Date de sortie: 26 octobre 2016
De John Carney
Avec Ferdia Walsh-Peelo, Lucy Boynton, Jack Reynor
Genre: Comédie dramatique, Musical
Durée: 1h46
Synopsis:
Dublin, années 80. La pop, le rock, le métal, la new wave passent en boucle sur les lecteurs K7, vibrent dans les écouteurs des walkmans et le rendez-vous hebdomadaire devant « Top of the Pops » est incontournable.
Conor, un lycéen dont les parents sont au bord du divorce, est obligé à contrecœur de rejoindre les bancs de l’école publique dont les règles d’éducation diffèrent de celles de l’école privée qu’il avait l’habitude de fréquenter. Il se retrouve au milieu d’élèves turbulents qui le malmènent et de professeurs exigeants qui lui font rapidement comprendre qu'en tant que petit nouveau, il va devoir filer doux. Afin de s’échapper de cet univers violent, il n’a qu’un objectif : impressionner la plus jolie fille du quartier, la mystérieuse Raphina. Il décide alors de monter un groupe et de se lancer dans la musique, univers dans lequel il ne connait rien ni personne, à part les vinyles de sa chambre d’adolescent. Afin de la conquérir, il lui propose de jouer dans son futur clip.
Critique "presse": 7,5/10
Sur fond de crise économique dans l'Irlande des 80's, "Sing Street" est une comédie sociale/musicale énergique, combinant humour et émotion. Sur une bande-son réjouissante qui ravira les nostalgiques (et les autres), le film est un récit initiatique sur la construction de soi, et mélange réalisme et vision romantique (faisant parfois trop dans le bon sentiment). Jubilatoire.
Ma critique: 8/10
Ayant entendu beaucoup de bien du film, je me suis laissé tenter. J'ai bien fait. A la fois teen-movie, comédie dramatico-socialo-musicale, "Sing Street" s'appuie sur une histoire simple: un ado veut impressionner une jolie fille et va monter son groupe de rock. Fort d'une bande-son géniale, de costumes qui valent le détour, d'une bonne dose d'humour et d'émotions, le rythme du film ne faiblit jamais. Dommage que le film face autant dans le bon sentiment où tout le monde il est beau et où tout finit bien, mais à part ça, le film file la pêche et je suis sorti de la séance avec la banane, en pensant que la musique, c'était quand même bien mieux avant. J'ai aussi découvert Lucy Boynton, et suis tombé amoureux.
lundi 28 novembre 2016
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