c'est quand même sa famille) pour que les humains soient de nouveaux maîtres de leur corps. Je pourrais continuer, mais j'en peux plus. Sachez juste que la fin est encore pire. Voilà pour l'histoire (désolé pour les spoilers, en même temps, on sait comment ça se termine dès le début), passons à la critique... La Terre est envahie, mais c'est un monde de bisounours, rien n'est crédible, c'est cucul, cousu de fil blanc, aucune surprise (ou alors des mauvaises et des nulles). Histoire pourrie, comédiens plats, mise en scène quelconque, manque de rythme, on s'ennuie!!! A côté, "Twilight", c'est un bon film!
vendredi 26 avril 2013
Les Croods
Date de sortie: 10 avril 2013
Réalisé par Chris Sanders, Kirk DeMicco
Avec Nicolas Cage, Ryan Reynolds, Emma Stone
Genre: Animation, Comédie
Durée: 1h32
Synopsis:
Lorsque la caverne où ils vivent depuis toujours est détruite et leur univers familier réduit en miettes, les Croods se retrouvent obligés d’entreprendre leur premier grand voyage en famille. Entre conflits générationnels et bouleversements sismiques, ils vont découvrir un nouveau monde fascinant, rempli de créatures fantastiques, et un futur au-delà de tout ce qu’ils avaient imaginé. Les Croods prennent rapidement conscience que s’ils n’évoluent pas… ils appartiendront à l’Histoire.
Critique "presse": 7,5/10
Dreamworks nous livre un nouveau bijou d'animation. Nous suivons les aventures des Croods, des cro-magnons qui redoutent la nouveauté et qui vont se retrouver obliger d'évoluer. Tous les personnages sont attachants, l'humour est omniprésent, tout comme l'émotion, et le rythme est effréné. Réjouissant, "Les Croods" est un divertissement qui ravira petits et grands.
Ma critique: 8/10
Génial! "Les Croods" est un très bon film d'animation. Le sujet (déjà utilisé avec "L'Age De Glace") aurait pu sentir le réchauffé, mais pas du tout. Des personnages tous drôles et haut en couleurs, un humour pour tous, des superbes idées trouvées, du rythme, de l'émotion (j'ai versé ma petite larme). Visuellement superbe, "Les Croods" est un des meilleurs films de ce début d'année.
Réalisé par Chris Sanders, Kirk DeMicco
Avec Nicolas Cage, Ryan Reynolds, Emma Stone
Genre: Animation, Comédie
Durée: 1h32
Synopsis:
Lorsque la caverne où ils vivent depuis toujours est détruite et leur univers familier réduit en miettes, les Croods se retrouvent obligés d’entreprendre leur premier grand voyage en famille. Entre conflits générationnels et bouleversements sismiques, ils vont découvrir un nouveau monde fascinant, rempli de créatures fantastiques, et un futur au-delà de tout ce qu’ils avaient imaginé. Les Croods prennent rapidement conscience que s’ils n’évoluent pas… ils appartiendront à l’Histoire.
Critique "presse": 7,5/10
Dreamworks nous livre un nouveau bijou d'animation. Nous suivons les aventures des Croods, des cro-magnons qui redoutent la nouveauté et qui vont se retrouver obliger d'évoluer. Tous les personnages sont attachants, l'humour est omniprésent, tout comme l'émotion, et le rythme est effréné. Réjouissant, "Les Croods" est un divertissement qui ravira petits et grands.
Ma critique: 8/10
Génial! "Les Croods" est un très bon film d'animation. Le sujet (déjà utilisé avec "L'Age De Glace") aurait pu sentir le réchauffé, mais pas du tout. Des personnages tous drôles et haut en couleurs, un humour pour tous, des superbes idées trouvées, du rythme, de l'émotion (j'ai versé ma petite larme). Visuellement superbe, "Les Croods" est un des meilleurs films de ce début d'année.
mercredi 17 avril 2013
Oblivion
Date de sortie: 10 avril 2013
Réalisé par Joseph Kosinski
Avec Tom Cruise, Olga Kurylenko, Morgan Freeman
Genre: Action, Science fiction
Durée: 2h06
Synopsis:
2077 : Jack Harper, en station sur la planète Terre dont toute la population a été évacuée, est en charge de la sécurité et de la réparation des drones. Suite à des décennies de guerre contre une force extra-terrestre terrifiante qui a ravagé la Terre, Jack fait partie d’une gigantesque opération d’extraction des dernières ressources nécessaires à la survie des siens. Sa mission touche à sa fin. Dans à peine deux semaines, il rejoindra le reste des survivants dans une colonie spatiale à des milliers de kilomètres de cette planète dévastée qu’il considère néanmoins comme son chez-lui.
Jusqu'au jour du crash d'un vaisseau spatial...
Critique "presse": 5,5/10
"Oblivion" offre un rôle sur mesure à Tom Cruise et nous offre des images somptueuses. Quant à l'histoire, si le scénario offre quelques rebondissements, il n'en reste pas moins prévisible, le côté mélo n'arrangeant rien. Reste les scènes d'actions, spectaculaires, qui font de ce film de SF un divertissement efficace, sans être original.
Ma critique: 7/10
"Oblivion" est un bon film de SF. Bien construit, il n'en montre pas trop et garde le suspense bien présent jusqu'au rebondissement principal, jusqu'à la découverte de la vérité par Jack Harper. Cette vérité m'a un peu déçue, je m'attendais à autre chose, peut-être moins tirée par les cheveux. Mais ce n'est pas trop dérangeant, et on suit très bien la suite du film jusqu'à la fin malheureusement hyper américaine. Mais sinon, malgré quelques clichés et faiblesses scénaristiques, le film a de bons rebondissements, d'excellentes idées; visuellement, il est magnifique, et la bande-son est géniale. Au vu de la bande-annonce, je m'attendais à un film qui allait vite s’essouffler, je me suis trompé. A voir.
Réalisé par Joseph Kosinski
Avec Tom Cruise, Olga Kurylenko, Morgan Freeman
Genre: Action, Science fiction
Durée: 2h06
Synopsis:
2077 : Jack Harper, en station sur la planète Terre dont toute la population a été évacuée, est en charge de la sécurité et de la réparation des drones. Suite à des décennies de guerre contre une force extra-terrestre terrifiante qui a ravagé la Terre, Jack fait partie d’une gigantesque opération d’extraction des dernières ressources nécessaires à la survie des siens. Sa mission touche à sa fin. Dans à peine deux semaines, il rejoindra le reste des survivants dans une colonie spatiale à des milliers de kilomètres de cette planète dévastée qu’il considère néanmoins comme son chez-lui.
Jusqu'au jour du crash d'un vaisseau spatial...
Critique "presse": 5,5/10
"Oblivion" offre un rôle sur mesure à Tom Cruise et nous offre des images somptueuses. Quant à l'histoire, si le scénario offre quelques rebondissements, il n'en reste pas moins prévisible, le côté mélo n'arrangeant rien. Reste les scènes d'actions, spectaculaires, qui font de ce film de SF un divertissement efficace, sans être original.
Ma critique: 7/10
"Oblivion" est un bon film de SF. Bien construit, il n'en montre pas trop et garde le suspense bien présent jusqu'au rebondissement principal, jusqu'à la découverte de la vérité par Jack Harper. Cette vérité m'a un peu déçue, je m'attendais à autre chose, peut-être moins tirée par les cheveux. Mais ce n'est pas trop dérangeant, et on suit très bien la suite du film jusqu'à la fin malheureusement hyper américaine. Mais sinon, malgré quelques clichés et faiblesses scénaristiques, le film a de bons rebondissements, d'excellentes idées; visuellement, il est magnifique, et la bande-son est géniale. Au vu de la bande-annonce, je m'attendais à un film qui allait vite s’essouffler, je me suis trompé. A voir.
Mariage A L'Anglaise
Date de sortie: 10 avril 2013
Réalisé par Dan Mazer
Avec Rose Byrne, Rafe Spall, Simon Baker
Titre original: "I Give It A Year"
Genre: Comédie
Durée: 1h37
Synopsis:
Depuis qu’ils se sont rencontrés dans une soirée, Nat, jeune femme ambitieuse, et Josh, apprenti romancier, nagent dans le bonheur, malgré leurs différences. Ce qui ne les a pas empêchés d’être réunis par un coup de foudre réciproque. Leur mariage est idyllique, même si personne – de leurs proches à leurs amis, jusqu’au pasteur qui officie – ne croit qu’il pourra durer… Surtout quand l’ex-petite amie de Josh, Chloe, et le charmant client américain de Nat, Guy, s’en mêlent… Alors que Josh et Nat s’apprêtent à fêter leur un an de mariage, aucun des deux ne veut être le premier à jeter l’éponge.
Leur couple pourra-t-il résister aux pressions de toutes parts ?
Critique "presse": 6,5/10
Dan Mazer, pour son premier film, s'attaque à la comédie romantique en cherchant à chambouler les codes du genre. Pari à moitié réussi. Le quatuor d'acteurs est enthousiaste, les dialogues sont bons et on a droit à une bonne dose d'humour trash et régressif. C'est drôle, mais le film finit par s’essouffler et la fin est sans surprise.
Ma critique: 6/10
Une rom-com qui n'en est pas vraiment une. Ici, un couple commence par se marier, mais bien vite, ils sont intéressés par ce qu'il se passe à côté. Josh a toujours son ex dans sa vie, et Nat enlève son alliance en présence d'un bel américain pour qui elle travaille. Certaines scènes sont (très) drôles, mais on ne trouve aucun liant entre les scènes, on a plus l'impression d'assister à des sketchs, et comme tout va très vite, j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages. Et surtout, ce côté mensonge, tromperie, même si c'est traité avec humour, je trouve ça malsain. A voir pour les acteurs, et pour certaines scènes, vraiment drôles.
Réalisé par Dan Mazer
Avec Rose Byrne, Rafe Spall, Simon Baker
Titre original: "I Give It A Year"
Genre: Comédie
Durée: 1h37
Synopsis:
Depuis qu’ils se sont rencontrés dans une soirée, Nat, jeune femme ambitieuse, et Josh, apprenti romancier, nagent dans le bonheur, malgré leurs différences. Ce qui ne les a pas empêchés d’être réunis par un coup de foudre réciproque. Leur mariage est idyllique, même si personne – de leurs proches à leurs amis, jusqu’au pasteur qui officie – ne croit qu’il pourra durer… Surtout quand l’ex-petite amie de Josh, Chloe, et le charmant client américain de Nat, Guy, s’en mêlent… Alors que Josh et Nat s’apprêtent à fêter leur un an de mariage, aucun des deux ne veut être le premier à jeter l’éponge.
Leur couple pourra-t-il résister aux pressions de toutes parts ?
Critique "presse": 6,5/10
Dan Mazer, pour son premier film, s'attaque à la comédie romantique en cherchant à chambouler les codes du genre. Pari à moitié réussi. Le quatuor d'acteurs est enthousiaste, les dialogues sont bons et on a droit à une bonne dose d'humour trash et régressif. C'est drôle, mais le film finit par s’essouffler et la fin est sans surprise.
Ma critique: 6/10
Une rom-com qui n'en est pas vraiment une. Ici, un couple commence par se marier, mais bien vite, ils sont intéressés par ce qu'il se passe à côté. Josh a toujours son ex dans sa vie, et Nat enlève son alliance en présence d'un bel américain pour qui elle travaille. Certaines scènes sont (très) drôles, mais on ne trouve aucun liant entre les scènes, on a plus l'impression d'assister à des sketchs, et comme tout va très vite, j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages. Et surtout, ce côté mensonge, tromperie, même si c'est traité avec humour, je trouve ça malsain. A voir pour les acteurs, et pour certaines scènes, vraiment drôles.
11.6
Date de sortie: 3 avril 2013
Réalisé par Philippe Godeau
Avec François Cluzet, Bouli Lanners, Corinne Masiero
Genre: Thriller
Durée: 1h42
Synopsis:
Toni Musulin est convoyeur de fonds depuis dix ans. Le 5 novembre 2009, à 10 heures du matin, il appuie doucement sur l’accélérateur de son fourgon blindé. À l’arrière de son véhicule, 11.6 millions d’euros…
Critique "presse": 6/10
"11.6" aurait pu être un film traditionnel de braquage (préparation d'un plan, vol, cavale...), mais Philippe Godeau a décidé de s'attacher d'avantage à la dimension psychologique du personnage de Toni Musulin et au contexte social qui l'entoure, en cherchant les raisons qui l'auraient poussées à commettre cet acte. Sans avoir pu rencontrer Toni Musulin, Philippe Godeau et François Cluzet, minimaliste, mais remarquable, se sont attachés à se rapprocher le plus possible de la réalité, en respectant la chronologie des événements (achat de sa Ferrari, brouille avec son amie et ses collègues, ...), tout en gardant une part de mystère, car encore aujourd'hui, si 9.1 millions ont été vite retrouvés, on ne sait toujours pas où se trouvent les 2.5 millions restants. Mais cette "biographie" de Toni Musulin a ses limites, puisque à simplement exposer les faits, le film manque d'un véritable point de vue, et on n'en apprend pas beaucoup plus sur le personnage que ce que l'on sait déjà.
Ma critique: 5/10
Le réalisateur a découpé son film en trois parties, l'avant-braquage et ce qui a pu le pousser à faire ça, le braquage et sa préparation en lui-même, et l'après avec son arrestation. Si le braquage est bien mise en scène, pas de surenchère, suspense bien présent; l'avant et l'après sont nettement moins intéressant. La première partie, c'est clairement vivre la petite vie d'un convoyeur de fonds, avec son collègue idiot et sa femme casse-couille à l'accent beauf'. Et le train-train d'une vie chiante, ben... c'est chiant! Et quand ça prend la moitié du film... La dernière partie est assez courte, donc passe bien. Mais sur l'ensemble, impression mitigée. Cluzet joue bien, les autres moins... A voir si comme moi, vous ne connaissiez pas grand chose de l'affaire Toni Musulin.
Réalisé par Philippe Godeau
Avec François Cluzet, Bouli Lanners, Corinne Masiero
Genre: Thriller
Durée: 1h42
Synopsis:
Toni Musulin est convoyeur de fonds depuis dix ans. Le 5 novembre 2009, à 10 heures du matin, il appuie doucement sur l’accélérateur de son fourgon blindé. À l’arrière de son véhicule, 11.6 millions d’euros…
Critique "presse": 6/10
"11.6" aurait pu être un film traditionnel de braquage (préparation d'un plan, vol, cavale...), mais Philippe Godeau a décidé de s'attacher d'avantage à la dimension psychologique du personnage de Toni Musulin et au contexte social qui l'entoure, en cherchant les raisons qui l'auraient poussées à commettre cet acte. Sans avoir pu rencontrer Toni Musulin, Philippe Godeau et François Cluzet, minimaliste, mais remarquable, se sont attachés à se rapprocher le plus possible de la réalité, en respectant la chronologie des événements (achat de sa Ferrari, brouille avec son amie et ses collègues, ...), tout en gardant une part de mystère, car encore aujourd'hui, si 9.1 millions ont été vite retrouvés, on ne sait toujours pas où se trouvent les 2.5 millions restants. Mais cette "biographie" de Toni Musulin a ses limites, puisque à simplement exposer les faits, le film manque d'un véritable point de vue, et on n'en apprend pas beaucoup plus sur le personnage que ce que l'on sait déjà.
Ma critique: 5/10
Le réalisateur a découpé son film en trois parties, l'avant-braquage et ce qui a pu le pousser à faire ça, le braquage et sa préparation en lui-même, et l'après avec son arrestation. Si le braquage est bien mise en scène, pas de surenchère, suspense bien présent; l'avant et l'après sont nettement moins intéressant. La première partie, c'est clairement vivre la petite vie d'un convoyeur de fonds, avec son collègue idiot et sa femme casse-couille à l'accent beauf'. Et le train-train d'une vie chiante, ben... c'est chiant! Et quand ça prend la moitié du film... La dernière partie est assez courte, donc passe bien. Mais sur l'ensemble, impression mitigée. Cluzet joue bien, les autres moins... A voir si comme moi, vous ne connaissiez pas grand chose de l'affaire Toni Musulin.
mercredi 10 avril 2013
Perfect Mothers
Date de sortie: 3 avril 2013
Réalisé par Anne Fontaine
Avec Naomi Watts, Robin Wright,
Titre original: "Two Mothers"
Genre: Drame
Durée: 1h51
Synopsis:
Inséparables depuis le premier âge, Lil et Roz vivent en parfaite osmose avec leurs deux enfants, deux jeunes garçons à la grâce singulière et qui semblent des prolongements d’elles-mêmes. Les maris sont absents. Inexplicablement, et pourtant comme à l’évidence, chaque femme se rapproche du fils de l’autre, nouant avec lui une relation passionnelle.
A l’abri des regards, dans un Eden balnéaire presque surnaturel, le quatuor va vivre une histoire hors norme jusqu’à ce que l’âge vienne mettre un terme au désordre. En apparence, du moins...
Critique "presse": 6/10
Le film se déroule dans une ambiance de carte postale, sea, sex and sun. Deux mères, amies depuis toutes petites dans la vie, vont vivre une relation passionnelle avec le fils de l'autre, tous les deux de jeunes apollons. Très bien filmé et porté par deux grandes actrices, le film, qui se veut dérangeant, manque pourtant de sensualité. Il reste trop sage et abandonne toute forme de psychologie.
Ma critique: 6/10
Les images sont très belles, on est dans un vrai coin de paradis, on a un peu de mal à y croire. Comme on a du mal à croire à l'histoire. Deux amies inséparables ont chacune un fils, inséparables eux aussi. Et être dans un coin de paradis doit aussi vouloir dire coin paumé car ils n'ont rien d'autre à faire que passer tout leur temps avec leurs mamans. Ces deux mamans s'amusent beaucoup et ont toujours un verre de vin blanc greffé à la main, et les deux jeunes s'amusent avec elles. Et forcément, ils se passent des "trucs". Là où j'ai été surpris, c'est que je pensais que ce serait juste un petit flirt, mais non, une vraie histoire s'installe entre ce quatuor, et c'est ce côté "c'est pas bien mais on se fait plaisir quand même" qui est malsain. Elles assument, puis finalement pas complètement, et comme elles, on ne sait plus trop sur quel pied danser Après aucune vraie surprise, forcément un des deux garçons va voir ailleurs, et tout se casse la gueule. Mais les deux actrices sont convaincantes, les deux jeunes un peu moins. Un film un peu étrange, je ne sais pas trop quoi en penser.
Réalisé par Anne Fontaine
Avec Naomi Watts, Robin Wright,
Titre original: "Two Mothers"
Genre: Drame
Durée: 1h51
Synopsis:
Inséparables depuis le premier âge, Lil et Roz vivent en parfaite osmose avec leurs deux enfants, deux jeunes garçons à la grâce singulière et qui semblent des prolongements d’elles-mêmes. Les maris sont absents. Inexplicablement, et pourtant comme à l’évidence, chaque femme se rapproche du fils de l’autre, nouant avec lui une relation passionnelle.
A l’abri des regards, dans un Eden balnéaire presque surnaturel, le quatuor va vivre une histoire hors norme jusqu’à ce que l’âge vienne mettre un terme au désordre. En apparence, du moins...
Critique "presse": 6/10
Le film se déroule dans une ambiance de carte postale, sea, sex and sun. Deux mères, amies depuis toutes petites dans la vie, vont vivre une relation passionnelle avec le fils de l'autre, tous les deux de jeunes apollons. Très bien filmé et porté par deux grandes actrices, le film, qui se veut dérangeant, manque pourtant de sensualité. Il reste trop sage et abandonne toute forme de psychologie.
Ma critique: 6/10
Les images sont très belles, on est dans un vrai coin de paradis, on a un peu de mal à y croire. Comme on a du mal à croire à l'histoire. Deux amies inséparables ont chacune un fils, inséparables eux aussi. Et être dans un coin de paradis doit aussi vouloir dire coin paumé car ils n'ont rien d'autre à faire que passer tout leur temps avec leurs mamans. Ces deux mamans s'amusent beaucoup et ont toujours un verre de vin blanc greffé à la main, et les deux jeunes s'amusent avec elles. Et forcément, ils se passent des "trucs". Là où j'ai été surpris, c'est que je pensais que ce serait juste un petit flirt, mais non, une vraie histoire s'installe entre ce quatuor, et c'est ce côté "c'est pas bien mais on se fait plaisir quand même" qui est malsain. Elles assument, puis finalement pas complètement, et comme elles, on ne sait plus trop sur quel pied danser Après aucune vraie surprise, forcément un des deux garçons va voir ailleurs, et tout se casse la gueule. Mais les deux actrices sont convaincantes, les deux jeunes un peu moins. Un film un peu étrange, je ne sais pas trop quoi en penser.
Cloud Atlas
Date de sortie: 13 mars 2013
Réalisé par Lana Wachowski, Tom Tykwer, Andy Wachowski
Avec Tom Hanks, Halle Berry, Jim Broadbent
Genre: Drame, Science fiction
Durée: 2h45
Synopsis:
À travers une histoire qui se déroule sur cinq siècles dans plusieurs espaces temps, des êtres se croisent et se retrouvent d’une vie à l’autre, naissant et renaissant successivement… Tandis que leurs décisions ont des conséquences sur leur parcours, dans le passé, le présent et l’avenir lointain, un tueur devient un héros et un seul acte de générosité suffit à entraîner des répercussions pendant plusieurs siècles et à provoquer une révolution. Tout, absolument tout, est lié.
Critique "presse": 7/10
"Cloud Atlas" est un film a la densité folle, un projet démesuré, audacieux, bien loin des standards hollywoodiens actuels. Les réalisateurs nous plongent dans un voyage unique qui s'étend sur cinq siècles pour une expérience cinématographique inédite, avec de nombreux chassés-croisés temporels. Visuellement très beau, doté d'un montage audacieux, "Cloud Atlas" se rapproche de la complexité des séries télé américaines. Mais à vouloir trop en mettre, trop en faire, le film s'éparpille, devient confus, les parties sont inégales, et on a un peu tendance à s'y perdre. Et dans tout ça, le discours prôné est plutôt simpliste.
Ma critique: 6/10
"Cloud Atlas" est une histoire qui se déroule sur cinq siècles, et toutes les histoires et actions des personnages seraient liées. Problème, à aucun moment, je n'ai trouvé de liens entre les histoires, pour moi, elles me paraissent distinctes les unes des autres. Toutes les histoires se suivent bien, elles sont montées en parallèle, ce qui donne du rythme au film, mais le temps de voir tous les personnages, d'assimiler ce qu'il se passe et de comprendre tout simplement, il y a déjà une bonne heure qui est passée. Les 2h45 passent bien, les différents histoires sont intéressantes, le montage est très bon, les costumes et décors sont très crédibles, mais je n'ai pas eu l'impression d'assister à un grand film où tout est relié, mais plutôt à cinq ou six films (court-métrages) différents. C'est certainement dû à cette première heure qui m'a un peu perdu, mais si le film est pas mal, on est loin de l'expérience ciné incroyable. J'ai vraiment pas l'impression d'avoir voyagé, mais plutôt d'être resté à quai.
Réalisé par Lana Wachowski, Tom Tykwer, Andy Wachowski
Avec Tom Hanks, Halle Berry, Jim Broadbent
Genre: Drame, Science fiction
Durée: 2h45
Synopsis:
À travers une histoire qui se déroule sur cinq siècles dans plusieurs espaces temps, des êtres se croisent et se retrouvent d’une vie à l’autre, naissant et renaissant successivement… Tandis que leurs décisions ont des conséquences sur leur parcours, dans le passé, le présent et l’avenir lointain, un tueur devient un héros et un seul acte de générosité suffit à entraîner des répercussions pendant plusieurs siècles et à provoquer une révolution. Tout, absolument tout, est lié.
Critique "presse": 7/10
"Cloud Atlas" est un film a la densité folle, un projet démesuré, audacieux, bien loin des standards hollywoodiens actuels. Les réalisateurs nous plongent dans un voyage unique qui s'étend sur cinq siècles pour une expérience cinématographique inédite, avec de nombreux chassés-croisés temporels. Visuellement très beau, doté d'un montage audacieux, "Cloud Atlas" se rapproche de la complexité des séries télé américaines. Mais à vouloir trop en mettre, trop en faire, le film s'éparpille, devient confus, les parties sont inégales, et on a un peu tendance à s'y perdre. Et dans tout ça, le discours prôné est plutôt simpliste.
Ma critique: 6/10
"Cloud Atlas" est une histoire qui se déroule sur cinq siècles, et toutes les histoires et actions des personnages seraient liées. Problème, à aucun moment, je n'ai trouvé de liens entre les histoires, pour moi, elles me paraissent distinctes les unes des autres. Toutes les histoires se suivent bien, elles sont montées en parallèle, ce qui donne du rythme au film, mais le temps de voir tous les personnages, d'assimiler ce qu'il se passe et de comprendre tout simplement, il y a déjà une bonne heure qui est passée. Les 2h45 passent bien, les différents histoires sont intéressantes, le montage est très bon, les costumes et décors sont très crédibles, mais je n'ai pas eu l'impression d'assister à un grand film où tout est relié, mais plutôt à cinq ou six films (court-métrages) différents. C'est certainement dû à cette première heure qui m'a un peu perdu, mais si le film est pas mal, on est loin de l'expérience ciné incroyable. J'ai vraiment pas l'impression d'avoir voyagé, mais plutôt d'être resté à quai.
mardi 9 avril 2013
GI Joe: Conspiration
Date de sortie: 27 mars 2013
Réalisé par Jon M. Chu
Avec Bruce Willis, Channing Tatum, Dwayne Johnson
Titre original: "GI Joe: Retaliation"
Genre: Action , Aventure
Durée: 1h50
Synopsis:
Après avoir été trahie et décimée par une organisation terroriste, l’équipe des GI Joe réalise que le gouvernement a été infiltré et que notre monde est au bord de la destruction. Sans alliés, sans renforts et sans personne à qui se fier, Roadblock et ses GI doivent identifier l’ennemi pour tenter de sauver notre civilisation. Ils font alors appel à celui qui a donné son nom à leur corps d’élite : Joe Colton.
Critique "presse": 5/10
GI Joe remplit sa mission sans prétention. Déluge de scènes d'actions pour un divertissement qui plaira aux fans du genre, venus pour voir du spectacle bourrin. Pour ceux venus chercher un semblant de psychologie, il faudra par contre repasser...
Ma critique: 5/10
Le genre de films où il faut laisser son cerveau à l'entrée. C'est ce que j'ai fait, et ça reste un bon divertissement. Forcément, si on recherche une histoire léchée et une psychologie profonde chez les personnages, on risque d'être déçu. Mais pour un pur film d'action qui ne se prend pas au sérieux, c'est réussi. Des explosions, de l'action, une jolie fille, de l'humour idiot et des clichés, que demander de plus? Si je payais le cinéma, je passerais mon chemin, mais là... why not?
Réalisé par Jon M. Chu
Avec Bruce Willis, Channing Tatum, Dwayne Johnson
Titre original: "GI Joe: Retaliation"
Genre: Action , Aventure
Durée: 1h50
Synopsis:
Après avoir été trahie et décimée par une organisation terroriste, l’équipe des GI Joe réalise que le gouvernement a été infiltré et que notre monde est au bord de la destruction. Sans alliés, sans renforts et sans personne à qui se fier, Roadblock et ses GI doivent identifier l’ennemi pour tenter de sauver notre civilisation. Ils font alors appel à celui qui a donné son nom à leur corps d’élite : Joe Colton.
Critique "presse": 5/10
GI Joe remplit sa mission sans prétention. Déluge de scènes d'actions pour un divertissement qui plaira aux fans du genre, venus pour voir du spectacle bourrin. Pour ceux venus chercher un semblant de psychologie, il faudra par contre repasser...
Ma critique: 5/10
Le genre de films où il faut laisser son cerveau à l'entrée. C'est ce que j'ai fait, et ça reste un bon divertissement. Forcément, si on recherche une histoire léchée et une psychologie profonde chez les personnages, on risque d'être déçu. Mais pour un pur film d'action qui ne se prend pas au sérieux, c'est réussi. Des explosions, de l'action, une jolie fille, de l'humour idiot et des clichés, que demander de plus? Si je payais le cinéma, je passerais mon chemin, mais là... why not?
The Place Beyond The Pines
Date de sortie: 20 mars 2013
Réalisé par Derek Cianfrance
Avec Ryan Gosling, Bradley Cooper, Eva Mendes
Genre: Thriller , Drame
Durée: 2h20
Synopsis:
Cascadeur à moto, Luke est réputé pour son spectaculaire numéro du «globe de la mort». Quand son spectacle itinérant revient à Schenectady, dans l’État de New York, il découvre que Romina, avec qui il avait eu une aventure, vient de donner naissance à son fils… Pour subvenir aux besoins de ceux qui sont désormais sa famille, Luke quitte le spectacle et commet une série de braquages. Chaque fois, ses talents de pilote hors pair lui permettent de s’échapper. Mais Luke va bientôt croiser la route d’un policier ambitieux, Avery Cross, décidé à s’élever rapidement dans sa hiérarchie gangrenée par la corruption. Quinze ans plus tard, le fils de Luke et celui d’Avery se retrouvent face à face, hantés par un passé mystérieux dont ils sont loin de tout savoir…
Critique "presse": 7/10
Construit en triptyque et étalant son histoire sur 20 ans, faisant évoluer son récit à travers les liens familiaux qui unissent les personnages, "The Place Beyond The Pines" est un mélodrame poignant, ambitieux, porté par des acteurs formidables. Si les trois parties se révèlent inégales, le film n'en reste pas moins excellent, touché par quelques moments de grâce et rappelant James Gray. Derek Cianfrance, jeune réalisateur révélé avec "Blue Valentine", s'impose comme un auteur à suivre.
Ma critique: 4/10
L'histoire est divisée en trois parties, ce que j'ignorais. Du coup, quand on passe à la deuxième partie, le rebondissement est inattendu et intéressant. La première partie est bien, mais la suite promettait d'être excellente, en s'intéressant à la corruption dans la police. Malheureusement, cette partie est bâclée et trop vite expédiée pour passer au dernier chapitre du récit qui suit les deux fils des protagonistes. Et là, c'est le drame: aucun intérêt, aucune surprise, extrêmement long. On sait que les deux fils vont se rencontrer et finir par comprendre ce qu'il se passe, mais ça met un temps fou à arriver. Et pour ne rien arranger, le jeu d'un des jeunes fils, pseudo-gangster blanc, est simplement ridicule. Rien à dire sur le reste, bons jeux d'acteurs, bonne bande-son, bien réalisé, il y avait de quoi faire un très bon film, mais il aurait fallu enlever une bonne demi-heure, et divisé le récit en deux parties aurait été suffisant selon moi. Une déception.
Réalisé par Derek Cianfrance
Avec Ryan Gosling, Bradley Cooper, Eva Mendes
Genre: Thriller , Drame
Durée: 2h20
Synopsis:
Cascadeur à moto, Luke est réputé pour son spectaculaire numéro du «globe de la mort». Quand son spectacle itinérant revient à Schenectady, dans l’État de New York, il découvre que Romina, avec qui il avait eu une aventure, vient de donner naissance à son fils… Pour subvenir aux besoins de ceux qui sont désormais sa famille, Luke quitte le spectacle et commet une série de braquages. Chaque fois, ses talents de pilote hors pair lui permettent de s’échapper. Mais Luke va bientôt croiser la route d’un policier ambitieux, Avery Cross, décidé à s’élever rapidement dans sa hiérarchie gangrenée par la corruption. Quinze ans plus tard, le fils de Luke et celui d’Avery se retrouvent face à face, hantés par un passé mystérieux dont ils sont loin de tout savoir…
Critique "presse": 7/10
Construit en triptyque et étalant son histoire sur 20 ans, faisant évoluer son récit à travers les liens familiaux qui unissent les personnages, "The Place Beyond The Pines" est un mélodrame poignant, ambitieux, porté par des acteurs formidables. Si les trois parties se révèlent inégales, le film n'en reste pas moins excellent, touché par quelques moments de grâce et rappelant James Gray. Derek Cianfrance, jeune réalisateur révélé avec "Blue Valentine", s'impose comme un auteur à suivre.
Ma critique: 4/10
L'histoire est divisée en trois parties, ce que j'ignorais. Du coup, quand on passe à la deuxième partie, le rebondissement est inattendu et intéressant. La première partie est bien, mais la suite promettait d'être excellente, en s'intéressant à la corruption dans la police. Malheureusement, cette partie est bâclée et trop vite expédiée pour passer au dernier chapitre du récit qui suit les deux fils des protagonistes. Et là, c'est le drame: aucun intérêt, aucune surprise, extrêmement long. On sait que les deux fils vont se rencontrer et finir par comprendre ce qu'il se passe, mais ça met un temps fou à arriver. Et pour ne rien arranger, le jeu d'un des jeunes fils, pseudo-gangster blanc, est simplement ridicule. Rien à dire sur le reste, bons jeux d'acteurs, bonne bande-son, bien réalisé, il y avait de quoi faire un très bon film, mais il aurait fallu enlever une bonne demi-heure, et divisé le récit en deux parties aurait été suffisant selon moi. Une déception.
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