Date de sortie: 13 mars 2013
Réalisé par Judd Apatow
Avec Paul Rudd, Leslie Mann
Genre: Comédie
Durée: 2h10
Synopsis:
Seul homme à la maison, Pete est marié depuis des années à Debbie avec qui il a eu deux filles, Charlotte et Sadie, âgées de 8 et 13 ans. Pete aura bientôt 40 ans et le bilan est rude : Unfiltered Records, la maison de disques indépendante qu’il a créée, bat de l’aile, son père Larry, qui a récemment, et artificiellement, engendré des triplés, compte éhontément sur son soutien financier pour nourrir cette nouvelle famille, et à la maison, la vie n’est pas non plus un long fleuve tranquille. Le quotidien avec Debbie et les filles est une série de conflits et de complications sans fin. Quant à Debbie, elle a ses propres difficultés professionnelles et filiales. Elle essaie opiniâtrement d’être une épouse et une mère parfaite, mais elle a un mal fou à négocier le virage de la quarantaine. Et pour couronner le tout, leur aînée est en pleine crise de puberté...
Critique "presse": 7/10
"40 Ans, Mode D'Emploi" n'a pas de véritable intrigue; c'est plus une chronique d'un couple en crise, une critique de l'american way of life. Cette crise de la quarantaine délivre quelques bonnes idées, avec des gags moins gras qu'à l'accoutumée pour Appatow, et qui font mouche, malheureusement, quelques longueurs viennent plomber l'ensemble.
Ma critique: 5/10
Cette comédie d'Appatow n'a pas de fil conducteur, pas d'histoire. Ce sont plus des sketchs sur un état d'esprit: la crise de la quarantaine. On s'engueule, on essaie de redonner un second souffle au couple, on se laisse tenter par d'autres plus jeunes, on a du mal à éduquer nos gamins... mais finalement, alors que tout va mal, la famille est plus forte que tout. Quelques sketchs sont drôles, mais pour ce que ça raconte, c'est beaucoup trop long. Et pour un couple en crise (amoureuse, et financière), ils ne se refusent pas grand chose. Quand on voit comment ils vivent, on a du mal à se mettre à leur place et à les plaindre (où alors ils sont sponsorisés par Apple). Rajouter à ça des seconds rôles sans intérêts et de grosses longueurs, et vous obtenez un film ni bon, ni mauvais.
lundi 25 mars 2013
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