Date de sortie: 14 novembre 2012
Réalisé par Bill Condon
Avec Kristen Stewart, Robert Pattinson, Taylor Lautner
Genre: Fantastique, Romance
Durée: 1h55
Synopsis:
Après la naissance de sa fille Renesmée, Bella s’adapte peu à peu à sa nouvelle vie de vampire avec le soutien d’Edward. Se sentant menacés par cette naissance d’un nouveau genre, les Volturi déclarent la guerre à la famille Cullen. Pour préparer leur défense, les Cullen vont parcourir le monde pour rassembler les familles de vampires alliées et tenter de repousser les Volturi lors d’un ultime affrontement.
Critique "presse": 6/10
Au vu des précédents volets, on pouvait s'attendre au pire, mais le réalisateur s'en sort plutôt bien, grâce à quelques libertés prises par rapport au livre, notamment la bataille de la fin (qui n'existe pas dans le livre). Mais si la dernière partie du film relève l'ensemble, les deux premiers tiers (joli formule :-) du film sont sans rythme et toujours mièvre.
Ma critique: 6/10
"Snif, snif, c'est fini..." voilà ce que je dirais si j'étais une ado boutonneuse, mais aux dernières nouvelles, ce n'est pas le cas. Alors, je ne vais pas dire "ouf, enfin fini", j'en ai juste pas grand chose à faire. La saga avait bien commencé (le 1er film était le meilleur), et elle se termine pas trop mal grâce à une scène de combat final loin d'être ridicule (même s'il n'y a pas une seule goutte de sang). Scène assez surprenante vu qu'elle n'existe pas dans le livre!!! Mais entre le début et la fin, il y a tout le reste... Toujours sans intérêt, mal joué, avec des effets spéciaux pourris, un maquillage affreux, ou alors ce sont simplement les acteurs qui ont des sales gueules (quasiment tous les seconds rôles sont ridicules) et une histoire des plus quelconques. Je m'arrête là, sinon, ça va passer pour de l'acharnement. Pour rester correct et résumer, ça se suit sans plus, le combat vaut le détour, mais c'est tout. Ah si, le générique de début est très bien, comparé à celui de fin, juste hilarant façon soap.
mercredi 28 novembre 2012
End Of Watch
Date de sortie: 14 novembre 2012
Réalisé par David Ayer
Avec Jake Gyllenhaal, Michael Peña, America Ferrera
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Drame, Thriller
Durée: 1h48
Synopsis:
Chaque jour, Brian Taylor et Mike Zavala, jeunes officiers de police, patrouillent dans les rues les plus dangereuses de Los Angeles. À travers les images filmées sur le vif, on découvre leur quotidien sous un angle jamais vu. Du danger partagé qui forge la fraternité à la peur et aux montées d’adrénaline, c’est une fascinante plongée au cœur de leur vie et d’un quartier, une histoire puissante sur l’amitié, la famille, l’honneur et le courage.
Critique "presse": 7/10
David Ayer a tourné son film en "found footage", nous suivons donc deux flics du LAPD au plus près de l'action. Entre polar nerveux et buddy cop movie, émotion et action, le tout avec une tension omniprésente, le réalisateur nous livre un film réaliste, porté par deux très bons acteurs. Dommage que le tout réuni donne un peu dans le too much...
Ma critique: 6/10
Le parti pris du "found footage" n'était pas forcément une bonne idée, car comme souvent avec ce choix, il est difficile à justifier tout au long du film. Alors oui, c'est réaliste, mais à ce moment là, les quelques scènes tournées de façon "normale" font tâche. Pour le reste, c'est un film qui se regarde bien, même s'il n'y a pas forcément de scénario. On se contente de suivre ces deux flics dans leur vie de tous les jours: alors, quand ils sont au taf, c'est très intéressant, mais leur vie à côté n'a pas spécialement d'intérêt. Au contraire de l'histoire simplette, et des dialogues des gangsters "F***, what the f***, f***ing f***", les deux comédiens sont très bons. Dans la même veine, quoique que romancé, je conseille plutôt la série "The Shield" .
Réalisé par David Ayer
Avec Jake Gyllenhaal, Michael Peña, America Ferrera
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Drame, Thriller
Durée: 1h48
Synopsis:
Chaque jour, Brian Taylor et Mike Zavala, jeunes officiers de police, patrouillent dans les rues les plus dangereuses de Los Angeles. À travers les images filmées sur le vif, on découvre leur quotidien sous un angle jamais vu. Du danger partagé qui forge la fraternité à la peur et aux montées d’adrénaline, c’est une fascinante plongée au cœur de leur vie et d’un quartier, une histoire puissante sur l’amitié, la famille, l’honneur et le courage.
Critique "presse": 7/10
David Ayer a tourné son film en "found footage", nous suivons donc deux flics du LAPD au plus près de l'action. Entre polar nerveux et buddy cop movie, émotion et action, le tout avec une tension omniprésente, le réalisateur nous livre un film réaliste, porté par deux très bons acteurs. Dommage que le tout réuni donne un peu dans le too much...
Ma critique: 6/10
Le parti pris du "found footage" n'était pas forcément une bonne idée, car comme souvent avec ce choix, il est difficile à justifier tout au long du film. Alors oui, c'est réaliste, mais à ce moment là, les quelques scènes tournées de façon "normale" font tâche. Pour le reste, c'est un film qui se regarde bien, même s'il n'y a pas forcément de scénario. On se contente de suivre ces deux flics dans leur vie de tous les jours: alors, quand ils sont au taf, c'est très intéressant, mais leur vie à côté n'a pas spécialement d'intérêt. Au contraire de l'histoire simplette, et des dialogues des gangsters "F***, what the f***, f***ing f***", les deux comédiens sont très bons. Dans la même veine, quoique que romancé, je conseille plutôt la série "The Shield" .
mercredi 14 novembre 2012
Looper
Date de sortie: 31 octobre 2012
Réalisé par Rian Johnson
Avec Bruce Willis, Joseph Gordon-Levitt, Emily Blunt
Avertissement
Genre: Science fiction , Action
Durée: 1h50
Synopsis:
Dans un futur proche, la Mafia a mis au point un système infaillible pour faire disparaître tous les témoins gênants. Elle expédie ses victimes dans le passé, à notre époque, où des tueurs d’un genre nouveau (les "Loopers") les éliminent. Un jour, l’un d’entre eux, Joe, découvre que la victime qu’il doit exécuter n’est autre que… lui-même, avec 20 ans de plus. La machine si bien huilée déraille…
Critique "presse": 8/10
Un thriller d'anticipation efficace signé d'un jeune réalisateur à suivre. Rian Johnson nous livre un film entre la SF et le polar, le tout parfaitement orchestré. L'essentiel de l'intrigue tourne autour du paradoxe temporel, la mise en scène est brillamment maîtrisée, l'interprétation des comédiens convaincante pour un résultat bluffant et un film captivant, le tout sans faire dans la surenchère d'effets-spéciaux. Le renouveau du film SF est peut-être là.
Ma critique: 7/10
Je n'attendais rien de ce film, ce sont les bonnes critiques presse qui m'ont poussé à aller le voir. Comme quoi nous ne sommes pas toujours en désaccord, le film est une bonne surprise. Dès le début, j'ai oublié tous mes préjugés, l'intrigue est convaincante, bien exploitée, et la scène avec le vieux Paul Dano (je me comprends) m'a foutu une claque. Je salivais pour la suite, surtout que Bruce Willis n'était pas encore apparu. La suite du film est, bien qu'intéressante, moins bonne. Quelques scènes sont longues et sans trop d'intérêts, et on finit par se demander ou le réalisateur veut nous emmener, au risque de décrocher. Jusqu'au dénouement, captivant et inattendu. Un film au scénario bien écrit pour une vraie bonne surprise de cette année.
Réalisé par Rian Johnson
Avec Bruce Willis, Joseph Gordon-Levitt, Emily Blunt
Avertissement
Genre: Science fiction , Action
Durée: 1h50
Synopsis:
Dans un futur proche, la Mafia a mis au point un système infaillible pour faire disparaître tous les témoins gênants. Elle expédie ses victimes dans le passé, à notre époque, où des tueurs d’un genre nouveau (les "Loopers") les éliminent. Un jour, l’un d’entre eux, Joe, découvre que la victime qu’il doit exécuter n’est autre que… lui-même, avec 20 ans de plus. La machine si bien huilée déraille…
Critique "presse": 8/10
Un thriller d'anticipation efficace signé d'un jeune réalisateur à suivre. Rian Johnson nous livre un film entre la SF et le polar, le tout parfaitement orchestré. L'essentiel de l'intrigue tourne autour du paradoxe temporel, la mise en scène est brillamment maîtrisée, l'interprétation des comédiens convaincante pour un résultat bluffant et un film captivant, le tout sans faire dans la surenchère d'effets-spéciaux. Le renouveau du film SF est peut-être là.
Ma critique: 7/10
Je n'attendais rien de ce film, ce sont les bonnes critiques presse qui m'ont poussé à aller le voir. Comme quoi nous ne sommes pas toujours en désaccord, le film est une bonne surprise. Dès le début, j'ai oublié tous mes préjugés, l'intrigue est convaincante, bien exploitée, et la scène avec le vieux Paul Dano (je me comprends) m'a foutu une claque. Je salivais pour la suite, surtout que Bruce Willis n'était pas encore apparu. La suite du film est, bien qu'intéressante, moins bonne. Quelques scènes sont longues et sans trop d'intérêts, et on finit par se demander ou le réalisateur veut nous emmener, au risque de décrocher. Jusqu'au dénouement, captivant et inattendu. Un film au scénario bien écrit pour une vraie bonne surprise de cette année.
Argo
Date de sortie: 7 novembre 2012
Réalisé par Ben Affleck
Avec Ben Affleck, Bryan Cranston, John Goodman
Genre: Thriller, Drame
Durée: 1h59
Synopsis:
Le 4 novembre 1979, au summum de la révolution iranienne, des militants envahissent l’ambassade américaine de Téhéran, et prennent 52 Américains en otage. Mais au milieu du chaos, six Américains réussissent à s’échapper et à se réfugier au domicile de l’ambassadeur canadien. Sachant qu’ils seront inévitablement découverts et probablement tués, un spécialiste de "l’exfiltration" de la CIA du nom de Tony Mendez monte un plan risqué visant à les faire sortir du pays. Un plan si incroyable qu’il ne pourrait exister qu’au cinéma.
Critique "presse": 7,5/10
Pour exfiltrer six américains d'Iran, la CIA imagine un plan incroyable. Monter un faux film de science-fiction en Iran, faire passer les six américains pour des membres de l'équipe de tournage en repérages, le tout avec des passeports canadiens. Le nom de ce faux-film? "Argo". Ben Affleck, toujours meilleur réalisateur qu'acteur, nous montre cette aventure improbable. Et il nous livre au final un excellent thriller d'espionnage, à la mise en scène maîtrisée, et brillamment interprété. Plutôt que de faire dans la surenchère d'action, il s'intéresse aux relations entre personnages et fait monter le suspense pour nous captiver du début à la fin. Le problème, c'est que Ben Affleck, et même si la reconstitution historique de l'époque est parfaite, ne s'est intéressé qu'à cette mission, en oubliant (hormis dans la scène d'ouverture) tout le contexte géopolitique de l'époque.
Ma critique: 7/10
Ben Affleck est décidément un très bon réalisateur, et après l'enquête policière et le film de gangsters autour de Boston, il s'intéresse à l'espionnage et nous livre "une histoire vraie" (encore une) en Iran. Son film est bien rythmé, et même si l'on connaît le dénouement de cette histoire, il arrive à installer un bon suspense qui va crescendo. Sur le film en lui-même, rien à y redire donc: bonne mise en scène, bonne interprétation, sujet très intéressant. Mais en poussant un peu et en regardant plus loin que le film, j'ai regretté que tous les événements historiques soient mis de côté. Qu'est-ce qui a amené les Iraniens à prendre tous ces américains en otages? La scène d'ouverture nous le dit, mais c'est juste pour nous mettre dans le contexte, après il y a juste une ou deux phrases des dialogues qui y font allusion. Et le problème, c'est que le film peut passer pour de la propagande pro-américaine: les américains se donnent vraiment le bon rôle, on est les gentils, super-intelligents, super forts et les iraniens sont les méchants dans l'histoire. Mes connaissances sur le sujet sont inexistantes, et j'aurais aimé en apprendre plus, mais le traitement du film est très léger et ne s'intéresse qu'à cette exfiltration. Un bon film, mais le moins bon des Ben Affleck pour le moment.
Réalisé par Ben Affleck
Avec Ben Affleck, Bryan Cranston, John Goodman
Genre: Thriller, Drame
Durée: 1h59
Synopsis:
Le 4 novembre 1979, au summum de la révolution iranienne, des militants envahissent l’ambassade américaine de Téhéran, et prennent 52 Américains en otage. Mais au milieu du chaos, six Américains réussissent à s’échapper et à se réfugier au domicile de l’ambassadeur canadien. Sachant qu’ils seront inévitablement découverts et probablement tués, un spécialiste de "l’exfiltration" de la CIA du nom de Tony Mendez monte un plan risqué visant à les faire sortir du pays. Un plan si incroyable qu’il ne pourrait exister qu’au cinéma.
Critique "presse": 7,5/10
Pour exfiltrer six américains d'Iran, la CIA imagine un plan incroyable. Monter un faux film de science-fiction en Iran, faire passer les six américains pour des membres de l'équipe de tournage en repérages, le tout avec des passeports canadiens. Le nom de ce faux-film? "Argo". Ben Affleck, toujours meilleur réalisateur qu'acteur, nous montre cette aventure improbable. Et il nous livre au final un excellent thriller d'espionnage, à la mise en scène maîtrisée, et brillamment interprété. Plutôt que de faire dans la surenchère d'action, il s'intéresse aux relations entre personnages et fait monter le suspense pour nous captiver du début à la fin. Le problème, c'est que Ben Affleck, et même si la reconstitution historique de l'époque est parfaite, ne s'est intéressé qu'à cette mission, en oubliant (hormis dans la scène d'ouverture) tout le contexte géopolitique de l'époque.
Ma critique: 7/10
Ben Affleck est décidément un très bon réalisateur, et après l'enquête policière et le film de gangsters autour de Boston, il s'intéresse à l'espionnage et nous livre "une histoire vraie" (encore une) en Iran. Son film est bien rythmé, et même si l'on connaît le dénouement de cette histoire, il arrive à installer un bon suspense qui va crescendo. Sur le film en lui-même, rien à y redire donc: bonne mise en scène, bonne interprétation, sujet très intéressant. Mais en poussant un peu et en regardant plus loin que le film, j'ai regretté que tous les événements historiques soient mis de côté. Qu'est-ce qui a amené les Iraniens à prendre tous ces américains en otages? La scène d'ouverture nous le dit, mais c'est juste pour nous mettre dans le contexte, après il y a juste une ou deux phrases des dialogues qui y font allusion. Et le problème, c'est que le film peut passer pour de la propagande pro-américaine: les américains se donnent vraiment le bon rôle, on est les gentils, super-intelligents, super forts et les iraniens sont les méchants dans l'histoire. Mes connaissances sur le sujet sont inexistantes, et j'aurais aimé en apprendre plus, mais le traitement du film est très léger et ne s'intéresse qu'à cette exfiltration. Un bon film, mais le moins bon des Ben Affleck pour le moment.
Skyfall
Date de sortie: 26 octobre 2012
Réalisé par Sam Mendes
Avec Daniel Craig, Judi Dench, Javier Bardem
Genre: Action , Espionnage , Thriller
Durée: 2h23
Synopsis:
Lorsque la dernière mission de Bond tourne mal, plusieurs agents infiltrés se retrouvent exposés dans le monde entier. Le MI6 est attaqué, et M est obligée de relocaliser l’Agence. Ces événements ébranlent son autorité, et elle est remise en cause par Mallory, le nouveau président de l’ISC, le comité chargé du renseignement et de la sécurité. Le MI6 est à présent sous le coup d’une double menace, intérieure et extérieure. Il ne reste à M qu’un seul allié de confiance vers qui se tourner : Bond. Plus que jamais, 007 va devoir agir dans l’ombre. Avec l’aide d’Eve, un agent de terrain, il se lance sur la piste du mystérieux Silva, dont il doit identifier coûte que coûte l’objectif secret et mortel…
Critique "presse": 8/10
Pour les 50 ans de James Bond, Sam Mendes livre un film d'excellente facture, avec des nombreuses références bondiennes, tout en réussissant à intégrer les nouveaux codes cinématographiques des films d'action. Du grand spectacle, un vrai et bon méchant en la personne de Javier Bardem, et une dose d'humour qui manquait cruellement aux deux précédents volets. Mais ce qui fait de ce film un James Bond différent, c'est de se pencher du côté des problèmes freudiens de l'enfance de 007, pas forcément une bonne idée...
Ma critique: 7/10
Un bon réal', un scénario plus poussé que pour "Quantum Of Solace", mais pour moi, ce renouveau de James Bond n'est pas un James Bond. Daniel Craig n'a vraiment pas le flegme britannique, les gadgets, mise à part la voiture, ont disparu, la James Bond Girl n'apparaît pas longtemps (personnellement, c'est une bonne chose). Le méchant est un vrai méchant, mais il apparaît un peu tard. Au final, c'est un bon film d'action, les scènes sont spectaculaires, le rythme est très bon, mais ce n'est plus que ça, un film d'action, pas un James Bond. La dernière partie du film qui s'attache à l'enfance de 007 est sans grand intérêt, mais le plus gênant, c'est la gestion de l'espace-temps. Car les films avec Daniel Craig sont en fait un préquel de toute la série des James Bond. Un peu comme pour "Star Wars", les derniers épisodes tournés se passent avant les premiers (tout le monde me suit?) . Le problème, c'est que plusieurs erreurs sur ce problème de chronologie des événements m'ont, en tant que fan de la série, pas mal dérangé.
Réalisé par Sam Mendes
Avec Daniel Craig, Judi Dench, Javier Bardem
Genre: Action , Espionnage , Thriller
Durée: 2h23
Synopsis:
Lorsque la dernière mission de Bond tourne mal, plusieurs agents infiltrés se retrouvent exposés dans le monde entier. Le MI6 est attaqué, et M est obligée de relocaliser l’Agence. Ces événements ébranlent son autorité, et elle est remise en cause par Mallory, le nouveau président de l’ISC, le comité chargé du renseignement et de la sécurité. Le MI6 est à présent sous le coup d’une double menace, intérieure et extérieure. Il ne reste à M qu’un seul allié de confiance vers qui se tourner : Bond. Plus que jamais, 007 va devoir agir dans l’ombre. Avec l’aide d’Eve, un agent de terrain, il se lance sur la piste du mystérieux Silva, dont il doit identifier coûte que coûte l’objectif secret et mortel…
Critique "presse": 8/10
Pour les 50 ans de James Bond, Sam Mendes livre un film d'excellente facture, avec des nombreuses références bondiennes, tout en réussissant à intégrer les nouveaux codes cinématographiques des films d'action. Du grand spectacle, un vrai et bon méchant en la personne de Javier Bardem, et une dose d'humour qui manquait cruellement aux deux précédents volets. Mais ce qui fait de ce film un James Bond différent, c'est de se pencher du côté des problèmes freudiens de l'enfance de 007, pas forcément une bonne idée...
Ma critique: 7/10
Un bon réal', un scénario plus poussé que pour "Quantum Of Solace", mais pour moi, ce renouveau de James Bond n'est pas un James Bond. Daniel Craig n'a vraiment pas le flegme britannique, les gadgets, mise à part la voiture, ont disparu, la James Bond Girl n'apparaît pas longtemps (personnellement, c'est une bonne chose). Le méchant est un vrai méchant, mais il apparaît un peu tard. Au final, c'est un bon film d'action, les scènes sont spectaculaires, le rythme est très bon, mais ce n'est plus que ça, un film d'action, pas un James Bond. La dernière partie du film qui s'attache à l'enfance de 007 est sans grand intérêt, mais le plus gênant, c'est la gestion de l'espace-temps. Car les films avec Daniel Craig sont en fait un préquel de toute la série des James Bond. Un peu comme pour "Star Wars", les derniers épisodes tournés se passent avant les premiers (tout le monde me suit?) . Le problème, c'est que plusieurs erreurs sur ce problème de chronologie des événements m'ont, en tant que fan de la série, pas mal dérangé.
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