Date de sortie: 26 mars 2014
Réalisé par Anthony Russo, Joe Russo
Avec Chris Evans, Scarlett Johansson, Sebastian Stan
Titre original: "Captain America - The Winter Soldier"
Genre: Action ,Science fiction
Durée: 2h08
Synopsis:
Après les événements cataclysmiques de New York de The Avengers, Steve Rogers aka Captain America vit tranquillement à Washington, D.C. et essaye de s'adapter au monde moderne. Mais quand un collègue du S.H.I.E.L.D. est attaqué, Steve se retrouve impliqué dans un réseau d'intrigues qui met le monde en danger. S'associant à Black Widow, Captain America lutte pour dénoncer une conspiration grandissante, tout en repoussant des tueurs professionnels envoyés pour le faire taire. Quand l'étendue du plan maléfique est révélée, Captain America et Black Widow sollicite l'aide d'un nouvel allié, le Faucon. Cependant, ils se retrouvent bientôt face à un inattendu et redoutable ennemi - le Soldat de l'Hiver.
Critique "presse": 6/10
Un peu à l'image de son héros, ce second volet des aventures de Captain America est sympathique, beau mais plutôt lisse. Le cahier des charges est rempli: de l'action, beaucoup d'explosions, de l'humour, mais le scénario est assez creux.
Ma critique: 6/10
Le premier épisode m'avait agréablement surpris, le scénario étant de bonne facture. Dans ce "Soldat De L'Hiver" malheureusement, on évite pas les clichés du genre. On en prend toujours plein les yeux, on rigole un peu et on est content de retrouver un personnage des "Avengers". En gros, on s'ennuie pas, mais on est en droit de s'attendre à mieux.
jeudi 27 mars 2014
Diplomatie
Date de sortie: 5 mars 2014
Réalisé par Volker Schlöndorff
Avec André Dussollier, Niels Arestrup
Genre: Historique
Durée: 1h24
Synopsis:
La nuit du 24 au 25 août 1944. Le sort de Paris est entre les mains du Général Von Choltitz, Gouverneur du Grand Paris, qui se prépare, sur ordre d'Hitler, à faire sauter la capitale. Issu d'une longue lignée de militaires prussiens, le général n'a jamais eu d'hésitation quand il fallait obéir aux ordres. C'est tout cela qui préoccupe le consul suédois Nordling lorsqu'il gravit l'escalier secret qui le conduit à la suite du Général à l'hôtel Meurice.
Les ponts sur la Seine et les principaux monuments de Paris - Le Louvre, Notre-Dame, la Tour Eiffel ... - sont minés et prêts à exploser. Utilisant toutes les armes de la diplomatie, le consul va essayer de convaincre le général de ne pas exécuter l'ordre de destruction.
Critique "presse": 8/10
Entre enjeux politique et humain, cette adaptation de la pièce de théâtre "Diplomatie" est un huis-clos parfaitement maîtrisé par Volker Schlöndorff. L'intensité de l'affrontement entre deux comédiens au sommet vaut à lui seul le détour. Un film au suspense captivant du début à la fin.
Ma critique: 7/10
J'adore les huis-clos, ce "Diplomatie" ne m'a pas déçu. L'interprétation des comédiens est excellente, les dialogues très bons et le film ne s'essoufle pas. Une idée simple pour un bon film qui m'a appris des choses que j'ignorais sur la Seconde Guerre Mondiale. Film français (même si réalisé par un allemand...) que je recommande.
Réalisé par Volker Schlöndorff
Avec André Dussollier, Niels Arestrup
Genre: Historique
Durée: 1h24
Synopsis:
La nuit du 24 au 25 août 1944. Le sort de Paris est entre les mains du Général Von Choltitz, Gouverneur du Grand Paris, qui se prépare, sur ordre d'Hitler, à faire sauter la capitale. Issu d'une longue lignée de militaires prussiens, le général n'a jamais eu d'hésitation quand il fallait obéir aux ordres. C'est tout cela qui préoccupe le consul suédois Nordling lorsqu'il gravit l'escalier secret qui le conduit à la suite du Général à l'hôtel Meurice.
Les ponts sur la Seine et les principaux monuments de Paris - Le Louvre, Notre-Dame, la Tour Eiffel ... - sont minés et prêts à exploser. Utilisant toutes les armes de la diplomatie, le consul va essayer de convaincre le général de ne pas exécuter l'ordre de destruction.
Critique "presse": 8/10
Entre enjeux politique et humain, cette adaptation de la pièce de théâtre "Diplomatie" est un huis-clos parfaitement maîtrisé par Volker Schlöndorff. L'intensité de l'affrontement entre deux comédiens au sommet vaut à lui seul le détour. Un film au suspense captivant du début à la fin.
Ma critique: 7/10
J'adore les huis-clos, ce "Diplomatie" ne m'a pas déçu. L'interprétation des comédiens est excellente, les dialogues très bons et le film ne s'essoufle pas. Une idée simple pour un bon film qui m'a appris des choses que j'ignorais sur la Seconde Guerre Mondiale. Film français (même si réalisé par un allemand...) que je recommande.
Dans L'Ombre De Mary - La Promesse De Walt Disney
Date de sortie: 5 mars 2014
Réalisé par John Lee Hancock
Avec Tom Hanks, Emma Thompson, Paul Giamatti, Colin Farrell
Titre original: "Saving Mr. Banks"
Genre: Biopic, Comédie dramatique
Durée: 2h05
Synopsis:
Lorsque les filles de Walt Disney le supplient d’adapter au cinéma leur livre préféré, “Mary Poppins”, celui-ci leur fait une promesse... qu’il mettra vingt ans à tenir ! Dans sa quête pour obtenir les droits d’adaptation du roman, Walt Disney va se heurter à l’auteure, Pamela Lyndon Travers, femme têtue et inflexible qui n’a aucunement l’intention de laisser son héroïne bien aimée se faire malmener par la machine hollywoodienne. Mais quand les ventes du livre commencent à se raréfier et que l’argent vient à manquer, elle accepte à contrecoeur de se rendre à Los Angeles pour entendre ce que Disney a imaginé...
Critique "presse": 7/10
Un film drôle et émouvant, à la sauce Disney, dû essentiellement aux performances de deux comédiens sublimes. Tom Hanks en Walt Disney, séducteur roublard, et Emma Thompson en mégère acariâtre, campent leur rôle à merveille. On peut regretter les libertés scénaristiques prises avec l'histoire, pour rendre le ton plus léger, et la mise en scène un peu convenue.
Ma critique: 8/10
Un film bien américain, qui cherche un peu à vous arracher une larme (et qui y parvient), mais qui ne fait pas dans la surenchère. Plus que Walt Disney, on suit l'auteure PL Travers, femme détestable mais attachante, qui en fait baver aux scénaristes de Disney. Des flash-backs (parfois trop en sans intérêt) sur son enfance et sa relation avec son père alcoolique (Colin Farrell) viennent s'insérer dans le film et nous aide à comprendre un peu plus ce personnage tourmenté. Le film est drôle, émouvant, rythmé. Je pense que le propos a été clairement romancé, et j'aurais aimé en apprendre un peu plus sur la vraie histoire de ces deux personnages, mais ça n'enlève rien au film qui est une bonne surprise et une réussite. Et ça m'a donné envie de revoir "Mary Poppins".
Réalisé par John Lee Hancock
Avec Tom Hanks, Emma Thompson, Paul Giamatti, Colin Farrell
Titre original: "Saving Mr. Banks"
Genre: Biopic, Comédie dramatique
Durée: 2h05
Synopsis:
Lorsque les filles de Walt Disney le supplient d’adapter au cinéma leur livre préféré, “Mary Poppins”, celui-ci leur fait une promesse... qu’il mettra vingt ans à tenir ! Dans sa quête pour obtenir les droits d’adaptation du roman, Walt Disney va se heurter à l’auteure, Pamela Lyndon Travers, femme têtue et inflexible qui n’a aucunement l’intention de laisser son héroïne bien aimée se faire malmener par la machine hollywoodienne. Mais quand les ventes du livre commencent à se raréfier et que l’argent vient à manquer, elle accepte à contrecoeur de se rendre à Los Angeles pour entendre ce que Disney a imaginé...
Critique "presse": 7/10
Un film drôle et émouvant, à la sauce Disney, dû essentiellement aux performances de deux comédiens sublimes. Tom Hanks en Walt Disney, séducteur roublard, et Emma Thompson en mégère acariâtre, campent leur rôle à merveille. On peut regretter les libertés scénaristiques prises avec l'histoire, pour rendre le ton plus léger, et la mise en scène un peu convenue.
Ma critique: 8/10
Un film bien américain, qui cherche un peu à vous arracher une larme (et qui y parvient), mais qui ne fait pas dans la surenchère. Plus que Walt Disney, on suit l'auteure PL Travers, femme détestable mais attachante, qui en fait baver aux scénaristes de Disney. Des flash-backs (parfois trop en sans intérêt) sur son enfance et sa relation avec son père alcoolique (Colin Farrell) viennent s'insérer dans le film et nous aide à comprendre un peu plus ce personnage tourmenté. Le film est drôle, émouvant, rythmé. Je pense que le propos a été clairement romancé, et j'aurais aimé en apprendre un peu plus sur la vraie histoire de ces deux personnages, mais ça n'enlève rien au film qui est une bonne surprise et une réussite. Et ça m'a donné envie de revoir "Mary Poppins".
mercredi 19 mars 2014
Les 3 Frères: Le Retour
Date de sortie: 12 février 2014
Réalisé par Les Inconnus
Avec Didier Bourdon, Bernard Campan, Pascal Légitimus
Genre: Comédie
Durée: 1h46
Synopsis:
Ils sont trois,
Ils sont frères,
Ils sont de retour.
15 ans après, Didier, Bernard et Pascal sont enfin réunis... par leur mère...
Cette fois sera peut-être la bonne.
Critique "presse": 3,5/10
Vingt ans après "Les 3 Frères", ce retour paresseux ne fait absolument pas rire, et à peine sourire. Les Inconnus ont vieilli, et ont clairement perdu de leur superbe. Gags éculés, réalisation paresseuse, leur capital sympathie auprès du public risque d'en prendre un coup.
Ma critique: 5/10
Comme pour "Les Bronzés 3", "La Vérité Si Je Mens 3", ce "3 Frères, Le Retour" ressemble plus à un bon moyen de faire du pognon qu'à une bonne idée. Grosse déception au niveau du scénario qui est à peu de choses près un copié-collé du premier (leur mère les réunit à nouveau, ils ont tous des problèmes de pognon, et un enfant inconnu fait son apparition). Si certains gags font rire, d'autres ont quand même pris un coup de vieux. Mais le plus décevant, ce sont les quelques bonnes idées du film qui sont sous-exploitées pour faire place à des idées pourries qui prennent une place considérable. Exemple: le petit Mickael maintenant devenu grand est un peu comme son père, il n'a pas de thunes et veut épouser une fille de très bonne famille, l'idée est bonne, mais n'est exploitée que dans les 20 dernières minutes du film. A côté de ça, on a droit à une ado wesh, fille de Bernard, qu'on a envie de claquer à chaque fois qu'elle ouvre la bouche car elle parle comme une racaille, c'est juste ultra-chiant. On a l'impression qu'ils ont voulu plaire au public jeune d'aujourd'hui, et là a été leur plus grosse erreur. Les jeunes d'aujourd'hui, c'est Kev Adams qui les fait rire, pourquoi s'abaisser à ce niveau là? Le plaisir de les retrouver est là, mais force est de constater qu'ils se sont ratés. C'était attendu, mais c'est dommage...
Réalisé par Les Inconnus
Avec Didier Bourdon, Bernard Campan, Pascal Légitimus
Genre: Comédie
Durée: 1h46
Synopsis:
Ils sont trois,
Ils sont frères,
Ils sont de retour.
15 ans après, Didier, Bernard et Pascal sont enfin réunis... par leur mère...
Cette fois sera peut-être la bonne.
Critique "presse": 3,5/10
Vingt ans après "Les 3 Frères", ce retour paresseux ne fait absolument pas rire, et à peine sourire. Les Inconnus ont vieilli, et ont clairement perdu de leur superbe. Gags éculés, réalisation paresseuse, leur capital sympathie auprès du public risque d'en prendre un coup.
Ma critique: 5/10
Comme pour "Les Bronzés 3", "La Vérité Si Je Mens 3", ce "3 Frères, Le Retour" ressemble plus à un bon moyen de faire du pognon qu'à une bonne idée. Grosse déception au niveau du scénario qui est à peu de choses près un copié-collé du premier (leur mère les réunit à nouveau, ils ont tous des problèmes de pognon, et un enfant inconnu fait son apparition). Si certains gags font rire, d'autres ont quand même pris un coup de vieux. Mais le plus décevant, ce sont les quelques bonnes idées du film qui sont sous-exploitées pour faire place à des idées pourries qui prennent une place considérable. Exemple: le petit Mickael maintenant devenu grand est un peu comme son père, il n'a pas de thunes et veut épouser une fille de très bonne famille, l'idée est bonne, mais n'est exploitée que dans les 20 dernières minutes du film. A côté de ça, on a droit à une ado wesh, fille de Bernard, qu'on a envie de claquer à chaque fois qu'elle ouvre la bouche car elle parle comme une racaille, c'est juste ultra-chiant. On a l'impression qu'ils ont voulu plaire au public jeune d'aujourd'hui, et là a été leur plus grosse erreur. Les jeunes d'aujourd'hui, c'est Kev Adams qui les fait rire, pourquoi s'abaisser à ce niveau là? Le plaisir de les retrouver est là, mais force est de constater qu'ils se sont ratés. C'était attendu, mais c'est dommage...
mardi 18 mars 2014
The Grand Budapest Hotel
Date de sortie: 26 février 2014
Réalisé par Wes Anderson
Avec Ralph Fiennes, Tony Revolori, F. Murray Abraham
Genre: Comédie
Durée: 1h40
Synopsis:
Le film retrace les aventures de Gustave H, l’homme aux clés d’or d’un célèbre hôtel européen de l’entre-deux-guerres et du garçon d’étage Zéro Moustafa, son allié le plus fidèle. La recherche d’un tableau volé, oeuvre inestimable datant de la Renaissance et un conflit autour d’un important héritage familial forment la trame de cette histoire au coeur de la vieille Europe en pleine mutation.
Critique "presse": 9/10
Un film d'aventures pétillant, une fresque burlesque, surréaliste, à l'humour décalé et aux rebondissements absurdes dans lequel évoluent des personnages plus décalés les uns que les autres. "The Grand Budapest Hotel" est certainement, pour l'heure, le chef d'oeuvre de Wes Anderson.
Ma critique: 7/10
Tout cet univers rappelle bien Wes Anderson: décors, costumes, personnages, mise en scène. Le réalisateur à son style bien a lui, parfois ça me plaît ("Fantastic M. Fox"), parfois nettement moins ("Moonrise Kingdom"), "The Grand Budapest Hotel" est à ranger du côté des bons films du réalisateur, même s'il n'est certainement pas son meilleur. Alors oui, les différents tableaux qui nous sont présentés sont drôles, mais les aventures de M. Gustave et de son lobby boy sont inégales et parfois un peu longues.
Réalisé par Wes Anderson
Avec Ralph Fiennes, Tony Revolori, F. Murray Abraham
Genre: Comédie
Durée: 1h40
Synopsis:
Le film retrace les aventures de Gustave H, l’homme aux clés d’or d’un célèbre hôtel européen de l’entre-deux-guerres et du garçon d’étage Zéro Moustafa, son allié le plus fidèle. La recherche d’un tableau volé, oeuvre inestimable datant de la Renaissance et un conflit autour d’un important héritage familial forment la trame de cette histoire au coeur de la vieille Europe en pleine mutation.
Critique "presse": 9/10
Un film d'aventures pétillant, une fresque burlesque, surréaliste, à l'humour décalé et aux rebondissements absurdes dans lequel évoluent des personnages plus décalés les uns que les autres. "The Grand Budapest Hotel" est certainement, pour l'heure, le chef d'oeuvre de Wes Anderson.
Ma critique: 7/10
Tout cet univers rappelle bien Wes Anderson: décors, costumes, personnages, mise en scène. Le réalisateur à son style bien a lui, parfois ça me plaît ("Fantastic M. Fox"), parfois nettement moins ("Moonrise Kingdom"), "The Grand Budapest Hotel" est à ranger du côté des bons films du réalisateur, même s'il n'est certainement pas son meilleur. Alors oui, les différents tableaux qui nous sont présentés sont drôles, mais les aventures de M. Gustave et de son lobby boy sont inégales et parfois un peu longues.
lundi 17 mars 2014
300: La Naissance D'Un Empire
Date de sortie: 5 mars 2014
Réalisé par Noam Murro
Avec Sullivan Stapleton, Eva Green, Lena Headey
Interdit au moins de 12 ans
Titre original: "300: Rise Of An Empire"
Genre: Action, Péplum
Durée: 1h42
Synopsis:
Le général grec Thémistocle tente de mobiliser toutes les forces de la Grèce pour mener une bataille qui changera à jamais le cours de la guerre. Il doit désormais affronter les redoutables Perses, emmenés par Xerxès, homme devenu dieu, et Artémise, à la tête de la marine perse…
Critique "presse": 5/10
Les éléments du premier volet sont réunis: grosse dose de testostérone, même côté kitsch, scènes de combat spectaculaires. Malheureusement, l'effet de surprise n'est plus là, l'image est moins belle, et une suite est généralement moins réussie...
Ma critique: 5/10
Ce 302 qui annonce un 303 n'est pas au niveau du premier volet. Moins beau visuellement, avec un héros qui a nettement moins de classe que Léonidas. La surenchère de ralentis rend ça grotesque. Alors, oui, il y a de le baston, c'est suffisant pour ne pas s'ennuyer, mais faut pas chercher plus loin.
Réalisé par Noam Murro
Avec Sullivan Stapleton, Eva Green, Lena Headey
Interdit au moins de 12 ans
Titre original: "300: Rise Of An Empire"
Genre: Action, Péplum
Durée: 1h42
Synopsis:
Le général grec Thémistocle tente de mobiliser toutes les forces de la Grèce pour mener une bataille qui changera à jamais le cours de la guerre. Il doit désormais affronter les redoutables Perses, emmenés par Xerxès, homme devenu dieu, et Artémise, à la tête de la marine perse…
Critique "presse": 5/10
Les éléments du premier volet sont réunis: grosse dose de testostérone, même côté kitsch, scènes de combat spectaculaires. Malheureusement, l'effet de surprise n'est plus là, l'image est moins belle, et une suite est généralement moins réussie...
Ma critique: 5/10
Ce 302 qui annonce un 303 n'est pas au niveau du premier volet. Moins beau visuellement, avec un héros qui a nettement moins de classe que Léonidas. La surenchère de ralentis rend ça grotesque. Alors, oui, il y a de le baston, c'est suffisant pour ne pas s'ennuyer, mais faut pas chercher plus loin.
Robocop
Date de sortie: 5 février 2014
Réalisé par José Padilha
Avec Joel Kinnaman, Gary Oldman, Michael Keaton
Genre: Action, Science fiction
Durée: 1h57
Synopsis:
Les services de police inventent une nouvelle arme infaillible, Robocop, mi-homme, mi-robot, policier électronique de chair et d'acier qui a pour mission de sauvegarder la tranquillité de la ville. Mais ce cyborg a aussi une âme...
Critique "presse": 5/10
José Padilha reprend le classique de Paul Verhoeven, mais si cette version est plus musclée, les thèmes cher à Verhoeven (sur-médiatisation, capitalisme...) sont nettement en retrait. Un film qui souffre de la comparaison avec l'original.
Ma critique: 7/10
N'ayant pas vu l'original (oui, honte à moi), je n'ai aucun point de comparaison, et j'ai plutôt été agréablement surpris par ce remake. Avec les nouvelles technologies, je m'attendais à un déluge d'effets spéciaux, avec des explosions en veux-tu en voilà, tout ça au détriment d'un scénario qui passerait clairement au second plan. Et bien, pas du tout. Certes, on en prend la vue, mais l'histoire se tient, et tout le côté dénonciation du capitalisme est pour moi bien mené (après, si je vois celui de Verhoeven, je reviendrai peut-être sur ces commentaires...). Le casting est très bon, le scénario se tient, la mise en scène bien menée, et le rythme soutenu. Seule la fin est pour moi un peu décevante, car trop rapide.
Réalisé par José Padilha
Avec Joel Kinnaman, Gary Oldman, Michael Keaton
Genre: Action, Science fiction
Durée: 1h57
Synopsis:
Les services de police inventent une nouvelle arme infaillible, Robocop, mi-homme, mi-robot, policier électronique de chair et d'acier qui a pour mission de sauvegarder la tranquillité de la ville. Mais ce cyborg a aussi une âme...
Critique "presse": 5/10
José Padilha reprend le classique de Paul Verhoeven, mais si cette version est plus musclée, les thèmes cher à Verhoeven (sur-médiatisation, capitalisme...) sont nettement en retrait. Un film qui souffre de la comparaison avec l'original.
Ma critique: 7/10
N'ayant pas vu l'original (oui, honte à moi), je n'ai aucun point de comparaison, et j'ai plutôt été agréablement surpris par ce remake. Avec les nouvelles technologies, je m'attendais à un déluge d'effets spéciaux, avec des explosions en veux-tu en voilà, tout ça au détriment d'un scénario qui passerait clairement au second plan. Et bien, pas du tout. Certes, on en prend la vue, mais l'histoire se tient, et tout le côté dénonciation du capitalisme est pour moi bien mené (après, si je vois celui de Verhoeven, je reviendrai peut-être sur ces commentaires...). Le casting est très bon, le scénario se tient, la mise en scène bien menée, et le rythme soutenu. Seule la fin est pour moi un peu décevante, car trop rapide.
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