Date de sortie: 12 avril 2017
De F. Gary Gray
Avec Vin Diesel, Dwayne Johnson, Jason Statham
Titre original: "The Fate Of The Furious"
Genre: Action
Durée: 2h16
Synopsis:
Maintenant que Dom et Letty sont en lune de miel, que Brian et Mia se sont rangés et que le reste de l’équipe a été disculpé, la bande de globetrotteurs retrouve un semblant de vie normale. Mais quand une mystérieuse femme entraîne Dom dans le monde de la criminalité, ce dernier ne pourra éviter de trahir ses proches qui vont faire face à des épreuves qu’ils n’avaient alors jamais rencontrées.
Des rivages de Cuba au rues de New York en passant par les plaines gelées de la mer arctique de Barrents, notre équipe va sillonner le globe pour tenter d'empêcher une anarchiste de déchaîner un chaos mondial et de ramener à la maison l’homme qui a fait d’eux une famille.
Critique "presse": 6/10
Blindé de défauts et ultra-régressif, ce huitième volet vaut surtout, voire uniquement, pour ses cascades aussi spectaculaires qu'improbables et sa bande de gros bras. Un pur délire assumé, à la trame scénaristique secondaire. A voir avec un plaisir coupable.
Ma critique: 5/10
Depuis l'épisode 4, la franchise FF assume son 18ème degré et et ses scènes d'actions invraisemblables, de plus en plus spectaculaires d'épisode en épisode. Ceci étant dit, il est possible de bien se divertir (à condition de laisser son cerveau à l'entrée donc...). Mais il arrive un moment où trop, c'est trop. Avec la mort tragique de Paul Walker, la franchise aurait pu s'arrêter sur un épisode 7 plutôt bien géré. Malheureusement on repart pour un tour (trois même, deux autres films sont en préparation) et tous les ingrédients qui ont fait la réussite de la franchise sont là, mais en nettement plus grotesques. Les héros ressemblent maintenant à des super-héros: il s'agit de sauver le monde (rien que ça) en survivant à des explosions en étant uniquement recouvert de poussières Les invraisemblances sont légions (Dom gagne une course dans une 4L en feu en marche arrière, Jason Statham se bat contre 20 gars dans un avion en vol avec un bébé dans les bras et bien d'autres absurdités encore...), l'histoire est ridicule, les décisions des personnages stupides (la méchante, supposée super-intelligente, en tient une sacrée couche), et c'est filmé avec les pieds. En continuant sur ce rythme, on verra dans l'épisode 9 Dom pourchassait une fusée en trottinette et réussir à la rattraper. A force de passer les vitesses, FF frôle la sortie de route et va bientôt se crasher...
samedi 22 avril 2017
vendredi 21 avril 2017
Ghost In The Shell
Date de sortie: 29 mars 2017
De Rupert Sanders Avec Scarlett Johansson, Pilou Asbæk, Takeshi Kitano
Genre: Action, Science fiction
Durée: 1h47
Synopsis:
Dans un futur proche, le Major est unique en son genre: humaine sauvée d’un terrible accident, son corps aux capacités cybernétiques lui permet de lutter contre les plus dangereux criminels. Face à une menace d’un nouveau genre qui permet de pirater et de contrôler les esprits, le Major est la seule à pouvoir la combattre. Alors qu’elle s’apprête à affronter ce nouvel ennemi, elle découvre qu’on lui a menti : sa vie n’a pas été sauvée, on la lui a volée. Rien ne l’arrêtera pour comprendre son passé, trouver les responsables et les empêcher de recommencer avec d’autres.
Critique "presse": 6/10
Visuellement impressionnant, avec des effets spéciaux et une 3D réussis, ce "Ghost In The Shell" version hollywoodienne n'en est pas moins qu'une pâle copie du manga originel, à la trame simplifiée, sans âme, et où la part-belle est donnée aux scènes d'actions. Divertissant, sans plus.
Ma critique: 4/10
N'ayant pas vu le manga japonais, je ne peux pas crier au scandale (et encore), ce qui explique une note aussi haute... Le film n'a absolument rien d'original, on devine tout le déroulement dès le début (la bande-annonce n'a pas aidé, il est vrai). Aucune surprise donc, on ne s'attache à aucun des personnages, Scarlett Johansson se la joue encore femme guerrière (après Black Widow et Lucy, il serait temps qu'elle change de registre), les seconds rôles sont fades, et le méchant n'a aucun charisme. Visuellement, je l'ai même pas trouvé beau, mais plutôt fouilli. Sans intérêts.
De Rupert Sanders Avec Scarlett Johansson, Pilou Asbæk, Takeshi Kitano
Genre: Action, Science fiction
Durée: 1h47
Synopsis:
Dans un futur proche, le Major est unique en son genre: humaine sauvée d’un terrible accident, son corps aux capacités cybernétiques lui permet de lutter contre les plus dangereux criminels. Face à une menace d’un nouveau genre qui permet de pirater et de contrôler les esprits, le Major est la seule à pouvoir la combattre. Alors qu’elle s’apprête à affronter ce nouvel ennemi, elle découvre qu’on lui a menti : sa vie n’a pas été sauvée, on la lui a volée. Rien ne l’arrêtera pour comprendre son passé, trouver les responsables et les empêcher de recommencer avec d’autres.
Critique "presse": 6/10
Visuellement impressionnant, avec des effets spéciaux et une 3D réussis, ce "Ghost In The Shell" version hollywoodienne n'en est pas moins qu'une pâle copie du manga originel, à la trame simplifiée, sans âme, et où la part-belle est donnée aux scènes d'actions. Divertissant, sans plus.
Ma critique: 4/10
N'ayant pas vu le manga japonais, je ne peux pas crier au scandale (et encore), ce qui explique une note aussi haute... Le film n'a absolument rien d'original, on devine tout le déroulement dès le début (la bande-annonce n'a pas aidé, il est vrai). Aucune surprise donc, on ne s'attache à aucun des personnages, Scarlett Johansson se la joue encore femme guerrière (après Black Widow et Lucy, il serait temps qu'elle change de registre), les seconds rôles sont fades, et le méchant n'a aucun charisme. Visuellement, je l'ai même pas trouvé beau, mais plutôt fouilli. Sans intérêts.
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