Date de sortie: 23 janvier 2013
Réalisé par Kathryn Bigelow
Avec Jessica Chastain, Jason Clarke
Avertissement
Genre: Thriller , Action
Durée: 2h29
Synopsis:
Le récit de la traque d'Oussama Ben Laden par une unité des forces spéciales américaines...
Critique "presse": 8/10
Plus qu'un simple film de guerre, "Zero Dark Thirty" est un docu-fiction, une enquête de 10 ans sur la traque de Ben Laden. Kathryn Bigelow s'est très bien documentée, elle livre un film riche et maîtrise parfaitement son sujet pour finir avec une dernière demi-heure d'une intensité rare, et ce bien que l'on connaisse le dénouement.
Ma critique: 7/10
Les deux premières heures recouvrent dix ans d'enquête, c'est intéressant, réaliste, très riche, mais ça a un peu le défaut de ses qualités, c'est-à -dire qu'on s'y perd un peu et c'est parfois long. Mais on ne décroche pas car la réalisatrice traite bien son sujet (découpé en chapitres) et réussit à installer une vraie intensité, confirmée par la dernière demi-heure où l'on suit l'intervention des forces spéciales pour trouver Ben Laden, et cette dernière demi-heure est hyper-prenante, en termes de réalisme, de suspense, bien qu'on sache comment ça se finit. A voir, mais il ne faut pas s'attendre à un film de guerre traditionnel, plus à un film d'espionnage. Pour conclure, le film est donc très bien, même si le sujet de la guerre contre le terrorisme commence à me gonfler un peu; puis en sortant de la séance, on se pose quand même la question "qu'est-ce qui est vrai? qu'est-ce qui ne l'est pas?". Et pour info, "Zero Dark Thirty", en jargon militaire, ça veut dire 0h30, l'heure où les forces spéciales ont mis un pied sur le sol de la résidence de Ben Laden.
mercredi 30 janvier 2013
mercredi 23 janvier 2013
Django Unchained
Date de sortie: 16 janvier 2013
Réalisé par Quentin Tarantino
Avec Jamie Foxx, Christoph Waltz, Leonardo DiCaprio
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Western
Durée: 2h45
Synopsis:
Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs. Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…
Critique "presse": 9/10
Tarantino revisite le western avec son style habituel: ultra-violent, des dialogues ciselés, une bonne dose d'humour, une BO excellente et des personnages haut en couleurs pour un show incroyable. Remarquablement mis en scène, Tarantino maîtrise totalement son sujet pour nous livrer une histoire de vengeance simple, en rajoutant une touche d'Histoire (la traite des Noirs). Rajouter à ça la performance des acteurs, et vous obtenez un très bon moment de cinéma.
Ma critique: 5/10
Avec "Inglorious Basterds", j'aurais pu me faire vraiment plaisir pour ma critique, mais mon blog n'existait pas encore. Avec "Django Unchained", Tarantino me donne une seconde chance, merci Quentin! Alors... Quand vous pensez arrivez à la fin du film et que vous vous dites "ouf, enfin, il était temps", c'est déjà pas bon signe. Mais quand en fait, ce n'est pas la fin, et qu'il reste une demi-heure à tirer, là, ça devient vraiment dur... Le film est long, très (très) long. La mise en place prend du temps, et quand DiCaprio arrive, on se dit enfin que ça va décoller, mais ça ne décolle jamais vraiment. En plus de ça, comme souvent, au niveau du scénario, l'ami Quentin s'est pas foulé "j'étais esclave, je suis libre, je vais retrouver ma femme, me venger et buter tout le monde". Alors pourquoi pas? Les histoires simples peuvent être très bonnes, mais celle-là pouvait se raconter avec une heure de moins, tellement il y a des scènes inutiles, sans intérêt pour faire avancer le film, si ce n'est faire sourire le spectateur (la scène du KKK, celles dans les montagnes, celle avec Tarantino ou la dernière demi-heure en général). Et ces scènes cassent le rythme déjà pas très rapide, et on se retrouve au final avec un montage sans liant, les scènes sont juste apposées les unes aux autres. Alors, tout n'est pas à jeter dans le film, les acteurs sont tous très bons, quelques dialogues valent le détour, mais dans son ensemble, il n'y a vraiment pas de surprises, et ça parle beaucoup pour pas grand chose. Même la bande-son n'est pas au niveau (quelques morceaux sont très bons, mais d'autres...). Alors, ce n'est pas son pire film, mais ce n'est pas non plus un chef-d'oeuvre. Ah, et j’appellerais pas ça un western...
Réalisé par Quentin Tarantino
Avec Jamie Foxx, Christoph Waltz, Leonardo DiCaprio
Interdit au moins de 12 ans
Genre: Western
Durée: 2h45
Synopsis:
Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs. Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…
Critique "presse": 9/10
Tarantino revisite le western avec son style habituel: ultra-violent, des dialogues ciselés, une bonne dose d'humour, une BO excellente et des personnages haut en couleurs pour un show incroyable. Remarquablement mis en scène, Tarantino maîtrise totalement son sujet pour nous livrer une histoire de vengeance simple, en rajoutant une touche d'Histoire (la traite des Noirs). Rajouter à ça la performance des acteurs, et vous obtenez un très bon moment de cinéma.
Ma critique: 5/10
Avec "Inglorious Basterds", j'aurais pu me faire vraiment plaisir pour ma critique, mais mon blog n'existait pas encore. Avec "Django Unchained", Tarantino me donne une seconde chance, merci Quentin! Alors... Quand vous pensez arrivez à la fin du film et que vous vous dites "ouf, enfin, il était temps", c'est déjà pas bon signe. Mais quand en fait, ce n'est pas la fin, et qu'il reste une demi-heure à tirer, là, ça devient vraiment dur... Le film est long, très (très) long. La mise en place prend du temps, et quand DiCaprio arrive, on se dit enfin que ça va décoller, mais ça ne décolle jamais vraiment. En plus de ça, comme souvent, au niveau du scénario, l'ami Quentin s'est pas foulé "j'étais esclave, je suis libre, je vais retrouver ma femme, me venger et buter tout le monde". Alors pourquoi pas? Les histoires simples peuvent être très bonnes, mais celle-là pouvait se raconter avec une heure de moins, tellement il y a des scènes inutiles, sans intérêt pour faire avancer le film, si ce n'est faire sourire le spectateur (la scène du KKK, celles dans les montagnes, celle avec Tarantino ou la dernière demi-heure en général). Et ces scènes cassent le rythme déjà pas très rapide, et on se retrouve au final avec un montage sans liant, les scènes sont juste apposées les unes aux autres. Alors, tout n'est pas à jeter dans le film, les acteurs sont tous très bons, quelques dialogues valent le détour, mais dans son ensemble, il n'y a vraiment pas de surprises, et ça parle beaucoup pour pas grand chose. Même la bande-son n'est pas au niveau (quelques morceaux sont très bons, mais d'autres...). Alors, ce n'est pas son pire film, mais ce n'est pas non plus un chef-d'oeuvre. Ah, et j’appellerais pas ça un western...
Le Monde De Charlie
Date de sortie: 2 janvier 2013
Réalisé par Stephen Chbosky
Avec Logan Lerman, Emma Watson, Ezra Miller
Titre original: "The Perks Of Being A Wallflower"
Genre: comédie dramatique, romance
Durée: 1h43
Synopsis:
Au lycée où il vient d’arriver, on trouve Charlie bizarre. Sa sensibilité et ses goûts sont en décalage avec ceux de ses camarades de classe. Pour son prof de Lettres, c’est sans doute un prodige, pour les autres, c’est juste un "loser". En attendant, il reste en marge - jusqu’au jour où deux terminales, Patrick et la jolie Sam, le prennent sous leur aile. Grâce à eux, il va découvrir la musique, les fêtes, le sexe… pour Charlie, un nouveau monde s’offre à lui.
Critique "presse": 6,5/10
Un teen-movie sobre et émouvant, qui décrit avec justesse les problèmes de l'adolescence sans pour autant éviter les clichés du genre. Une histoire convenue, qui tient la route grâce à son trio d'acteurs.
Ma critique: 6/10
Pour passer un bon moment, il faut faire abstraction des clichés sur l'adolescence, ici tous réunis: Charlie est un introverti dépressif et intelligent, forcément en marge et persécuté par les brutes du lycée. Il se trouve des amis avec Sam, l'amour de sa vie qui écoute du vrai rock'n roll et le demi-frère de cette dernière, Patrick, gay et qui vit une relation secrète avec le quaterback beauf du lycée. Le tout avec un énième récit à la première personne. Mais une fois ces nombreux clichés passés, l'histoire se suit bien, elle est simple, mais belle. Plutôt que de faire une énième comédie potache sur l'adolescence, on a droit à une bonne comédie dramatique, un rien plombante quand même. Mais on s'attache facilement à ce trio d'amis. Rajouter à ça une bonne mise en scène, quelques situations drôles, et une excellente bande-son.
Réalisé par Stephen Chbosky
Avec Logan Lerman, Emma Watson, Ezra Miller
Titre original: "The Perks Of Being A Wallflower"
Genre: comédie dramatique, romance
Durée: 1h43
Synopsis:
Au lycée où il vient d’arriver, on trouve Charlie bizarre. Sa sensibilité et ses goûts sont en décalage avec ceux de ses camarades de classe. Pour son prof de Lettres, c’est sans doute un prodige, pour les autres, c’est juste un "loser". En attendant, il reste en marge - jusqu’au jour où deux terminales, Patrick et la jolie Sam, le prennent sous leur aile. Grâce à eux, il va découvrir la musique, les fêtes, le sexe… pour Charlie, un nouveau monde s’offre à lui.
Critique "presse": 6,5/10
Un teen-movie sobre et émouvant, qui décrit avec justesse les problèmes de l'adolescence sans pour autant éviter les clichés du genre. Une histoire convenue, qui tient la route grâce à son trio d'acteurs.
Ma critique: 6/10
Pour passer un bon moment, il faut faire abstraction des clichés sur l'adolescence, ici tous réunis: Charlie est un introverti dépressif et intelligent, forcément en marge et persécuté par les brutes du lycée. Il se trouve des amis avec Sam, l'amour de sa vie qui écoute du vrai rock'n roll et le demi-frère de cette dernière, Patrick, gay et qui vit une relation secrète avec le quaterback beauf du lycée. Le tout avec un énième récit à la première personne. Mais une fois ces nombreux clichés passés, l'histoire se suit bien, elle est simple, mais belle. Plutôt que de faire une énième comédie potache sur l'adolescence, on a droit à une bonne comédie dramatique, un rien plombante quand même. Mais on s'attache facilement à ce trio d'amis. Rajouter à ça une bonne mise en scène, quelques situations drôles, et une excellente bande-son.
lundi 21 janvier 2013
La Stratégie De La Poussette
Date de sortie: 2 janvier 2013
Réalisé par Clément Michel
Avec Raphaël Personnaz, Charlotte Le Bon, Jérôme Commandeur
Genre: Comédie
Durée: 1h30
Synopsis:
Thomas a laissé partir Marie, à force de ne pas s'engager. Un an plus tard, toujours inconsolable, il se retrouve avec un bébé sur les bras. Il va se servir de cet enfant pour reconquérir la femme de sa vie...
Critique "presse": 4/10
Le charme du couple Personnaz/Le Bon ne suffit pas à rattraper le manque d'originalité de cette comédie sans véritable fil conducteur, avec seulement quelques saynètes qui se veulent drôles. Une rom-com quelconque.
Ma critique: 5/10
Si l'idée pouvait être sympa, sa réalisation l'est nettement moins. Le couple est crédible, les seconds rôles moins, et si par moments, on sourit, le reste du temps, on se demande où va l'histoire. La première partie vaut le coup, la seconde n'est absolument pas crédible.
Réalisé par Clément Michel
Avec Raphaël Personnaz, Charlotte Le Bon, Jérôme Commandeur
Genre: Comédie
Durée: 1h30
Synopsis:
Thomas a laissé partir Marie, à force de ne pas s'engager. Un an plus tard, toujours inconsolable, il se retrouve avec un bébé sur les bras. Il va se servir de cet enfant pour reconquérir la femme de sa vie...
Critique "presse": 4/10
Le charme du couple Personnaz/Le Bon ne suffit pas à rattraper le manque d'originalité de cette comédie sans véritable fil conducteur, avec seulement quelques saynètes qui se veulent drôles. Une rom-com quelconque.
Ma critique: 5/10
Si l'idée pouvait être sympa, sa réalisation l'est nettement moins. Le couple est crédible, les seconds rôles moins, et si par moments, on sourit, le reste du temps, on se demande où va l'histoire. La première partie vaut le coup, la seconde n'est absolument pas crédible.
Tops/Flops de l'année 2012
Pour cette année 2012, il est à noter que j'ai raté pas mal de films pourtant recommandés ("Bullhead", "Bellflower", "De Rouille Et D'Os", "Les Bêtes Du Sud Sauvage"...) et que je n'ai pas critiqué "The Hobbit" car je ne suis absolument pas objectif...
TOP 10
Les Mondes De Ralph (5 décembre)
Un Pixar au top, comme souvent.
The Dark Knight Rises (25 juillet)
Sans atteindre le niveau du précédent, la franchise de Nolan reste une des meilleures.
Starbuck (27 juin)
Une belle et excellente surprise qui nous vient de nos amis québécois.
Hunger Games (21 mars)
J'attends la suite avec impatience.
My Week With Marilyn (4 avril)
Dommage que ce n'ait été qu'une semaine...
The Avengers (25 avril)
Le meilleur des Marvel à ce jour.
Populaire (28 novembre)
Hormis la fin, très bon film.
Ted (10 octobre)
J'aurais aimé avoir un nounours comme ça.
Tucker And Dale Vs Evil (1er février)
La revanche des péquenauds!
Looper (31 octobre)
Bonne surprise, bonne idée, bon film de SF.
FLOP 10
The Secret (5 septembre)
Dans un film d' "horreur", avoir le rebondissement principal qui arrive au bout d'une demi-heure, c'est pas une bonne idée...
2 Days In New-York (28 mars)
Une comédie pas drôle, avec la bobo-itude parisienne à NY.
La Vérité Si Je Mens 3 (1er février)
La vérité... c'est pourri! T'as vu le 1, t'as vu le 2, pas besoin de voir le 3!
La Taupe (8 février)
Le meilleur remède contre les insomnies de cette année.
Bachelorette (17 octobre)
Alors dans ce film, ce qui est drôle, c'est
Battleship (11 avril)
Plus cliché, c'est pas possible!
Abraham Lincoln, Chasseur de Vampires (8 août)
Au moins, avec le titre, on était prévenus...
La Colère Des Titans (28 mars)
Pourtant, le premier était bien..............
Shame (7 décembre 2011, je l'ai vu tard)
Une blague ce film, tout le monde trouve ça génial, alors qu'il ne se passe rien.
The Amazing Spider-Man (4 juillet)
Un remake de la franchise de Sam Raimi sans intérêt.
TOP 10
Les Mondes De Ralph (5 décembre)
Un Pixar au top, comme souvent.
The Dark Knight Rises (25 juillet)
Sans atteindre le niveau du précédent, la franchise de Nolan reste une des meilleures.
Starbuck (27 juin)
Une belle et excellente surprise qui nous vient de nos amis québécois.
Hunger Games (21 mars)
J'attends la suite avec impatience.
My Week With Marilyn (4 avril)
Dommage que ce n'ait été qu'une semaine...
The Avengers (25 avril)
Le meilleur des Marvel à ce jour.
Populaire (28 novembre)
Hormis la fin, très bon film.
Ted (10 octobre)
J'aurais aimé avoir un nounours comme ça.
Tucker And Dale Vs Evil (1er février)
La revanche des péquenauds!
Looper (31 octobre)
Bonne surprise, bonne idée, bon film de SF.
FLOP 10
The Secret (5 septembre)
Dans un film d' "horreur", avoir le rebondissement principal qui arrive au bout d'une demi-heure, c'est pas une bonne idée...
2 Days In New-York (28 mars)
Une comédie pas drôle, avec la bobo-itude parisienne à NY.
La Vérité Si Je Mens 3 (1er février)
La vérité... c'est pourri! T'as vu le 1, t'as vu le 2, pas besoin de voir le 3!
La Taupe (8 février)
Le meilleur remède contre les insomnies de cette année.
Bachelorette (17 octobre)
Alors dans ce film, ce qui est drôle, c'est
Battleship (11 avril)
Plus cliché, c'est pas possible!
Abraham Lincoln, Chasseur de Vampires (8 août)
Au moins, avec le titre, on était prévenus...
La Colère Des Titans (28 mars)
Pourtant, le premier était bien..............
Shame (7 décembre 2011, je l'ai vu tard)
Une blague ce film, tout le monde trouve ça génial, alors qu'il ne se passe rien.
The Amazing Spider-Man (4 juillet)
Un remake de la franchise de Sam Raimi sans intérêt.
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