mercredi 15 février 2012

La Vérité Si Je Mens 3

Date de sortie: 1er février 2012

Réalisé par Thomas Gilou
Avec Richard Anconina, José Garcia, Bruno Solo

Genre: Comédie
Durée: 1h59

Synopsis:
Eddie, Dov, Yvan et les autres… Nos chaleureux amis ont migré du Sentier moribond à la banlieue florissante d’Aubervilliers… Là où les vieux entrepreneurs juifs ont laissé le terrain à de jeunes grossistes chinois courageux et dynamiques…
La petite bande est toujours aussi soudée, solidaire que lors des épisodes précédents, et la vie suit son cours, au gré des petits évènements familiaux et des affaires.
Tout irait pour le mieux jusqu’à ce qu’un vent mauvais apporte son lot d’adversité compromettant sérieusement la cohésion du groupe.
Succomberont-ils sous l’orage à la zizanie, ou bien, une fois de plus, à force d’entraide, de ruses et d’habileté, triompheront-ils de la crise avec panache ?


Critique "presse": 4,5/10
Ce troisième volet vaut surtout pour le retour de l'équipe au grand complet. Pour le reste, le film est long, l'histoire est faiblarde, et les meilleurs gags sont dans la bande-annonce. Tout repose sur les personnages, au capital sympathie toujours intact.

Ma critique: 4/10
On est heureux de les retrouver, mais c'est tout. Pour le reste, aucun intérêt. La vérité, c'est caricaturé! Ils vont trop loin dans les caricatures, les dialogues, les situations, plus rien ne paraît crédible. Les meilleurs gags ne font absolument pas avancer l'histoire, ce sont juste des scènes sans intérêts uniquement rajoutées pour faire rire. Le scénario n'a rien d'original car il reprend grosso-modo les ficelles du 2: on se fait entuber, un des mômes d'Eddie lui donne une illumination et hop, gros retournement de situation, l'entubeur est entubé. A côté de ça, les sous-intrigues ne sont pas développées et ne servent donc à rien, si ce n'est à rajouter de la longueur au film. Pour finir, et j'en parle rarement, l'image et le montage sont dégueulasses: couleurs fluos et criardes, faux-raccords en pagaille. Malgré tout, ça se suit, mais on est bien loin des deux premiers volets.

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