Date de sortie: 21 juin 2017
De Seth Gordon
Avec Dwayne Johnson, Zac Efron, Alexandra Daddario
Titre original: "Baywatch"
Genre: Comédie, Action
Durée: 1h51
Synopsis:
Le légendaire sauveteur Mitch Buchannon est contraint de s’associer à une nouvelle recrue, Matt Brody, aussi ambitieux que tête brûlée ! Ensemble, ils vont tenter de déjouer un complot criminel qui menace l'avenir de la Baie…
Critique "presse": 3,5/10
La série culte des années 90 est ici revisitée de manière parodique, faisant la part belle à l'humour potache et à l'autodérision des deux acteurs principaux. Les plastiques sont au top, les blagues ras des pâquerettes, tout comme le scénario et la mise en scène.
Ma critique: 5/10
Il ne fallait pas s'attendre à un chef d'oeuvre, mais l'adaptation de "21 Jump Street" ayant été une bonne surprise, j’espérais passer un bon moment. La première partie du film est sympa, bien rythmée, le kitsch est assumé (bien aidé par des effets spéciaux mauvais), les blagues fonctionnent, surtout grâce à la romance naissante de CJ et Ronnie (Kelly Rohrbach/Jon Bass), mais le film finit par s’essouffler au fur et à mesure qu'il se concentre sur le duo The Rock/Efron. La trame scénaristique n'aide pas (une histoire de drogue basique et assez bête), le rythme se perd, les blagues tombent à plat... Ne reste que les maillots de bains pour rattraper le tout.
jeudi 22 juin 2017
mardi 20 juin 2017
La Momie
Date de sortie: 14 juin 2017
De Alex Kurtzman
Avec Tom Cruise, Sofia Boutella, Annabelle Wallis
Titre original: "The Mummy"
Genre: Fantastique, Aventure
Durée: 1h51
Synopsis:
Bien qu’elle ait été consciencieusement enterrée dans un tombeau au fin fond d’un insondable désert, une princesse de l’ancienne Égypte, dont le destin lui a été injustement ravi, revient à la vie et va déverser sur notre monde des siècles de rancœurs accumulées et de terreur dépassant l’entendement humain. Des sables du Moyen Orient aux pavés de Londres en passant par les ténébreux labyrinthes d’antiques tombeaux dérobés, La Momie nous transporte dans un monde à la fois terrifiant et merveilleux, peuplé de monstres et de divinités, dépoussiérant au passage un mythe vieux comme le monde.
Critique "presse": 4,5/10
Le film fait la part belle à l'aventure et à Tom Cruise. Si les scènes d'actions sont spectaculaires (la scène en apesanteur dans un avion qui se crashe vaut le détour), et que Tom Cruise prouve qu'il en a toujours sous la semelle, tout en faisant preuve d'une dose d'auto-dérision inhabituelle; c'est à peu prêt tout ce qu'il y a à retenir du film. Le scénario est creux et pour un remake de film d'épouvante, cette "Momie" est bien triste et peinera à accrocher les spectateurs à leur fauteuil.
Ma critique: 3/10
Universal se lance à son tour dans les franchises en voulant remettre à jour son "bestiaire" (La Momie, Dracula, Dr Jekyll, L'Homme Invisible...), et comme les autres studios avant lui, Universal utilise exactement les mêmes ingrédients pour faire son blockbuster: surenchère d'actions et d'effets spéciaux, bonne dose d'humour, scénario clairement secondaire et surtout aucune prise de position à la réalisation pour que le film puisse plaire au plus grand nombre. Cette "Momie" pourrait être comparé à un "Mission Impossible en Egypte", Tom Cruise fait du Tom Cruise (en essayant de faire des blagues qui tombent à plat), il est accompagné comme souvent d'un acolyte juste là pour faire sourire (Simon Pegg ici remplacé par Jake Johnson, le Nick de "New Girl"), et tous les personnages sont mal écrits (Russell Crowe en Dr Jekyll, c'est tout pourri). A la base, il s'agit d'un film d'épouvante, mais comme la prod' ne pouvait pas risquer une interdiction aux mineurs, on a le droit à un blockbuster surbudgétisé et tout gentil, d'une faiblesse scénaristique ahurissante, les surprises et rebondissements étant totalement absents, contrairement au happy-end totalement ricain bien présent et bien naze. La version des années 2000 avec Brendan Fraser avait au moins le mérite d'être divertissante.
De Alex Kurtzman
Avec Tom Cruise, Sofia Boutella, Annabelle Wallis
Titre original: "The Mummy"
Genre: Fantastique, Aventure
Durée: 1h51
Synopsis:
Bien qu’elle ait été consciencieusement enterrée dans un tombeau au fin fond d’un insondable désert, une princesse de l’ancienne Égypte, dont le destin lui a été injustement ravi, revient à la vie et va déverser sur notre monde des siècles de rancœurs accumulées et de terreur dépassant l’entendement humain. Des sables du Moyen Orient aux pavés de Londres en passant par les ténébreux labyrinthes d’antiques tombeaux dérobés, La Momie nous transporte dans un monde à la fois terrifiant et merveilleux, peuplé de monstres et de divinités, dépoussiérant au passage un mythe vieux comme le monde.
Critique "presse": 4,5/10
Le film fait la part belle à l'aventure et à Tom Cruise. Si les scènes d'actions sont spectaculaires (la scène en apesanteur dans un avion qui se crashe vaut le détour), et que Tom Cruise prouve qu'il en a toujours sous la semelle, tout en faisant preuve d'une dose d'auto-dérision inhabituelle; c'est à peu prêt tout ce qu'il y a à retenir du film. Le scénario est creux et pour un remake de film d'épouvante, cette "Momie" est bien triste et peinera à accrocher les spectateurs à leur fauteuil.
Ma critique: 3/10
Universal se lance à son tour dans les franchises en voulant remettre à jour son "bestiaire" (La Momie, Dracula, Dr Jekyll, L'Homme Invisible...), et comme les autres studios avant lui, Universal utilise exactement les mêmes ingrédients pour faire son blockbuster: surenchère d'actions et d'effets spéciaux, bonne dose d'humour, scénario clairement secondaire et surtout aucune prise de position à la réalisation pour que le film puisse plaire au plus grand nombre. Cette "Momie" pourrait être comparé à un "Mission Impossible en Egypte", Tom Cruise fait du Tom Cruise (en essayant de faire des blagues qui tombent à plat), il est accompagné comme souvent d'un acolyte juste là pour faire sourire (Simon Pegg ici remplacé par Jake Johnson, le Nick de "New Girl"), et tous les personnages sont mal écrits (Russell Crowe en Dr Jekyll, c'est tout pourri). A la base, il s'agit d'un film d'épouvante, mais comme la prod' ne pouvait pas risquer une interdiction aux mineurs, on a le droit à un blockbuster surbudgétisé et tout gentil, d'une faiblesse scénaristique ahurissante, les surprises et rebondissements étant totalement absents, contrairement au happy-end totalement ricain bien présent et bien naze. La version des années 2000 avec Brendan Fraser avait au moins le mérite d'être divertissante.
vendredi 9 juin 2017
The Wall
Date de sortie: 7 juin 2017
De Doug Liman
Avec Aaron Taylor-Johnson, John Cena, Laith Nakli
Avertissement
Genre: Thriller, Guerre
Durée: 1h30
Synopsis:
Deux soldats américains sont la cible d’un tireur d’élite irakien. Seul un pan de mur en ruine les protège encore d’une mort certaine. Au-delà d’une lutte pour la survie, c’est une guerre de volontés qui se joue, faite de tactique, d’intelligence et d’aptitude à atteindre l’ennemi par tous les moyens…
Critique "presse": 6/10
Doug Liman, réalisateur du premier Jason Bourne, revient avec un huit-clos à ciel ouvert efficace et tendu. Dommage que ce thriller en plein désert irakien s'étire en longueur plus qu'il n'avance.
Ma critique: 7/10
Une idée simple, trois acteurs, deux semaines de tournage, comme quoi il n'y a pas besoin de beaucoup pour faire un bon film. Sans prétentions, ce huit-clos en extérieur nous tient en haleine du début à la fin. Alors certes, c'est parfois répétitif, mais les rebondissements sont nombreux, les trouvailles sont bonnes, les acteurs sont crédibles et c'est au final un film de guerre efficace.
De Doug Liman
Avec Aaron Taylor-Johnson, John Cena, Laith Nakli
Avertissement
Genre: Thriller, Guerre
Durée: 1h30
Synopsis:
Deux soldats américains sont la cible d’un tireur d’élite irakien. Seul un pan de mur en ruine les protège encore d’une mort certaine. Au-delà d’une lutte pour la survie, c’est une guerre de volontés qui se joue, faite de tactique, d’intelligence et d’aptitude à atteindre l’ennemi par tous les moyens…
Critique "presse": 6/10
Doug Liman, réalisateur du premier Jason Bourne, revient avec un huit-clos à ciel ouvert efficace et tendu. Dommage que ce thriller en plein désert irakien s'étire en longueur plus qu'il n'avance.
Ma critique: 7/10
Une idée simple, trois acteurs, deux semaines de tournage, comme quoi il n'y a pas besoin de beaucoup pour faire un bon film. Sans prétentions, ce huit-clos en extérieur nous tient en haleine du début à la fin. Alors certes, c'est parfois répétitif, mais les rebondissements sont nombreux, les trouvailles sont bonnes, les acteurs sont crédibles et c'est au final un film de guerre efficace.
jeudi 8 juin 2017
Wonder Woman
Date de sortie: 7 juin 2017
De Patty Jenkins
Avec Gal Gadot, Chris Pine
Genre: Action, Fantastique
Durée: 2h21
Synopsis:
C'était avant qu'elle ne devienne Wonder Woman, à l'époque où elle était encore Diana, princesse des Amazones et combattante invincible.
Un jour, un pilote américain s'écrase sur l'île paradisiaque où elle vit, à l'abri des fracas du monde. Lorsqu'il lui raconte qu'une guerre terrible fait rage à l'autre bout de la planète, Diana quitte son havre de paix, convaincue qu'elle doit enrayer la menace.
En s'alliant aux hommes dans un combat destiné à mettre fin à la guerre, Diana découvrira toute l'étendue de ses pouvoirs… et son véritable destin.
Critique "presse": 6/10
Après les critiqués "Batman Vs Superman" et "Suicide Squad", ce nouveau DC relève un peu le niveau. Divertissant, bourrés de scènes d'actions spectaculaires et avec une bonne dose d'humour, ce "Wonder Woman" remplit bien son cahier de charges, malheureusement devenu le même que Marvel. Seule originalité, le super-héros est une super-héroïne et Gal Gadot est crédible.
Ma critique: 3/10
Posons les bases pour commencer: je frôle l'overdose de films de super-héros, y'en a trop et c'est toujours la même rengaine (gentil découvre pouvoir - "pif-paf-pouf, ahah, boum!" - combat méchant - triomphe à la fin), donc niveau originalité et surprises, ça se rapproche dangereusement du néant.
Ce "Wonder Woman" ne déroge pas à la règle, DC Comics cherchant absolument à se rapprocher de l'univers et des thèmes des films Marvel. Exit donc le côté sombre et les personnages torturés. Le film va chercher du côté de la mythologie (comme "Thor") et l'histoire est incluse dans l'Histoire, ici pendant la Première Guerre Mondiale. Mais si "X-Men First Class" (avec la Guerre Froide) et "Captain America" (avec la 2nde Guerre Mondiale) réussissaient bien ce combo réalité-fiction, il n'en est rien ici. Ajouter un super-héros à une période sombre est une chose, mais y rajouter en plus des divinités, c'est trop. Passé cette lourdeur dérangeante, le scénario est des plus communs, les méchants sont bêtes, méchants car il faut être méchant, et ont un charisme inexistant; la plupart des traits d'humour du film reposent sur la naïveté de Diana qui ne connaît rien au monde réel ("oh, un homme, j'en ai jamais vu, mais c'est quoi entre tes jambes? -Ben ça, c'est ma... montre") et sur ses acolytes, personnages secondaires à peine développés et dont le but premier est de faire rire le spectateur (en temps de guerre, normal...), au final, on sourit deux minutes, mais pas plus. Les effets spéciaux sont dignes de "Man Of Steel" et "Batman Vs Superman" mais en moins bien (bonjour les fonds verts) et les scènes d'actions sont bourrées de ralenti, parfois ça rend bien, mais c'est généralement sans intérêt.
Une pause, on reprend son souffle et on continue: les rebondissements sont quelconques, les décisions des personnages toujours aussi stupides, la moralité du film est amenée de façon tellement cucul que s'en est affligeant ("pourquoi les hommes se battent? C'est mal! Mais heureusement l'amour triomphera!") et le message féministe que le film aurait pu porter avec le premier film de super-héroïne est quasi-inexistant. La presse américaine vantait le film comme le meilleur DC depuis la trilogie "The Dark Knight", je sais pas ce qu'ils ont fumé, le film étant juste mieux que "Suicide Squad" (pas compliqué en même temps...). Des points positifs quand même: le thème principal est cool, le film fait 2h20 mais on se fait pas trop chier, le duo Gal Gadot-Chris Pine. Mais dans son ensemble, c'est un sous Captain America qui déçoit.
De Patty Jenkins
Avec Gal Gadot, Chris Pine
Genre: Action, Fantastique
Durée: 2h21
Synopsis:
C'était avant qu'elle ne devienne Wonder Woman, à l'époque où elle était encore Diana, princesse des Amazones et combattante invincible.
Un jour, un pilote américain s'écrase sur l'île paradisiaque où elle vit, à l'abri des fracas du monde. Lorsqu'il lui raconte qu'une guerre terrible fait rage à l'autre bout de la planète, Diana quitte son havre de paix, convaincue qu'elle doit enrayer la menace.
En s'alliant aux hommes dans un combat destiné à mettre fin à la guerre, Diana découvrira toute l'étendue de ses pouvoirs… et son véritable destin.
Critique "presse": 6/10
Après les critiqués "Batman Vs Superman" et "Suicide Squad", ce nouveau DC relève un peu le niveau. Divertissant, bourrés de scènes d'actions spectaculaires et avec une bonne dose d'humour, ce "Wonder Woman" remplit bien son cahier de charges, malheureusement devenu le même que Marvel. Seule originalité, le super-héros est une super-héroïne et Gal Gadot est crédible.
Ma critique: 3/10
Posons les bases pour commencer: je frôle l'overdose de films de super-héros, y'en a trop et c'est toujours la même rengaine (gentil découvre pouvoir - "pif-paf-pouf, ahah, boum!" - combat méchant - triomphe à la fin), donc niveau originalité et surprises, ça se rapproche dangereusement du néant.
Ce "Wonder Woman" ne déroge pas à la règle, DC Comics cherchant absolument à se rapprocher de l'univers et des thèmes des films Marvel. Exit donc le côté sombre et les personnages torturés. Le film va chercher du côté de la mythologie (comme "Thor") et l'histoire est incluse dans l'Histoire, ici pendant la Première Guerre Mondiale. Mais si "X-Men First Class" (avec la Guerre Froide) et "Captain America" (avec la 2nde Guerre Mondiale) réussissaient bien ce combo réalité-fiction, il n'en est rien ici. Ajouter un super-héros à une période sombre est une chose, mais y rajouter en plus des divinités, c'est trop. Passé cette lourdeur dérangeante, le scénario est des plus communs, les méchants sont bêtes, méchants car il faut être méchant, et ont un charisme inexistant; la plupart des traits d'humour du film reposent sur la naïveté de Diana qui ne connaît rien au monde réel ("oh, un homme, j'en ai jamais vu, mais c'est quoi entre tes jambes? -Ben ça, c'est ma... montre") et sur ses acolytes, personnages secondaires à peine développés et dont le but premier est de faire rire le spectateur (en temps de guerre, normal...), au final, on sourit deux minutes, mais pas plus. Les effets spéciaux sont dignes de "Man Of Steel" et "Batman Vs Superman" mais en moins bien (bonjour les fonds verts) et les scènes d'actions sont bourrées de ralenti, parfois ça rend bien, mais c'est généralement sans intérêt.
Une pause, on reprend son souffle et on continue: les rebondissements sont quelconques, les décisions des personnages toujours aussi stupides, la moralité du film est amenée de façon tellement cucul que s'en est affligeant ("pourquoi les hommes se battent? C'est mal! Mais heureusement l'amour triomphera!") et le message féministe que le film aurait pu porter avec le premier film de super-héroïne est quasi-inexistant. La presse américaine vantait le film comme le meilleur DC depuis la trilogie "The Dark Knight", je sais pas ce qu'ils ont fumé, le film étant juste mieux que "Suicide Squad" (pas compliqué en même temps...). Des points positifs quand même: le thème principal est cool, le film fait 2h20 mais on se fait pas trop chier, le duo Gal Gadot-Chris Pine. Mais dans son ensemble, c'est un sous Captain America qui déçoit.
lundi 5 juin 2017
Pirates Des Caraïbes: La Vengeance De Salazar
Date de sortie: 24 mai 2017
De Joachim Rønning, Espen Sandberg
Avec Johnny Depp, Javier Bardem, Brenton Thwaites, Kaya Scodelario
Titre original: "Pirates of the Caribbean: Dead Men Tell No Tales"
Genre: Aventure, Fantastique
Durée: 2h09
Synopsis:
Les temps sont durs pour le Capitaine Jack, et le destin semble même vouloir s’acharner lorsqu’un redoutable équipage fantôme mené par son vieil ennemi, le terrifiant Capitaine Salazar, s’échappe du Triangle du Diable pour anéantir tous les flibustiers écumant les flots… Sparrow compris ! Le seul espoir de survie du Capitaine Jack est de retrouver le légendaire Trident de Poséidon, qui donne à celui qui le détient tout pouvoir sur les mers et les océans. Mais pour cela, il doit forger une alliance précaire avec Carina Smyth, une astronome aussi belle que brillante, et Henry, un jeune marin de la Royal Navy au caractère bien trempé. À la barre du Dying Gull, un minable petit rafiot, Sparrow va tout entreprendre pour contrer ses revers de fortune, mais aussi sauver sa vie face au plus implacable ennemi qu’il ait jamais eu à affronter…
Critique "presse": 6/10
La recette est éculée, tous les ingrédients de la franchise sont ici repris: loufoqueries de Jack Sparrow, mélange d'action et d'humour, déferlement d'effets spéciaux, c'est divertissant mais mise à part un bon méchant (le Capitaine Salazar interprété par Javier Bardem), rien de nouveau sur les océans.
Ma critique: 6/10
J'ai eu peur dès le début du film que, un peu comme pour le 4, tout tourne autour de Jack Sparrow/Johnny Depp qui en fait des tonnes. Heureusement, le film laisse de la place au méchant et aux deux nouveaux jeunes amoureux. Alors bien sûr, il n'y a aucune surprise, on retrouve tout ce qui a fait le succès de la franchise: gags, actions, explosions, combats, ... mais le film a le mérite d'être divertissant. Certes, c'est peu vu le budget, mais dans le paysage actuel des blockbusters, c'est déjà pas mal.
De Joachim Rønning, Espen Sandberg
Avec Johnny Depp, Javier Bardem, Brenton Thwaites, Kaya Scodelario
Titre original: "Pirates of the Caribbean: Dead Men Tell No Tales"
Genre: Aventure, Fantastique
Durée: 2h09
Synopsis:
Les temps sont durs pour le Capitaine Jack, et le destin semble même vouloir s’acharner lorsqu’un redoutable équipage fantôme mené par son vieil ennemi, le terrifiant Capitaine Salazar, s’échappe du Triangle du Diable pour anéantir tous les flibustiers écumant les flots… Sparrow compris ! Le seul espoir de survie du Capitaine Jack est de retrouver le légendaire Trident de Poséidon, qui donne à celui qui le détient tout pouvoir sur les mers et les océans. Mais pour cela, il doit forger une alliance précaire avec Carina Smyth, une astronome aussi belle que brillante, et Henry, un jeune marin de la Royal Navy au caractère bien trempé. À la barre du Dying Gull, un minable petit rafiot, Sparrow va tout entreprendre pour contrer ses revers de fortune, mais aussi sauver sa vie face au plus implacable ennemi qu’il ait jamais eu à affronter…
Critique "presse": 6/10
La recette est éculée, tous les ingrédients de la franchise sont ici repris: loufoqueries de Jack Sparrow, mélange d'action et d'humour, déferlement d'effets spéciaux, c'est divertissant mais mise à part un bon méchant (le Capitaine Salazar interprété par Javier Bardem), rien de nouveau sur les océans.
Ma critique: 6/10
J'ai eu peur dès le début du film que, un peu comme pour le 4, tout tourne autour de Jack Sparrow/Johnny Depp qui en fait des tonnes. Heureusement, le film laisse de la place au méchant et aux deux nouveaux jeunes amoureux. Alors bien sûr, il n'y a aucune surprise, on retrouve tout ce qui a fait le succès de la franchise: gags, actions, explosions, combats, ... mais le film a le mérite d'être divertissant. Certes, c'est peu vu le budget, mais dans le paysage actuel des blockbusters, c'est déjà pas mal.
Inscription à :
Articles (Atom)