Date de sortie: 16 février 2011
Réalisé par Jérôme Salle
Avec Tomer Sisley, Sharon Stone
Genre : Aventure , Action
Durée : 01h59
Synopsis :
Propulsé à la tête du groupe W après le décès de son père adoptif, Largo Winch décide, à la surprise générale, de le mettre en vente afin de créer une ambitieuse fondation humanitaire. Mais le jour de la signature, il se retrouve accusé de crimes contre l'humanité par un mystérieux témoin. Pour prouver son innocence, Largo devra retourner sur les traces de sa vie passée, au cœur de la jungle birmane.
Critique "presse": 6/10
Un blockbuster à l'américaine: courses-poursuites, bagarres, effets spéciaux, humour, explosions, tout y est. Le réalisateur et son scénariste reste fidèle à l'esprit de la BD, et pas rapport au premier volet, tout y est plus convaincant. Mais on est encore loin du résultat des américains; tout y est un peu trop lisse, les acteurs en tête.
Ma critique: 3/10
Les français s'essaient au film du genre, ici, le blockbuster. Et c'est raté! Qu'est-ce qu'on s'ennuie. Le cahier des charges est respecté, mais pour le reste...L'humour est mauvais, les acteurs pas géniaux, les scènes d'actions mal filmées, et l'intrigue est mauvaise. Le premier opus était mieux, car même si l'histoire prenait certaines libertés par rapport à la BD, on retrouvait le combo film d'action - drame financier et Tomer Sisley avait un certain humour. Dans ce second volet, rien de tout ça. Juste un bête film d'action, et le fan de la BD que je suis s'arrache les cheveux. Dwight Cochran est ici un petit allemand à moustache, Simon Ovronnaz un chauffeur doublé d'un boulet (dans la BD, c'est un voleur suisse débrouillard), Freddy Kaplan est chauve et meurt au début du film (chevelure blonde et pilote de Largo dans la BD), et ce cher Largo devient papa! Je préfère m'arrêter là, mais y'a déjà de quoi crier au scandale.
mercredi 23 février 2011
Black Swan
Date de sortie: 9 février 2011
Réalisé par Darren Aronofsky
Avec Natalie Portman, Mila Kunis, Vincent Cassel
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Genre : Drame , Thriller , Fantastique
Durée : 01h43
Synopsis :
Rivalités dans la troupe du New York City Ballet. Nina est prête à tout pour obtenir le rôle principal du Lac des cygnes que dirige l’ambigu Thomas. Mais elle se trouve bientôt confrontée à la belle et sensuelle nouvelle recrue, Lily...
Critique "presse": 8,5/10
Un thriller psychologique qui filme la descente aux enfers de la danseuse Nina, en quête constante de perfection pour interpréter le rôle principal du Lac des cygnes. Si Nina est naturellement le cygne blanc, elle doit travailler sans répit pour interpréter le cygne noir. Entre le bien et le mal, la danseuse étoile sombre peu à peu dans la schizophrénie. Un film somptueux, qui oscille entre réalité et fantastique, avec une prestation de haut-vol pour Natalie Portman.
Ma critique: 6/10
Je me suis ennuyé pendant une bonne partie du film, il ne se passe pas grand-chose, et moi, les numéros de danse... Seule la dernière demi-heure est vraiment intéressante, Nina sombre dans la folie et la prestation de Natalie Portman n'est pas usurpée. Mais avant ça, bof! Aronofsky veut faire du grandiose et continue de vouloir mettre les gens mal à l'aise (toujours avec certains plans qui ne font pas spécialement avancés le film). On est loin du chef-d'oeuvre annoncé et sans Natalie Portman, le film serait vraiment quelconque. "Requiem For A Dream" et "The Wrestler" sont bien meilleurs.
Réalisé par Darren Aronofsky
Avec Natalie Portman, Mila Kunis, Vincent Cassel
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Genre : Drame , Thriller , Fantastique
Durée : 01h43
Synopsis :
Rivalités dans la troupe du New York City Ballet. Nina est prête à tout pour obtenir le rôle principal du Lac des cygnes que dirige l’ambigu Thomas. Mais elle se trouve bientôt confrontée à la belle et sensuelle nouvelle recrue, Lily...
Critique "presse": 8,5/10
Un thriller psychologique qui filme la descente aux enfers de la danseuse Nina, en quête constante de perfection pour interpréter le rôle principal du Lac des cygnes. Si Nina est naturellement le cygne blanc, elle doit travailler sans répit pour interpréter le cygne noir. Entre le bien et le mal, la danseuse étoile sombre peu à peu dans la schizophrénie. Un film somptueux, qui oscille entre réalité et fantastique, avec une prestation de haut-vol pour Natalie Portman.
Ma critique: 6/10
Je me suis ennuyé pendant une bonne partie du film, il ne se passe pas grand-chose, et moi, les numéros de danse... Seule la dernière demi-heure est vraiment intéressante, Nina sombre dans la folie et la prestation de Natalie Portman n'est pas usurpée. Mais avant ça, bof! Aronofsky veut faire du grandiose et continue de vouloir mettre les gens mal à l'aise (toujours avec certains plans qui ne font pas spécialement avancés le film). On est loin du chef-d'oeuvre annoncé et sans Natalie Portman, le film serait vraiment quelconque. "Requiem For A Dream" et "The Wrestler" sont bien meilleurs.
Le Discours D'Un Roi
Date de sortie: 2 février 2011
Réalisé par Tom Hooper
Avec Colin Firth, Helena Bonham Carter, Geoffrey Rush
Titre original : The King's Speech
Genre : Historique , Biopic , Drame
Durée : 01h58
Synopsis :
D’après l’histoire vraie et méconnue du père de l’actuelle Reine Elisabeth, qui va devenir, contraint et forcé, le Roi George VI, suite à l’abdication de son frère Edouard VIII. D’apparence fragile, incapable de s’exprimer en public, considéré par certains comme inapte à la fonction, George VI tentera de surmonter son handicap grâce au soutien indéfectible de sa femme et d’affronter ses peurs avec l’aide d’un thérapeute du langage aux méthodes peu conventionnelles. Il devra vaincre son bégaiement pour assumer pleinement son rôle, et faire de son empire le premier rempart contre l’Allemagne nazie.
Critique "presse": 8/10
Une histoire finement écrite, une mise en scène maîtrisée, des acteurs incroyables. "Le Discours D'Un Roi" aurait pu être une fresque historique, qui cherche à en mettre plein la vue. Au contraire ici, le réalisateur s'attache plus à l'intime. Film à Oscars et grand moment de cinéma.
Ma critique: 8/10
Un film qui met en avant une histoire qui m'était inconnue. Un récit historique porté par deux grands comédiens (Colin Firth et Geoffrey Rush). On suit l'intimité de George VI et ses problèmes d'élocutions. Une belle histoire d'amitié, et un suspense de plus en plus présent au fur et à mesure que se rapproche le discours du roi. Un excellent film qui aurait pu être encore mieux si la bande-son avait été à la hauteur.
Réalisé par Tom Hooper
Avec Colin Firth, Helena Bonham Carter, Geoffrey Rush
Titre original : The King's Speech
Genre : Historique , Biopic , Drame
Durée : 01h58
Synopsis :
D’après l’histoire vraie et méconnue du père de l’actuelle Reine Elisabeth, qui va devenir, contraint et forcé, le Roi George VI, suite à l’abdication de son frère Edouard VIII. D’apparence fragile, incapable de s’exprimer en public, considéré par certains comme inapte à la fonction, George VI tentera de surmonter son handicap grâce au soutien indéfectible de sa femme et d’affronter ses peurs avec l’aide d’un thérapeute du langage aux méthodes peu conventionnelles. Il devra vaincre son bégaiement pour assumer pleinement son rôle, et faire de son empire le premier rempart contre l’Allemagne nazie.
Critique "presse": 8/10
Une histoire finement écrite, une mise en scène maîtrisée, des acteurs incroyables. "Le Discours D'Un Roi" aurait pu être une fresque historique, qui cherche à en mettre plein la vue. Au contraire ici, le réalisateur s'attache plus à l'intime. Film à Oscars et grand moment de cinéma.
Ma critique: 8/10
Un film qui met en avant une histoire qui m'était inconnue. Un récit historique porté par deux grands comédiens (Colin Firth et Geoffrey Rush). On suit l'intimité de George VI et ses problèmes d'élocutions. Une belle histoire d'amitié, et un suspense de plus en plus présent au fur et à mesure que se rapproche le discours du roi. Un excellent film qui aurait pu être encore mieux si la bande-son avait été à la hauteur.
Rien A Déclarer
Date de sortie: 2 février 2011
Réalisé par Dany Boon
Avec Benoît Poelvoorde, Dany Boon
Genre : Comédie
Durée : 01h48
Synopsis :
1er janvier 1993 : passage à l’Europe. Deux douaniers, l’un belge, l’autre français, apprennent la disparition prochaine de leur poste frontière situé dans la commune de Courquain France et Koorkin Belgique.
Francophobe de père en fils et douanier belge trop zélé, Ruben Vandevoorde se voit contraint et forcé d’inaugurer la première brigade volante mixte franco-belge.
Son collègue français, Mathias Ducatel, considéré par Ruben comme son ennemi de toujours, est secrètement amoureux de sa soeur. Il surprend tout le monde en acceptant de devenir le co-équipier de Vandevoorde et sillonner avec lui les routes de campagnes frontalières à bord d’une 4L d’interception des douanes internationales.
Critique "presse": 4,5/10
Un divertissement familial, aux gags plus ou moins réussis. Dany Boon reprend la recette qui a fait son succès, à savoir l'acceptation de la différence. Un douanier belge, haineux du français, doit faire équipe avec un douanier français, amoureux de la soeur du belge. S'en suivent des situations comiques, drôles surtout grâce à Poelvoorde. Et avec tout ça, une intrigue policière qui n'apporte absolument rien. Un divertissement, rien de plus.
Ma critique: 4/10
Dany Boon n'a pas voulu faire tout de suite un "Chti 2", car ça aurait été juste pour faire de l'argent. C'est tout à son honneur, mais avec "Rien A Déclarer", je ne peux m'empêcher de penser que c'est juste pour faire de l'argent. Quoiqu'il arrive, le film allait faire des entrées (l'après "Ch'ti", grosse campagne de comm', énormement de copies), du coup, Dany Boon ne s'est pas foulé au niveau de l'histoire, ça reste basique, quelques bons gags, mais lourds (et parfois franchement racistes) dans l'ensemble. Soyons clairs, si ce film était sorti avant les "Chtis", il serait passé inaperçu. Bons points quand même pour Boon, il tourne encore en province et ne cache pas qu'il cherche à divertir, rien de plus.
Réalisé par Dany Boon
Avec Benoît Poelvoorde, Dany Boon
Genre : Comédie
Durée : 01h48
Synopsis :
1er janvier 1993 : passage à l’Europe. Deux douaniers, l’un belge, l’autre français, apprennent la disparition prochaine de leur poste frontière situé dans la commune de Courquain France et Koorkin Belgique.
Francophobe de père en fils et douanier belge trop zélé, Ruben Vandevoorde se voit contraint et forcé d’inaugurer la première brigade volante mixte franco-belge.
Son collègue français, Mathias Ducatel, considéré par Ruben comme son ennemi de toujours, est secrètement amoureux de sa soeur. Il surprend tout le monde en acceptant de devenir le co-équipier de Vandevoorde et sillonner avec lui les routes de campagnes frontalières à bord d’une 4L d’interception des douanes internationales.
Critique "presse": 4,5/10
Un divertissement familial, aux gags plus ou moins réussis. Dany Boon reprend la recette qui a fait son succès, à savoir l'acceptation de la différence. Un douanier belge, haineux du français, doit faire équipe avec un douanier français, amoureux de la soeur du belge. S'en suivent des situations comiques, drôles surtout grâce à Poelvoorde. Et avec tout ça, une intrigue policière qui n'apporte absolument rien. Un divertissement, rien de plus.
Ma critique: 4/10
Dany Boon n'a pas voulu faire tout de suite un "Chti 2", car ça aurait été juste pour faire de l'argent. C'est tout à son honneur, mais avec "Rien A Déclarer", je ne peux m'empêcher de penser que c'est juste pour faire de l'argent. Quoiqu'il arrive, le film allait faire des entrées (l'après "Ch'ti", grosse campagne de comm', énormement de copies), du coup, Dany Boon ne s'est pas foulé au niveau de l'histoire, ça reste basique, quelques bons gags, mais lourds (et parfois franchement racistes) dans l'ensemble. Soyons clairs, si ce film était sorti avant les "Chtis", il serait passé inaperçu. Bons points quand même pour Boon, il tourne encore en province et ne cache pas qu'il cherche à divertir, rien de plus.
Même La Pluie
Date de sortie: 5 janvier 2011
Réalisé par Icíar Bollaín
Avec Gael García Bernal, Luis Tosar, Carlos Aduviri
Titre original : También la lluvia
Genre : Drame , Historique
Durée : 01h43
Synopsis :
Sebastian, jeune réalisateur passionné et son producteur arrivent dans le décor somptueux des montagnes boliviennes pour entamer le tournage d'un film. Les budgets de production sont serrés et Costa, le producteur, se félicite de pouvoir employer des comédiens et des figurants locaux à moindre coût. Mais bientôt le tournage est interrompu par la révolte menée par l'un des principaux figurants contre le pouvoir en place qui souhaite privatiser l'accès à l'eau courante. Costa et Sebastian se trouvent malgré eux emportés dans cette lutte pour la survie d'un peuple démuni. Ils devront choisir entre soutenir la cause de la population et la poursuite de leur propre entreprise sur laquelle ils ont tout misé. Ce combat pour la justice va bouleverser leur existence.
Critique "presse": 6,5/10
Un drame fort et engagé, servi par de bons acteurs, mais trop démonstratif. Si l'idée de départ est bonne et pose la question de l'intégrité morale, on tombe finalement sur un discours répétitif et parfois trop larmoyant.
Ma critique: 8/10
Une excellente surprise. D'un côté, la production qui veut terminer son film à tout prix, de l'autre, la population locale qui est confrontée à un problème bien plus grave et qui n'a d'autre choix que de se révolter. Ce qui est intéressant ici, c'est de voir les comportements et les réactions de l'équipe du film: faut-il finir le film avant tout et rester insensible aux malheurs des autres? faut-il aider la population locale ou simplement fuir pour sauver sa vie? Un film qui ne m'a pas laissé indifférent.
Réalisé par Icíar Bollaín
Avec Gael García Bernal, Luis Tosar, Carlos Aduviri
Titre original : También la lluvia
Genre : Drame , Historique
Durée : 01h43
Synopsis :
Sebastian, jeune réalisateur passionné et son producteur arrivent dans le décor somptueux des montagnes boliviennes pour entamer le tournage d'un film. Les budgets de production sont serrés et Costa, le producteur, se félicite de pouvoir employer des comédiens et des figurants locaux à moindre coût. Mais bientôt le tournage est interrompu par la révolte menée par l'un des principaux figurants contre le pouvoir en place qui souhaite privatiser l'accès à l'eau courante. Costa et Sebastian se trouvent malgré eux emportés dans cette lutte pour la survie d'un peuple démuni. Ils devront choisir entre soutenir la cause de la population et la poursuite de leur propre entreprise sur laquelle ils ont tout misé. Ce combat pour la justice va bouleverser leur existence.
Critique "presse": 6,5/10
Un drame fort et engagé, servi par de bons acteurs, mais trop démonstratif. Si l'idée de départ est bonne et pose la question de l'intégrité morale, on tombe finalement sur un discours répétitif et parfois trop larmoyant.
Ma critique: 8/10
Une excellente surprise. D'un côté, la production qui veut terminer son film à tout prix, de l'autre, la population locale qui est confrontée à un problème bien plus grave et qui n'a d'autre choix que de se révolter. Ce qui est intéressant ici, c'est de voir les comportements et les réactions de l'équipe du film: faut-il finir le film avant tout et rester insensible aux malheurs des autres? faut-il aider la population locale ou simplement fuir pour sauver sa vie? Un film qui ne m'a pas laissé indifférent.
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