Un Top et Flop qui n'engage que moi et le peu de films que j'ai vu en 2014
TOPs
Les Gardiens De La Galaxie: la surprise et mon film de l'année
Her: Oscar du meilleur scénario 2014 mérité
22 Jump Street: une très bonne comédie US
Gone Girl: le meilleur thriller de l'année malgré une fin tirée par les cheveux
Dans L'Ombre De Mary: émouvant
12 Years A Slave: un bon film à Oscar
Fury: bon film de guerre, porté par une excellente BO
Les Combattants: le meilleur film français que j'ai vu en 2014
FLOPs
Les 3 Frères, le retour: ça fait mal de le dire, mais ils n'auraient pas dû revenir.
The Monuments Men: un gros casting ne fait pas forcément un bon film...
Maléfique: une méchante qu'est en fait gentille: WTF!
Le Soulèvement De La Planète Des Singes: "la ville des singes" peut-être, mais la planète...
Sex Tape: une (très) mauvaise comédie US
Maps To The Stars: le film aurait dû s'appeler "Inceste à Hollywood"
Saint-Laurent: 2h30 de film pour ne rien apprendre sur YSL...
'71: décevant et parfois filmé avec les pieds
dimanche 25 janvier 2015
Les Nouveaux Sauvages
Date de sortie: 14 janvier 2015
Réalisé par Damián Szifron
Avec Ricardo Darín, Oscar Martinez, Leonardo Sbaraglia
Avertissement
Titre original: "Relatos salvajes"
Genre: Thriller, Comédie
Durée: 2h02
Synopsis:
L'inégalité, l'injustice et l'exigence auxquelles nous expose le monde où l'on vit provoquent du stress et des dépressions chez beaucoup de gens. Certains craquent. Les Nouveaux sauvages est un film sur eux. Vulnérables face à une réalité qui soudain change et devient imprévisible, les héros des Nouveaux sauvages franchissent l'étroite frontière qui sépare la civilisation de la barbarie. Une trahison amour, le retour d'un passé refoulé, la violence enfermée dans un détail quotidien, sont autant de prétextes qui les entraînent dans un vertige où ils perdent les pédales et éprouve l'indéniable plaisir du pétage de plombs.
Critique "presse": 7/10
"Les Nouveaux Sauvages" est un film à sketchs à l'humour noir, féroce, où les protagonistes se laissent aller à la barbarie. Si certains sketchs sont hilarants et réjouissants, d'autres sont sans grand intérêt et seulement un peu vulgaires.
Ma critique: 5/10
Un film à sketchs sur le même sujet: plutôt que de gérer des situations difficiles comme des personnes civilisées et de refouler leur instinct de violence, les héros se laissent exploser pour régler leurs problèmes. Le premier sketch (dans l'avion) est bien barré, drôle et surprenant, et c'est tout simplement le meilleur (et de loin). Par la suite, l'effet de surprise s'estompe, et on devine assez vite ce qu'il va se passer. C'est nettement moins drôle, nettement moins recherché aussi, puisqu'il s'agit essentiellement de violence physique exprimée. Aucune véritable recherche en terme de vengeance, que du banal. Dans ce genre, le sketch des automobilistes est pas mal mais les autres sont quelconques. Il vaut mieux voir un sketch à la fois plutôt que tout voir d'un seul coup.
Réalisé par Damián Szifron
Avec Ricardo Darín, Oscar Martinez, Leonardo Sbaraglia
Avertissement
Titre original: "Relatos salvajes"
Genre: Thriller, Comédie
Durée: 2h02
Synopsis:
L'inégalité, l'injustice et l'exigence auxquelles nous expose le monde où l'on vit provoquent du stress et des dépressions chez beaucoup de gens. Certains craquent. Les Nouveaux sauvages est un film sur eux. Vulnérables face à une réalité qui soudain change et devient imprévisible, les héros des Nouveaux sauvages franchissent l'étroite frontière qui sépare la civilisation de la barbarie. Une trahison amour, le retour d'un passé refoulé, la violence enfermée dans un détail quotidien, sont autant de prétextes qui les entraînent dans un vertige où ils perdent les pédales et éprouve l'indéniable plaisir du pétage de plombs.
Critique "presse": 7/10
"Les Nouveaux Sauvages" est un film à sketchs à l'humour noir, féroce, où les protagonistes se laissent aller à la barbarie. Si certains sketchs sont hilarants et réjouissants, d'autres sont sans grand intérêt et seulement un peu vulgaires.
Ma critique: 5/10
Un film à sketchs sur le même sujet: plutôt que de gérer des situations difficiles comme des personnes civilisées et de refouler leur instinct de violence, les héros se laissent exploser pour régler leurs problèmes. Le premier sketch (dans l'avion) est bien barré, drôle et surprenant, et c'est tout simplement le meilleur (et de loin). Par la suite, l'effet de surprise s'estompe, et on devine assez vite ce qu'il va se passer. C'est nettement moins drôle, nettement moins recherché aussi, puisqu'il s'agit essentiellement de violence physique exprimée. Aucune véritable recherche en terme de vengeance, que du banal. Dans ce genre, le sketch des automobilistes est pas mal mais les autres sont quelconques. Il vaut mieux voir un sketch à la fois plutôt que tout voir d'un seul coup.
A Most Violent Year
Date de sortie: 31 décembre 2014
Réalisé par J. C. Chandor
Avec Oscar Isaac, Jessica Chastain, Albert Brooks
Genre: Drame, Thriller
Durée: 2h05
Synopsis:
New York - 1981. L'année la plus violente qu'ait connu la ville. Le destin d'un immigré qui tente de se faire une place dans le business du pétrole. Son ambition se heurte à la corruption, la violence galopante et à la dépravation de l'époque qui menacent de détruire tout ce que lui et sa famille ont construit.
Critique "presse": 8/10
Pour son troisième film (après "Margin Call" et "All Is Lost"), J.C. Chandor nous livre un polar captivant, à la mise en scène maîtrisée, et où se mêlent capitalisme et criminalité. Et même si le film prend son temps, il nous tient en haleine jusqu'à son dénouement, et ce malgré quelques longueurs.
Ma critique: 6/10
Le film est bien loin du film de gangsters auquel je m'attendais un peu, mais c'est bien, ça change de ce que l'on voit habituellement. Le film avance à un rythme assez lent, mais l'histoire est tout de même intéressante, la mise en scène sobre mais efficace et les acteurs sont bons. Cela dit, il y a quand même quelques faiblesses au niveau du scénario, et il faut attendre le dernier tiers du film pour que le film décolle enfin.
Réalisé par J. C. Chandor
Avec Oscar Isaac, Jessica Chastain, Albert Brooks
Genre: Drame, Thriller
Durée: 2h05
Synopsis:
New York - 1981. L'année la plus violente qu'ait connu la ville. Le destin d'un immigré qui tente de se faire une place dans le business du pétrole. Son ambition se heurte à la corruption, la violence galopante et à la dépravation de l'époque qui menacent de détruire tout ce que lui et sa famille ont construit.
Critique "presse": 8/10
Pour son troisième film (après "Margin Call" et "All Is Lost"), J.C. Chandor nous livre un polar captivant, à la mise en scène maîtrisée, et où se mêlent capitalisme et criminalité. Et même si le film prend son temps, il nous tient en haleine jusqu'à son dénouement, et ce malgré quelques longueurs.
Ma critique: 6/10
Le film est bien loin du film de gangsters auquel je m'attendais un peu, mais c'est bien, ça change de ce que l'on voit habituellement. Le film avance à un rythme assez lent, mais l'histoire est tout de même intéressante, la mise en scène sobre mais efficace et les acteurs sont bons. Cela dit, il y a quand même quelques faiblesses au niveau du scénario, et il faut attendre le dernier tiers du film pour que le film décolle enfin.
Cold In July
Date de sortie: 31 décembre 2014
Réalisé par Jim Mickle
Avec Michael C. Hall, Don Johnson, Sam Shepard
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Drame, Thriller
Durée: 1h49
Synopsis:
1989. Texas. Par une douce nuit, Richard Dane abat un homme qui vient de pénétrer dans sa maison. Alors qu’il est considéré comme un héros par les habitants de sa petite ville, il est malgré lui entraîné dans un monde de corruption et de violence.
Critique "presse": 6,5/10
Inspiré du roman "Juillet de sang" de Joe R. Lansdale, "Cold In July" ressemble à un polar de série B sanglant tout droit sorti des 80's. Un film violent, glaçant, à l'humour noir qui, hélas, vire au grand n'importe quoi dans sa dernière partie.
Ma critique: 5/10
Dans la première partie du film, Richard Dane abat un homme qui a pénétré dans sa maison. Le père du voleur, cherche à se venger, et commence à faire peur à Dane et à sa famille, alors placés sous protection policière... Jusque là, tout va bien: un homme normal face à un criminel, l'histoire se tient, le suspense est présent, ça promet un beau face à face. Problème, à la moitié du film, le criminel est arrêté par la police. Commence alors un second film (attention spoiler) le voleur tué n'est en fait pas le fils du criminel. Dane passe alors d'un monsieur tout-le-monde à un mec qui veut absolument connaître la vérité. Je n'en dis pas plus pour ne pas révéler la totalité du film, mais cette deuxième partie est rocambolesque, invraisemblable, et s'essouffle rapidement. Un film moyen.
Réalisé par Jim Mickle
Avec Michael C. Hall, Don Johnson, Sam Shepard
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Drame, Thriller
Durée: 1h49
Synopsis:
1989. Texas. Par une douce nuit, Richard Dane abat un homme qui vient de pénétrer dans sa maison. Alors qu’il est considéré comme un héros par les habitants de sa petite ville, il est malgré lui entraîné dans un monde de corruption et de violence.
Critique "presse": 6,5/10
Inspiré du roman "Juillet de sang" de Joe R. Lansdale, "Cold In July" ressemble à un polar de série B sanglant tout droit sorti des 80's. Un film violent, glaçant, à l'humour noir qui, hélas, vire au grand n'importe quoi dans sa dernière partie.
Ma critique: 5/10
Dans la première partie du film, Richard Dane abat un homme qui a pénétré dans sa maison. Le père du voleur, cherche à se venger, et commence à faire peur à Dane et à sa famille, alors placés sous protection policière... Jusque là, tout va bien: un homme normal face à un criminel, l'histoire se tient, le suspense est présent, ça promet un beau face à face. Problème, à la moitié du film, le criminel est arrêté par la police. Commence alors un second film (attention spoiler) le voleur tué n'est en fait pas le fils du criminel. Dane passe alors d'un monsieur tout-le-monde à un mec qui veut absolument connaître la vérité. Je n'en dis pas plus pour ne pas révéler la totalité du film, mais cette deuxième partie est rocambolesque, invraisemblable, et s'essouffle rapidement. Un film moyen.
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