Date de sortie: 9 mai 2012
Réalisé par Tim Burton
Avec Johnny Depp, Michelle Pfeiffer, Helena Bonham Carter
Genre: Comédie, Fantastique
Durée: 1h52
Synopsis:
En 1752, Joshua et Naomi Collins quittent Liverpool, en Angleterre, pour prendre la mer avec leur jeune fils Barnabas, et commencer une nouvelle vie en Amérique. Vingt années passent et Barnabas a le monde à ses pieds, ou du moins la ville de Collinsport, dans le Maine. Riche et puissant, c’est un séducteur invétéré… jusqu’à ce qu’il commette la grave erreur de briser le cœur d’Angelique Bouchard. C’est une sorcière, dans tous les sens du terme, qui lui jette un sort bien plus maléfique que la mort : celui d’être transformé en vampire et enterré vivant.
Deux siècles plus tard, Barnabas est libéré de sa tombe par inadvertance et débarque en 1972 dans un monde totalement transformé…
Critique "presse": 7,5/10
Du pur Burton: obsessions gothiques, humour mordant, décors estéthiques pour un divertissement qui oscille entre comédie et film d'horreur. La mise en scène de Burton est superbe et les effets visuels saisissants. Le charme agit pendant une bonne partie du film, mais s'essoufle sur la fin, notamment à cause d'un scénario sommaire.
Ma critique: 6/10
Confronté deux époques (un vampire du 18ème siècle aux 70's) est généralement une recette qui fonctionne, mais on n'a pas besoin de s'appeler Tim Burton pour ça. Le film est drôle dans son ensemble, on retrouve de bonnes idées, la plupart des personnages sont excellents, quoique moyennement exploités, et les décors sont géniaux. Mais à côté de ça, l'histoire est simplette, et les vingt dernières minutes ruinent tout. On a droit à de la surenchère de pseudo-rebondissements qui débarquent de nulle part et qui n'amènent absolument rien à l'histoire. Je trouvais que ce n'était pas le meilleur de Burton avant d'avoir vu le dénouement, mais après l'avoir vu, je confirme, il n'est pas à ranger parmi les meilleurs de Burton.
lundi 14 mai 2012
Margin Call
Date de sortie: 2 mai 2012
Réalisé par J. C. Chandor
Avec Kevin Spacey, Paul Bettany, Jeremy Irons
Genre: Drame, Thriller financier
Durée: 1h47
Synopsis:
Pour survivre à Wall Street, sois le premier, le meilleur ou triche. La dernière nuit d’une équipe de traders, avant le crash. Pour sauver leur peau, un seul moyen : ruiner les autres…
Critique "presse": 8/10
"Margin Call" nous plonge dans le monde impitoyable de Wall Street, la nuit juste avant la crise économique de 2008. J.C. Chandor, pour son premier film, livre un passionnant thriller financier en huit-clos, grâce à un scénario particulièrement bien ficelé et à un casting impressionnant.
Ma critique: 5/10
Le film nous décrit bien le monde impitoyable de la finance, entre licenciements multiples et requins prêts à tout écraser pour survivre. La mise en scène est efficace et l'on sent bien que les enjeux économiques vont tout changer après cette nuit de 2008. Malgré tout, je ne suis jamais totalement rentré dans le film, certainement à cause de ce monde qui m'échappe (la haute finance, je suis pas vraiment calé). Pourtant, le réal' prend son temps pour bien tout nous expliquer, mais même avec ça, j'ai pas été convaincu. De plus, le film est très réaliste, ce qui peut être une bonne chose, on est dans un milieu impitoyable, pas besoin de le romancer, mais pour le coup, j'avais l'impression d'assister à un docu-fiction plus qu'à un film, et je trouve que le film manquait parfois de rythme. Avec un peu plus de recul et si je comprenais plus les rouages de la finance, j'aurais plus apprécié le film. Mais là, sans l'avoir trouvé mauvais, je ne l'ai pas non plus trouvé bon.
Réalisé par J. C. Chandor
Avec Kevin Spacey, Paul Bettany, Jeremy Irons
Genre: Drame, Thriller financier
Durée: 1h47
Synopsis:
Pour survivre à Wall Street, sois le premier, le meilleur ou triche. La dernière nuit d’une équipe de traders, avant le crash. Pour sauver leur peau, un seul moyen : ruiner les autres…
Critique "presse": 8/10
"Margin Call" nous plonge dans le monde impitoyable de Wall Street, la nuit juste avant la crise économique de 2008. J.C. Chandor, pour son premier film, livre un passionnant thriller financier en huit-clos, grâce à un scénario particulièrement bien ficelé et à un casting impressionnant.
Ma critique: 5/10
Le film nous décrit bien le monde impitoyable de la finance, entre licenciements multiples et requins prêts à tout écraser pour survivre. La mise en scène est efficace et l'on sent bien que les enjeux économiques vont tout changer après cette nuit de 2008. Malgré tout, je ne suis jamais totalement rentré dans le film, certainement à cause de ce monde qui m'échappe (la haute finance, je suis pas vraiment calé). Pourtant, le réal' prend son temps pour bien tout nous expliquer, mais même avec ça, j'ai pas été convaincu. De plus, le film est très réaliste, ce qui peut être une bonne chose, on est dans un milieu impitoyable, pas besoin de le romancer, mais pour le coup, j'avais l'impression d'assister à un docu-fiction plus qu'à un film, et je trouve que le film manquait parfois de rythme. Avec un peu plus de recul et si je comprenais plus les rouages de la finance, j'aurais plus apprécié le film. Mais là, sans l'avoir trouvé mauvais, je ne l'ai pas non plus trouvé bon.
American Pie 4
Date de sortie: 2 mai 2012
Réalisé par Jon Hurwitz, Hayden Schlossberg
Avec Jason Biggs, Alyson Hannigan, Chris Klein
Titre original: "American Reunion"
Genre: Comédie
Durée: 1h54
Synopsis:
Comme le temps passe…Souvenez-vous de cette année 1999 où quatre lycéens d’une petite ville du Michigan décidèrent d’en finir avec… leur virginité. Quête héroïque, burlesque, inoubliable… Une décennie plus tard, Jim et Michelle sont mariés, Kevin et Vicky sont séparés, Oz et Heather se sont éloignés à contrecœur, tandis que Finch soupire encore après… l’extravagante mère de Stifler. Quant à Stifler, rien ne le changera jamais. Amis d’hier, amis de toujours, ces jeunes hommes attendaient depuis longtemps de pouvoir se réunir le temps d’un week-end pour se remémorer leurs exploits d’antan et y puiser de nouvelles inspirations. Que la fête commence, l’heure du checkup hormonal a sonné…
Critique "presse": 3/10
Les ados ont vieilli, les gags potaches aussi. Si l'on sourit parfois, dans l'ensemble, la mise en scène est mauvaise, et le film est presque trop politiquement correct. Le charme du premier épisode n'opère plus depuis longtemps.
Ma critique: 6/10
On retrouve avec plaisir cette bande de potes, mais j'ai regretté leur évolution (Oz en pseudo commentateur sportif...). En tant que fan de la série, j'ai été un peu déçu de cette "reunion". Au départ, "American Pie", ce sont quatre potes qui veulent perdre leur virginité, mais là, si les quatre amis ont leur soucis, c'est Stifler qui est plus en avant, toujours aussi immature, et qui va de plus en plus loin dans l'humour gras. Résultat mitigé, les gags sont parfois drôles, mais aussi très poussifs. J'ai aussi regretté la simple apparition de certains persos (Jessica, l'amie de Vicky, et Nadia, la belle tchèque). J'en attendais pas grand chose, mais j'espérais mieux. Mais reste donc le plaisir de les retrouver dix ans plus tard.
Réalisé par Jon Hurwitz, Hayden Schlossberg
Avec Jason Biggs, Alyson Hannigan, Chris Klein
Titre original: "American Reunion"
Genre: Comédie
Durée: 1h54
Synopsis:
Comme le temps passe…Souvenez-vous de cette année 1999 où quatre lycéens d’une petite ville du Michigan décidèrent d’en finir avec… leur virginité. Quête héroïque, burlesque, inoubliable… Une décennie plus tard, Jim et Michelle sont mariés, Kevin et Vicky sont séparés, Oz et Heather se sont éloignés à contrecœur, tandis que Finch soupire encore après… l’extravagante mère de Stifler. Quant à Stifler, rien ne le changera jamais. Amis d’hier, amis de toujours, ces jeunes hommes attendaient depuis longtemps de pouvoir se réunir le temps d’un week-end pour se remémorer leurs exploits d’antan et y puiser de nouvelles inspirations. Que la fête commence, l’heure du checkup hormonal a sonné…
Critique "presse": 3/10
Les ados ont vieilli, les gags potaches aussi. Si l'on sourit parfois, dans l'ensemble, la mise en scène est mauvaise, et le film est presque trop politiquement correct. Le charme du premier épisode n'opère plus depuis longtemps.
Ma critique: 6/10
On retrouve avec plaisir cette bande de potes, mais j'ai regretté leur évolution (Oz en pseudo commentateur sportif...). En tant que fan de la série, j'ai été un peu déçu de cette "reunion". Au départ, "American Pie", ce sont quatre potes qui veulent perdre leur virginité, mais là, si les quatre amis ont leur soucis, c'est Stifler qui est plus en avant, toujours aussi immature, et qui va de plus en plus loin dans l'humour gras. Résultat mitigé, les gags sont parfois drôles, mais aussi très poussifs. J'ai aussi regretté la simple apparition de certains persos (Jessica, l'amie de Vicky, et Nadia, la belle tchèque). J'en attendais pas grand chose, mais j'espérais mieux. Mais reste donc le plaisir de les retrouver dix ans plus tard.
Le Prénom
Date de sortie: 25 avril 2012
Réalisé par Alexandre de La Patellière, Matthieu Delaporte
Avec Patrick Bruel, Valérie Benguigui, Charles Berling
Genre: Comédie
Durée: 1h49
Synopsis:
Vincent, la quarantaine triomphante, va être père pour la première fois. Invité à dîner chez Élisabeth et Pierre, sa sœur et son beau-frère, il y retrouve Claude, un ami d’enfance. En attendant l’arrivée d’Anna, sa jeune épouse éternellement en retard, on le presse de questions sur sa future paternité dans la bonne humeur générale... Mais quand on demande à Vincent s’il a déjà choisi un prénom pour l’enfant à naître, sa réponse plonge la famille dans le chaos.
Critique "presse": 6,5/10
Adaptation de la pièce de théâtre du même nom, "Le Prénom" est une comédie de "boulevard". Bien écrit, rythmé et interprété, le premier film du duo Alexandre de La Patellière - Matthieu Delaporte passe assez bien en revue les divers problèmes et frustrations des français, du macho bling-bling au bobo intello, mais l'on regrette l'absence de prise de risques avec ce huit-clos. Quelques clichés et longueurs évitables sont à déplorer.
Ma critique: 7/10
Faire tout un film autour d'un prénom me semblait compliqué, notamment en terme de contenu. Mais ce problème du prénom ne dure qu'un temps, et sur la seconde moitié du film, passe au second plan. Ce groupe "d'amis" en profite alors pour se dire ses quatre vérités. De très bonnes idées pour de très bons dialogues, le côté cynique du film m'a bien plus. L'interprétation est assez inégale, ainsi que le rythme du film, et ce à cause de scènes longues et interminables (la mise en place du début en voix-off, le speech de l'ami neutre). Dans l'ensemble, une bonne comédie française.
Réalisé par Alexandre de La Patellière, Matthieu Delaporte
Avec Patrick Bruel, Valérie Benguigui, Charles Berling
Genre: Comédie
Durée: 1h49
Synopsis:
Vincent, la quarantaine triomphante, va être père pour la première fois. Invité à dîner chez Élisabeth et Pierre, sa sœur et son beau-frère, il y retrouve Claude, un ami d’enfance. En attendant l’arrivée d’Anna, sa jeune épouse éternellement en retard, on le presse de questions sur sa future paternité dans la bonne humeur générale... Mais quand on demande à Vincent s’il a déjà choisi un prénom pour l’enfant à naître, sa réponse plonge la famille dans le chaos.
Critique "presse": 6,5/10
Adaptation de la pièce de théâtre du même nom, "Le Prénom" est une comédie de "boulevard". Bien écrit, rythmé et interprété, le premier film du duo Alexandre de La Patellière - Matthieu Delaporte passe assez bien en revue les divers problèmes et frustrations des français, du macho bling-bling au bobo intello, mais l'on regrette l'absence de prise de risques avec ce huit-clos. Quelques clichés et longueurs évitables sont à déplorer.
Ma critique: 7/10
Faire tout un film autour d'un prénom me semblait compliqué, notamment en terme de contenu. Mais ce problème du prénom ne dure qu'un temps, et sur la seconde moitié du film, passe au second plan. Ce groupe "d'amis" en profite alors pour se dire ses quatre vérités. De très bonnes idées pour de très bons dialogues, le côté cynique du film m'a bien plus. L'interprétation est assez inégale, ainsi que le rythme du film, et ce à cause de scènes longues et interminables (la mise en place du début en voix-off, le speech de l'ami neutre). Dans l'ensemble, une bonne comédie française.
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