Date de sortie: 20 mars 2013
Réalisé par Jonathan Levine
Avec Nicholas Hoult, Teresa Palmer
Avertissement
Genre: Comédie, Romance, Horreur
Durée: 1h37
Synopsis:
Un mystérieux virus a détruit toute civilisation. Les rescapés vivent dans des bunkers fortifiés, redoutant leurs anciens semblables devenus des monstres dévoreurs de chair.
R, un mort-vivant romantique, sauve contre toute attente Julie, une adorable survivante, et la protège de la voracité de ses compagnons. Au fil des jours, la jeune femme réveille chez lui des sentiments oubliés depuis longtemps… Elle-même découvre chez ce zombie différent autre chose qu’un regard vide et des gestes de momie…
Critique "presse": 6,5/10
Entre horreur et humour, une rom-com entre un zombie et une survivante. Aussi étrange que cela puisse paraître, cette romance est drôle et touchante. Un film décalé, plaisant même si l'intrigue est un peu légère. Un bon divertissement, qui plaira surtout au jeune public.
Ma critique: 6/10
Après "Twilight" et la romance entre un vampire et une humaine, "Warm Bodies", où le zombie remplace le vampire. Pour l'humaine, pas de grand changement, on a le droit à une Kristen Stewart blonde. Ici, le pitch est faible, mais relativement bien mené. Et même si j'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire (un zombie qui réfléchit, c'est comme un vampire qui brille au soleil, what ze f...!), je me suis finalement laisser prendre. Principalement car le sujet oscille bien entre humour et romance, et n'est pas trop gnangnan. La bande-son est excellente et fait vite passer le film. Dommage que la conclusion soit des plus communes et surtout trop rapide.
lundi 25 mars 2013
40 Ans, Mode D'Emploi
Date de sortie: 13 mars 2013
Réalisé par Judd Apatow
Avec Paul Rudd, Leslie Mann
Genre: Comédie
Durée: 2h10
Synopsis:
Seul homme à la maison, Pete est marié depuis des années à Debbie avec qui il a eu deux filles, Charlotte et Sadie, âgées de 8 et 13 ans. Pete aura bientôt 40 ans et le bilan est rude : Unfiltered Records, la maison de disques indépendante qu’il a créée, bat de l’aile, son père Larry, qui a récemment, et artificiellement, engendré des triplés, compte éhontément sur son soutien financier pour nourrir cette nouvelle famille, et à la maison, la vie n’est pas non plus un long fleuve tranquille. Le quotidien avec Debbie et les filles est une série de conflits et de complications sans fin. Quant à Debbie, elle a ses propres difficultés professionnelles et filiales. Elle essaie opiniâtrement d’être une épouse et une mère parfaite, mais elle a un mal fou à négocier le virage de la quarantaine. Et pour couronner le tout, leur aînée est en pleine crise de puberté...
Critique "presse": 7/10
"40 Ans, Mode D'Emploi" n'a pas de véritable intrigue; c'est plus une chronique d'un couple en crise, une critique de l'american way of life. Cette crise de la quarantaine délivre quelques bonnes idées, avec des gags moins gras qu'à l'accoutumée pour Appatow, et qui font mouche, malheureusement, quelques longueurs viennent plomber l'ensemble.
Ma critique: 5/10
Cette comédie d'Appatow n'a pas de fil conducteur, pas d'histoire. Ce sont plus des sketchs sur un état d'esprit: la crise de la quarantaine. On s'engueule, on essaie de redonner un second souffle au couple, on se laisse tenter par d'autres plus jeunes, on a du mal à éduquer nos gamins... mais finalement, alors que tout va mal, la famille est plus forte que tout. Quelques sketchs sont drôles, mais pour ce que ça raconte, c'est beaucoup trop long. Et pour un couple en crise (amoureuse, et financière), ils ne se refusent pas grand chose. Quand on voit comment ils vivent, on a du mal à se mettre à leur place et à les plaindre (où alors ils sont sponsorisés par Apple). Rajouter à ça des seconds rôles sans intérêts et de grosses longueurs, et vous obtenez un film ni bon, ni mauvais.
Réalisé par Judd Apatow
Avec Paul Rudd, Leslie Mann
Genre: Comédie
Durée: 2h10
Synopsis:
Seul homme à la maison, Pete est marié depuis des années à Debbie avec qui il a eu deux filles, Charlotte et Sadie, âgées de 8 et 13 ans. Pete aura bientôt 40 ans et le bilan est rude : Unfiltered Records, la maison de disques indépendante qu’il a créée, bat de l’aile, son père Larry, qui a récemment, et artificiellement, engendré des triplés, compte éhontément sur son soutien financier pour nourrir cette nouvelle famille, et à la maison, la vie n’est pas non plus un long fleuve tranquille. Le quotidien avec Debbie et les filles est une série de conflits et de complications sans fin. Quant à Debbie, elle a ses propres difficultés professionnelles et filiales. Elle essaie opiniâtrement d’être une épouse et une mère parfaite, mais elle a un mal fou à négocier le virage de la quarantaine. Et pour couronner le tout, leur aînée est en pleine crise de puberté...
Critique "presse": 7/10
"40 Ans, Mode D'Emploi" n'a pas de véritable intrigue; c'est plus une chronique d'un couple en crise, une critique de l'american way of life. Cette crise de la quarantaine délivre quelques bonnes idées, avec des gags moins gras qu'à l'accoutumée pour Appatow, et qui font mouche, malheureusement, quelques longueurs viennent plomber l'ensemble.
Ma critique: 5/10
Cette comédie d'Appatow n'a pas de fil conducteur, pas d'histoire. Ce sont plus des sketchs sur un état d'esprit: la crise de la quarantaine. On s'engueule, on essaie de redonner un second souffle au couple, on se laisse tenter par d'autres plus jeunes, on a du mal à éduquer nos gamins... mais finalement, alors que tout va mal, la famille est plus forte que tout. Quelques sketchs sont drôles, mais pour ce que ça raconte, c'est beaucoup trop long. Et pour un couple en crise (amoureuse, et financière), ils ne se refusent pas grand chose. Quand on voit comment ils vivent, on a du mal à se mettre à leur place et à les plaindre (où alors ils sont sponsorisés par Apple). Rajouter à ça des seconds rôles sans intérêts et de grosses longueurs, et vous obtenez un film ni bon, ni mauvais.
20 Ans D'Ecart
Date de sortie: 6 mars 2013
Réalisé par David Moreau
Avec Virginie Efira, Pierre Niney, Gilles Cohen
Genre: Comédie , Romance
Durée: 1h32
Synopsis:
Alice Lantins a 38 ans. Elle est belle, ambitieuse et fait preuve d’une impeccable conscience professionnelle au point d’en oublier sa vie privée. Bref, elle a tout pour devenir la prochaine rédactrice en chef du magazine « Rebelle », tout sauf son image de femme coincée. Mais lorsque le jeune et charmant Balthazar, à peine 20 ans, va croiser le chemin d’Alice, le regard de ses collègues va inexplicablement changer. Réalisant qu'elle détient la clef de sa promotion, Alice va feindre la comédie d’une improbable idylle.
Critique "presse": 7/10
Une comédie pétillante qui certes, suit les codes du genre sans trop de surprises, mais quelques bonnes idées font de cette romance un bon divertissement. Le duo de charme Virginie Efira/Pierre Niney fonctionne parfaitement, dommage qu'il n'y ait pas ce petit grain de folie qui ferait de cette comédie un incontournable.
Ma critique: 8/10
Je ne suis pas le dernier pour critiquer la qualité des films (et particulièrement les comédies) français, alors là, je le dis aussi, "20 Ans D'Ecart" est une très bonne surprise. Je n'ai pas souri, mais ri! Comme pour la plupart des romances, les deux personnages sont à l'opposé l'un de l'autre, la quarantenaire boulot-boulot et un peu coincée, et le ptit jeune plein de vie et un peu maladroit. L'histoire est commune, mais bien rythmée, et quelques bonnes idées font mouche, tout comme tous les personnages, qu'ils soient secondaires (Charles Berling en père pervers, ou la photographe antipathique à souhaits), ou principaux: Virginie Efira est vraiment "bonne" dans ce rôle, et Pierre Niney, que je ne connaissais que de nom, est vraiment bon. Bien joué, bien écrit, pour un film français, c'est à noter. A voir donc.
Réalisé par David Moreau
Avec Virginie Efira, Pierre Niney, Gilles Cohen
Genre: Comédie , Romance
Durée: 1h32
Synopsis:
Alice Lantins a 38 ans. Elle est belle, ambitieuse et fait preuve d’une impeccable conscience professionnelle au point d’en oublier sa vie privée. Bref, elle a tout pour devenir la prochaine rédactrice en chef du magazine « Rebelle », tout sauf son image de femme coincée. Mais lorsque le jeune et charmant Balthazar, à peine 20 ans, va croiser le chemin d’Alice, le regard de ses collègues va inexplicablement changer. Réalisant qu'elle détient la clef de sa promotion, Alice va feindre la comédie d’une improbable idylle.
Critique "presse": 7/10
Une comédie pétillante qui certes, suit les codes du genre sans trop de surprises, mais quelques bonnes idées font de cette romance un bon divertissement. Le duo de charme Virginie Efira/Pierre Niney fonctionne parfaitement, dommage qu'il n'y ait pas ce petit grain de folie qui ferait de cette comédie un incontournable.
Ma critique: 8/10
Je ne suis pas le dernier pour critiquer la qualité des films (et particulièrement les comédies) français, alors là, je le dis aussi, "20 Ans D'Ecart" est une très bonne surprise. Je n'ai pas souri, mais ri! Comme pour la plupart des romances, les deux personnages sont à l'opposé l'un de l'autre, la quarantenaire boulot-boulot et un peu coincée, et le ptit jeune plein de vie et un peu maladroit. L'histoire est commune, mais bien rythmée, et quelques bonnes idées font mouche, tout comme tous les personnages, qu'ils soient secondaires (Charles Berling en père pervers, ou la photographe antipathique à souhaits), ou principaux: Virginie Efira est vraiment "bonne" dans ce rôle, et Pierre Niney, que je ne connaissais que de nom, est vraiment bon. Bien joué, bien écrit, pour un film français, c'est à noter. A voir donc.
Wadjda
Date de sortie: 6 février 2013
Réalisé par Haifaa Al Mansour
Avec Waad Mohammed, Reem Abdullah, Abdullrahman Al Gohani
Genre: Drame
Durée: 1h37
Synopsis:
Wadjda, douze ans, habite dans une banlieue de Riyad, capitale de l’Arabie Saoudite. Bien qu’elle grandisse dans un milieu conservateur, c’est une fille pleine de vie qui porte jeans et baskets, écoute du rock et ne rêve que d’une chose : s’acheter le beau vélo vert qui lui permettra de faire la course avec son ami Abdallah. Mais au royaume wahhabite, les bicyclettes sont réservées aux hommes car elles constituent une menace pour la vertu des jeunes filles.
Wadjda se voit donc refuser par sa mère la somme nécessaire à cet achat. Déterminée à trouver l’argent par ses propres moyens, Wadjda décide alors de participer au concours de récitation coranique organisé par son école, avec pour la gagnante, la somme tant désirée.
Critique "presse": 8/10
Premier film saoudien réalisé par une femme, "Wadjda" est un petit bijou. Finement écrit, superbement joué, avec en tête l'interprétation de la jeune "Wadjda", pleine de vie et de volonté. Haifaa Al Mansour dénonce avec justesse et humour les injustices dont sont victimes les femmes dans son pays.
Ma critique: 8/10
"Wadjda" est une histoire simple, mais une belle histoire. On ne peut que s'attacher à cette petite fille de 12 ans, enjouée, effrontée et prête à tout pour réaliser un rêve simple pour nous, mais nettement moins pour elle. On en apprend énormément sur la situation des femmes en Arabie Saoudite sans que le propos soit appuyé. Alors, on peut pousser l'analyse un peu plus loin en disant que les films de cette partie du monde sont toujours du même genre, à savoir dénoncer les injustices. Et remis dans ce contexte, ce film là est-il meilleur que d'autres? Je ne m'y connais pas assez pour répondre à cette question. Je préfère juste retenir que pour un premier film, qui plus est, réalisé sous le manteau, le résultat est très bon. Une belle histoire drôle et touchante, bien réalisée, bien jouée, avec une bonne bande-son. A voir.
Réalisé par Haifaa Al Mansour
Avec Waad Mohammed, Reem Abdullah, Abdullrahman Al Gohani
Genre: Drame
Durée: 1h37
Synopsis:
Wadjda, douze ans, habite dans une banlieue de Riyad, capitale de l’Arabie Saoudite. Bien qu’elle grandisse dans un milieu conservateur, c’est une fille pleine de vie qui porte jeans et baskets, écoute du rock et ne rêve que d’une chose : s’acheter le beau vélo vert qui lui permettra de faire la course avec son ami Abdallah. Mais au royaume wahhabite, les bicyclettes sont réservées aux hommes car elles constituent une menace pour la vertu des jeunes filles.
Wadjda se voit donc refuser par sa mère la somme nécessaire à cet achat. Déterminée à trouver l’argent par ses propres moyens, Wadjda décide alors de participer au concours de récitation coranique organisé par son école, avec pour la gagnante, la somme tant désirée.
Critique "presse": 8/10
Premier film saoudien réalisé par une femme, "Wadjda" est un petit bijou. Finement écrit, superbement joué, avec en tête l'interprétation de la jeune "Wadjda", pleine de vie et de volonté. Haifaa Al Mansour dénonce avec justesse et humour les injustices dont sont victimes les femmes dans son pays.
Ma critique: 8/10
"Wadjda" est une histoire simple, mais une belle histoire. On ne peut que s'attacher à cette petite fille de 12 ans, enjouée, effrontée et prête à tout pour réaliser un rêve simple pour nous, mais nettement moins pour elle. On en apprend énormément sur la situation des femmes en Arabie Saoudite sans que le propos soit appuyé. Alors, on peut pousser l'analyse un peu plus loin en disant que les films de cette partie du monde sont toujours du même genre, à savoir dénoncer les injustices. Et remis dans ce contexte, ce film là est-il meilleur que d'autres? Je ne m'y connais pas assez pour répondre à cette question. Je préfère juste retenir que pour un premier film, qui plus est, réalisé sous le manteau, le résultat est très bon. Une belle histoire drôle et touchante, bien réalisée, bien jouée, avec une bonne bande-son. A voir.
mardi 12 mars 2013
Spring Breakers
Date de sortie: 6 mars 2013
Réalisé par Harmony Korine
Avec James Franco, Vanessa Hudgens, Selena Gomez
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Drame
Durée: 1h32
Synopsis:
Pour financer leur Spring Break, quatre filles aussi fauchées que sexy décident de braquer un fast-food. Et ce n’est que le début… Lors d’une fête dans une chambre de motel, la soirée dérape et les filles sont embarquées par la police. En bikini et avec une gueule de bois d’enfer, elles se retrouvent devant le juge, mais contre toute attente leur caution est payée par Alien, un malfrat local qui les prend sous son aile…
Critique "presse": 7,5/10
Harmony Korine livre un film poétique, avec un déluge de couleurs, un montage hallucinogène, une bande-son démente, des plans qui partent dans tous les sens. A la fois fun, dérangeant, sexy, vulgaire, absurde, ... "Spring Breakers" est un film pop-art tourné comme un clip, et qui dénonce cette société de consommation actuelle. "Spring Breakers", c'est la face cachée du rêve américain. Dommage que le film ne raconte pas grand-chose...
Ma critique: 2/10 Nul à ch...
Quatre filles qui partent au Spring Break, on peut s'attendre à un film sexy avec pas mal de fêtes. Si la scène d'ouverture est plutôt sympa, on déchante très vite par la suite. Sur les filles, 3 ne sont pas sexy, mais vulgaires, dans leur attitude, leur façon de parler, ça m'a juste donner envie de les baffer. Bref, ce ne sont pas des filles comme les autres, mais juste des grosses biatchs! La seule fille à laquelle on peut s'attacher, c'est Selena Gomez, la sainte nitouche; pas de bol, à la moitié du film, elle se barre et on la revoit plus. Le côté où les filles ne sont que de la viande m'a aussi mis mal à l'aise. Et quand James Franco arrive, on pense que le film va démarrer, mais non, c'est encore pire qu'avant. Déjà, il est ridicule avec ses dreads, mais surtout, on ne sait ni pourquoi, ni comment, les filles se mettent à le suivre et à devenir des gangsters. ça n'a ni queue, ni tête, y'a pas d'histoires, pas d'intérêts, les dialogues sont pitoyables, et on les entend plusieurs fois car y'a des flash-backs, des flash-forwards, des cuts, ça part dans tous les sens, un peu comme la caméra. C'est vide de sens: on dirait un clip d'une heure trente, mais on a l'impression que ça dure trois heures tellement on se fait ch...! La scène de fin est ridicule où deux pov' meufs avec une cagoule sur le tête butent tout un gang. Alors, c'est certainement à prendre au second degré, c'est peut-être moi qui n'ait rien compris, y'a peut-être une morale derrière tout ça, c'est la dénonciation de la société, de la jeunesse actuelle et gnagnagna, pour moi la seule chose que le film dénonce, c'est l'argent que les prods sont prêt à mettre pour des films de m... Seulement deux choses à sauver dans ce film: Selena Gomez et la bande-son.
Réalisé par Harmony Korine
Avec James Franco, Vanessa Hudgens, Selena Gomez
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Drame
Durée: 1h32
Synopsis:
Pour financer leur Spring Break, quatre filles aussi fauchées que sexy décident de braquer un fast-food. Et ce n’est que le début… Lors d’une fête dans une chambre de motel, la soirée dérape et les filles sont embarquées par la police. En bikini et avec une gueule de bois d’enfer, elles se retrouvent devant le juge, mais contre toute attente leur caution est payée par Alien, un malfrat local qui les prend sous son aile…
Critique "presse": 7,5/10
Harmony Korine livre un film poétique, avec un déluge de couleurs, un montage hallucinogène, une bande-son démente, des plans qui partent dans tous les sens. A la fois fun, dérangeant, sexy, vulgaire, absurde, ... "Spring Breakers" est un film pop-art tourné comme un clip, et qui dénonce cette société de consommation actuelle. "Spring Breakers", c'est la face cachée du rêve américain. Dommage que le film ne raconte pas grand-chose...
Ma critique: 2/10 Nul à ch...
Quatre filles qui partent au Spring Break, on peut s'attendre à un film sexy avec pas mal de fêtes. Si la scène d'ouverture est plutôt sympa, on déchante très vite par la suite. Sur les filles, 3 ne sont pas sexy, mais vulgaires, dans leur attitude, leur façon de parler, ça m'a juste donner envie de les baffer. Bref, ce ne sont pas des filles comme les autres, mais juste des grosses biatchs! La seule fille à laquelle on peut s'attacher, c'est Selena Gomez, la sainte nitouche; pas de bol, à la moitié du film, elle se barre et on la revoit plus. Le côté où les filles ne sont que de la viande m'a aussi mis mal à l'aise. Et quand James Franco arrive, on pense que le film va démarrer, mais non, c'est encore pire qu'avant. Déjà, il est ridicule avec ses dreads, mais surtout, on ne sait ni pourquoi, ni comment, les filles se mettent à le suivre et à devenir des gangsters. ça n'a ni queue, ni tête, y'a pas d'histoires, pas d'intérêts, les dialogues sont pitoyables, et on les entend plusieurs fois car y'a des flash-backs, des flash-forwards, des cuts, ça part dans tous les sens, un peu comme la caméra. C'est vide de sens: on dirait un clip d'une heure trente, mais on a l'impression que ça dure trois heures tellement on se fait ch...! La scène de fin est ridicule où deux pov' meufs avec une cagoule sur le tête butent tout un gang. Alors, c'est certainement à prendre au second degré, c'est peut-être moi qui n'ait rien compris, y'a peut-être une morale derrière tout ça, c'est la dénonciation de la société, de la jeunesse actuelle et gnagnagna, pour moi la seule chose que le film dénonce, c'est l'argent que les prods sont prêt à mettre pour des films de m... Seulement deux choses à sauver dans ce film: Selena Gomez et la bande-son.
Möbius
Date de sortie: 27 février 2013
Réalisé par Eric Rochant
Avec Jean Dujardin, Cécile de France, Tim Roth
Genre: Espionnage, Thriller
Durée: 1h48
Synopsis:
Grégory Lioubov, un officier des services secrets russes est envoyé à Monaco afin de surveiller les agissements d’un puissant homme d’affaires. Dans le cadre de cette mission, son équipe recrute Alice, une surdouée de la finance. Soupçonnant sa trahison, Grégory va rompre la règle d’or et entrer en contact avec Alice, son agent infiltré. Naît entre eux une passion impossible qui va inexorablement précipiter leur chute.
Critique "presse": 6,5/10
Eric Rochant navigue habilement entre film d'espionnage et romance, mais l'intrigue complexe du scénario peut perdre le spectateur. Le couple incarné par Jean Dujardin et Cécile de France est glamour, mais pas totalement crédible, notamment Jean Dujardin en espion russe. Du bon donc, mais du moins bon aussi.
Ma critique: 6/10
La bande-annonce laissait penser à un film américain réalisé par des français; tout de suite, j'ai pensé à Largo Winch, et j'ai eu très peur. Mais finalement, on est loin du gros film d'action, et même du film d'espionnage, puisque plus le film avance, plus il s'intéresse à la romance entre Jean Dujardin et Cécile de France. Je n'imaginais pas une histoire comme ça, alors pourquoi pas? Mais malheureusement, à délaisser le côté espionnage (complexe certes, mais intéressant) pour la romance, le film perd en intérêt. Surtout, cette histoire d'amour, qui prend trop de place, n'est pas crédible, tout comme Dujardin en espion russe, et de France en femme fatale. On passera sur les scènes de sexe trop longues, sans grand intérêt et même un peu ridicules. Une bonne idée donc, avec de bons rebondissements, mais la romance aurait du prendre moins de place, et le happy-end vient finir de gâcher le tout.
Réalisé par Eric Rochant
Avec Jean Dujardin, Cécile de France, Tim Roth
Genre: Espionnage, Thriller
Durée: 1h48
Synopsis:
Grégory Lioubov, un officier des services secrets russes est envoyé à Monaco afin de surveiller les agissements d’un puissant homme d’affaires. Dans le cadre de cette mission, son équipe recrute Alice, une surdouée de la finance. Soupçonnant sa trahison, Grégory va rompre la règle d’or et entrer en contact avec Alice, son agent infiltré. Naît entre eux une passion impossible qui va inexorablement précipiter leur chute.
Critique "presse": 6,5/10
Eric Rochant navigue habilement entre film d'espionnage et romance, mais l'intrigue complexe du scénario peut perdre le spectateur. Le couple incarné par Jean Dujardin et Cécile de France est glamour, mais pas totalement crédible, notamment Jean Dujardin en espion russe. Du bon donc, mais du moins bon aussi.
Ma critique: 6/10
La bande-annonce laissait penser à un film américain réalisé par des français; tout de suite, j'ai pensé à Largo Winch, et j'ai eu très peur. Mais finalement, on est loin du gros film d'action, et même du film d'espionnage, puisque plus le film avance, plus il s'intéresse à la romance entre Jean Dujardin et Cécile de France. Je n'imaginais pas une histoire comme ça, alors pourquoi pas? Mais malheureusement, à délaisser le côté espionnage (complexe certes, mais intéressant) pour la romance, le film perd en intérêt. Surtout, cette histoire d'amour, qui prend trop de place, n'est pas crédible, tout comme Dujardin en espion russe, et de France en femme fatale. On passera sur les scènes de sexe trop longues, sans grand intérêt et même un peu ridicules. Une bonne idée donc, avec de bons rebondissements, mais la romance aurait du prendre moins de place, et le happy-end vient finir de gâcher le tout.
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