Date de sortie: 17 janvier 2018
De Martin McDonagh
Avec Frances McDormand, Woody Harrelson, Sam Rockwell
Titre original: "Three Billboards Outside Ebbing, Missouri"
Genre: Comédie dramatique
Durée: 1h56
Synopsis:
Après des mois sans que l'enquête sur la mort de sa fille ait avancé, Mildred Hayes prend les choses en main, affichant un message controversé visant le très respecté chef de la police sur trois grands panneaux à l'entrée de leur ville.
Critique "presse": 8/10
Pour son troisième film, Martin McDonagh nous plonge dans l'Amérique profonde, et nous livre un film audacieux qui oscille entre mélodrame intime et satire. A la fois drôle, touchant et humain, mélangeant absurde et noirceur, "3 Billboards..." rappelle l'univers des frères Coen. Si le film s'éloigne parfois de son thème principal, il jouit néanmoins d'un excellent scénario, entre dialogues bien écrits et personnages complexes, superbement interprétés par d'excellents comédiens. Il prouve aussi que prendre des risques au cinéma peut s'avérer payant.
Ma critique: 7/10
Après le bon "Bons Baisers De Bruges" et le moyen "7 Psychopathes", Martin McDonagh revient avec un film sur une mère endeuillée qui réclame justice. Le film, grâce à une mise en scène maîtrisée, mêle habilement les moments d'humour, noir ou absurde, avec des moments d'émotions plus intimes. Il est dommage que la trame principale du scénario passe parfois au second plan, même si c'est au profit des personnages, tous très bien écrits (Sam Rockwell en tête). Si le film est plutôt lent, il ne perd jamais en intérêt grâce à des rebondissements plutôt bien exploités. Sans être le film de l'année, "Three Billboards..." n'en reste pas moins un film à voir.
mercredi 24 janvier 2018
mercredi 17 janvier 2018
Downsizing
Date de sortie: 10 janvier 2018
De Alexander Payne
Avec Matt Damon, Kristen Wiig, Christoph Waltz
Genre: Comédie
Durée: 2h16
Synopsis:
Pour lutter contre la surpopulation, des scientifiques mettent au point un processus permettant de réduire les humains à une taille d’environ 12 cm : le "downsizing". Chacun réalise que réduire sa taille est surtout une bonne occasion d’augmenter de façon considérable son niveau de vie. Cette promesse d’un avenir meilleur décide Paul Safranek et sa femme à abandonner le stress de leur quotidien à Omaha (Nebraska), pour se lancer dans une aventure qui changera leur vie pour toujours.
Critique "presse": 6,5/10
Matt Damon livre une grande performance du haut de ses 12 cm dans cette fable SF, satire sociale de l'American way of life. Film ambitieux, "Downsizing" n'est pourtant qu'une demi-réussite, la faute à quelques longueurs et à un traitement qui s'essouffle plus l'intrigue avance. De plus Alexander Payne, à force de vouloir développer plusieurs grands thèmes (consumérisme, séparatisme ethnique et social, ...), perd le fil du film et ne va jamais au fond des choses.
Ma critique: 2/10
L'idée de départ était originale, mais je me posais la question de savoir s'ils allaient réussir à faire un film autour de cette idée. La réponse est clairement non.
Dans sa première partie, le film est intéressant, il pose de bonnes questions (sociétales, environnementales,...) mais dès que Matt Damon rétrécit et commence sa nouvelle vie, le film perd en intérêt. Concrètement, il ne se passe rien. On le suit dans sa nouvelle vie quotidienne d'ergothérapeute raté, on a le droit à différents tableaux qui sont une critique de notre société mais ça reste trop en surface pour être intéressant, les quelques bonnes idées étant vite abandonnées. Il n'y a pas vraiment de fil conducteur, pas d'enjeux, pas d'humour, on ne s'attache pas aux personnages, certains surjouent et finissent même pas être agaçants. Le film fait 2h15, pourrait faire 1h30, et en parait 4. J'ai vraiment eu du mal à aller jusqu'au bout, c'est juste le sujet de l'environnement qui m'a fait tenir, mais dans l'ensemble, ce film est un gâchis et une perte de temps.
De Alexander Payne
Avec Matt Damon, Kristen Wiig, Christoph Waltz
Genre: Comédie
Durée: 2h16
Synopsis:
Pour lutter contre la surpopulation, des scientifiques mettent au point un processus permettant de réduire les humains à une taille d’environ 12 cm : le "downsizing". Chacun réalise que réduire sa taille est surtout une bonne occasion d’augmenter de façon considérable son niveau de vie. Cette promesse d’un avenir meilleur décide Paul Safranek et sa femme à abandonner le stress de leur quotidien à Omaha (Nebraska), pour se lancer dans une aventure qui changera leur vie pour toujours.
Critique "presse": 6,5/10
Matt Damon livre une grande performance du haut de ses 12 cm dans cette fable SF, satire sociale de l'American way of life. Film ambitieux, "Downsizing" n'est pourtant qu'une demi-réussite, la faute à quelques longueurs et à un traitement qui s'essouffle plus l'intrigue avance. De plus Alexander Payne, à force de vouloir développer plusieurs grands thèmes (consumérisme, séparatisme ethnique et social, ...), perd le fil du film et ne va jamais au fond des choses.
Ma critique: 2/10
L'idée de départ était originale, mais je me posais la question de savoir s'ils allaient réussir à faire un film autour de cette idée. La réponse est clairement non.
Dans sa première partie, le film est intéressant, il pose de bonnes questions (sociétales, environnementales,...) mais dès que Matt Damon rétrécit et commence sa nouvelle vie, le film perd en intérêt. Concrètement, il ne se passe rien. On le suit dans sa nouvelle vie quotidienne d'ergothérapeute raté, on a le droit à différents tableaux qui sont une critique de notre société mais ça reste trop en surface pour être intéressant, les quelques bonnes idées étant vite abandonnées. Il n'y a pas vraiment de fil conducteur, pas d'enjeux, pas d'humour, on ne s'attache pas aux personnages, certains surjouent et finissent même pas être agaçants. Le film fait 2h15, pourrait faire 1h30, et en parait 4. J'ai vraiment eu du mal à aller jusqu'au bout, c'est juste le sujet de l'environnement qui m'a fait tenir, mais dans l'ensemble, ce film est un gâchis et une perte de temps.
mardi 16 janvier 2018
Les Heures Sombres
Date de sortie: 3 janvier 2018
De Joe Wright
Avec Gary Oldman, Kristin Scott Thomas, Ben Mendelsohn
Titre original: "Darkest Hour"
Genre: Biopic, Historique
Durée: 2h06
Synopsis:
Homme politique brillant et plein d’esprit, Winston Churchill est un des piliers du Parlement du Royaume-Uni, mais à 65 ans déjà, il est un candidat improbable au poste de Premier Ministre. Il y est cependant nommé d’urgence le 10 mai 1940, après la démission de Neville Chamberlain, et dans un contexte européen dramatique marqué par les défaites successives des Alliés face aux troupes nazies et par l’armée britannique dans l’incapacité d’être évacuée de Dunkerque. Alors que plane la menace d’une invasion du Royaume- Uni par Hitler et que 400 000 soldats britanniques sont piégés à Dunkerque, Churchill découvre que son propre parti complote contre lui et que même son roi, George VI, se montre fort sceptique quant à son aptitude à assurer la lourde tâche qui lui incombe. Churchill doit prendre une décision fatidique : négocier un traité de paix avec l’Allemagne nazie et épargner à ce terrible prix le peuple britannique ou mobiliser le pays et se battre envers et contre tout. Traversant, comme l’Europe entière, ses heures les plus sombres, il est en marche pour changer à jamais le cours de l’Histoire.
Critique "presse": 7,5/10
"Les Heures Sombres" se concentre sur les premières semaines de Winston Churchill comme Premier Ministre. Si le film est assez académique dans sa réalisation, il n'en reste pas moins passionnant. Essentiellement grâce à un Gary Oldman méconnaissable, qui livre ici une performance exceptionnelle.
Ma critique: 6/10
Plus que l'histoire, le film vaut surtout pour la performance incroyable de Gary Oldman qui devrait se voir attribuer l'Oscar le mois prochain. Le film en lui-même m'a un peu déçu. Je m'attendais à ce qu'il retrace les plus grands moments de l'histoire de Churchill pendant la Seconde Guerre Mondiale. Malheureusement, il ne s'intéresse qu'à ses premières semaines au pouvoir. C'est un parti pris intéressant, ça permet de mieux développer une partie de l'Histoire plutôt que de la survoler. J'ai ainsi appris plusieurs choses sur le personnage, notamment sur ses relations houleuses avec son Parti ou ses négociations avec l'Allemagne nazie. Par contre, même problème que pour le film "Dunkirk", les événements historiques de l'opération Dynamo ne sont pas bien retranscrits. Film intéressant, mais qui aurait pu être mieux traité.
De Joe Wright
Avec Gary Oldman, Kristin Scott Thomas, Ben Mendelsohn
Titre original: "Darkest Hour"
Genre: Biopic, Historique
Durée: 2h06
Synopsis:
Homme politique brillant et plein d’esprit, Winston Churchill est un des piliers du Parlement du Royaume-Uni, mais à 65 ans déjà, il est un candidat improbable au poste de Premier Ministre. Il y est cependant nommé d’urgence le 10 mai 1940, après la démission de Neville Chamberlain, et dans un contexte européen dramatique marqué par les défaites successives des Alliés face aux troupes nazies et par l’armée britannique dans l’incapacité d’être évacuée de Dunkerque. Alors que plane la menace d’une invasion du Royaume- Uni par Hitler et que 400 000 soldats britanniques sont piégés à Dunkerque, Churchill découvre que son propre parti complote contre lui et que même son roi, George VI, se montre fort sceptique quant à son aptitude à assurer la lourde tâche qui lui incombe. Churchill doit prendre une décision fatidique : négocier un traité de paix avec l’Allemagne nazie et épargner à ce terrible prix le peuple britannique ou mobiliser le pays et se battre envers et contre tout. Traversant, comme l’Europe entière, ses heures les plus sombres, il est en marche pour changer à jamais le cours de l’Histoire.
Critique "presse": 7,5/10
"Les Heures Sombres" se concentre sur les premières semaines de Winston Churchill comme Premier Ministre. Si le film est assez académique dans sa réalisation, il n'en reste pas moins passionnant. Essentiellement grâce à un Gary Oldman méconnaissable, qui livre ici une performance exceptionnelle.
Ma critique: 6/10
Plus que l'histoire, le film vaut surtout pour la performance incroyable de Gary Oldman qui devrait se voir attribuer l'Oscar le mois prochain. Le film en lui-même m'a un peu déçu. Je m'attendais à ce qu'il retrace les plus grands moments de l'histoire de Churchill pendant la Seconde Guerre Mondiale. Malheureusement, il ne s'intéresse qu'à ses premières semaines au pouvoir. C'est un parti pris intéressant, ça permet de mieux développer une partie de l'Histoire plutôt que de la survoler. J'ai ainsi appris plusieurs choses sur le personnage, notamment sur ses relations houleuses avec son Parti ou ses négociations avec l'Allemagne nazie. Par contre, même problème que pour le film "Dunkirk", les événements historiques de l'opération Dynamo ne sont pas bien retranscrits. Film intéressant, mais qui aurait pu être mieux traité.
lundi 15 janvier 2018
Le Grand Jeu
Date de sortie: 3 janvier 2018
De Aaron Sorkin
Avec Jessica Chastain, Idris Elba
Titre original: "Molly's Game"
Genre: Drame, Biopic
Durée: 2h20
Synopsis:
La prodigieuse histoire vraie d’une jeune femme surdouée devenue la reine d’un gigantesque empire du jeu clandestin à Hollywood !
En 2004, la jeune Molly Bloom débarque à Los Angeles. Simple assistante, elle épaule son patron qui réunit toutes les semaines des joueurs de poker autour de parties clandestines. Virée sans ménagement, elle décide de monter son propre cercle : la mise d’entrée sera de 250 000 $ ! Très vite, les stars hollywoodiennes, les millionnaires et les grands sportifs accourent. Le succès est immédiat et vertigineux...
Critique "presse": 7/10
Pour sa première réalisation, Aaron Sorkin (à qui l'on doit notamment le scénario de "The Social Network") adapte l'histoire vraie de Molly Bloom. On retrouve ici son style: portraits complexes, intensité des dialogues qui donnent du rythme. Mais l'atout numéro un du film est Jessica Chastain, qui incarne une Molly Bloom aussi intelligente que glamour, et qui crève l'écran. Un thriller divertissant, mais un peu trop bavard, sur le monde du poker.
Ma critique: 7/10
Aaron Sorkin, scénariste reconnu, passe pour la première fois derrière la caméra, et s'inspire de l'histoire extraordinaire de Molly Bloom. Pour son premier film, il s'appuie sur un scénario solide, qu'il a lui-même écrit et où l'on retrouve son style: personnages bien écrits, dialogues débités à une allure rapide (parfois un peu trop, j'ai du m'accrocher sur les dialogues techniques du poker) qui donne du rythme à l'ensemble; et sur la performance impeccable de Jessica Chastain (qui après "Miss Sloane", reprend ici un rôle de femme forte, seule contre tous). Quoique un peu trop romancé et gentillet sur la fin, et malgré quelques longueurs, ce "Molly's Game" reste un divertissement de bonne facture.
De Aaron Sorkin
Avec Jessica Chastain, Idris Elba
Titre original: "Molly's Game"
Genre: Drame, Biopic
Durée: 2h20
Synopsis:
La prodigieuse histoire vraie d’une jeune femme surdouée devenue la reine d’un gigantesque empire du jeu clandestin à Hollywood !
En 2004, la jeune Molly Bloom débarque à Los Angeles. Simple assistante, elle épaule son patron qui réunit toutes les semaines des joueurs de poker autour de parties clandestines. Virée sans ménagement, elle décide de monter son propre cercle : la mise d’entrée sera de 250 000 $ ! Très vite, les stars hollywoodiennes, les millionnaires et les grands sportifs accourent. Le succès est immédiat et vertigineux...
Critique "presse": 7/10
Pour sa première réalisation, Aaron Sorkin (à qui l'on doit notamment le scénario de "The Social Network") adapte l'histoire vraie de Molly Bloom. On retrouve ici son style: portraits complexes, intensité des dialogues qui donnent du rythme. Mais l'atout numéro un du film est Jessica Chastain, qui incarne une Molly Bloom aussi intelligente que glamour, et qui crève l'écran. Un thriller divertissant, mais un peu trop bavard, sur le monde du poker.
Ma critique: 7/10
Aaron Sorkin, scénariste reconnu, passe pour la première fois derrière la caméra, et s'inspire de l'histoire extraordinaire de Molly Bloom. Pour son premier film, il s'appuie sur un scénario solide, qu'il a lui-même écrit et où l'on retrouve son style: personnages bien écrits, dialogues débités à une allure rapide (parfois un peu trop, j'ai du m'accrocher sur les dialogues techniques du poker) qui donne du rythme à l'ensemble; et sur la performance impeccable de Jessica Chastain (qui après "Miss Sloane", reprend ici un rôle de femme forte, seule contre tous). Quoique un peu trop romancé et gentillet sur la fin, et malgré quelques longueurs, ce "Molly's Game" reste un divertissement de bonne facture.
mardi 2 janvier 2018
Tops et Flops 2017
Un top/flop à prendre avec des pincettes, n'ayant vu cette année encore que 50 films au cinéma.
Certains films non vus auraient certainement pu rentrer dans ces classements.
TOPS
Patients (1er mars): drôle et touchant. Le meilleur film français de l'année.
La La Land (25 janvier): Oscar du meilleur film pour Faye Dunaway... et moi.
Detroit (11 octobre): Film au sujet d'actualité et huis-clos impressionnant.
Blade Runner 2049 (4 octobre): un blockbuster différent des autres et une claque visuelle.
Au Revoir Là-Haut (25 octobre): belle réalisation, un beau film français à voir cette année.
Wind River (30 août): polar captivant, avec des paysages froids et magnifiques.
Logan (1er mars): si tous les films de super-héros pouvaient prendre exemple sur celui-là...
Jackie (1er février): très beau portrait de femme, superbement interprété par Natalie Portman.
Mais aussi Rock'N'Roll, The Wall, The Girl With All The Gifts, Miss Sloane.
Et dans les films non vus susceptibles d'intégrer les tops: Okja, 120 Battements Par Minute, Jeune Femme, Grave, Get Out, Neruda pour n'en citer que quelques-uns...
FLOPS
Star Wars 8 - Les Derniers Jedi (13 décembre): Disney continue de détruire une saga culte au nom du Dieu dollar. A vomir.
50 Nuances Plus Sombres (8 février): le plus étonnant n'est pas de retrouver cette m... dans le classement mais que je sois allé la voir.
Valérian Et La Cité Des Mille Planètes (26 juillet): Luc Besson fait aussi "bien" que les ricains...
La Planète Des Singes - Suprématie (2 août): les deux premiers étaient inutiles, il fallait bien conclure la trilogie en beauté.
The Mummy (14 juin): un énième blockbuster raté.
Wonder Woman (7 juin): wondernaze!
Alien Covenant (10 mai): Ridley Scott n'a eu besoin de personne pour détruire sa franchise. Mais Disney, en rachetant la Fox, va l'aider à l'enterrer définitivement.
Les Gardiens De La Galaxie 2 (26 avril): totalement pompé sur le premier, mais sans l'effet de surprise. Une déception.
Mais aussi Ghost In The Shell, Thor Ragnarok, Justice League, Fast & Furious 8, Underwold Blood Wars.
Et dans les films (heureusement) non vus susceptibles d'intégrer les flops: les comédies françaises bas de plafond avec Kev Adams, Philippe Lacheau, Christian Clavier, les adaptations de BDs...
Certains films non vus auraient certainement pu rentrer dans ces classements.
TOPS
Patients (1er mars): drôle et touchant. Le meilleur film français de l'année.
La La Land (25 janvier): Oscar du meilleur film pour Faye Dunaway... et moi.
Detroit (11 octobre): Film au sujet d'actualité et huis-clos impressionnant.
Blade Runner 2049 (4 octobre): un blockbuster différent des autres et une claque visuelle.
Au Revoir Là-Haut (25 octobre): belle réalisation, un beau film français à voir cette année.
Wind River (30 août): polar captivant, avec des paysages froids et magnifiques.
Logan (1er mars): si tous les films de super-héros pouvaient prendre exemple sur celui-là...
Jackie (1er février): très beau portrait de femme, superbement interprété par Natalie Portman.
Mais aussi Rock'N'Roll, The Wall, The Girl With All The Gifts, Miss Sloane.
Et dans les films non vus susceptibles d'intégrer les tops: Okja, 120 Battements Par Minute, Jeune Femme, Grave, Get Out, Neruda pour n'en citer que quelques-uns...
FLOPS
Star Wars 8 - Les Derniers Jedi (13 décembre): Disney continue de détruire une saga culte au nom du Dieu dollar. A vomir.
50 Nuances Plus Sombres (8 février): le plus étonnant n'est pas de retrouver cette m... dans le classement mais que je sois allé la voir.
Valérian Et La Cité Des Mille Planètes (26 juillet): Luc Besson fait aussi "bien" que les ricains...
La Planète Des Singes - Suprématie (2 août): les deux premiers étaient inutiles, il fallait bien conclure la trilogie en beauté.
The Mummy (14 juin): un énième blockbuster raté.
Wonder Woman (7 juin): wondernaze!
Alien Covenant (10 mai): Ridley Scott n'a eu besoin de personne pour détruire sa franchise. Mais Disney, en rachetant la Fox, va l'aider à l'enterrer définitivement.
Les Gardiens De La Galaxie 2 (26 avril): totalement pompé sur le premier, mais sans l'effet de surprise. Une déception.
Mais aussi Ghost In The Shell, Thor Ragnarok, Justice League, Fast & Furious 8, Underwold Blood Wars.
Et dans les films (heureusement) non vus susceptibles d'intégrer les flops: les comédies françaises bas de plafond avec Kev Adams, Philippe Lacheau, Christian Clavier, les adaptations de BDs...
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